Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 08:24

Alerte à la bombe

   

En préambule

Comment un homme se fait piéger dans ses propres jeux ?

Tout bêtement !

 

..……Le début de ce récit est rapide pour éviter les longueurs……

 

Cela faisait quelques temps que je fantasmais à l’idée de jouer avec les lavements. N’étant absolument pas scato, mais alors vraiment pas du tout, seul le plaisir anal m’attirait mais le fait de me retrouver les fesses pleines d’excrément m’avait toujours dissuadé. Ma curiosité maladive des choses du sexe ma conduit à acquérir le nécessaire pour tester. La poire ne m’ayant pas amusé, je me suis offert un boc à lavement ainsi qu’un plug gonflable « enema » permettant de contenir les liquides à l’intérieur du côlon. Malgré qu’elle soit joueuse dans les domaines du BDSM, (entraves, fessée, des jeux SM) tout cela n’amusait que moyennement mon épouse n’ayant aucune attirance pour les lavements et les jeux ABDL.

 

Un beau matin, alors que mon épouse venait de partir travailler, je profitais d’une mâtiné de liberté pour m’amuser un peu. Histoire de délirer plus longtemps et d’avoir une certaine pression à ma verge, (hummm c’est grisant) je mis ma cage de chasteté avant de sortir le matériel. Le plug anal trouva rapidement sa place, quelques coups de pompe lui permirent de bien se bloquer. N’étant pas vraiment expérimenté en lavement, il m’a semblé qu’un litre et demi d’eau tiède suffirait pour une première fois. Par précaution et plaisir, j’enfilais ensuite une grosse couche et une culotte en plastique. J’étais fin près pour mes tests et délires…..

 

Le bocal posé sur la commode de la chambre, le tuyau relié au tube du plug je m’étendis sur le sol avant d’ouvrir le petit robinet en plastique en frissonnant d’excitation. Au début, je ne sentais rien et trouvais cela très frustrant mais les minutes qui suivirent furent bien différentes.

 

Le débit trop rapide commença rapidement à me faire mal. Je dosais donc en affinant les réglages pour pouvoir me concentrer et apprécier les sensations d’être comblé au vrai sens du terme tout en caressant mes tétons, zone ultra sensible de mon corps et génératrice de plaisir. Le bocal vide, j’ai fermé le robinet situé au bout de la canule elle-même enfoncée dans le tube du plug percé et gonflé en retirant le tuyau pour avoir la possibilité de bouger librement.

 

Histoire de savourer pleinement les sensations érotiques et de m’enflammer les sens, je me suis installé tranquillement à mon ordinateur pour surfer sur Abkingdom.   

 

SURPRISE SURPRISE

 

Alors que je commençais à surfer sur les nuages cotonneux de l’excitation avec en prime mon Popaul compressé dans le tube de la cage, une douleur castra mes petits plaisirs. Mon « ventre » ne voulait déjà plus du lavement ! Malgré mon insistance, il finit rapidement par me convaincre de diminuer la pression. Dégonfler sans tarder le plug devint même une priorité !

 

SAUF QUE

 

Dégonfler le plug ne suffit pas à mon ventre qui n’en faisait qu’à sa tête si je puis dire, et profita aussitôt pour expulser beaucoup de liquide. La couche joua son rôle, mais je n’y pris aucun plaisir. Et m.. , zut pardon !

 

Je ne sais si j’ai surestimé mes forces ou si j’ai fait n’importe quoi  mais la douleur persista et tout cela ne m’amusait plus du tout. Un passage en URGENCE aux toilettes me permis de me libérer ailleurs que dans ma couche. Je vous passerai les détails….

 

Une fois propre, je retournais à la chambre pour ranger et nettoyer le matériel.

 

SAUF QUE

 

1°) Mon petit trou n’était plus étanche au liquide et ne parvenait pas à maintenir le résiduel qui n’était pas parti !

 

2°) Le bruit de la porte d’entrée et la voix de mon épouse puis d’une de ses copines me glacèrent le sang !

 

OH putain con ! Désolé c’est vulgaire, mais cela expose avec des mots simples ce que j’ai éprouvé à cet instant précis.

 

La solution d’urgence qui me vint à l’esprit fut de remettre une couche pour éviter les problèmes de fuite devant les filles puis d’enfiler un gros peignoir pour cacher non seulement la couche mais aussi la bosse générée par la cage de chasteté qui présentement ne m’amusait plus du tout.

 

SAUF QUE

 

A ma mine déconfite lorsque je me suis sorti de la chambre, mon épouse compris qu’il se passait quelques chose.

 

- Ca va ?

 

- Oui, non, enfin, j’ai la courante, j’espère que ce n’est pas une gastro. Vous ne travaillez pas aujourd’hui ? Que se passe-t-il ?

 

- Il y a eu une alerte à la bombe, ils nous ont fait évacuer et nous ont libérées pour la mâtiné.

 

Je fis une bise à Martine, l’amie de ma femme, qui n’est pas prude ni frigide si vous voyez ce que je veux dire……. Sans être active dans le monde du BDSM, elle connaît sans les détails les passions que nous entretenons avec mon épouse pour les jeux et plaisirs non conventionnels. J’ai vu arriver la catastrophe mais je n’ai rien pu faire pour l’éviter.

 

Martine étant très intime avec mon épouse, entrepris de nous faire un café et pour jeter le filtre c’est quand elle ouvrit le sac poubelle que je n’avais pas eu le temps de sortir ni même de fermer  (et pour cause) qu’elle découvrit la couche jetée à la va vite quelques minutes plus tôt. Elle posa aussitôt la question sur l’incontinence.  

 

Heuuuuuu …… Que répondre ? ? ? ? ?

 

Pour éviter les embrouilles et en espérant qu’elle n’approfondirait pas, je prétextais voir quelques soucis de santé. Au lieu de se taire et de m’éviter la gêne, dans sa grande générosité elle nous parla de traitement, de médecin, de son père, de….. 

 

Mon épouse était pliée de rire de ma déconfiture car elle avait pertinemment compris que je m’étais amusé en solo en ABDL. (Merci ma chérie !) Ses rires générèrent des questions comme l’on peut s’en douter. Entre filles qui se racontent des choses elle lui avoua mes penchants pour l’ABDL.

 

Me sentant près à exploser, elle me calma en me rappelant que sa copine nous parlait de son amant et de ses escapades puis lui prêtait des tenues affriolantes pour nos soirées SM. Pour elle, il n’y avait pas de gêne à avoir à lui dévoiler à notre tour un de MES délires.

 

Très sincèrement, même si je suis joueur et parle volontiers sans tabou de mes délires ou de nos soirées, si j’avais pu passer sous le carrelage pour me cacher, je l’aurais fait. J’étais blême, horriblement gêné, dix coups de fouet dans une soirée SM publique m’auraient nettement moins fait honte.  

 

Histoire de s’amuser plus encore de ma gêne, mon « adorable » épouse se leva pour venir tâter entre mes jambes. Le seigneur fut sourd à ma prière, elle s’écria presque en rigolant « c’est qu’il est encore en couche » ! (Et merde fut ma pensée) Le naturel curieux de Martine et l’envie de jouer de mon épouse redevenue Maîtresse firent cause commune pour m’obliger à « montrer ».

 

Ma perle d’Amour devenue sadique, me fit donc lever puis ouvrit mon peignoir pour dévoiler ma couche. Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Dans un geste dit de tendresse, elle claqua le devant de mon anatomie couverte de sa main ce qui me fit gémir et bondir, car la cage coinça mes testicules. Ma garce de femme compris aussitôt et voulu faire une inspection de la couche !

 

Les dieux se liguaient contre moi ! ! ! ! ! Elle constata ce qu’elle avait deviné et que je m’étais encagé tout seul pour mon petit délire.

 

- Mais c’est qu’en plus, il a mis sa cage ! Où est la clé ?

 

- S’il te plait arrête, j’ai trop honte.

 

- Mais non, tu n’as pas à avoir honte, Martine sait plein de choses et elle ne dira rien. Dis-moi où est la clé ?

 

D’un doigt, je désignais le buffet où elle découvrit en prime, que je m’étais racheté de vraies cigarettes. (On essai d’arrêter)

 

- Tu es vraiment très vilain, tu resteras huit jours en cage pour avoir triché pour les cigarettes. S’exclama-t-elle soudainement moins joueuses.

 

Martine voulu voir la cage de chasteté et moi j’aurai voulu être ailleurs mais comme ma Maîtresse d’Amour en avait décidé autrement, je ne pus qu’abdiquer. Entre nous, il y a des moments où l’on aime sa Maîtresse, mais il y a aussi des moments où on la déteste.

 

Culotte en plastique et couche baissées, je dus monter mon sexe encagé et Martine eut le droit de toucher pour voir, (une vraie gamine) mais ce qui me gêna le plus, ce sont les « traces de freinage » sur l’arrière de la couche. Certes, il y en avait peu, mais il y en avait tout de même et je crus mourir de honte lorsque je dus les justifier. C’est fou ce que deux filles peuvent être cruelles avec un homme.

 

- Les traces dans ta couche sont plus importantes qu’un petit « pétou ».

 

- Arrête, s’il te plait !

 

- Mais non, tu t’es amusé seul pendant que nous on travaillait, alors maintenant c’est notre tour. Raconte c’est un ordre.

 

- Un soumis doit toujours écouter sa Maîtresse ! Rajouta Martine soudainement en s’amusant follement de ma déconfiture.

 

Je dus abdiquer et raconter en quelques mots sans tout dévoiler, que je m’étais fait un lavement en ajoutant que je n’avais pas vraiment apprécié. Leurs commentaires allèrent bon train puis portèrent un instant sur la constipation féminine alors que j’attendais tranquillement en mourant de honte avec ma cage de chasteté à la vue, la couche et la culotte sur les pieds devant deux nanas bien décidées à ne rien faire pour réduite mon calvaire psychologique.

 

LE PIRE est que ma Maîtresse proposa de me changer pour que j’ai les fesses propres. Sur le coup je crus défaillir, mon cœur sembla s’arrêter et mon sang se glacer dans ses veines. Je me mis à détester réellement ma Maîtresse pour ses idées absurdes et son envie de me martyriser ainsi.

 

En soirée, les jeux d’humiliation sont vécus différemment, on s’y prépare psychologiquement et on en arrive même à espérer des délires tous aussi fous les uns que les autres parce qu’ils font partis du jeu et font vibrer mais présentement, là, je ne me sentais pas vraiment soumis et n’avais en aucun cas envie de jouer ABDL devant sa copine.

 

Conduit par le bras jusqu’à notre chambre en marchant tant bien que mal à petits pas avec ma couche maintenue par la culotte sur les pieds, je dus m’étendre sur le lit pour être changé. Mes tempes bourdonnaient, j’avais chaud, froid. Comme dans un état second complètement résigné, je laissais donc mon épouse poursuivre.  Martine dans l’angle de la porte gloussait et commentait mes « adorables petites fesses de grand bébé»

 

Si maintes fois il m’est arrivé de fantasmer sur des jeux ABDL j’eu l’impression de vivre les pires secondes de sa vie, à être ainsi entièrement nu, jambes écartées avec mon sexe encagé exposée au regard de Martine pendant que mon épouse me talquait avec le talc dont on se sert normalement pour les tenues en latex. Sa main froide me procura quelques sensations pas désagréables mais fortement altérées par la présence de sa copine ne loupant rien de mon avanie.

 

Elles se mirent à deux pour me mettre et fermer la couche, alors qu’une seule personne suffit amplement. Je dus donc soulever mon derrière et de fait, monter mon devant en exposant plus encore mon sexe encagé aux regards curieux et gourmands de Martine follement amusée. Ma Maîtresse, qui à cet instant n’était plus vraiment ma Maîtresse d’Amour, me passa la culotte en plastique puis me fit lever. Et là, alors que j’avais les jambes en coton, elle déclara tout de go : « Tu va lui faire voir comme tu es beau dans ta grenouillère » ! 

 

- Il a une grenouillère ? Pour de vrai ? Demanda Martine complètement en délire.

 

J’en aurai hurlé de rage, mais impuissant et vaincu comme si toutes forces de rébellion m’avaient abandonné, je laissais mon épouse approuver puis ouvrir le grand tiroir de l’armoire où sont rangés une partie de nos accessoires et tenues. Elle poussa la camisole de force pour saisir le vêtement en question qu’elle tendit à sa copine. J’étais blême ! Martine s’en saisit, s’agenouilla à mes pieds pour me faire enfiler les jambes de la grenouillère qu’elle eut le droit et surtout le plaisir de me mettre en prenant tout son temps, comme si un pli allait changer quelque chose.

 

- Tu manges avec nous ? Demanda mon épouse à son amie. 

 

Par chance, cette dernière préféra rentrer chez elle mais elle ne put s’empêcher avant de partir de me pourrir la vie une dernière fois en ajoutant que « bébé devrait être sage » avec des tonnes de sous-entendus. La porte aussitôt fermée, avant même que je ne puisse exprimer ma colère, un tsunami de reproches me coupa l’herbe sous les pieds. Mon épouse particulièrement remontée contre moi, m’incendia dans le vrai sens du terme. Tout y passa ! Les risques que je prenais en m’amusant  avec le portail ouvert, les cigarettes, le fait que je lui avais caché le boc à lavement, qu’au lieu de m’amuser j’aurai pu faire le lit et ramasser mes affaires, enfin, une compil de reproches. Vous n’êtes pas sans savoir, qu’en termes de reproches, une femme en colère a des réserves insoupçonnées. Cela dura fort longtemps et lorsqu’elle sentit la limite de ma patience, elle m’acheva en s’écriant : « Ah tu veux que je sois une Maîtresse plus sévère ? Et bien tu vas être servi » !  

 

Le repas fut rapide et légèrement tendu. Une fois la table débarrassée, je dus « apprendre à jouer avec l’aspirateur » pendant qu’elle rangeait la maison. Comme son employeur n’appelait pas pour une reprise du travail, elle m’ordonna de m’habiller mais de garder la couche sous mes vêtements sans me dévoiler quoi que ce soit de ses intentions. L’après-midi fut difficile et cruelle.

 

Nous fîmes du shoping, passèrent des heures dans des magasins de chaussures sans rien acheter et partout où nous passions, j’avais l’impression que tous les yeux se posaient sur moi-même si j’avais pris la précaution de mettre un pantalon ample. C’est dans la galerie marchande de Carrefour, qu’il lui prit l’idée de me relooker en passant devant un coiffeur. Elle y entra d’un pas décidé sans même me demander mon avis pour une coupe pour homme. Ma garce de Maîtresse s’amusant comme une folle. Je tentais de différer, mais rien n’y fit. On me prit immédiatement en me proposant un vestiaire. Par pur réflexe, j’abondai en retirant mon blouson mais lorsque le coiffeur s’en saisit, ma conscience me rappela bien trop tard qu’il masquait mes « volumes ».   Madame me planta là pour aller flâner, le seul bon souvenir que j’ai de la séquence coiffeur, d’avoir pissé dans ma couche pendant qu’une jolie blondinette me lavait la tête à côté d’une mamie moraliste coincée qui gonflait tout le monde en parlant de son chien plus intelligeant que les autres. J’avoue humblement y avoir trouvé plaisir.

 

De retour à la maison, ma maîtresse d’Amour s’étant décontractée, me taquina puis me permis d’aller me laver. OUF. La surprise suivante vint vers 21 heures 30 d’un ordre qui me surprit. « J’ai besoin d’une chaîne et d’un cadenas ». Oh oh, pensais-je, il y a du délire dans l’air. Pendant que je me rendais à notre petit donjon pour prendre le matériel demandé, mon esprit s’enflamma et la crise du logement se rappela à moi avec l’extension masculine générée par l’excitation. En clair, mon Popaul emprisonné dans sa cage de chasteté ne parvenait point à se déployer.

 

SAUF QUE ! ! ! !

 

En guise de soirée coquine ou SM, la tortionnaire de mon cœur, attacha une des extrémités de la chaine au sommier avec le cadenas et l’autre extrémité à celui de ma cage de chasteté.

 

- Comme ça, demain matin tu ne te lèveras pas pour aller surfer et j’aurai le plaisir de me réveiller avec mon doudou à côté de moi !

 

Et m…. Pour quoi et m…. ? Tout simplement parce que je me réveille vers cinq heures alors qu’elle ne se lève que vers sept heures. J’étais convaincu que ces deux heures allaient d’être longues et ce fut le cas. Dans la nuit, lorsque l’on est sous cage de chasteté, les envies d’uriner se multiplient mais ne brulons pas les étapes. Revenons si je puis dire au moment du coucher. La gourmandise câline de mon épouse ne pouvait rester insatisfaite, mais étant sous cage de chasteté, je ne pu que l’accompagner des mains et de la bouche dans son moment de plaisir qui ce soir là, fut assez intense tant le fait de m’en priver l’excitait. Après avoir repris son souffle et les petits bisous tendres du soir, la lumière éteinte et son sommeil rapide me laissèrent dans une très sévère « crise de solitude ».  Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

 

Les pensées se bousculant dans ma tête et entre mes jambes, ne me permirent pas de trouver le sommeil rapidement. La nuit fut agitée et peuplée de rêves fous musicalement agrémentée de sonorités métalliques. Une envie pressante m’arracha au sommeil enfin trouvé vers une heure du matin, m’obligeant à l’aveugle à attraper une couche dans le placard puis à l’enfiler pour pouvoir me soulager puisqu’il me paraissait inconcevable d’uriner dans le lit et encore moins de prendre le risque de la réveiller. Je ne saurai dire pourquoi, mais je me suis réveillé toutes les heures en mettant à chaque fois un long moment pour me rendormir. Si bien qu’au petit matin, alors que la rosée séchait je dormais encore comme un « bébé ».

 

Ma Maîtresse d’amour me martyrisa grandement toute la semaine, soit en me laissant en plan soit en se faisant, masser ou câliner. Le pire fut l’avant dernier soir de ma période de « punition ». Elle me conduit à la salle de bain pour une toilette intime mais elle ne me remit point le tube de ma cage de chasteté. Mon Popaul en profita pour se mettre au garde-à-vous. La base de ma verge serrée par l’anneau de la cage générait une érection forte et monstrueuse dont elle profita grandement et longtemps en m’interdisant de jouir sous peine d’une semaine de cage supplémentaire. Se fut dur au sens propre et au sens figuré du terme……

 

Conclusion :

 

Une alerte à la bombe peut avoir de lourdes conséquences !

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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