Auto bondage et ABDL

Lundi 10 septembre 1 10 /09 /Sep 17:38
Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : ABDL
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Mardi 28 novembre 2 28 /11 /Nov 08:39

Les longs chemins d’un selfbondage de malade mental

 

Après avoir testé le coffre électronique pour ma chasteté, je m’en suis servi pour un selfbondage de folie. J’ai commencé par mettre ma cage de chasteté avant toute chose, se préparer pour une session de selfbondage est très excitant et je n’aurai pas pu la mettre après. A la suite de quoi, je suis allé cacher trois clés dans le bois derrière chez moi à un bon quart d’heure de marche.


La deuxième clé était celle de mon plug anal de chasteté, celui qui s’ouvre dans les fesses et se bloque avec un cadenas.


La troisième clé était celle du cadenas de ma culotte plastique qui se ferme avec une chaînette et un cadenas.


De retour à la maison, j’ai immédiatement mis mon plug anal de chasteté puis une couche Abena et la culotte plastique qui se ferme avec une chaînette et un cadenas.

A la suite de quoi, je me suis fait un string de chaîne par dessus la culotte en plastique et je l’ai bloqué avec un cadenas posé au dessus de mon nombril. Le but était de bloquer des menottes au niveau de mes reins.


Mes accessoires BDSM et fétichistes étaient composés d’un soutien-gorge bloquant mes pinces à seins puis un body sculptant de femme et un collant. Pour ne pas attirer l’attention ni risquer l’attentat à la pudeur en allant chercher les clés quand je serai libre, j’ai enfilé un survêtement. Cela me faisait tout boudiné, un gros c... et transpirer.

Par sécurité, au premier étage de la maison, j’ai attaché une corde solide qui allait d’une grosse armoire au bas des escaliers. Elle me permettrait de descendre les escaliers bondagé et à l’aveugle en tenant la corde. Fou dans mes selfbondages mais pas suicidaire !

 

Plug-chastete-anale-confort--7-.jpg J’étais déjà en transe, le plug de chasteté anale commençait à « pousser » comme si j’avais envie de déféquer et dans la cage de chasteté, ma verge était compressée au maximum. Du ruban adhésif et une chaîne plus un cadenas m’ont permis de lier mes chevilles et mes cuisses serrées. Là, commencer à me déplacer devenait difficile.

Pour compliquer un peu ma libération, j’ai entravé mes chevilles au radiateur avec une chaîne et un cadenas dont les clés étaient dans le coffre électronique.

Il était aux environs de 15 heures, quand j’ai enfilé ma cagoule d’isolation BDSM et bloqué mes menottes au niveau de la chaîne de me reins. Cette chaîne bloquait mes mains de telle façon que je ne pouvais pas essayer de retirer les pinces à seins. Les clés des menottes étaient dans le fameux coffre électronique que je me suis offert il y a peu. Une ficelle les reliait à mes menottes. Le coffre était programmé sur 3 heures, j’allais donc rester bloqué au moins 3 heures avant de pouvoir commencer ma libération.

 

Après le dernier clic des menottes, par habitude j’ai commencé à tester mes entraves. Impossible de m’échapper. Hum... Rouler et tirer sur les entraves, quel plaisir.....

 

Le premier soucis est rapidement arrivé dans mes fesses. Le plug de chasteté anale semblait vouloir sortir, sauf qu’une fois ouvert à l’intérieur de l’ampoule rectale, s’il sortait cela risquait d’être plus que ultra hard ! J’ai donc serré les fesses comme un malade. La meilleure position pour le maintenir était couché sur le ventre fesse serrées, mais, couché sur le ventre, les pinces à seins..... La patience étant de mise quand on fait du selfbondage, j’ai fini par trouver un compromis au niveau de la position puis par m’endormir, tous ces préparatifs m’ayant épuisé.


Le réveil fut difficile, très difficile ! Le plug anal de chasteté semblait vraiment vouloir sortir, ma vessie criait son envie de se vider. J’ai bougé pour le coincer en massacrant mes tétons avec les pinces. La chose douloureuse faite, le pipi couche sous cage de chasteté fut un réel moment de plaisir de par les sensations et le soulagement d’uriner. Lorsque j’ai tiré sur la ficelle des clés de mes menottes, le coffre s’est rapproché de moi mais n’était toujours pas débloqué. L’attente a commencé à devenir compliquée sur le plan anal puis difficile pour mon pauvre corps compressée et pincé en plus de l’inconfort.


Au bout d’un moment que j’ai trouvé très long, le capot du coffre s’est ouvert et a libéré les clés de mes menottes. Les mains engourdies, cela m’a pris plus de deux minutes pour les ouvrir à l’aveugle, je commençais même à me trouver nul ! A tâtons, j’ai rapidement trouvé les clés du cadenas de la chaîne m’entravant au radiateur. Une fois partiellement libéré, il me restait à descendre les escaliers pour aller récupérer les clés de la cagoule + les ciseaux pour couper le ruban adhésif + les clés de la chaîne bloquant mes chevilles.


Comme indiqué précédemment, j’avais prévu une corde pour assurer ma descente en « rappel ». Comme je n’avais aucune marge de manoeuvre au niveau de mes chevilles, c’est avec la corde de sécurité dans les mains que j’ai descendu les escaliers un à un avec prudence sur les fesses. A chaque marche, le plug anal....... J’ai du faire une pause en cours de route tant ma tête tournait.


Arrivé en bas des escaliers, j’ai pris l’option de ramper sur le ventre, mon anus n’en pouvant plus. Ramper sur le ventre avec des pinces à sein fut assez douloureux. J’ai donc commencé à tricher en plongeant les mains dans le body sculptant pour les retirer. Là j’ai un peu dégusté....


Il était 19 heures quand j’ai pu enfin marcher librement sur mes jambes après avoir retiré la cagoule. Je comptais me rendre sans tarder dans le bois derrière chez moi pour aller chercher les clés. Je comptais...... Je comptais...... Je comptais......


« Je comptais » car devant la maison, les jeunes du quartier jouaient au foot ! Même avec mon survêtement cachant ma tenue, je n’ai pas osé sortir. Je n’ai pas osé sortir pour aller chercher les clés dans le bois mais derrière ça poussait ! Pour compenser les effets sur mon anus, je me suis mis à marcher dans la maison en tenant le plug anal de chasteté. Chasteté « mon cul » cela m’a excité !!!!!! Cela m’a donné des envies de folie. Je me suis donc assis devant mon ordinateur, en étant assis dessus il ne tenterait pas de sortir. Et là, je suis devenue une « chienne en chaleur » !


Assis sur mon fauteuil je bougeais mes fesses comme si cela devenait un impérieux besoin d’avoir quelque chose qui bouge dans mon anus. Mes mains sont remontées machinalement vers mes tétons comme quand je m’accorde quelques plaisirs solitaires. Mes tétons n’en voulaient pas, j’avais trop f o r c é sur le temps des pinces à seins. C’était trop douloureux que de les titiller. Oui mais, dans ma cage de chasteté, la tempête faisait rage, je mis inutilement les « Mahomet », les mats au mets, pardon les mains au mat tordu dans son tube par dessus la couche et la culotte en plastique m’en interdisant l’accès. Je devenais fou !


Ce n’est que vers 21 heures que l’estomac des jeunes a du se manifester et les inviter à rentrer chez eux. C’est à pas de loup, avec un coeur de louve affamée de clés avec la main sur les fesses pour maintenir le plug anal de chasteté, que j’ai enfin pris le chemin de la libération. J’ai rejoué, à ma façon, le calvaire de Jean Moulin qui devait avoir la peur au vente, moi je l’avais juste un peu plus bas à cause de mes délires. Arrivé à l’arbre choisi, juste sous la pierre j’ai retrouvé les clés dans leur petit sac en plastique. Et là j’ai hésité entre rentrer comme ça avec le « frère sadique » dans les fesses et l’exclure du voyage retour.


La gestapo !


Pour moi c’était du pareil au même que la gestapo ! Dans ma rue, il y avait une voiture de flic ! Un voisin les avait appelé pour les jeunes qui avaient recommencé de jouer au foot ! Il voulait dormir et moi je voulais rentrer chez moi discrètement. Sans faire de bruit, sans me faire remarquer. Ce n’est qu’une bonne heure plus tard que j’ai enfin pu rentrer à la maison et me libérer derrière. J’ai retiré tous mes sextoys, les pièces féminines de ma tenue fétichiste et là, vous pensez que j’ai soulagé mes tentions intérieures ? Et bien non, j’étais tellement HS que je me suis allongé sur le lit en couche sur le lit pour souffler et que je me suis endormi comme un bébé.

TSM

 

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Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : ABDL & plaisir
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Dimanche 7 mai 7 07 /05 /Mai 09:10

Une diaper-girl envoutée par Lil'One ® The One fait du selfbondage

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : ABDL
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Jeudi 23 février 4 23 /02 /Fév 15:11

Piégé en couche et en selfbondage une nouvelle vie démarre

Après 20 ans de mariage, sa vie de couple partant en brioche, un homme s’adonne à des plaisirs solitaires et au selfbondage. Son épouse, une déesse, une beauté de la mère nature le découvre. Une histoire à rebondissement mais aussi qui traite des Mères oubliant d’être femmes.


Après 20 ans de mariage, ma vie de couple partait en brioche. Marié et papa à 19 ans, je n’ai pas profité de ma vie d’homme. Ma puce était une déesse, une beauté de la mère nature, nombreux étaient ceux qui la courtisaient en vain, j’étais l’élu. L’élu de son coeur, nous câlinions des week-ends entiers en nous disant des mots d’amour. Et puis bébé est arrivé, j’étais fier comme Artaban, c’était un beau bébé, un garçon qui a fait ses nuits en un rien de temps. Un p’tit bout d’homme bien, f o r c é m e n t c’était le mien....


Le problème est que la femme en devenant mère a oublié qu’elle était une femme. Si au début je trouvais logique qu’elle consacre son temps et son énergie pour le bébé, Marion n’était plus intéressée par le sexe. Tout au plus quelques câlins de temps en temps nous rapprochaient. Je n’étais plus son mari, je n’étais plus que son amis et le père de son bébé....


Mes multiples tentatives pour sortir, aller au cinéma, au restaurent ou autre en payant une étudiante pour faire la nounou se sont toutes soldées par des échecs. N’étant pas coureur de jupons de par ma timidité avec les filles, j’ai fini par prendre un abonnement avec la veuve poignet et par surfer sur le net. Comme je savais par avance que mes tendres attentions se solderaient par un échec, j’attendais qu’elle soit couchée pour aller surfer sur des sites dits cochons. Les BDSM m’a attiré, non pas pour la douleur mais pour les jeux de rôles. Des fois je me voyais attacher ma puce pour lui faire des choses, d’autre fois, je m’imaginais entravé obligé de lui déguster le minou dans un facesitting d’enfer où elle jouissait comme avant, comme à nos débuts de vie de couple quand nous faisions des 69 de folie.


Un jour, je suis tombé sur Fessestivites, un site abordant de multiples fétichismes. Au départ, je me suis limité à la partie gratuite, les histoires érotiques et les photos BDSM suffisaient à me faire rêver. Je n’avais pas d’annonce ni de photo, il était hors de question pour moi de tromper ma femme et de faire des rencontres. Une nuit, un texte mélangeant BDSM et ABDL m’a perturbé. J’avais vu qu’il y a des photos ABDL, mais je me disais que ces gens avaient des goûts bizarres. Cette histoire érotique traitait de domination féminine, de bondage et d’humiliation.


La Maîtresse attachait son mari soumis et, après l’avoir un peu martyrisé, lui imposait un facesitting pour prendre son plaisir. A la suite de quoi, elle lui mettait une couche et le laissait attaché pour la nuit avant d’aller dormir. Le mec racontait sa gêne puis la honte qu’il avait éprouvée quand, n’en pouvant plus, il avait du se laisser aller dans sa couche et que sa femme savait qu’il aimait ça. Le matin, elle venait s’offrir un deuxième facesitting en titillant ses tétons tout en lui disant que s’il n’arrivait pas à la faire jouir, elle le laisserait attaché toute la journée. Dans sa jouissance, elle avait laissé échapper quelques gouttes d’urine qu’il avait bu avec un plaisir nouveau.


Cette histoire ayant enflammé mes sens, j’ai commencé à regarder les photos ABDL. Les photos de mec en couche ne m’attirent pas, celles des filles AB dans leur monde de petites filles m’ont beaucoup plus. Celles associant BDSM et ABDL m’ont rapidement passionné. J’ai fini par prendre un abonnement après avoir contacté le webmaster pour savoir ce qui apparaît sur le relevé de banque. Et là, j’ai pu accéder à toutes les vidéos. J’y ai passé des nuits ! J’en ai eu des cernes sous les yeux et presque des ampoules, non pas à la main mais sur ma verge que je suis parvenu à irriter ! ! ! ! !


Un soir, en manque d’amour, j’ai branché ma femme en lui faisant remarquer que cela faisait trois mois qu’elle se refusait à moi et que nous n’avions pas fait l’amour. Quand elle m’a demandé si je tenais les comptes, j’ai répondu « oui » et je lui ai sorti le calendrier. Il y avait une croix sur le jeudi 10 janvier, si j’ai bonne mémoire, nous étions début mars. Elle m’a sauté au cou et m’a fait des tonnes de bisous en me disant qu’elle m’aimait, qu’elle avait juste un peu perdu sa libido. Quand une femme aussi belle que Marion vous saute au cou et vous fait des bisous, vous devenez non pas un légume mais vous fondez comme neige au soleil. Ce soir là, nous avons fait l’amour, j’avais juste l’impression dans ma tête qu’elle faisait un effort. Un sentiment horrible qui me mina au point qu’elle me demanda de me laisser aller. Il est vrai que j’ai toujours su me contenir et que je jouis quand je veux. Là, j’avais envie que cela dure toute la nuit comme avant.............


Il n’y a pas eu de grands changements après cette discussion ! J’ai repris un abonnement avec la veuve poignet et sur Fessestivites. C’est sur ce site que j’ai découvert le selfbondage. Plutôt que de craquer et la tromper, cela m’est apparu comme une alternative me permettant de me faire quelques plaisirs BDSM lorsque j’ai mes RTT. N’ayant pas de matériel BDSM, j’ai bricolé quelques trucs, j’avais des chaînes et des cadenas, des trucs simples qui se cachent dans le garage. Sauf que, quand on y a goutté.......


Sauf que, quand on a goutté au BDSM on a envie d’aller toujours plus loin.

 

J’ai donc commencé à visiter les sexshops et à m’acheter quelques accessoires. Pour les cacher, je me suis fabriqué un gros coffre où j’ai écrit « plomberie » au feutre sur le bois. J’ai ensuite fabriqué un coffre d’un centimètre de moins que le gros pour mettre à l’intérieur avec des bouts de tuyaux, des morceaux de gouttière, des trucs me servant à faire croire que...... Dessous, ce mini coffre, j’y cachais mes jouets coquins. Si ma femme ou mon fils ouvrait le coffre, ils ne pouvaient rien voir et n’iraient pas plus loin.

Les pratiques ABDL ont à nouveau titillé mes envies lubriques avec les 365 idées de jeux et punitions qui ont été publiés sur le site. J’ai fini par céder à l’envie d’essayer. J’ai donc commandé des couches et une culotte en plastique en me faisant livrer en poste restante. Le contenu du colis a trouvé sa place dans mon coffre « plomberie » dans le garage jusqu’à mes RTT. Lorsque j’ai essayé la couche, j’avoue avoir été déçu. J’ai donc zappé quelques temps. Le jour où j’ai été nommé directeur de l’agence bancaire où je travaille, cela a changé a donne. Je pouvais prendre des demi-journées sous des prétextes bidons sans avoir à rendre des comptes.


C’est donc le jour du BAC de mon fils que je me suis fait un gros délire qui a changé ma façon de faire du selfbondage en incluant la couche dans mes plaisirs. Après l’avoir déposé à a l’endroit où se déroulaient les épreuves, je suis revenu chez moi. Je m’étais fait un petit ice-timer en croisant les doigts pour que Marion ne le trouve pas dans le congélateur. Je me suis donc attaché avec un petit plug dans les fesses, une couche, des pinces à sein après avoir déposé les clés emprisonnées dans le glaçon dans l’entrée de la maison. ce jour là, j’ai du ramper comme un vers pour aller les chercher et attendre que le glaçon ait fini de fondre pour me libérer. Aussi idiot que cala puisse paraître, lorsque j’ai mouillé la couche j’étais à deux doigts de jouir. Une fois libre, lorsque je me suis masturbé en imaginant ma princesse m’obligeant à lui bouffer le chaton, j’ai pris un pieds d’enfer. Je crois que cela a été le plus puissant orgasme de ma vie. J’étais vidé de toute énergie, couché à même le carrelage, je n’arrivais pas à me relever.


Notre relation de couple c’est dégradée progressivement. Un jour, je lui ai dit : « à quoi me sert d’avoir la plus belle femme du monde si je dois me branler pour avoir un minimum de sexualité ». Elle n’a pas aimé. Comme elle m’a tenu tête, je lui ai demandé si elle avait un amant ou si elle espérait que son pucelage se reforme. Etant à bout, comme je ne cédais rien dans cette dispute, elle a fondu en larme. Ce soir là, cela ne m’a fait ni chaut ni froid. J’ai été méchant et lui ai indiqué en guise de mots se voulant consolateurs : « va te coucher, je vais me branler en rêvant que j’ai une femme ». Et là, je l’ai mise dehors du salon et j’ai fermé la porte. Je ne me suis pas masturbé, j’ai pleuré.


C’est ce soir là que j’ai décidé pour notre fils d’attendre un peu avant de demander le divorce. C’est aussi ce soir là que j’ai décidé de vivre ma sexualité en solo et de prendre tous les jeudis pour me faire plaisir. Mélanger le BDSM et l’ABDL est rapidement devenu une habitude lors de mes selfbondages. J’ai acheté de nouveaux jouets en payant par carte bleue, je me foutais royalement que Marion découvre mes dépenses. Par contre, pour préserver notre fils, j’ai fabriqué un deuxième coffre de « plomberie » ayant acheté un max de tenues et accessoires en guise de compensation d’une vie de couple que je n’avais pas.......


PIEGE EN COUCHE ET EN SELFBONDAGE


Comme indiqué précédemment, notre relation de couple c’est dégradée progressivement. J’ai prétexté ne pas avoir les mêmes vacances qu’elle pour m’accorder une semaine de délires et plaisirs personnels. Je lui ai promis de la rejoindre dans notre appartement au Cap d’Agde le vendredi et que je prendrai des RTT pour être avec elle le soir.

J’étais donc peinard, seul à la maison. Cette semaine là, je n’avais pas à tout cacher avant qu’elle arrive.

Je m’étais fait un très long lavement pour être propre avant de m’injecter un litre d’eau dans les fesses puis de me faire un plan BDSM selfbondage et ABDL.

J’avais acheté un coffre électronique sur ABCplaisir. A l’intérieur il y avait les clés de mes menottes.

Par sécurité, une ficelle à rôti doublée allait des menottes enfermées dans le coffre à mes menottes.

J’avais mis une culotte en plastique et deux couches, une était percée la deuxième par dessus assurerait l’étanchéité.

J’étais sur le lit, attaché sur le dos avec les jambes maintenues écartées par des bracelets et des cordes.

J’avais mis des pinces à mes tétons.

J’avais mis une des chemises de nuit de Marion

Je m’étais bâillonné avec un bâillon bouche ouverte.

J’étais en train de planer dans mes délires et mon selfondage en essayant de contrôler le dernier lavement désirant ressortir de mes intestins.


ET LA MARION EST ENTREE DANS LA CHAMBRE !


La porte étant fermée à clé, comme il n’y avait personne d’autre que moi et pas de dégât dans la maison, elle a compris que je n’étais pas en difficulté MAIS elle a pensé que la femme qui m’avait fait ça et aller revenir.

Marion n’a pas calculé le coffre électronique, d’ailleurs, comment pouvait-elle comprendre ?

Elle a pété un câble !

Elle a pleuré.

Elle m’a traité de tous les noms.


Et je ne pouvais rien dire hormis des : « é a e que u rois » à cause du bâillon. (Essayez de parler avec un bâillon bouche ouverte, vous comprendre mes soucis d’élocutions)

Marion m’a laissé seul avec ma déprime, mes angoisses, ma honte. Elle est revenue une demi-heure plus tard en me demandant le code d’accès au dossier « I like » caché à la racine du disque dur de notre ordinateur. Pour que je puisse parler, elle m’a retiré le bâillon en me disant avec la voix d’une hystérique qu’il valait mieux que je ne joue pas au con. Je lui ai donné le code, elle s’est acharnée sur le coffre qu’elle voulait emporter avec elle. C’est avec un couteau qu’elle est revenue une minute plus tard pour couper les ficelles à rôti reliant mes menottes aux clés. A la vue du couteau, j’ai cru que ma dernière heure était arrivée.


Je suis resté attaché trois heures avant que Marion revienne avec les larmes aux yeux. Ces trois heures ont été abominables. Voilà à peu prés ce qu’elle m’a dit :


J’ai cru que tu me trompais. J’ai cru à la fin de notre couple. Je t’aime plus que tout au monde. Je viens de lire ta correspondance, de voir les photos et vidéos que tu collectionnes. Je sais que tu m’aimes, que tu ne veux pas me tromper. Oui je t’ai délaissé, oui j’ai été mère et j’ai oublié d’être femme. J’ai pleuré comme une madeleine dans le TGV que j’ai pris pour revenir du Cap et en avoir le coeur net. J’ai aussi pleuré en lisant ton texte « Le rêve de ma vie ».

 

Ce texte a été pour moi un électro choc. Je te jure mon chéri que même si ta libido est particulière et que tu es complètement fou, à partir d’aujourd’hui je vais redevenir ta femme, la femme que tu as épousée. J’ai aussi lu dans ton dossier que tu allais entreprendre une procédure de divorce. S’il te plait mon chéri, laisse-moi une chance, laisse-moi me faire pardonner. Non je ne suis pas frigide, non je ne suis pas qu’une mère, non je n’ai pas oublié l’homme qui a su me rendre mère mais aussi faire de moi une femme qui aime l’amour et a réussi à la faire jouir. Je crois qu’il est temps pour moi de me faire pardonner et de me donner à toi comme avant, de vivre aussi comme avant. Je t’aime et puisque tu rêves de facesitting, ....................


Et là, alors que nous étions deux à pleurer, elle a enjambé mon visage et m’a donné son chaton à déguster. Je ne sais pas si elle a simulé ou pas, mais elle a pris son temps et a beaucoup mouillé. Sans même me détacher, elle a ensuite dévoré mon visage et ma bouche de bisous sauvages en se frottant à moi comme une damnée.

 

EPILOGUE


Aujourd’hui, Marion sait à quoi servent tous les accessoires qu’elle a trouvé dans les coffres « plomberie ».

Aujourd’hui, Marion est redevenue un démon au lit, j’en suis à prendre des vitamines.

Aujourd’hui, Marion a mis mon sexe dans la cage de chasteté qu’elle a trouvé dans le coffre, elle ne veut plus rien perdre de ma « vitalité » et me libère tous les soirs ou presque.

Aujourd’hui, Marion est parfois ma soumise, parfois ma Maîtresse, parfois ma nurse mais aussi ma perle d’amour comme avant.

Ecrivaillon

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Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : ABDL
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Vendredi 18 novembre 5 18 /11 /Nov 08:44

Mauvaise surprise très BDSM pour un souminateur

Paul aime le BDSM, il rêve d’avoir une Maîtresse qui lui fasse ce qu’il aime. Comme beaucoup de soumis me direz-vous, car la soumission ce n’est pas uniquement ce que l’on aime mais bien d’autres choses et un état d’esprit.

Paul a beaucoup de chance, sa femme l’aime à la folie et accepte ce qu’elle appelle, « ses égarements ». Elle lui fait donc sans grande conviction ce qu’il lui demande. Jeune retraité de l’armé, il joue souvent tout seul à la maison pendant que sa femme travaille. Il s’est même offert le coffre électronique de chez ABCplaisir.com cela lui permet de mettre sa cage de chasteté en métal et de s’obliger à rester chaste, au moins de devant car, dans ces périodes, il compense ses envies avec des plugs de toutes tailles.

Il vient de s’offrir le lot de 3 plugs dont le dernier fait 62mm. Les anciens diraient qu’il a les yeux plus gros que le ventre car ce dernier plug trop gros pour lui ne passe pas. En cette belle journée de printemps, il s’est fait un selfbondage. Il a écrit sur un papier scotché à la porte d’entrée ce que Marie doit lui faire quand elle arrivera. Par sécurité il a toutefois mis les clés de menottes près de lui dans le coffre électronique au cas où sa femme aurait un souci.


Son plan de selfbondage était osé dans le sens où il cumulait beaucoup de choses et de fétichisme. Étendu sur le lit avec sa cage de chasteté plus un plug et une couche, il attend Marie en fantasmant. Ses jambes sont maintenues écartées par des menottes, doublées de fourrure pour son confort... Ses poignets sont bloqués au-dessus de sa tête par des menottes en acier fermant réellement avec des clés, sur ta tête il s’est mis une cagoule BDSM permettant de jouer avec la vue et la bouche en fonction des envies de la Maîtresse.


Aussi gentille que soit Marie, elle sature un peu des folies de son mari. Ne sachant pas que son mari avait décidé de jouer, elle a invité à dîner son amie Laurie, une lesbienne dominatrice dans l’âme qui la drague depuis des années. En arrivant à la maison, elles découvrent toutes les deux la « fiche de mission » de son mari soi-disant soumis.


- Putain j’en ai mare de ses conneries, regarde ce qu’il s’est préparé ! Dit Marie à Laurie en lui tendant le papier.

 

Ma maîtresse chérie

Je me suis entravé pour toi dans la chambre.

J’ai mis ma cage de chasteté, tu ne dois me la retirer pour t’empaler sur moi que quand j’aurai bien léché ta chatte.

Comme tu seras en colère après ton piètre soumis, tu changeras le plug de mes fesses pour mettre celui de la taille au dessus avant de prendre du plaisir sur ma queue.

Après avoir joui, tu refermeras la couche ou la changeras si elle est trempée et me laisseras encore une petite heure avant de venir me délivrer.

Ton soumis

P.S. je n’ai pas eu le temps d’aller faire les courses, ce soir tu n’as qu’à commander des pizzas.


- Un soumis qui me parle comme ça, je lui en ferai baver ! Indique Laurie à son amie en lui rendant la feuille. Tu comptes faire quoi là ?

- Je ne sais pas, je n’ai pas envie de jouer, j’ai envie de douceur et d’un bon câlin, pas de ces conneries.

- Et si tu lui faisais une surprise ?

- Laquelle ?

- Tu me laisses m’occuper de son cas mais rassure-toi, sa bite ne risque pas de rentrer dans mon petit chaton, il est réservé aux femmes aussi jolies que toi !

- Tu ferais ça pour moi ?

- Mais avec plaisir ma chérie, tu sais que j’ai eu un soumis pendant des années. Je ne manque pas d’expérience, cela m’amusera et te déchargera tout en lui faisant une surprise.....

- Après tout pourquoi pas ! Que dois-je faire ?

- Tu viens juste quand je t’appellerai. La clé de sa cage de chasteté est où ?

- Elle doit être à côté de lui avec tout son bazar.

- Va prendre un bon bain et te délasser, je m’occupe de tout ma chérie.

 

Lorsque Laurie entre dans la chambre, Paul fait semblant, comme d’habitude, d’être une victime et tire sur ses entraves. Ne pouvant voir ce que ce n’est pas sa femme, il s’agite et crie dans la cagoule qu’il a très envie d’elle et que la menotte de son cheville droite est un eu trop serrée.


- Oh le vilain bébé que voilà ! Crie Laurie pour qu’il l’entende à travers sa cagoule. Il en veut des choses ce coquins !


Surpris Paul prend peur. Cette fois il tire comme un forcené sur ses entraves mais elles résistent. Qui peut être cette salope ? Une équipe de cambrioleur ? Quelle heure peut-il être se demande t’il en espérant que sa femme arrive rapidement ? Lorsque Laurie pose sa main sur la couche et en flatte le contenu, il se demande ce qu’il va lui arriver. Au moment où elle l’ouvre il s’affole vraiment !


- Mais elle est jolie cette cage de chasteté, au moins avec ça, tu es obligé d’être sage. Oh il s’est mis un petit plug dans le cul, mais ce n’est pas là qu’il faut mettre sa sucette. Et puis on va la changer, elle est trop petite cette tétine, on va en mettre une pour les grands.


Paul comprend à ses propos que ce ne sont pas des cambrioleurs, cela ne peut qu’être une surprise de sa femme. Son rêve, être soumis à deux femmes qui seraient des acharnées de sexe. Hummmm. Passé le moment de honte, il ne tente plus de se libérer mais se laisse faire avec plaisir. Laurie retire délicatement son plug qu’elle essuie sur la couche puis prend en une autre qu’elle glisse sous ses fesses en lui demandant de l’aider.

 

Paul soulève ses reins avec plaisir ! Lorsque Laurie prend une « tétine plus grosse » elle n’y va pas par quatre chemins, elle prend le plus gros ! Celui de 62 mm qu’il n’est pas arrivé à prendre, elle le charge en lubrifiant. Paul prend conscience qu’elle s’est « trompée » ce n’est pas celui-là qu’il veut mais l’autre plus petit. Elle n’a que faire de ses réfutations désespérées et s’acharne à le loger dans son petit cul trop étroit. Il résiste et se cambre en appuyant fortement ses fesses sur le matelas, mais c’était sans compter sur le savoir faire d’une vraie Maîtresse expérimentée !


Ni une ni deux, elle attrape ses testicules qu’elle serre fortement puis les tire vers la tête de Paul comme si elle voulait les poser sur son nombril. La douleur est telle qu’il se cambre dans l’autre sens et laisse un meilleurs accès à son anus. Laurie en profite pour le faire passer en appuyant très fortement et en le faisant tourner. Paul a l’impression que son cul explose, cela lui fait même l’effet d’une brûlure dans c’est tendu. Soudain, face à la volonté d’une Maîtresse décidée à mater un souminateur, le plug de 62 mm s’enfonce dans ses entrailles, soulageant de fait la douleur. Si cela soulage Paul, cela l’affole aussi parce qu’il faudra le ressortir !!!!!


Il est tellement essoufflé et transpirant sous sa cagoule qu’il prend à peine conscience qu’elle referme la couche. C’est lorsqu’elle serre fortement en écrasant ses testicules contre la cage de chasteté que la réalité lui saute aux yeux : elle va le lui laisser !

 

- Voilà qui est fait, qu’est-ce qu’elle devait faire encore ta femme, attend je regarde. Ah oui, elle devait se faire bouffer le chaton puis ensuite, retirer la cage et s’empaler pour jouir. Oui ben je doute que dans ces conditions elle y arrive ! Bon pour le broutage de minou on va faire un compromis. Cela tombe bien, j’ai envie d’aller aux toilettes. Lui crie Laurie en enjambant son visage. Allez ouvre la bouche !

 

Comme le lecteur peut s’en douter, Paul n’est plus volontaire du tout ! Pour générer les bonnes volontés, rien ne remplacera les ongles acérés féminins plantés dans les tétons. Il crie et se débat, elle serre un peut plus en les faisant tourner et en les tirant. La bouche ouverte pour crier de douleur, Paul reçoit un long jet d’urine qui l’étouffe. Il crache et tousse, Laurie lui laisse le temps de se reprendre et lui annonce qu’il va devoir tout boire s’il veut conserver ses tétons. Lorsqu’il sent les ongles dangereux attraper ses petites tétines en feu, il ne peut qu’abdiquer. C’est un moment très difficile à vivre pour Paul à deux doigts de vomir.


- Lèche la goutte !

Paul s’exécute sans discuter, il ne veut plus souffrir et lape les lèvres intimes humides.

- Mon petit cul aussi, tu l’as éclaboussé !

Écœuré mais vaincu, il s’exécute entre une fois en espérant que son calvaire se termine rapidement. Le pauvre..... Satisfaite de la langue du maté, Laurie se lève et prend une paire de pince à sein qu’elle pose sur les tétons déjà malmenés avant de lui souhaiter un gros dodo. En entendant ça, Paul s’affole et essaye d’attraper le coffre électronique contenant les clés de menottes. Il a disparu !

........................

Le souminateur maté va attendre ainsi plus de trois heures. Marie va venir le libérer mais les trois heures d’attente vont être difficiles pour lui. Ce qu’il ne sait pas encore c’est que sa femme a cédé aux demandes de Laurie et qu’elle a goutté aux plaisirs saphiques et que cela a été une révélation pour elle.


- Et coucou vilain bébé ! Dit Laurie en entrant dans la chambre accompagnée de Larie.

Elle lui retire sa cagoule, Paul cligne des yeux à cause de la lumière soudain trop vive. Il ouvre soudain en grand lorsqu’il voit sa femme enlacer cette femme qu’il ne connaissait pas. Il les écarquille en les voyant s’embrasser à pleine bouche !

- Et oui, je connais ta femme depuis longtemps, et ce soir, pendant que tu vivais réellement ta soumission, elle a découvert que faire l’amour avec une femme c’est très bon.


Sur ces mots, Laurie se met à faire des photos de lui avec son téléphone mobile. Paul est furieux et essaye de cacher son visage mais trop tard, le mal est fait.

- Il est bien ton coffre, on va y mettre les clés des menottes, comme ça, Marie ne te libèrera pas tout de suite. Cela te laissera le temps de méditer. Les clés de ta cage de chasteté, c’est moi qui les garde, comme ça, tu vas vraiment apprendre ce qu’est la soumission. Je vous laisse ma chérie, et, si pendant qu’il est bloqué dans ses entraves tu as envie de te faire brouter le chaton, n’hésite pas, il sera volontaire. S’il ne l’est pas, pince ses tétines, cela ira beaucoup mieux.


Après un long et langoureux baiser, Laurie quitte les lieux en lui faisant voir qu’elle met dans son sac à main les clés de sa cage de chasteté


Une nouvelle existence s’ouvre à lui, celle d’un vrai soumis à deux femmes. Marie prenant goût à la domination en compagnie de sa nouvelle chérie, Paul n’a plus besoin de faire du selfbondage pour s’amuser, il espère même une trêve.


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Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : ABDL
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