Dimanche 26 octobre 7 26 /10 /Oct 17:00

Nurse cruelle

 


diaper boy abusé 18 Les couches et la régression comptent de mes fétichismes, à chacun les siens moi c’est donc l’ABDL qui m’excite. De l’ABDL au pipi couche, il n’y a qu’un pas que j’ai sauté assez rapidement dans l’intimité de mon appartement.

Sortir en couche a été plus difficile, c’est une nurse rencontrée sur le forum ABDL de Fessestivites qui un soir m’a poussé à le faire en me disant que cela ne se voyait pas. La première fois que je suis allé en ville en portant une couche, j’étais extrêmement gêné, c’était de nuit avec un jogging et un grand manteau, c’est dire…..

Au fil du temps Nurse 38 a accepté de me rencontrer, puis de s’occuper de moi de temps en temps. Bien que très joueuse, câline et attachante, elle a un côté dominatrice assez prononcé comme vous allez pouvoir le constater.

La semaine dernière, alors que nous étions en elle m’a demandé de prendre une chaîne lorsque j’irai la voir et de prévoir la soirée. Hummmm ai-je pensé, l’idée d’être attaché et forcé à faire pipi dans mes couches a longtemps titillé mes fantasmes avant que je me décide à le faire seul chez moi. Ce fut 10 fois pire que je l’avais imaginé !!!!!!!!!!

Comme à chacun de nos rendez-vous je me suis présenté en couche avec une culotte en plastique et un paquet de change complet en cadeau ainsi qu’une bouteille de champagne, le minimum syndical dit-elle, même si je n’ai jamais eu le droit d’en boire hormis la première fois que l’on s’est rencontrés.

Il était 15 heures lorsque je suis arrivé, Nurse 38 m’a dirigé vers la nurserie dès mon arrivée où elle m’a mis dans le parc un petit moment avant de préparer sa table à langer avec une sourire en coin qui ne me disait rien de bon. La dernière fois qu’elle avait ce sourire j’ai reçu une fessée magistrale juste avant de partir histoire que je n’ai pas froid sous ma couche en rentrant chez moi.

Vers 16 heures Nurse 38 est venue s’occuper du garnement en commençant par lui retirer sa couche pleine puis lui faire une toilette. Elle a mis un stéthoscope pour me faire passer une visite médicale en règle avant de me prendre la température. Quand elle m’a placé le thermomètre dans les fesses après m’avoir palpé le ventre je n’ai rien vu venir et encore moins quand dix minutes plus tard elle m’a fait prendre un médicament appelé Correctol.

Après avoir attaché mes mains au-dessus de la tête à la barre de maintien avec des menottes que je lui avais offertes la fois précédente, Nurse 38 a continué de me « soigner » à sa façon…. Elle m’a mis trois suppositoires à la glycérine et un Dulcolax en m’indiquant qu’aujourd’hui j’allais faire le grand saut dans le monde de la régression. J’ai eu beau lui expliquer que cela n’était pour moi qu’un fantasme, elle n’a rien voulu savoir et m’a indiqué qu’il était trop tard pour faire machine arrière. Lorsque j’ai insisté, elle a monté le ton en me disant qu’elle m’avait reçu pour ça et qu’il était hors de question que je refuse sans quoi nous allions être fâché. Cela calme ! ! !

Nurse 38 m’a promis d’être gentille avec moi en me faisant voir une couche qu’elle avait découpée devant pour que mon urine ne se mélange pas aux excréments. Après m’avoir fait soulever les fesses pour y glisser deux couches dont celle qui était percée et un insert, elle a saisi mon sexe sans aucune gêne pour le faire passer dans la couche percée. Cela me faisait tout drôle de le voir dépasser de la couche sans voir mon bas ventre. Elle l’a ensuite placé entre mes jambes avant de le bloquer avec un insert et une grosse couche. Après m’avoir langé, Nurse 38 m’a remis ma culotte en plastique puis mon pantalon sur lequel elle avait remplacé la ceinture par la chaîne que j’avais emmenée.

Et là j’ai compris à quoi allait servir la chaîne, enfin presque !!!!!

En grande sadique, Nurse 38 a ensuite posé un cadenas à combinaison sur cette ceinture d’un nouveau genre puis elle a entravé mes pieds aux coins de la table à langer avant de mettre une corde à chacun de mes genoux pour m’obliger à les écarter. Je ressemblais à une grenouille aplatie sur une table de vivisection. Avec beaucoup de douceur, elle m’a materné puis donné un biberon d’eau avec du sirop de pruneau. Berck !

Et là, elle m’a planté là !

Et là elle m’a planté là en me souhaitant de faire une bonne sieste.

Mes suppliques n’ont servi à rien, la belle s’en est allée en fermant la porte de sa nurserie avant de remonter dans son appartement. Le bruit de ses talons dans les escaliers sonnait le glas de la pire de mes humiliations. L’envie de me rebeller m’est venue, alors j’ai tiré sur mes entraves et les menottes mais en vain. J’étais fait comme un rat de laboratoire ! ! !

Si la régression forcée m’excite et compte de mes fantasmes, le fait de salir réellement ma couche en y faisant la totale m’horrifiait. Une bonne heure plus tard, la porte de sortie arrière de mon anatomie est devenue le centre de mes préoccupations. J’ai été dans un premier temps surpris de sentir mon anus devenir chaud, au plus je le serrai au plus il chauffait. C’était bizarre comme sensation mais gérable car à ce moment là je contrôlais encore la situation.

J’ai pu découvrir lors de cette séance particulière que pour tuer le temps, le sommeil est votre allié et là il a été mon ennemi. Dans mon rêve, Nurse 38 m’avait attaché pour s’amuser avec mon sexe, elle m’indiquait en me masturbant que j’allais découvrir ce qu’est la vraie jouissance. Dans la réalité, j’avais une énorme envie d’uriner mais, étant dans les brumes évanescentes du demi sommeil, elle me disait que je pouvais faire pipi pendant qu’elle me masturbait. Ce rêve très particulier a eu raison de ma résistance.

Toujours dans les brumes de mon demi sommeil, mon cerveau en recherche de bien être a ouvert les vannes de ma vessie. Ce fut une grave erreur car celle de derrière, sûrement jalouse, s’est ouverte aussi libérant un flot de matière fécale liquéfiée. Mon temps de réaction fut très court mais trop long à mon goût car une vague de chaleur envahissait ma couche entre mes jambes et du côté de mes reins. Sur le coup, il me semblait que je n’avais fait qu’un gros pets laissant de traces de freinage comme cela arrive parfois, et, qu’il s’agissait de sûrement de mon urine.

Une lutte s’est engagée entre ma vessie que je tenais à soulager et mon sphincter anal furieux de cette inégalité sociale. Tant bien que mal et sans avoir à faire appel aux CRS pour contenir cette manifestation, les muscles anneaux sont restés clos et tendus pendant que mon robinet de devant savourait sa victoire. Soudain, une odeur répugnante s’est échappée de mon équipement ABDL lui-même contenu dans mon jean lui-même menotté, pardon, enchaîné à la barrière de l’indifférence du cadenas. Et là j’ai compris que je n’avais pas fait qu’une trace de freinage.

Ne plus bouger !

Ne plus bouger pour ne pas étaler la chose en attendant qu’elle vienne me laver et me changer fut mon objectif. Il y eu pendant cette attente des mouvements de révolte du côté de mon « arrière train » que je suis parvenu à contenir pour rien !

Pour rien et vous allez vite comprendre pourquoi !

« Il est vingt et une heure » m’a indiqué Nurse 38 en précisant qu’elle m’avait gardé deux heures de plus pour me faire une surprise. Le mot « surprise » fut agréable à mes oreilles car, à ce moment là, j’étais convaincu qu’elle allait me laver et me changer. Grave erreur. Avant de me libérer, nanou m’a câliné et donné un biberon d’eau en m’indiquant qu’il fallait que je le boive pour contrer la déshydratation due au lavement chimique. En gros bébé bien sage, je me suis exécuté sans discuter avant de m’étouffer quand elle m’a indiqué que j’allais rentrer chez moi comme ça !

Oui mais quand on s’étouffe, on tousse !
Oui mais quand on tousse, si cela pousse derrière (vous voyez ce que je veux dire) ben …. , comment dire, les manifestants ont profité du départ des CRS.

Après avoir fini de tousser et de « caguer » par jets aussi puissants que dégueulasses, j’ai carrément opposé un refus catégorique de prendre la route dans cet état. Ma nanou parfois si douce et redevenue en quelques secondes la nurse cruelle et la dominatrice intrépide en me répondant : on parie ?

Moi je ne voulais pas parier, je voulais juste me laver et me changer mais elle m’a eu par surprise en ouvrant la fenêtre et les volets de la nurserie pour y jeter dehors ET DONC dans la rue mon sac et mon manteau.

« Va vite les récupérer avant que quelqu’un les ramasse » m’a indiqué Nurse 38 pliée de rire. Je l’ai maudite plusieurs fois.

Une fois quand je me suis assis précipitamment.
Une fois quand j’ai commencé à marcher.
Une fois quand après avoir contourné la maison je me suis baissé pour récupérer mon sac sur le trottoir.
Une autre fois quand elle a fermé les volets en me laissant comme un con dans la rue avec le cul merdeux.
Une autre fois quand elle m’a indiqué à travers les volets clos que le code du cadenas m’avait été adressé par email.
Une autre fois quand je me suis assis dans ma voiture.
Et pire encore quand, debout devant mon ordinateur très lent à s’allumer j’ai tout lâché du côté arrière sans rien pouvoir faire.
Je vous passerai les noms d’oiseaux formulés à haute voix dans ma salle de bain.

EPILOGUE

Si sur Fessestivites il est possible de faire des rencontres réelles et parfois de vivre ses fantasmes il est bien de savoir que parfois, des personnes sadiques et très attachantes vous poussent un peu dans vos retranchements. Le pire c’est qu’après avoir pris la douche, je ne lui en ai plus voulu du tout et que je suis retourné la voir, que dis-je j’accours à chacune de ses sollicitations.

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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