Mardi 13 mai 2 13 /05 /Mai 16:06

Self bondage avec couche et jeu uro en grenouillère

Idée prise sur les vidéo de selfbondage sur fessestivites.com


Auteur du jeu réalisé : Paul du réseau Fessestivites
Auteur du texte Ecrivaillon sur les idées et explications de Paul

Matériel minimum nécessaire
 Couche
 Préservatif urinaire penilexe avec un tube qui en principe permet de conduire l’urine à une poche accrochée à la jambe.
 Un tube pour relier le PU au bâillon
Menottes
 Bâillon
 Scotch d’emballage

PLAN DE DEPART VERSION SIMPLE :

 Mettre le préservatif urinaire penilex
 La couche en cas de fuite
 Relier le préservatif urinaire au bâillon et scotchez
 Sortir son ice-timer du congel
 Se menotter main dans le dos
 Attendre que le glaçon fonde pour se libérer en espérant ne pas avoir envie de faire un p’tit pipi…

MON PLAN (plus chargé évidement)

Madame n’était pas à la maison cette nuit-là, tout était prêt vers 21 heures. J’étais comme fou et ultra excité même si je savais que la nuit allait être difficile.

J’ai commencé par me mettre le préservatif urinaire, trois suppos à la glycérine dans les fesses puis j’ai mis une couche et une culotte en plastique en prenant soin de ne pas pincer le long tuyau ajouté au préservatif urinaire. Histoire de faire du volume entre mes jambes et de m’empêcher de les serrer j’ai ajouté mon énorme culotte rembourrée. L’idée m’est venue d’ajouter un peu de piment à mes folies en mettant deux pinces à linge sur mes tétons maintenues et surtout protégées de mes mouvements par un soutien-gorge de ma femme.

En prenant soin de ne pas coincer le tuyau, j’ai enfilé ma grenouillère, puis, en marchant comme un canard boiteux, je me suis rendu à la chambre qui allait devenir la chambre des supplices. Mes pieds entravés par une chaine et des mousquetons, je me suis étendu sur le lit (aie les pinces à sein) pour aborder la partie finale de l’expérience que je voulais tenter.

Le téléphone portable à porté de main était chargé et prêt en cas d’urgence à côté des menottes attachées très court par une chaine à la tête du lit par un cadenas à combinaison dont je ne pourrai voir les chiffres que lorsqu’il ferait jour.

Le tube du préservatif urinaire a trouvé sa place dans celui de bon bâillon uro, le scotch m’a permis de renforcer sa fixation. En mettant le bâillon, je me suis traité de malade mental, mais l’excitation a apaisé le courroux de mes neurones révoltés.

DERNIERE LIGNE DROITE

Eteindre la lampe de chevet puis, en la tenant par le fil électrique, la mettre sur le sol puis lâcher le fil. A l’aveugle, en m’étirant, (aie les tétons) il me restait à passer les poignets dans les menottes et à les fermer. Dernière vérification de sécurité, (toujours et par prudence) j’ai passé en revue les risques. Gaz fermé, téléphone à porté de main, les volets étaient bien ouverts et crochetés, portail fermé à clé mais porte ouverte, tout me semblant OK, j’ai fermé les menottes sur mes poignets.

Le clic de la fermeture est très excitant mais on ne peut contenir dans ces jeux, l’envie de tester ses entraves. Si l’on s’est loupé, on est alors très déçu. Au niveau des pieds, elles tenaient bon et au niveau des mains, je ne parvenais pas à toucher mon visage et donc à arracher le tuyau. J’étais donc fait comme un rat.

Frotter mon ventre sur le lit comme une chatte en chaleur fut m’excita plus encore mais hormis m’exciter et fantasmer…… Cela ne m’aida pas à trouver le sommeil tout comme les pinces à linge pourtant pas très sévères posées sur mes tétons. L’envie d’uriner est arrivée rapidement, comme je ne me sentais pas prêt à en boire, ma vessie a accepté de collaborer en la contenant. Un long mais long… moment plus tard, entre deux images coquines et SM passant devant mes yeux, le sommeil m’a saisi sans crier « gare ».

Si la nuit lorsque l’on se réveille il est bien souvent facile de retrouver le sommeil, entravé et les seins pincés, c’est plus long. Vers 2 heures du matin, une irrépressible envie de faire pipi m’est venue. Mes tétons douloureux semblaient faire cause commune avec ma vessie dans leur mouvement de révolte. Côté arrière, dieu merci pour l’instant, il n’y avait pas eu de réaction aux suppos à la glycérine. Sentent venir l’embrouille, me tourner sur le dos pour éviter les éventuelles fuites du bâillon me parut une sage précaution même si je ne me sentais pas de me boire pour ne pas tremper le lit. Quel con, ai-je pensé mais il était trop tard pour revenir en arrière.

Allongé de tout son long avec bras et jambes tendus demande quelques efforts, efforts qui m’ont fait comprendre que mon colon n’appréciait pas vraiment que je gesticule. En me concentrant un maximum et en respirant plus fortement que de raison, je suis parvenu à garder le contrôle de mon corps. Des images folles recommencèrent à passer devant mes yeux. Mon épouse accompagnée d’une amie me découvrait et me martyrisait en appuyant sur mon ventre pour faire céder ma vessie pendant que son amie s’armait d’un gode ceinture en affichant un sourire cruel.

Je me suis réveillé lorsque mon anus a cédé pour laisser passer la matière fécale rendue relativement liquide, ce n’était pas le gode ceinture mais la M qui coulait dans ma couche. Ma vessie ultra douloureuse en a profité pour commencer à fuir. En état de transe lorsque l’urine est arrivée dans ma bouche, l’avaler rapidement pour me débarrasser de la chose au plus vite m’a semblé LA solution, sauf que j’avais une monstrueuse envie bien plus qu’ultra pressante. A un moment je n’étais pas loin de vomir, l’idée de vite me tourner sur le ventre pour ne pas m’étouffer m’est venue mais je suis parvenu à contenir mon dégout et mon estomac rebelle.

Il me sembla que je venais de faire un marathon, je transpirais comme un fou et ma respiration était rapide mais ce qui me surprit le plus c’est que j’avais des contractions dans l’anus et le bas ventre un peu comme si je jouissais. Profitant de ces agréables sensations, je me suis tourné sur le ventre (aie mes tétons) pour frotter mon devant comme un gros débile mental en manque. La jouissance est venue, c’était long, fort, divin. L’urine en attente dans le long tube du préservatif urinaire a été poussée et à cet instant, j’ai trouvé ça bon, ce qui démontre que lorsque l’on jouit, on peut voir les choses autrement ou les ressentir autrement ou être débile. (Au choix)

Etendu sur le ventre, totalement épuisé je me suis rapidement endormi jusqu’au petit matin.
Le réveil fut plus délicat ! ! ! !

L’aube pointant son nez, je pouvais apercevoir les chiffres du cadenas à combinaison. J’ai eu une grosse frayeur car par deux fois, dans la pénombre j’ai cru trouver la combinaison mais il ne s’ouvrait pas. (C’est là que le téléphone…..)

Les tétons en feu et l’envie pressante me firent comprendre qu’il fallait agir. Lorsque je suis enfin parvenu à ouvrir ce put… de cadenas une sensation de bien-être m’a envahi mais cela n’a pas duré car pour retirer les pinces à linge, il me fallait attraper dans mon dos la fermeture éclair de ma grenouillère. Les poignets menottés devant, c’est impossible. Me libérer rapidement devint alors une urgence. En m’asseyant rapidement pour libérer mes chevilles douloureuses à force de les avoir malmenées, j’ai écrasé la couche. (Pas de détail..) et pour me lever ce n’était pas mieux. Arrivé au salon, j’ai enfin pu attraper les clés de menottes, me libérer et foncer aux toilettes en retirant en urgence ma grenouillère. Lorsque j’ai gesticulé sans précaution pour attraper la fermeture éclair dans mon dos, mes tétons m’ont fait payer une première addition particulièrement salée pour deux raisons.

La première parce que sous le soutien-gorge les pinces ont beaucoup bougé, la deuxième parce que sous la douleur, j’ai lâché un jet d’urine qui, à boire le matin au réveil est nettement moins agréable qu’un café. Si baisser la grenouillère fut un début de libération, retirer la couche et m’asseoir rapidement sur les toilettes ne fut franchement pas génial. « Et le roi des cons assis sur mon trône » disait Coluche, c’était moi car j’étais tellement dans les vapes et dans une position 100 % bio / naturelle pardon que j’ai pissé gaiment sans même retirer le préservatif urinaire. GRRRRR, j’en ai foutu partout. Pour retirer les pinces de mes tétons j’ai pris tout mon temps afin de limiter la douleur mais furieux, ils me firent payer malgré tout une troisième addition.

Une fois le ménage fait et douché, en savourant mon café tant attendu, je vous raconte donc mon aventure.

Auteur du jeu réalisé : Paul du réseau Fessestivites
Auteur du texte Ecrivaillon sur les idées et explications de Paul

 

 

 

Voir une boutique avec un rayon dédié au selfbondage avec des scénarios gratuits inclus dans les fiches produit


Pour discuter entre adepte du selfbondage rendez-vous sur le forum de Fessestivites ICI

 

Accéder à plus de 800 vidéos de selfbondage sans publicité

 

Histoires érotiques de selfbondage

 

LIRE 110 scénarios de selfbondage

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : Auto-bondage self bondage
Ecrire un commentaire - Voir les 0 commentaires
Retour à l'accueil

Texte

Créer un Blog

Recherche

Présentation

Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus - Articles les plus commentés