ABDL SM soumis cocu et humilié

Un ABDL soumis cocu et humilié

 

En préambule

 

Depuis de longues années, notre couple s’adonne à des formes de sexualité de plus en plus débridées. Si nous avons pu vivre des plaisirs inouïs sans que notre couple soit en péril, c’est tout simplement parce que nous partageons tout sans pudeur et que nos inspirations pour les choses du sexe sont grandes. La franchise a toujours été notre règle de vie et nous n’avons jamais joué l’un sans l’autre afin que jamais au grand jamais, il ne puisse y avoir d’incompréhension ou de chose cachée.

 

Après être passés mutuellement par des petits jeux de domination et plaisirs SM, nous avons ensuite joué chasteté masculine et là, se sont avérés mes penchants pour la soumission. Avec les années, mon épouse a quant à elle embrassé la domination même si parfois il lui arrive de s’offrir à moi en soumise le temps d’une soirée.

 

L’échangisme au sens propre du terme (avec pénétration) ne nous a jamais tentés bien que parfois dans nos délires il nous arrivait de nous dire « je t’attacherai et je te ferai prendre à la chaîne…. ». Sans s’offrir à des mâles en rut, mon épouse a quand même offert mon fessier à quelques hommes en y prenant un grand plaisir voyeur. L’idée a germé qu’elle puisse aussi « s’amuser » mais ayant embrassé la domination, cela ne pouvait être moi qui « l’offre* » à un homme. 

 

*Pour nous, on n’offre pas son partenaire à quelqu’un, on lui offre la possibilité de vivre quelque chose.

 

Je suis tombé dans l’ABDL (adult baby / diaper Lover) en commençant par des jeux de bondage en couche pour finalement me noyer dans le fétichisme des tenues de bébé adulte soi-disant imposée par mon épouse.  

 

La santé de notre couple passe avant tout malgré nos fantasmes respectifs, celui de ma femme était de vivre au moins une fois le candaulisme histoire de jouer humiliation pour moi et de prendre du plaisir autrement dans sa domination. J’ai accepté l’idée par envie de jouer et tester sans aucune crainte car j’ai une totale confiance en mon épouse.


Définition de wikipedia Le candaulisme est une pratique sexuelle dans laquelle l'homme ressent une excitation en exposant sa compagne ou une image de celle-ci à d'autres hommes. Par extension, on parle aussi de candaulisme lorsque des rapports sexuels ont lieu entre une femme et un ou plusieurs hommes, devant le regard consentant et demandeur du partenaire exclusif de celle-ci ; cette pratique se distingue cependant cuckolding l'absence de besoin d'humiliation du partenaire voyeur. Le candaulisme n'implique pas non plus la réciprocité de la pratique de l'échangisme.

 

Nous avons rencontré Jean lors d’une soirée SM, comme il a les mêmes goûts que moi pour la polyvalence, j’ai eu le loisir de le martyriser et de l’obliger à faire des choses que la morale réprouve avec la complicité de mon épouse qui dessina de jolies marques sur ses fesses ce soir là.

 

Pour cette tentative de candaulisme, mon épouse fut cette nuit là une domina particulièrement cruelle avec moi comme vous allez pouvoir le constater.

 

………………………………………

 

A 20 heures, le repas était terminé, la cuisine était rangée, ma perle avait mis des bougies dans la maison et s’était vêtue d’une jolie robe noire. Depuis que nous avions décidé d’essayer le candaulisme, Claire fouettait mes fantasmes en me disant qu’elle ferait tout pour que cette soirée soit pour moi mémorable et riche de sensations. Peut-être culpabilisait-elle a l’idée de s’envoyer en l’air avec un autre et qu’elle cherchait à «compenser » pour que dans mes fantasmes et délires je sois heureux……

 

La domina de mon cœur vint me chercher à la sortie de ma douche et s’occupa de moi comme elle l’aurait fait avec un enfant pour me sécher. Jamais une serviette ne me fit autant d’effet sauf que dans sa cage de chasteté, mon Popaul ne put lui exprimer pleinement ses désirs ! En entrant nu dans la chambre qui m’avait été interdite tout l’après-midi, mon sang ne fit qu’un tout et mon cerveau frisa la combustion spontanée. Sur le lit, une couche pour personne incontinente et une culotte en plastique m’attendaient avec une grenouillère inconnue et le lit de bébé acheté il y a peu pour nos délires était posé à côté du notre.

 

L’idée de jouer le candaulisme ainsi ne m’amusa pas, mais après quelques réfutations, en bon soumis je finis par abdiquer. Elle s’occupa de moi avec une patience d’ange, me mit de la pommade contre les irritations autour de la cage, du talc, un suppo sans me dire de quoi puis la nouvelle grenouillère dont elle avait cousu les manches. J’étais blême car je n’avais jamais imaginé les choses ainsi ! Dans mes fantasmes je les regardais faire et j’étais invité à les rejoindre à la fin pour combler Madame de plaisir au moins de ma langue et de mes caresses.

 

D’autres surprises m’attendaient ! Une fois étendu en tenue dans le lit de bébé, mes pieds furent entravés par une chaine et deux cadenas. Pour parfaire mes entraves et contraintes, elle menotta mes poignets et me fit un gros bisou d’amour avant de me mettre une cagoule en cuir. M’étendre complètement dans ce petit lit et pliant les jambes pour les y loger ne fut pas aisé….. Elle me planta là en me laissant mijoter pour aller finir de se préparer d’après les bruits parvenant à mes oreilles et surtout mon cerveau embrumé. En présence de Jean, même s’il savait que j’aimais jouer ABDL, je trouvais que l’humiliation du « futur cocu » était de taille. En acceptant tout sans rechigner ou presque, je m’étais vraiment mis mal et je commençais à regretter d’avoir accédé aux idées loufoques de Madame.

 

Sûrement dans la confidence pour la réalisation de ce scénario extrêmement humiliant, il est entré sans sonner car je n’ai su qu’il était là lorsqu’il est venu souhaiter « bonne nuit » à bébé en caressant ma cagoule. Même si je suis convaincu qu’à ce moment là ils étaient tous les deux dans la chambre, ce fut pour moi un grand moment dit de « solitude ».

 

L’attente sans rien voir, rien entendre et rien savoir fut aussi cruelle que la suite. Que lui faisait Claire ou que lui faisait-elle ? Allaient-ils s’envoyer en l’air au salon en me laissant loin de tout ? Mille questions bousculaient mes neurones enflammées.

 

Le lit s’est mis à craquer, ce qui me permit de comprendre qu’ils allaient s’envoyer en l’air à côté de moi en me permettant au moins auditivement de partager leurs plaisirs. Par provocation, l’idée m’est venue de brailler comme un enfant, cette idée fut rapidement contrée par la promesse d’un bâillon au piment si je continuai ! Je pense qu’il devait être gêné de ma présence à côté d’eux car c’est lui que j’ai entendu gémir le premier. Claire devait s’occuper de lui en lui faisant sûrement une fellation pour le faire bander pendant que mon Popaul lui, se heurtait à la résistance de la cage de chasteté. GRRRR Le lit grinça encore, la voix de ma Maîtresse se fit entendre sans que je ne puisse comprendre ce qu’il se disait. Jean me surprit dans mes songes et força ma bouche de ses doigts en m’ordonnant de bien les lubrifier pour le plaisir de Madame et le sien ! (L’enfoiré) A cet instant, je me suis imaginé en train de lui tanner les fesses à la canne anglaise avec une conviction certaine dans le geste. Un moment plus tard, les bruits réguliers du lit m’indiquèrent qu’ils baisaient et que j’étais « cocu ». En fait « cocu » volontaire puisque j’avais accédé à l’idée du candaulisme mais bon….. Si je ne pouvais en tenir rigueur à Claire mais cela me travailla quand même. Entendre ma douce s’envoler au paradis me fit également plaisir car en même temps, en acceptant l’idée de cette soirée, mon envie était double. Vivre l’expérience et lui permettre de prendre dans le jeu un pied monstre, ou du moins, je l’espérais.

 

Alors qu’elle s’éclatait entre ses bras, entre mes fesses il se passait quelque chose. Une monstrueuse envie de déféquer me venait. Ma salope de garce de Maîtresse sadique m’avait mis non pas un suppo à la glycérine mais le suppositoire laxatif ultra puissant que j’avais acheté pour humilier un soumis adepte de la couche. Je lui avais imposé juste avant qu’il ne parte de chez nous en l’imaginant en train de se faire dessus sur la route ou d’aller « en urgence » en couche aux toilettes d’une station d’autoroute. Si cela m’avait follement amusé, présentement, « chier » dans ma couche pendant qu’ils s’envoyaient en l’air me mettait dans un embarras certain. Je serais les fesses comme un fou et là, elle n’a rien trouvé de mieux que de plonger sa main dans mon lit de bébé et de serrer les miennes emprisonnées dans les manches de ma grenouillère pour partager son plaisir avec moi.

 

Qu’elle ne m’oublie pas et partage cet instant avec moi me fit plaisir même si ce plaisir cérébral était pour moi assez « trouble ». Jean jouit à son tour quelques minutes plus tard dans un grognement me paraissant grotesque. Cet enfoiré me rendit bien les humiliations que le lui avait faites lorsqu’il était venu se faire dominer. Ils se levèrent pour venir s’occuper de moi de la pire des façons. Attrapé par les bras, je dus m’asseoir dans le lit, en les aidant à me redresser, j’eus énormément de mal à contenir mes fuites annales car ce n’était vraiment pas le moment pour moi de faire des efforts. Claire ouvrir la fermeture éclair de ma cagoule en m’intimant l’ordre d’ouvrir la bouche. Pour m’aider psychologiquement, à travers la grenouillère ses pinces digitales trouvères leurs cibles sur ma poitrine pour en entreprendre un sévère et douloureux malaxage. C’est ainsi qu’entra dans ma bouche et sans crier « gare » la bite ayant pris mon épouse. Quatre mains décidées m’obligèrent à la toilette de la verge au goût de préservatif et de sperme malgré mes réfutations et vaines tentatives de fuite.

 

On détacha ensuite mes pieds puis on me mit debout en m’ordonnant de descendre du lit. Ecarter les jambes fut une catastrophe car un flot de matière fécale s’échappa malgré moi en générant de drôles de contraction à mon anus et dans ma tête. Conduit au salon ils me firent asseoir sur le canapé, ce qui fut horrible car la matière s’étala dans la couche. Dans sa grande mansuétude, Claire m’offrit à boire et une cigarette. Il n’y eut que très peu d’échanges car Claire décida de mettre rapidement un terme à la soirée. Avant qu’il ne parte, elle ouvrit une menotte pour entraver mes poignets dans le dos. La porte à peine fermée sur Jean quittant la maison, j’indiquais à ma femme mes soucis de fuite. Elle ne me libéra pas pour autant bien loin de là !!!! Conduit à la chambre par le bras, elle éteignit la lumière et retira ma cagoule pour m’embrasser comme une folle avant de m’ordonner de venir la lécher pour gouter selon ses dires « le plaisir que je lui avais offert ».   

 

Je pus constater effectivement que le scénario l’avait monstrueusement excitée et qu’elle y avait pris grand plaisir. Jamais au grand jamais ma langue ne lui avait généré autant d’effet. Elle feulait et se contractait à chacun des passages de ma langue sur sa perle clitoridienne et en un rien de temps, se remit à surfer sur la vague des plaisirs en criant « oh mon amour, oh mon amour…. » 

 

Cette expérience particulièrement troublante nous a excité. Je ne sais pas si nous recommencerons mais ce fut je me répète, « troublant ».

 

TSM

 

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