Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 08:44

Auto bondage en couche et rebondissements

 

Scénario et texte du compte rendu

 

 

Scénario

 

Matériel pour ce scénario :

  • Couche
  • Culotte en plastique
  • Microlax ou autre produit pour personne constipée
  • Menottes
  • Vos jouets, accessoires ou vêtements préférés comme pinces à seins, plug, bâillon, bandeau pour les yeux, vêtements divers….

 

Scénario

  • A l’avance, faire un ice timer (bloc de glace avec les clés) avec un quart ou un demi-litre d’eau
  • Boire deux ou trois grands verres d’eau
  • Se mettre un Microlax ou autre produit pour personne constipée
  • Passer la couche et mettre la culotte en plastique
  • Mettre les menottes
  • Ajoutez à ce scénario vos jouets, accessoires ou vêtements préférés comme pinces à seins, plug, bâillon, bandeau pour les yeux, vêtements divers….
  • Fermez les menottes sur vos poignets mains dans le dos ou attachées à quelque chose comme barreau de chaise ou arbre si vous voulez jouer en extérieur.
  • Mijotez

 

Rappel vous devez toujours pouvoir accéder au glaçon quelque soit le lieu ou la façon de vous menotter.

 ice timer self bondage

 

PETIT ICE TIMER

Compte rendu

Cela fait longtemps que l’idée d’être obligé de vivre la « totale » en couche pour personne incontinente me tentait mais n’étant absolument pas scato, je n’étais jamais arrivé à me décider ni à oser. Au dernier moment, je fonçais aux toilettes pour aller déféquer.

 

Ce n’est pas que cela me séduisait outre mesure, mais je voulais le vivre au moins une fois pour connaître les sensations. J’ai été servi……..

 

Mon expérience en délires de toutes sortes et aussi divers que multiples avec mon épouse très joueuse, avec des ami(e)s ou seul faisant que je devenais de plus en lus gourmand, un beau jour, l’idée de me faire la totale m’est venue. Après avoir fermé le portail à clé, j’ai commencé par me mettre une cage de chasteté parce qu’avoir une érection avec la verge compressée est sympa. Ensuite, histoire de bien délirer, j’ai fait une compil de trucs aussi fous les uns que les autres. 

 

Comme il était 19 heures, j’ai commencé par prendre l’apéro en surfant ce qui m’a conduit à prendre quelques pastagas jusqu’à 20h30. Pour le volume d’eau, j’avais mon compte….. Sentant venir l’urgence « pipi », je me suis mis deux Microlax, un suppositoire à la glycérine puis un petit plug anal maintenu en place par une chainette. J’ai rapidement enfilé une couche par-dessus puis une culotte en plastique Suprima. Pour être bien sûr de me chauffer les sens, j’ai placé une paire de pince à seins sur mes tétons dardant d’une délicate turgescence. Pour être sur de ne pas pouvoir tricher, (allons-y gaiment dans les délires) j’ai enfilé un body galbant donc relativement épais puis une ancienne longue robe en velours achetée sur ebay. Retirer les pinces à seins à travers tout ça, allait être difficile.

 

Après un dernier pastis pour le courage, une cigarette pour satisfaire mon côté drogué me voilà parti avec armes et bagages à l’avance préparé au fond de mon jardin isolé. J’ai posé le ice timer près de l’arbre et j’ai attaché les doubles ficèles de sécurité au tronc puis, je me suis enchaîné les chevilles avant de bloquer la chaîne avec un cadenas  dont j’avais volontairement laissé les clés sur la table de la cuisine, histoire de rendre mes déplacements plus « délicats ».

 Un gros ice timer

GROS ICE TIMER

 

Mon envie de faire pipi ne pouvant souffrir d’attendre, ma vessie décida de se libérer d’un peu de pression mais elle fut sympa et ne lâcha pas tout, enfin pas tout de suite. Aimant réellement les jeux de contrainte, la pose d’un bâillon s’était imposée à moi, mais connaissant mes facultés de tricher, j’avais également pris un masque de cuir qui se ferme avec un petit cadenas pour m’aveugler tout en maintenant le bâillon. Respirer ne serait pas un souci, le masque n’est pas étanche et permet également de respirer par le nez. Mon état d’excitation était à son paroxysme, Popaul dans sa cage de chasteté se rebellait emportant avec lui mes précieuses malmenées par la pression due à la traction. Trouver les menottes posées aux pieds de l’arbre ne fut pas un problème même à l’aveugle, le contact froid sur mon poignet me grisa plus encore que je ne l’étais déjà ce qui fait que je n’ai point hésité à fermer sur mon poignet gauche la menotte qui allait me conduire à vivre la véritable contrainte de l’abandon forcé en couche en plus des plaisirs du bondage.

 

Le clic me ramena quand même un peu à la réalité. Ca y est, j’étais aux pieds du mur, ou plus précisément de l’arbre, j’allais vivre un de mes fantasmes. Je m’allongeais donc dans le gazon en m’imaginant des tonnes de choses comme ma perle d’amour armée d’un gros gode ceinture bien décidée à me faire ma fête. Frotter mon bas ventre et donc ma cage me procura quelques divines sensations même si la position allongée bras en avant générait une traction sur les pinces à seins. Mon derrière commençait à pousser, convaincu que mon anus voulait rejeter le plug, je le laissais faire sans serrer les fesses tout en frottant plus encore mon devant sur le gazon. La chaleur de la matière me surpris, les fuites avaient déjà commencé. Et m….

 

Tout en serrant les fesses, je me mis à puiser dans mes pensées les plus coquines pour parvenir à maintenir la folle excitation nécessaire pour rendre cet « incident » érotiquement correct. Libérer ma vessie de plus en plus en colère sans desserrer les fesses fut très difficile. Comme ma libido et mes pensées érotiques sont réellement très prolifiques, l’idée que ce piège avait été décidé par ma Maîtresse perle d’Amour m’échauffa les sens. La tête s’échauffait, mes tempes bourdonnaient, je l’imaginais avec un couple d’amis joueur près d’elle en train de se moquer de moi puis m’obligeant à frotter mon devant. Honte, humiliation, sexe, contrainte, délires, je planais quand soudain, l’arrosage automatique se mit en route.

 

OH PUTAIN CON !

 

Je l’avais arrêté la veille car ce n’était pas la peine d’arroser et de gaspiller de l’eau ! Ma perle d’Amour n’en sachant rien l’avait réactivée. Je me sentis mal même s’il n’y avait aucun danger. L’asperseur par moi réglé (quel c..) me fit sursauter lorsqu’il m’arrosa gaiment. L’idée me vint de migrer de l’autre côté de l’arbre mais c’est à cet instant que le plug se remis à pousser copieusement. N’osant bouger de peur de desserrer les fesses, je reçus donc le deuxième passage de l’asperseur en me maudissant de mes idées tordues puis de ne pas avoir pensé que l’arrosage automatique était bien éteint. Mon premier réflexe fut de rouler sur moi-même sauf que les menottes ne virent pas les choses sur le même angle que moi. Pour limiter mon arrosage, je me mis donc à ramper quand, profitant de mon absence de vigilance mon anus furieux de mes bêtises lâcha une grande coulée chaude dans la couche. Profitant de cette échappée, le plug glissa sur les chainettes et en fit de même laissant le passage totalement libre.

 

Par acquis de conscience et sans trop espérer, mes doigts consultèrent le glaçon emprisonnant les clés, mais ce dernier avait à peine commencé à fondre. Histoire d’agrémenter mes déconvenues, ramper pour migrer avait fait remonter la robe et les pinces sur mes seins. La douleur commençait à se faire sentir et vu les circonstances, elle n’avait plus rien d’érotique. En serrant l’arbre contre moi, je parvenais par des gestations inconfortables à les toucher mais les retirer par-dessus le body galbant donc relativement épais et l’ancienne longue robe en velours fut impossible. GRRRRR.

 

Mon colon fit cause commune avec l’anus son proche voisin pour libérer la pression de derrière. Par solidarité, ma vessie fit de même. Aussi surprenant que cela paraisse, cette libération totale et soudaine échappant totalement à mon contrôle généra en moi une sensation agréable et sentiment de bien être qui hélas fut de courte durée l’asperseur castrant mes sensations et pensées toutes les 30 secondes environs. Baigner dans mes déjections ne m’amusait pas vraiment, je voulais voir, j’avais vu, sauf que cette situation allait durer au bas mot une heure sans compter le trajet retour à l’aveugle jusqu’à la maison. Caresser le glaçon, non pas pour lui faire plaisir mais pour le faire fondre, devint ma principale occupation sous des douches forcées aussi régulières que désagréables.

 

Le ice timer fragilisé par l’eau et mes doigts finit par se rompre au bout d’un temps que j’ai trouvé fort long. Quelques minutes plus tard, même à l’aveugle et avec les doigts trempés, je pu rompre mes relations avec l’arbre. Mon premier réflexe fut d’essayer de retirer les pinces à seins, mais l’opération fut douloureuse qu’inutile, retirer la robe et peut-être même le body m’apparu obligatoire. Sous les asperseurs, cela ne me tenta pas. je pris donc à l’aveugle puisque qu’en auto bongageur fada j’avais fermé la cagoule avec son petite cadenas. Longer les cyprès à petits pas me parut fort long surtout avec la couche pleine à craquer menaçant de rompre. Lorsqu’enfin je parvins à la terrasse, je ne pus pousser le cri de la victoire à cause du bâillon mais l’envie y était. Entrer dans la maison trempé allait m’obligé à un grand nettoyage mais au point où j’en étais, cela m’apparu comme un détail. Mes mains trouvèrent rapidement les clés du masques sur la table, mais les amener derrière ma tête pour ouvrir le cadenas tira grandement sur la robe puis le body et de fait sur les pinces à seins. Ouuuuuuffff !

 

La problématique est que cela tira aussi sur mon ventre réduisant ainsi la circonférence de ma taille ! ! ! ! La couche céda sans crier « gare ».

 

Je vous passerai les détails du nettoyage et de mon estomac que j’ai du museler car il était décidé à faire cause commune avec l’autre extrémité de la tuyauterie humaine. Je garde malgré toutes ces péripéties un bon souvenir de l’expérience même si je ne la renouvellerai sûrement pas mais je la ferai vivre au moins une fois à nos soumis(es) pour qu’ils découvrent ce qu’est le sentiment total d’impuissance face à leur propre corps.    

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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