Auto bondage et ABDL

Samedi 23 avril 6 23 /04 /Avr 10:24

Joyeuses Pâques à toutes et à tous,

 

Histoire de faire un peu d'humour, j'ai adapté quelques photos j'espère qu'elles vous plairont.

 

Le site fessestivites.com indiqué sur les photos sera lancé début mai.

 

Il sera GRATUIT et sans publicité ni page de M....qui s'ouvrent ! ! ! !

 

Bon wekk-end à toutes et à tous

 

TSM

 

PAQUES ABDL humour chocolat coucheCamisole de force avec ou sans couche revue technique

 

 

controle technique ABDL

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : ABDL
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:21

Plan self bondage ABDL avec laxatif 

 

En préambule

 

Mon épouse est une perle. Elle connaît mes délires ABDL, sans les partager complètement, elle s’en amuse parfois. Nous partageons d’autres passions comme le SM et le bondage sans aucune pudeur en inversant parfois les rôles.

 

………………………………

 

Cette fois c’était décidé, j’allais tester malgré moi et voir ce que cela fait de tout faire dans sa couche. J’avais déjà testé mais sans vraiment tout faire disons que je m’étais arrêté à quelques grosses traces de freinage… Toutes mes propres tentatives précédentes de jeux me poussant dans mes limites avaient échoué. Au dernier moment, le passage à l'acte me semblant inenvisageable et impossible psychologiquement, je suis toujours parvenu à me retenir en serrant les fesses comme un fou. L’excitation étant à ce moment là de jouer sur les interdits avec mon corps vibrant de partout tant la résistance contre la fuite était farouche.

 

Sans en parler à mon épouse non pas pour cause de pudeur mal placé mais par envie de tester seul puisque cela ne la branchait pas, il m’est alors venu l’idée de me monter un plan fou pour m’obliger à aller jusqu’au bout en utilisant de la glycérine et un laxatif. En surfant sur le net pour trouver le dit laxatif j’ai trouvé « éductyl » que je suis allé acheter en pharmacie. Arrivé à la maison, le mot « effervescent » écrit sur la boite sauta à mes yeux. Que pouvait signifier « effervescent » ? Pour les médicaments s’administrant par voix orale je connaissais mais par voix rectale, ne n’arrivais pas à imaginer la chose. Plutôt que de faire des recherches, je décidais de me laisser porter par l’aventure.

 

Mes délires d’autos contraintes étaient les suivants

 

 Le matin au réveil, alors que j’ai envie d’aller déféquer) m’administrer le puissant laxatif en suppositoire plus 2 suppositoires à la glycérine.

 Mettre mes tenues ABDL (couche/ culotte en plastique puis pour me forcer à avoir les cuisses écartées, mes culottes ABDL rembourrées et ma culotte en plastique gonflable qui se cadenasse.

 Passer par-dessus tout cela ma grenouillère cadenassée au col avec pour objectifs d’ajouter des vêtements et contraintes qui rajouteraient des obstacles entre mes fesses et les toilettes.

 Programmer un ice-timer m’obligeant à attendre 2 heures minimum menotté.

 Etre obligé de traverser la propriété à petits pas pour aller chercher les clés des cadenas de mes chevilles enchainées et de ma culotte en plastique gonflable.

 Etre obligé de passer par la maison pour prendre un peignoir afin de traverser le parking (pas très isolé) afin de récupérer la clé de la Grenouillère.

 

Ce plan était complètement tordu mais si le laxatif était réellement puissant, avec les deux suppos à la glycérine lubrifiant le passage, j’allais cette fois avoir bien du mal à résister car le temps et la distance à parcourir en serrant les fesses joueraient contre moi.

 

Chance et malchance !

 

Ma perle d’Amour dut s’absenter 48 heures pour raisons familiales, au lieu d’essayer de jouer mes délires un matin lorsqu’elle travaille, j’allais pouvoir prendre le temps. Après l’avoir déposée à la gare vers 17 heures, je fis un ice timer en mettant les clés des menottes dans un Tupperware contenant environ 50 centilitres d’eau. Après avoir préparé la totalité du matériel, pendant la soirée, je n’ai pas été très sage au fur et à mesure de mes surfs.

 

Au petit matin vers 5 heures

 

Le café bu, je suis allé déposer au fond du jardin un Tupperware avec les clés de 2 cadenas et celle de ma culotte gonflable équipée d’une chaîne. Dans un état d’excitation avancé comme un gamin qui va faire des bêtises, il m’est venu l’idée d’ajouter quelques délires à ceux initialement prévus. Après avoir déposé la clé de la grenouillère sur le siège de ma voiture de l’autre côté de la propriété, mes pas me conduisirent au donjon où je pris un soutien-gorge clouté (petits pointes à l’intérieur) plus deux petites pinces à seins, un maillot une pièce féminin et un soutien-gorge rembourré pour couvrir plus encore les pinces et m’interdire de le retirer à travers la grenouillère avant la fin de mon délire initial. La totale quoi…..

 

Il m’a semblé opportun de prendre le dernier café et la cigarette du condamné avant de me lancer dans la grande aventure. Le suppo « éductyl » trouva sa place tout comme les 2 ovules de glycérine. Je me suis mis ou posé dans l’ordre :

 

 Une couche + un insert pour incontinence fécale

 Une culotte en plastique + trois culottes ABDL dont une rembourrée pour faire du volume anti serrage de cuisse.

 Les pinces à seins + le soutien gorge clouté + le soutien-gorge rembourré pour les massages cuisants ».

 Le maillot de bain une pièce + le body ABDL rembourré lui aussi l’entrejambe pour ajouter des verrous entre mes mains et mes pinces à sein puis pour faire du volume.

 La culotte gonflable (et gonflée) que j’ai cadenassée.

 La grenouillère que j’ai cadenassée au niveau de ma nuque m’a obligé à faire des confortions délicates et douloureuses pour mes tétons….

 Les chaînes à mes pieds pour m’obliger à faire de petits pas et ralentir ma course vers la liberté.

 

Tremblant d’excitation, je me suis repris un café et une cigarette en vérifiant que mon téléphone portable était bien à côté de la chaine où j’allais accrocher mes menottes pour la prudence. Le suppo « éductyl » ne me sembla par effervescent ce qui me chagrina presque. Le ice-timer trouva sa place sur le sol près du clic clac où j’avais la veille verrouillé la chaîne dans le sommier. Je m’y suis étendu et dans un dernier élan, je me suis relevé pour aller éteindre la lumière avant de verrouiller les menottes bloquées par la chaîne sur mes poignets.

 

Excité comme une puce, je frottais mes fesses au clic clac sans grands résultats. L’envie de frotter mon devant me vint. Le demi-tour fut douloureux car les pinces à seins et le soutien-gorge clouté commençaient à me faire mal. Ais-je mis la barre trop haute fut ma question en essayant de les retirer ce qui m’obligea à gesticuler et à augmenter les effets sur mes tétons furieux. Les épaisseurs prévues pour éviter que je puisse retirer les pinces fonctionnaient à merveille…. Je me suis donc assagi (rare) et recouché sur le dos pour méditer et fantasmer comme un fou.

 

Les minutes s’égrainaient lentement et toujours rien ne venait hormis quelques « prouts ». Une demi-heure plus tard, la première envie de déféquer vint. Cuisses et fesses serrées, je résistais aisément. Trois quart d’heure plus tard, cette résistance généra de délicieuses contractions à mon anus et à mon devant mais je tins bon en me demandant si j’allais encore une fois parvenir à résister en lutant contre mes envies naturelles cette fois forcées par le laxatif. La réponse à cette question semblait être positive, car une heure trente-trois plus tard, les doigts plongés dans l’eau glacée je pus attraper la clé des menottes et me libérer sans rien avoir fait dans la couche.

 

Fier de ma résistance anale, je m’offris un café, une cigarette et un petit pipi dans la couche qui faillit être fatal à mon derrière. A petits pas pour cause de pieds entravés, je quittais la maison pour prendre la direction du jardin quand un coup de feu me coupa net dans mes élans. Des chasseurs se trouvaient dans le champ voisin ! Et merde ! ! ! Comme derrière cela commençait à pousser au-delà de ma résistance, une des chaises de la terrasse me tendit son siège. Elle me permit de patienter et d’essayer de contenir la fuite. Entre deux « crises », je pu reprendre un café et mes cigarettes puis essayer de retirer mes pinces à sein mais en vain. Je souffrais le martyr et ces « connards » de chasseurs ne quittèrent le champ voisin qu’une heure plus tard ce qui me poussa encore dans mes retranchements côté arrière. La première fuite arriva sans crier « gare » lorsque je me suis levé. La matière chaude fusa soudain entre mes fesses sans que je ne puisse rien n’y faire.

 

Cela se reproduit à nouveau lorsqu’à petits pas pour cause des chaînes aux pieds, j’ai traversé le jardin. Me baisser pour attraper le Tupperware contenant les clés généra une autre fuite. Accroupi pour libérer mes chevilles, je n’ai rien pu faire pour freiner l’arrivée massive de matière fécale. Ce fut presque une vague qui s’étala dans ma couche. Les pieds libres, je partis presque au pas de charge pour aller chercher la clé du cadenas de ma grenouillère sur le siège de ma voiture de l’autre côté de la propriété. Bien mal m’en prit, les grands pas avec les jambes écartées pour cause de culotte gonflable eurent un effet néfaste sur ma retenue anale. J’ai eu l’impression de me vider tout le long du chemin. Je voulais voir j’étais servi mais ce qui me préoccupait le plus à cet instant, ce n’était plus ma couche pleine mais la douleur lancinante de mes tétons.

 

Penché en avant pour attraper la clé de ma grenouillère posée sur le siège de ma voiture, je ne pus contenir la poussée de mes intestins profitant de l’occasion pour déverser leur ras-le-bol. Malgré la douleur de mes tétons, la peur de fuir au sens propre du terme m’obligea à revenir à la maison à petits pas sans pouvoir contenir ma vessie qui elle aussi me harcelait depuis une bonne heure. Ouvrir le cadenas posé au col de ma grenouillère et descendre la fermeture éclair dans mon dos fut très hard pour mes seins et mes tétons, les pinces et les clous du soutien-gorge ne me firent aucun cadeau. Après avoir baissé la grenouillère, le maillot de bain une pièce et haut du body ABDL je pus accéder au soutien-gorge rembourré puis au soutien gorge clouté que j’ai ouvert avec précaution. Au milieu de ma poitrine en feu, (autour des seins) les pinces à seins me narguaient. C’est avec une lenteur et une douceur extrême que j’ai ouvert les pinces pour libérer mes tétons qui, malgré mes précautions me rendirent la monnaie question douleur…. ce qui paradoxalement généra une monumentale érection.

 

Complètement en nage malgré le froid de la saison, (j’avais éteint les chauffages par prudence) un café et une cigarette me parurent une obligation pour le courage avant d’attaquer le grand nettoyage automnal. Cette pose me fit un bien fou ! Armé d’un sac poubelle et d’un rouleau de Sopalin, je pris la direction de la salle de bain. Je vous passerai les détails en résumant ainsi : il y en avait partout et du mou. Ce fut dégueulasse, dégoutant, j’étais à deux doigts de vomir mais je m’en suis sorti tant bien que mal.

 

En sortant de la douche avec mon sac poubelle à la main, il m’a semblé utile de remettre une couche car les flatulences venant encore, je n’étais pas convaincu d’être « étanche »….. Bien m’en a pris mais cette fois, ce fut plus light. A l’heure où j’écris ces lignes, l’expérience se termine, je vais donc aller retirer la deuxième couche et prendre une seconde douche si vous me le permettez.

 

TSM

 

 

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:14

Suspension ABDL auto bondage

 

 

Cela faisait longtemps que je fantasmais à l’idée d’un self bondage associant couches et suspension. J’ai trouvé le moyen de ressembler à une marionnette entravée ! RIRE

 

Le plan :

 

1°) Ice-timer :

 

Suspendu à la poutre du garage avec les clés accrochées par 2 ficelles par sécurité. Un long bout de ficelle dépassait du glaçon emprisonnant les clés pour que je puisse l’attacher à la poutre. Les clés des menottes resteraient suspendues devant moi, je n’aurai qu’à saisir la ficelle pour les attraper.

 

2°) Suspension par l’entrejambe

 

Deux chaines accrochées en U. Pour que les chaines ne soient pas blessantes, j’ai ajouté de l’isolant à tuyau là où j’allais m’asseoir. Asseoir entre guillemet car s’asseoir sur deux chaines tendues n’est pas réellement une position assise.

 

3°) Sécurité anti chute

 

Pour être sûr de ne pas tomber quand je serai suspendu debout par l’entrejambe, j’ai ajouté une ceinture que j’ai fixée aux chaines afin qu’elle ne glisse pas. Cette ceinture m’enserrerait au niveau de la poitrine dans les chaines donc chute en avant ou en arrière impossible.

 

Le point 2 et 3 donne un peu l’impression d’un harnais pour personne qui travaille en hauteur sauf que le mec qui lave par exemple les vitres des immeubles n’a pas une ceinture qui bloque ses chevilles.

 

4°) fixation des menottes.

 

J’ai fixé les menottes à une des chaines avec un cadenas. Placée en hauteur, je ne pourrai qu’attendre la fonte de la glace pour retirer mes pinces à seins.

 

RESUME DE MON SCENARIO

 

Tout était prêt, je m’étais mis un joli plug maintenu par une ficelle me faisant comme un string, puis deux couches pour les fuites bien sur mais aussi pour diminuer la douleur entre les jambes car être suspendu par là une paire d’heure pouvait rapidement devenir douloureux.

J’étais tranquille en termes de sécurité car j’avais mis sur la table de la cuisine un papier indiquant que j’avais besoin d’aide et que ma femme découvrirait si mon plan foirait.

 

A la dernière minute, j’ai sorti le ice-timer que j’ai attaché à la poutre à côté des chaines puis j’ai retiré l’échelle. J’étais excité comme une puce, alors quand j’ai choisi les pinces à sein, je n’ai pas pris les plus gentilles en prenant celles lestées par des poids. Hummm mais un peu aie aie aussi, mais je n’y ai pas pris garde. Je me suis mis un bâillon bien serré j’ai pris la ceinture pour les chevilles et je suis monté sur le tabouret pour enjamber les chaines sur lesquelles je me suis assis avec beaucoup de précaution pour bien les placer sur la couche avec mes précieuses au centre.

 

Quand j’ai voulu bloquer mes chevilles, j’ai bien failli tomber la tête en avant. OUF loupé, enfin sauvé. J’ai donc bloqué mon buste dans les chaînes avec la ceinture pour ma sécurité puis, en relevant les jambes je suis parvenu tant bien que mal à bloquer mes chevilles. Après un dernier ajustement des chaines entre mes jambes puis un dernier coup d’œil de contrôle des risques et danger possibles, j’ai poussé le tabouret avant de bloquer mes mains dans les menottes fixées en hauteur. Comme toujours, j’ai testé la fiabilité de mon dispositif.

 

Il s’est avéré fiable et efficace mais finalement pas très confortable. Fermer les yeux pour me replonger dans mes fantasmes et délires s’est avéré une priorité. La première goute d’eau tombant du ice-timer m’a fait peur. Oui, je sais c’est idiot mais j’avais complètement zappé que l’eau glacée allait me tomber dessus. En fait, j’étais tellement concentré sur la sécurité et le confort de mon entrejambe que j’ai fait une erreur de débutant.

 

Pour éviter les gouttes d’eau glacée, j’ai essayé de me pencher en avant le plus possible, sauf que les pinces lestées accrochées à mes tétons se sont mises à balancer et que les protections isolantes fixées aux chaînes passant entre mes jambes écrasaient un peu mes testicules. J’ai donc basculé mon corps vers l’arrière mais la goute suivante est gentiment tombée sur ma poitrine avant de couler sur mon ventre. Brrr, c’était froid. Le regard fixé sur le ice-timer me semblant après coup trop gros, j’ai essayé de ruser pour éviter les goutes glacées. Le problème était qu’en me balançant pour les éviter, les pinces lestées accrochées à mes tétons profitaient également de mes mouvements. De fait, mes neurones ne se concentraient plus sur le plaisir généré par l’auto bondage mais sur les douleurs et les goutes froides. Je me suis détesté !

 

La position que j’ai finie par adopter était penchée en arrière mais tête penchée en avant. Les goutes tombant sur le devant de mon crane me semblaient moins froides. Mon esprit commençait à oublier les goutes et mes neurones coquines s’enflammèrent. Un couple dominateur m’avait entravé dans mon garage pour me punir de ne pas avoir pu résister à l’envie d’uriner après des heures de SM. Puis, histoire de s’amuser, avait invité quelques amis, j’étais l’attraction. Pour s’amuser ils accrochaient des trucs à mes tétons ou me faisait boire histoire de tester l’efficacité de la couche… En clair des délires fantasmagoriques d’un mec en self bondage qui divague en attendant sa libération.

 

Au bout d’un moment, cette position est devenue inconfortable et quand j’ai voulu soulager mon dos, les chaînes se sont insérées entre mes fesses comme un string malgré la couche et se sont resserrées sur mon sexe. De fait, le plug m’empalait profondément et mon service trois pièces commença à réagir sous la pression. Le Popaul se mit au garde-à-vous mon délire s’orienta sur une pseudo sodomie. Sauf que mes tétons ne voulant plus jouer se rebellèrent un peu. La compil des sensations anales et la pressions sur mon sexe me permirent de transcender un peu la douleur mais les goutes castraient un peu les fantasmes. L’envie d’uriner est venue, je me suis laissé aller dans la couche prévue à cet effet sauf que compressée et malmenée la dite protection ne fut pas très efficace. L’urine se mit à couler sur ma jambe ce qui me permit de constater qu’en bougeant, j’ai fait craquer les bandes adhésives. Hormis bouger légèrement le bassin pour m’auto empaler plus rien ne pouvait me permettre de m’évader psychologiquement. C’est en m’auto empalant que j’ai attendu que le ice-timer libère les clés. J’étais épuisé, en sueur et j’aurai bien aimé faire une pause, mais la seule façon d’essayer d’oublier les pinces à seins lestées était de poursuivre. Je devais ressembler à une chatte en chaleur qui se frotte….

 

Lorsque les clés sont tombées devant mon visage, j’ai pu en un rien de temps libérer mes mains puis mes tétons. OUAOUFFFF ! Pour atténuer la douleur générée par l’afflux sanguin trop rapide j’ai plongé ma main dans la couche pour me branler. Non pas que je voulais jouir mais pour m’aider à transcender la douleur. La chose étant commencée,….. mes neurones réellement très embrumés m’ont presque forcé à aller jusqu’au bout. Lorsque la jouissance est arrivée, tout mon corps s’est mis à convulser. J’ai cru absorber le plug tant mon anus pris de spasmes s’ouvrait et se fermait. C’était titanesque et si je n’avais pas mis la ceinture autour de mon buste, je serais tombé.

 

Suspendu dans mon garage je n’irai pas jusqu’à dire que j’étais inanimé mais presque. Vidé de toute énergie, je suis resté un moment ainsi peut-être ai-je un peu dormi mais j’étais comme drogué. Les mouvements pour me libérer totalement furent délicats, la couche explosée ne protégeait plus rien mais je suis parvenu sans trop souffrir à remettre les pieds sur terre.

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:09

L’idée m’est venue de rédiger un petit scénario ABDL avec autre chose que le ice-timer.

 

Autobondage ABDL avec cadenas à combinaisons à réaliser le soir

Durée : la nuit

 

MATERIEL :

1 Cadenas à combinaisons

1 Cadenas classique

2 Chaînes

2 couches + une culotte en plastique

Menottes

1 téléphone (Par sécurité)

 

AUTRES ACCESSOIRES POSSIBLES POUR LES VARIANTES

Suppo à la glycérine

Suppo laxatif

Pinces à sein ou autres

Plug anal ou autre (si vous n’utilisez pas le laxatif)

Ecarteur de cuisse/ culotte gonflable (Ou 3/4 couches non ouvertes dans la culotte en plastique pour vous empêcher de serrer les cuisses afin de dormir cuisses écartées comme un bébé)

Cage de chasteté (pour homme) en laissant les clés au bureau par exemple le vendredi en partant du travail….

Eviter les bâillons fermés, préférez un bâillon maintenant la bouche ouverte par sécurité.

Tenue de votre choix en fonction de vos inspirations et fantasmes.

 

LA TRAME

  • Passer une chaine dans la barre supérieure de votre sommier et attachez les menottes avec le cadenas dont vous connaissez la combinaison. (Vérifiez par prudence)
  • Passer une chaine dans la barre inférieure de votre sommier et posez le cadenas non fermé puis la clé aux PIEDS du lit pour quelle soit accessible quand vos mains seront libérées.
  • Laissez les volets ouverts ou entrouverts

 

Après le repas du soir quand il fait nuit :

 

  • Buvez 3 grands verres d’eau avant de vous coucher. (Si vous voulez jouer la totale, mettez-vous 2 suppos à la glycérine et 1 suppo laxatif et la cage de chasteté si vous avez pensé à laisser les clés au bureau)
  • Mettez une couche que vous percez à l’envers (le devant derrière) et la seconde couche normalement (les 2 couches permettent un plus gros volume de liquide)
  • Mettez une culotte en plastique.
  • (Tenue de votre choix en fonction de vos inspirations et fantasmes, le bâillon bouche ouverte, les pinces à seins, … tenues, petits trucs et délires donc vous avez envie et/ou l’écarteur de jambes)
  • PRENDRE un téléphone que vous placez à côté des menottes par sécurité. (On peut appeler les pompiers à l’aveugle en cas de gros soucis)
  • Assis dans le lit, attachez vos chevilles avec la chaine en vérifiant avant de fermer le cadenas que vous parviendrez à attraper les clés en vous penchant.
  • Couchez-vous (Aie si vous avez mis des pinces à sein, levez les bras va tirer sur les seins pour la suite)
  • Eteindre la lampe de chevet et posez-là sur le sol pour que vous ne puissiez pas l’attraper en faisant glisser la chaine. (Au cas où, hé hé, petit coquin)
  •  
  • Vérifiez que vous pouvez attraper le téléphone et si c’est bien le cas, fermer les menottes dont les clés sont par terre. (Ou dans le garage, la boite à lettre, au fond du jardin……)

Méditez, rêvez, fantasmez, vibrez et attendez que le soleil se lève pour pouvoir enfin lire les chiffres du cadenas afin de pouvoir l’ouvrir et vous libérer.

 

LE MATIN, ouf, vous pouvez ENFIN lire les chiffres du cadenas et vous libérer MAIS attraper les clés du cadenas maintenant vos pieds va vous obliger à gesticuler et faire des efforts en gardant les fesses ultras serrées si vous avez de grosses envies. Ceux et celles qui auront joué avec le laxatif auront peut-être de petits soucis pour ne pas fuir…..

 

Si vous avez laissé les clés de la cage de chasteté au bureau, patientez…..

 

VARIABLE POUR LES ADEPTES DE L’URO ET DU CACA COUCHE

Mettez un préservatif urinoir (avec un tube pour le relier à la poche d’urine) puis reliez-le à votre bâillon. Mettez-vous 2 suppos à la glycérine et 1 suppo laxatif.

Vous devrez pratiquer le recyclage du liquide….. si vous ne voulez pas salir votre lit.

 

Bon jeu et surtout prudence, vous êtes seul(e)

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL
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