Histoire

Samedi 25 septembre 6 25 /09 /Sep 15:40

Extrême ABDL chez une nurse sadique

 Contraintes-ABDL-infernales-chez-une-nurse-sadique.jpg

Lorsque vos revenus passent de 1500 euros mensuels à 10 000 euros par jour, grâce à un héritage votre façon de vivre change. Si je suis resté me semble t’il celui que j’étais je me suis arrêté de travailler pour me consacrer à mes passions en m’offrant toutes les fantaisies dont j’ai rêvé. Etant ABDL, le net m’a permis de m’offrir toutes les tenues animant mes fantasmes et mes délires les plus fous avant de m’offrir un week-end dans une nurserie.

Lors de la réservation, j’ai tenu à avoir la patronne au téléphone en lui proposant par email de tripler voir plus le montant de sa prestation en échange d’un régime de faveur. Très suspicieuse, elle a accepté cette conversation téléphonique. Au départ elle était convaincue que je voulais du sexe mais je l’ai détrompée en lui expliquant que je désirai juste vivre mes passions ABDL dans une logique un peu extrême. Une fois rassurée, elle m’a demandé de régler d’avance les 3000 euros lui permettant d’acheter du matériel supplémentaire puis de lui adresser un email confirmant mes souhaits, chose que j’ai faite le jour même.

Le programme que je demandais à Nurse Sabrina consistait à me mettre en immersion totale de gré ou de force dans le monde d’un ABDL un peu comme si j’avais été enlevé. Lors de cette demande, je lui ai confirmé par écrit qu’elle pourrait utiliser la f o r c e et les punitions si elle souhaitait pour me permettre de vivre un week-end d’enfer.

………………………..

Nous sommes vendredi, il est 16 heures, le taxi me dépose devant une maison individuelle de la région parisienne. Si mes fantasmes m’ont emmené avant le jour J à pratiquer plusieurs l’onanisme pour apaiser la pression, une fois devant la porte, sauter le pas est soudain plus difficile que je ne le pensais. « Vous sonnez et vous entrez » m’avait dit Nurse Sabrina. Sonner est facile, pousser la porte de la maison est plus difficile, la honte et la peur me submergent.

Ils sont trois à m’accueillir chaleureusement, Nurse Sabrina une belle femme brune, Anna, une immense canadienne bâtie comme une championne de Volley-ball et un homme brun qui garde un regard fermé contrairement aux deux femmes. Immédiatement après la poignée de main conventionnelle, Anna prend ma petite valise et nurse Sabrina la main pour me conduire à la nurserie aménagée dans leur garage. Cette pièce est tout à fait comme les photos de leur site internet, il y a un lit à barreau pour adulte, un lit médicalisé, une table à langer, des jeux de bébé, les murs sont agréablement décorés.

Conduit devant la table à langer, je me laisse dévêtir par nurse Sabrina rapidement rejointe par l’immense Anna venue l’aider. Etendu nu sur la table à langer, je n’en mène pas large lorsqu’elles entreprennent de me talquer avant de me mettre une couche gigantesque que je n’ai jamais vue auparavant.  

 

Cette couche plastifiée à l’extérieur est très grosse au niveau de l’entrejambe et a la particularité de remonter quasiment jusque sous mes bras avec des attaches auto collantes supplémentaires. Elles y rajoutent deux inserts avant de la refermer avec beaucoup d’attention en me parlant comme si j’étais un bébé.

Nurse Sabrina me fait asseoir puis m’attire contre sa poitrine généreuse pour me donner un biberon. C’est la première fois que je bois au biberon depuis mon enfance, le contenu ne vient pas rapidement, cela me fait un drôle d’effet mais je joue le jeu par moi demandé avec attention. Si sa poitrine est très confortable, nurse Sabrina insiste pour que je termine son jus d’orange qui est franchement dégueulasse pendant qu’Anna me met des moufles se fermant avec des cadenas.

Le biberon terminé, elles me font enfiler ensuite un gros body en latex mi-cuisse dont la fermeture ne se fait pas à l’entrejambe mais du nombril au cou par une fermeture éclair se cadenassant au niveau du cou. Avec ça, je ne risque pas d’enlever ma couche !

L’autre surprise porte sur une sorte de culotte à mi chemin entre un casque intégral et des chaussures de ski.

Nurse Sabrina et Anna se mettent à deux pour me mettre cette culotte quasi ronde très originale. Une fois mes fesses et le bas de mes reins posés à l’intérieur de cette coque, elles referment le devant et l’ajustent avec les mêmes dispositifs que l’on trouve sur les chaussures de ski à une nuance près, des cadenas ! Histoire de me pousser encore plus dans les contraintes, nurse Sabrina me pose un petit harnais équipé de deux sangles qu’elle relie à l’anneau de mes moufles.

Au moment de me faire asseoir, elles ne sont pas trop de deux, car cette culotte en dur me ferait rouler. Pendant qu’Anna me maintient en équilibre, nurse Sabrina pose des bracelets aux chevilles avec une petite chaîne qu’elle cadenasse de façon à ce que je ne puisse pas trop écarter les jambes. Anna me prend en poids pour me déposer par terre en me faisant asseoir. Lorsqu’elle me lâche, la forme ronde et solide de la culotte ressemblant à un casque intégral me fait perdre l’équilibre et chuter sur le côté. Elles sont pliées de rire.

- Et oui, tu vois, les bébés ont parfois du mal à rester assis, tu vas vivre les même sensations, amuse-toi bien ! Me dit Anna en m’aidant à me relever pendant que Nurse Sabrina me colle une grosse sucette dans la bouche dont elle fixe solidement les sangles derrière ma nuque. Cette sucette ressemble à un bâillon, elle est incrustée dans un large bandeau de cuir et d’une mentonnière, la recracher est impossible.
 
- Attention on te lâche ! Me disent les filles amusées.

Cette fois, je reste bien droit en essayant de me maintenir en équilibre avec les jambes, le fait de ne pas pouvoir les écarter ne m’aide pas. Pour comprendre imaginez que vous êtes assis sur un ballon avec vos pieds entravés devant vous et que vos bras sont limités dans les mouvements…….

Elles m’abandonnent à mes réflexions et à la concentration nécessaire pour ne pas que je me fracasse en tirant la porte derrière elles. J’ai voulu de la contrainte ABDL, je suis servi !

Muré dans le silence de mes pensées et ma position dès plus périlleuse, j’observe les lieux avec attention en essayant d’imaginer la suite de ce week-end que j’ai ardemment souhaité dépassant déjà de très loin ce que je m’étais imaginé.

 

Une envie d’uriner me vient, je me laisse donc aller bien volontiers dans la couche, chose déjà vécue en solitaire à la maison à la différence près qu’elle n’avait pas la taille de celle-là et que j’étais seul. Les yeux fermés je savoure cet abandon, ce qui s’avère être une grossière erreur car n’étant plus concentré sur mon équilibre l’appel du parquet est soudain inévitable.

Avec ce casque en guise de culotte, les mains et les pieds entravés, me relever est impossible. Vautré sur le côté à même le sol, je commence à me sentir un peu con. Que faire à par attendre qu’elles reviennent ? A force d’attendre, l’ennuie puis la somnolence s’installe lentement si bien que les filles me font sursauter à leur retour.

Et là, une nouvelle surprise m’attend ! Elles ont emmené avec elle un Youpala pour adulte ! Elles me libèrent les jambes, Anna m’attrape à bras le corps pour me soulever pendant que nurse Sabrina s’occupe de mes jambes qu’elle fait glisser dans son Youpala géant.

 

Youpala.jpg


- Avec l’argent que tu m’as donné en plus, j’ai pu m’offrir ce Youpi. M’indique nurse Sabrina. C’est un appareil modulable de verticalisation et de déambulation, style "youpala". Il est conçu pour faciliter la marche en position verticale. Il est équipé d’une tablette plexiglass
d’une culotte d’assise très large Appui dos et appui thoracique réglables permettant de maintenir la personne droite. Pour une nurse c’est génial. Je vais l’appeler le YOUP-ABDL ! Il a un dispositif de blocage des roues directionnelles permettant de bloquer les gros bébés adultes, nous avons modifié la culotte d’assise pour qu’elle soit très large et ne permette pas de marcher debout ainsi qu’une série de dispositifs d’entraves. L’adulte prisonnier d’un Youp- ABDL ne peut pas se lever et se déplace très difficilement tant ses jambes sont écartées. Avec tes poignets entravés, tu vas être aussi agile qu’un véritable bébé dans un Youpala.

 

Nurse Sabrina entrave mes bras sur le côté pendant qu’Anna règle le dispositif m’obligeant à rester bien droit. A peine terminé, elles m’offrent un tour de Youpala en m’emmenant dans la maison pour me conduire devant la table la cuisine. Un délicieux parfum de cuisine enflamme aussitôt mes papilles gustatives me laissant à penser que je vais faire un repas de roi. L’assiette de bouillie verte qu’elle pose devant moi avant de me mettre un bavoir n’a pas du tout l’aspect des fragrances de la cuisine. Nurse Sabrina me retire ma sucette et entreprend aussitôt de me faire manger en me mettant une cuillère de son infâme bouillie dans la bouche.

- Mais c’est dégueulasse !

- Tu parles trop pour un bébé, mange et tais-toi ! Me répond nurse Sabrina en me collant une seconde cuillère dans la bouche.

Comme c’est vraiment infect, je recrache sur le sol quand soudain, elle m’attrape par les cheveux et me colle deux gifles monumentales.

- Mais vous êtes conne ou quoi ?

Nurse Sabrina, furieuse, se lève aussitôt, m’attrape par les cheveux et m’incendie au sens propre du termes en me rappelant qu’on ne parle pas ainsi à la nurse qu’on a payé pour qu’elle vous fasse des choses de gré ou de force. L’homme ayant entendu les éclats de voix surgit dans la cuisine les poings serrés en demandant s’il y a un problème. Nurse Sabrina et Anna le rassure aussitôt en lui répondant que ce n’est qu’un léger souci d’éducation qui va être rapidement réglé.


Nurse Sabrina m’attrape par le cou et force ma tête en arrière en serrant ma gorge tout en présentant une cuillère de son infâme bouillie. Totalement piégé par mes écrits et mes demandes, je ne peux plus revenir en arrière. Le pire est que j’ai bien indiqué de gré ou de force, mais je ne m’attendais pas à prendre des gifles. N’ayant pas d’autre choix que d’abdiquer, je finis par ouvrir la bouche et manger, ou plutôt avaler le plus vite possible son infâme bouillie. L’assiette enfin terminée et raclée jusqu’au bout… nurse Sabrina me donne un biberon de son jus d’orange toujours aussi dégueulasse que j’aspire encore une fois rapidement pour m’en débarrasser.

- Bien, maintenant gros bébé nous allons commencer à entrer dans le vif du sujet. Déjà, avec ce que je t’ai mis dans la bouffe et les deux biberons, tu vas devenir totalement incontinent pour au moins 48 heures et pour te remonter le moral, je vais te donner le droit de fumer une cigarette. M’explique nurse.

Ce qu’elle vient de me dire va bien au-delà de ce que j’espérais vivre. Je m’attendais tout en le redoutant à vivre le solide de la couche, mais ici, je sens bien que les choses vont être très difficiles à vivre. Anna débloque les roues du Youpala pour me conduire au salon et m’installer devant la télé où défilent des dessins animés. Elle bloque les roues, me fait fumer et m’abandonne pour aller dîner en tirant la porte derrière elle.

Dans mon estomac, cela commence à gargouiller, je n’aime pas les médicaments et encore moins les drogues. Ne sachant ce qu’elle m’a donné, l’inquiétude commence à monter en moi. Tant bien que mal et avec beaucoup d’effort, j’arrive à m’approcher da la porte fermée pour essayer d’entendre ce qu’il se raconte et peut-être parvenir à en apprendre un peu plus ce sur ce qu’il va encore m’arriver ce week-end.

- S’il a payé le triple pour le week-end c’est qu’il peut faire mieux et pour plus longtemps. Explique le mari de nurse Sabrina

- Oui tu as raisons, surtout qu’il est célibataire.

- Nous avons ce qu’il faut pour lui donner des envies de plus. Pourquoi s’en priver ? Lui répond son mari, surtout que j’ai modifié la formule de ton laxatif en y ajoutant quelques trucs de ma composition personnelle qui force la régression et génère le bien être.

QUELLE HORREUR !!!!!!! Ce que je viens d’entendre me glace le sang.

………………………

La suite des aventures du gros bébé est publiée ICI  avec d'autres histoires érotiques parfois très hard

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Samedi 25 septembre 6 25 /09 /Sep 10:51

Le Daddy punit sa little par la couche

 

Le-Daddy-punit-sa-little-par-la-couche.jpg


J’avais 23 ans lorsque j’ai rencontré mon Daddy, mon Maître mon sadique, mon pervers Pépère sur Fessestivites et malgré nos différences d’âge, (il a 42 ans) j’ai trouvé en lui mon confort de vie. Avec lui j’ai tout, un père très protecteur mais sévère, un amant extraordinaire et un Maître aussi sadique que pervers qui m’a fait découvrir beaucoup de choses. Lorsque le soir je me love contre lui dans le canapé je ronronne de bonheur dans ma grenouillère pour adulte.

Je ronronnais nettement moins au début quand il me donnait des fessées mais je m’y suis habituée pour finalement y prendre goût. Mon erreur fut de lui dire sans aucune méfiance lorsqu’il ma demandé un jour si je faisais exprès de faire des bêtises. En exposant là mon masochisme je me suis non pas privée de fessée car il m’en donne bien volontiers avant de me faire l’amour comme un dieu mais, sans m’en rendre compte, je l’ai contraint à trouver un autre moyen de punir la grande ado que je suis parce que j’aime me conduire en gamine. Cela m’amuse qu’il s’occupe de moi mais aussi qu’il me dirige en jouant le rôle de mon père très souvent absent dans mon enfance et qui s’est barré de la maison quand j’avais 10 ans.

Comme le dit souvent Daddy, les punitions ne sont pas des jeux de coquins, de spanking ou BDSM, cela doit être désagréable sans quoi la fautive en profite pour satisfaire ses envies de soumission ou son masochisme.

Quand nous nous sommes amusés dans le monde ABDL découvert sur le site, il a testé comme punition le fait de m’imposer de porter la couche 24/24 le week-end me privant ainsi de gros câlins charnels et donc de jouissance. En grand pervers cela ne l’empêche pas de me donner à téter son « biberon » mais lui seul peut jouir. Par contre, il m’autorisait les toilettes pour faire caca car c’est vraiment un truc qui me dégoutte. Si à la maison je m’en moque car je prends plaisir à mouiller ma couche, là où j’aime c’est quand il me fait mettre une jupe courte pour aller faire les courses au supermarché avec une grosse couche.

La semaine dernière, j’étais à nouveau punie pour avoir délaissé la maison et jouer sur l’ordi Je n’ai rien trouvé de mieux samedi matin pendant qu’il n’était pas là de recommencer. Comme je ne sais pas m’arrêter, quand il est rentré de travailler j’étais toujours devant l’ordi en train de jouer, la maison était en bordel et le repas n’était pas prêt. Il n’a pas apprécié du tout ! Daddy m’a plantée là en me disant qu’il devait aller faire deux courses en m’ordonnant de me bouger le cul et au son de sa voix, cette fois je me suis transformée en une véritable fée du logis et une excellente cuisinière Vivagel.

A son retour une heure plus tard, en voyant son visage rieur je sentais bien qu’il se tramait quelque chose mais impossible d’en savoir plus. Le repas consommé, Daddy a décidé de s’occuper de son vilain bébé et même de lui donner la douche avec beaucoup de douceur. Cette douceur et son sourire m’inquiétaient ! Portée jusqu’à la chambre, j’ai compris à son attitude qu’il allait m’arriver quelque chose. Il m’a faite attendre 2 minutes nue sur le lit étendue sur une couche en m’ordonnant de ne pas bouger. Quand il est entré avec sa main dans le dos pour cacher une grosse poire à lavement que je n’ai découverte que lorsqu’il m’a fait relever les jambes. Mes réfutations n’ont rien changée, il me l’a collée dans les fesses en m’interdisant de bouger pour aller la remplir et m’en administrer une seconde.

A cet instant, je pensais qui allait me laisser aller aux toilettes pour me permettre d’évacuer mais non !!! Il a fait pire !!!!!!! Il m’a collé deux suppositoires à la glycérine avant de refermer la couche avec un certain empressement. J’ai eu beau le supplier, lui promettre que je serai sage, que je ne le ferai plus, quand Daddy a décidé plus rien ne l’arrête.

 

Ce grand pervers m'a ensuite mis un de ses pantalons avant de sortir une chaîne de son sac qu’il a passée comme une ceinture avant d’y poser un cadenas. Dire que j’étais furieuse est un euphémisme mais cela ne l’a pas arrêté du tout. Il a ensuite démonté la serrure des toilettes et de la salle de bain dont il avait fermé les portes avant de m’annoncer qu’il allait faire un tennis avec des potes en me souhaitant une bonne après-midi de jeu sur l’ordinateur.

Je n’étais pas fière car connaissant mon Daddy je me doutais qu’il allait réellement le faire et malgré mes suppliques désespérées il s’est barré !

 

A suivre ICI

 

 

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Mercredi 16 janvier 3 16 /01 /Jan 17:06

Rêvant que sa femme le domine, un homme se féminise et fait du selfbondage avec des sextoys et une couche. Piégé suite à une erreur fatale, il sera humilié et va vivre bien plus que ses fantasmes.

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Je me suis fait piéger et humilier à cause du plus gros site de selfbondage du monde. Il y a tellement de vidéos, de photos, d’histoires érotiques et de scénarios en plus du forum sur Fessestivites.com que je n’ai pas pu résister à l’envie d’essayer.


Ci-dessous mon histoire


Ma femme étant partie à Londres pour deux jours, J’ai décidé de réaliser mes fantasmes sur la durée. Comme je n’envisage pas de tromper ma femme même si sexuellement elle est plutôt du style « bloquée », la seule solution est donc de m’amuser tout seul et en cachette. J’avoue que ma timidité et la peur de la perdre sont aussi des freins à l’envie d’aller voir une professionnelle ou ailleurs.


J’ai donc commencé par mettre de la lingerie féminine. Je me lançais comme défi d’aller acheter quelque chose avec des sous-vêtements féminins. A mon retour, c’était la fête à Popaul…. A la suite de quoi, j’ai aussi testé la cage de chasteté. Toutes ces photos et vidéos puis histoires érotiques de Fessestivites m’avaient donné envie de tester pour voir. Je n’ai jamais été capable de tenir plus d’une soirée avec la cage. Je me suis donc commandé un coffre électronique sur ABCplaisir pour parvenir à tenir 36 heures. La première fois que j’ai mis les clés dedans, j’ai plus regardé le compteur que les films....


Grâce à lui, j’ai quand même pu découvrir les sensations de frustrations éprouvées puis les sensations physiques. Je n’ai retirée la cage de chasteté qu’une demi-heure avant l’arrivé de l’avion de ma femme à Orly. Cette demi-heure est le temps qu’il me faut pour aller la chercher. J’ai donc été chaste jusqu’au soir où nous avons fait l’amour. J’ai honte de l’avouer, mais ce soir là, je l’imaginais en Maîtresse m’obligeant à lui lécher le chaton en plus des caresses avant de la prendre. Un goujat oui un peu, mais si elle était moins bloquée, je ne l’aurais pas été.


Au fil du temps et de ses voyages professionnels réguliers, je suis devenu bon client chez ABCplaisir. Je fais tout livrer en poste restante par sécurité, ce serait un véritable drame si elle ouvrait un colis à mon nom avec des sextoys. Rien que d’imaginer sa tête avec un plug et des pinces à sein dans les mains, j’ai peur !

Voir des vidéos et photos de mecs attachés en couche m’a aussi titillé. Je trouve que pour humilier un soumis, lui imposer de se faire dessus dans une couche est le top. Internet est mon ami, car aller acheter des couches dans un magasin était pour moi impossible. Là aussi j’ai testé pour voir. Sans un jeu de contrainte, je ne suis jamais parvenu à faire pipi dans la couche.


Pour parvenir à m’obliger à… j’ai donc fait une ceinture de chaîne à mon pantalon et j’ai mis les clés dans le coffre électronique. Là, je n’ai pas eu d’autres choix que de dire « amen » à ma timidité, ma pudeur, ma gêne aussi ! C’est ma vessie qui a gagné un combat qui fut rude, mais à l’impossible nul n’est tenu. Après deux jeux de ce style, comme j’ai bien aimé les sensations, je mets parfois des couches et une culotte en plastique sans faire de selfbondage. Une fois j’ai bien failli me faire piéger. J’avais jeté la couche dans la poubelle (logique) mais rien dessus pour la cacher. Elle aurait pu la voir quand elle a débarrassé la table. OUF !

La problématique du selfbondage, est que c’est comme une d r o g u e. Quand on y a goûté, on a envie de recommencer, de faire de plus en plus long et compliqué. On a envie d’ajouter des choses pour avoir toujours plus de plaisir. Des fois cela fait un peu mal, mais le fantasme aidant, la douleur n’est rien à côté des plaisirs éprouvés.

Pour corser les difficultés, j’ai commencé par additionner les sextoys et les conditions d’auto libération. Des ice-timer ( blog de glace emprisonnant les clés), j’en ai fait des tonnes en plus du coffre électronique contenant les clés de ma cage de chasteté. Pourquoi en faire plusieurs ?


En fait c’est simple et logique. Un exemple :

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient les menottes bloquées au lit.

- Un pour les clés des menottes que j’ai dans le dos

- Un pour les clés du cadenas qui tient la chaîne qui tient mes chevilles et qui m’empêche de marcher normalement.

 

Quand on a une cagoule et que les clés du cadenas sont dans le garage, le déplacement est amusant. (Surtout quand on a envie d’aller faire pipi...)


ET, quand on est enfin libre, on va voir le coffre électronique qui affiche encore 12 heures d’attente pour pouvoir récupérer les clés de la cage de chasteté.


Au fil du temps, j’ai aussi ajouté des sextoys vibrants. Une paire d’œufs vibrants dans la couche sont attachés à ma cage de chasteté, des fois j’ajoute un plug vibrant derrière par exemple. Vibrer pendant l’attente cruelle est…. Hummm tout comme pendant que vous rampez comme un vers pour aller chercher des clés. Faire pipi couche attaché avec des trucs qui vibrent de partout est bien bon en terme de sensations, je vous recommande d’essayer.


J’ai joué aussi une fois avec le lavement. J’en fais toujours un avant de me mettre des trucs dans les fesses. J’ai lu une histoire érotique de selfbondage sur un mec qui s’était amusé avec ça. Après mon lavement, j’en ai fait un deuxième que je n’ai pas rejeté avant de mettre une couche et de faire un selfbondage. Si la sensation a été énorme quand j’ai craqué en rampant vers les clés, je n’ai pas aimé le résultat !!!! J’ai lu quelques temps plus tard sur le forum qu’il faut en faire plein avant de jouer comme ça, mais je n’ose plus.


LE DRAME DE LA SEMAINE DERNIERE


- Oui chérie, pas de problème, je serai à Orly au point de rendez-vous habituel. Tu m’envoies un texto en partant de Londres s’il y a un retard !

- Promis chéri, en plus, j’ai une surprise pour toi que j’ai trouvé dans un magasin informatique ! M’a répondu ma femme.


Après cet échange téléphonique, l’envie de profiter de ma dernière nuit et journée de liberté me taraudait. C’était son dernier voyage avant l’été, deux mois sans jouer…. : un de vacances + un où elle rentre tous les soirs puisque en août, il ne se passe rien d’important dans le monde de la finance.


Je voulais, avant cette pause, me faire une grosse compilation de délires. Un œuf vibrant dans les fesses en plus de mon dernier plug, une couche sous des sous-vêtements féminins et des collants et, dans la couche, un petit magic wand à pile qui titillerait ma cage de chasteté. Pour jouer un peu sur la douleur/plaisir, j’ai bloqué des pinces à sein dans le soutien-gorge avant de sortir les blocs de glace. Il était 22h30 quand j’ai arrêté de surfer les vidéos de selfbondage de Fessestivites.


Je ne sais pas si c’est la douleur aux tétons qui est la cause de mon erreur, mais c’est en plaçant les blocs de glace que j’ai « « merdé » » grave !!!!!!! Ne voulant pas tricher, je me suis donc pressé en me disant que la douleur allait s’atténuer.


Ci-dessous mon plan :

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à attendre couché dans le salon était accroché à la chaîne du pilier. Une fois fondu, j’allais pouvoir ramper.

- Les clés de mes menottes étaient dans la chambre d’amis. Une fois les mains libres, je pourrai chercher celles du cadenas de ma cagoule que j’avais suspendues au lustre du salon.

- Le bloc de glace avec les clés du cadenas m’obligeant à garder les pieds liés étaient dans le garage.

- Le cadenas électronique, (ma dernière acquisition) maintenait la chaîne utilisée en guise de ceinture à mon short. Même libre, j’allais devoir attendre presque mon heure de départ pour pouvoir retirer la couche et prendre une douche.

- Les clés de ma cage de chasteté étaient dans le coffre électronique, il ne s’ouvrirait qu’à l’heure de départ pour aller à l’aéroport.


Le plan était long et compliqué certes mais allait être grisant. Je pensais m’offrir trois heures de délire pour parvenir à me libérer de tout sauf de la couche et de la cage dans la dernière ligne droite c'est-à-dire midi.

Au début, grisant cela l’a été. J’ai du jouir dans ma cage de chasteté tant c’était fort quand j’ai fait pipi dans la couche avec le magic wand qui vibrait contre elle. Les vibrations de l’œuf dans mes fesses en même temps que les contractions sur le plug, sont sûrement la cause de cette jouissance qui m’a terrassé.


Le problème est que les sextoys n’ont pas d’intelligence artificielle ! Les vibrations ne se sont pas arrêtées et les pinces sur mes tétons sont restées en place après ma jouissance titanesque qui a généré des contractions et des spasmes pendant longtemps.


Tout cela commençait à devenir douloureux. J’ai donc envoyé les mains vers le glaçon, il n’avait pas fini de fondre. GRRRR. En me gelant les doigts, j’ai réussi à diminuer son temps de fonte. J’ai galéré un moment pour essayer d’ouvrir le cadenas de la chaîne. Impossible de faire rentrer les clés dans la serrure.


L’HORREUR

Après une heure de vaines tentatives j’ai compris mon erreur. Ce n’étaient pas les clés de ce cadenas. Elles étaient beaucoup trop grosses ! ! ! ! La première chose que j’ai fait, c’est de tirer sur mes entraves comme un malade. Sauf que les chaînes, c’est du solide et à part me faire mal, je ne suis arrivé à rien.


J’en ai pleuré de rage en pensant que tôt ou tard ma femme allait me découvrir attaché, féminisé et en couche avec tous mes délires. Ce fut bien pire !


Je commençais à avoir froid et mes tétons me faisaient payer le fait que cela durait trop longtemps et qu’à chaque mouvement, je les écrasais. Mes tentatives d’auto libération étant vaines, j’ai essayé de trouver une position qui ne soient pas trop inconfortable. Le froid cela donne envie d’uriner, je n’ai jamais autant pissé que cette nuit là. Si je n’ai pas vu le soleil se lever à cause de la cagoule, j’ai bien senti à la température ambiante que l’heure de ma condamnation avançait.


Quand j’ai entendu comme le glas, le bip du cadenas électronique maintenant mon short au dessus de ma couche, j’ai pu savoir l’heure. Il était 11 heures 30. Normalement, à cette heure, j’aurai du être libre, avoir déjeuné et être en train de prendre ma douche. Au lieu de ça, j’attendais couché par terre dans le salon sans rien pouvoir faire d’autre que de maudire ce putain de site fessestivites qui donne trop d’idées et d’envies. J’ai aussi maudit ABCplaisir car leurs menottes sont de trop bonne qualité.


Une bonne heure plus tard, mon téléphone portable a sonné plusieurs fois ainsi que le téléphone fixe. Même si j’avais une cagoule d’isolation BDSM d’ABCplaisir sur la tête, je savais qui s’acharnait ainsi pour me joindre.

……………………… ;

En désespoir de cause, Lisa a contacté son frère qui est un psychiatre aussi fou que ses patients. Pour ma femme, il ne pouvait que m’être arrivé un accident. Le docteur Maboule (c’est le surnom que je lui ai donné) a donc fait sauter sa pause déjeuner pour aller la chercher et la ramener à la maison.


Elle s’est mise à hurler quand elle m’a vu.

Elle s’est précipitée sur moi pour me serrer dans ses bras. (en écrasant mes pinces à sein)

Elle a incendié son frère qui ne faisait rien. (Même à travers la cagoule j’entendait tout)

Elle a essayé de me libérer en vain.

Elle a incendié son frère qui était plié de rire.


Les cris de ma femme se sont arrêtés presque d’un seul coup. Le docteur Maboule parlait et rigolait. Il n’avait trouvé pas très logique que des clés soient accrochées au lustre du salon ainsi que ma tenue un peu particulière. C’est lui qui a testé les clés qu’il avait trouvées sur tous mes cadenas et qui m’a retiré ma cagoule.


Le docteur Maboule a alors expliqué à ma femme ce qu’il m’arrivait réellement. A son cabinet, les patients lui racontent beaucoup de choses. Les explications de cet abruti ont été très médicales version psy démonté par trois boites de valium. J’ai du lui dire où se trouvaient les autres clés pour qu’il puisse me libérer, cette question a été la première dés plus gênantes.


Alors qu’il me libérait et que ma femme pleurait, le docteur Maboule a continué de commenter les fétichismes et mes jeux comme pour la rassurer. Je doute que cela l’ai convaincue mais ce que je peux affirmer c’est que Freud à côté de lui ne devait être qu’un débutant. Tout y est passé ! Mon besoin de me féminiser, cette part de féminité cachée qui .... puis la couche en référence à un soi-disant traumatisme de mon e n f a n c e.


Lisa ne pleurait plus, mais au fur et à mesure des savantes explications, son visage se décomposait. Elle semblait me prendre pour un extraterrestre ou un grand malade bon pour la camisole.


Comment ai-je pu vivre avec lui dix ans et me rendre compte de rien ? Fut une de ses questions récurrentes.

Le docteur Maboule s’est excusé de ne pas pouvoir ouvrir le coffre électronique posé sur le bureau du salon et de ne pas savoir à quoi correspondait les clés qui étaient à l’intérieur. J’étais encore féminisé, en couche assis par terre et très mal à l’aise. J’ai alors répondu « joker » en pensant que cela suffirait.


Lisa ne l’a pas entendu comme ça, elle s’est levée pour venir me secouer comme une malade en criant que je devais tout avouer et qu’au point où elle en était, plus rien ne l’étonnerait dans mes débilités.


- C’est pour ne jamais te tromper ma chérie !

- Tu te fous de ma gueule en plus ? A hurlé Lisa en m’envoyant une gifle d’une puissance que je ne lui connaissais pas.

 

Le docteur Maboule est intervenu sans tarder pour attraper sa soeur bien décidée à passer ses nerfs sur moi. C’est là que je leur ai annoncé que je portais effectivement une cage de chasteté par amour de ma femme.

Il y a eu un gros blanc et un gros mensonge.


Je lui ai expliqué que j’avais d’énormes envies sexuelles et que, pour ne pas me masturber en son absence, j’enfermais les clés de ma cage de chasteté dans un coffre électronique. Elle y a cru et le docteur Maboule aussi MDR. Il a même ajouté encore une fois sa science sur les besoins sexuels différents des hommes que certains cherchaient à contenir.

Le « frèro Maboule » rassuré nous a laissé régler cette histoire privée et intime (tu parles) pour retourner à son cabinet. je suis sûr qu’il est allé consulter un de ses confrères pour se remettre de cette aventure et qu’il a envie d’essayer tout ça si ce n’est pas déjà fait !


Lise, qui d’habitude est « coincée du cul » a tenu à m’accompagner à la salle de bain. Après dix ans de mariage, dans le couple la pudeur c’est, en principe, envolée. Sauf que là, j’étais très gêné. C’est donc devant ma femme que j’ai retiré le soutien-gorge en premier, ils n’avaient pas vu les pinces à sein. En me voyant souffrir comme jamais, elle a rigolé. Je peux vous affirmer que porter des pinces à sein douze heures, quand on les retire, les yeux coulent même si on n’est pas une mauviette.


Quand j’ai retiré les collants féminins, elle était aussi amusée et n’a pu se retenir de me dire que j’étais très belle comme ça. Lorsque j’ai retiré la couche, elle n’a pas aimé l’odeur mais elle est restée pour voir la cage de chasteté. Et là, elle a découvert les oeufs vibrants et le plug vibrant que j’avais dans les fesses. Son premier geste a été de mettre sa main devant sa bouche en me regardant comme si j’arrivais de la planète Mars.


Lisa m’a ordonné de retirer tout ça puis de me doucher et de rester nu pour aller la rejoindre. Si la douche fut salutaire à mon corps, tout comme un passage aux toilettes, dans ma tête je m’attendais à une demande de divorce ou à une obligation de soins psychiatriques ou les deux. Connaissant ma femme qui est connue pour avoir une main de fer dans les agences bancaires qu’elle dirige, puis aussi un peu à la maison, je ne savais pas à quoi m’attendre mais la discussion à venir ne pouvait pas bien se passer. C’est donc comme un gamin pris en flagrant délit et nu comme un vers que je me suis rendu au salon voir « la commandante ».


- Mets-toi à genoux devant moi ! M’a ordonné Lisa à mon arrivée.

- Pardon ?

- Tu as très bien entendu. Alors si tu ne veux pas que je demande le divorce en expliquant, bien sûr, les motifs à ta famille, il est préférable pour toi de jouer profil bas. Malgré les informations scientifiques de mon frère, il y a un certain nombre de choses que je viens de comprendre toute seule. Tu rêves d’être soumis et que je sois ta Maîtresse. J’aurai du me méfier quand, il y a quelques années, tu m’as parlée de ces fantasmes et délires, quand tu voulais m’attacher pour faire l’amour. En fait, tu voulais me donner envie de le faire sur toi. Vrai ou faux ?

- C’est vrai chérie que j’ai quelques fantasmes.

- QUELQUES ? M’a répondu Lisa en criant ! Alors tu vas tout me raconter de A à Z de ce qu’il t’est arrivé aujourd’hui en détail. Je veux vraiment tout savoir et que tu ne me caches rien.

- C’est très gênant chérie !

- Découvrir avec mon frère, mon mari attaché habillé en femme avec une couche et d’autres bricoles n’est pas gênant pour moi ?

- Si, j’en conviens et je m’excuse chérie. Pardonne-moi s’il te plait.

- Raconte-moi tout et arrête de m’appeler chérie, pour le moment ta chérie elle a envie de te mettre des baffes et de divorcer.


Aux pieds du mur, ou plutôt, ceux de ma femme qui avait l’air aussi aimable que le mur de Berlin en pleine guerre froide, j’ai donc dévoiler presque tous mes fantasmes et petits délires. Je lui ai expliqué que le selfbondage avait été une alternative pour moi, me permettant d’assouvir mes envies sans jamais la tromper comme font souvent d’autres hommes moins respectueux.


- Ah, tu as des informations aussi sur ça en plus de toutes tes idées aussi farfelues les unes que les autres ? Et tu sais ça comment ?


Et « Mer... » j’avais trop parlé. Je lui ai donc parlé de Fessestivites où j’avais vu des annonces de mecs cherchant à jouer en toute discrétion. Elle a voulu voir le site et que je me connecte avec mon pseudo. La première chose qu’elle a regardé ce sont mes messages privés. Comme il n’y en avait pas, elle m’a demandé si je les avais effacés. Ma réponse a été simple et convaincante : « comment aurais-je pu le faire en étant attaché » ?


Lisa a consulté l’historique de mon navigateur, puis demandé de lui faire un thé pendant qu’elle étudiait « tout ça ». Ma demande de me vêtir a été refusée, elle me trouvait bien à poil et se moquait royalement que je sois gêné. A mon retour avec son thé, elle m’a envoyé préparer le repas du soir. En clair, elle voulait surfer en paix.


- Met du champagne au frais ! M’a crié ma femme.


Alors que je mettais les petits plats dans les grands, que j’essayais de faire le meilleur des dînés que je n’avais jamais préparé, j’ai eu l’impression d’être observé. Lorsque je me suis retourné, j’ai vu ma femme appuyée contre le chambranle de la porte en train de fumer une cigarette, chose rare. Son regard amusé m’a à peine rassuré.

 

- Tu sais chéri, que tu as une femme qui est peut-être prête à écouter tes fantasmes sans les juger ? M’a lancé Lisa comme ça, comme si cette conversation était tout à fait normale avant d’ajouter que le tablier de cuisine mettait bien mes fesses en valeur.


Et là, elle a attrapé le tablier de cuisine et me l’a mis en me disant de nous servir le champagne et de la rejoindre lorsque mon plat serait dans le four. Autant dire que je me suis posé des milliers de questions. Brûlant d’impatience, je n’ai pas tardé à servir le champagne même s’il n’était que 17 heures. Vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur du bureau, elle a attrapé sa flûte en me disant « trinquons à notre nouvelle vie ».

 

- Bon, par où commencer ? Disons que sur l’ordinateur j’ai compris à tes surfs que tu ne cherchais pas à me tromper.

 

La fonction recherche sur les forums m’a permise de découvrir que, d’après toi, les soumis avaient beaucoup de chance d’être malmenés par leurs Maîtresses. Que les Keyholder, mot nouveau pour moi, étaient considérées comme des reines et que tu en rêves. A partir de ce soir, je vais donc être une reine à tes yeux et garder les clés de ta cage de chasteté.


- Chérie, tu sais, entre les écrits fantasmagoriques et la réalité, les internautes écrivent...

- Ne me coupe pas la parole. Ce que je n’ai pas aimé lire DU TOUT, c’est que tu estimes que je suis une femme coincée et en plus, tu oses le dire à tout le monde sur ce putain de site ! Nonobstant le respect que tu me dois et la discrétion qui sied à mes fonctions professionnelles, tu oses également me décrire physiquement dans une de tes histoires érotiques en indiquant « ma banquière » est sévère. Ah tu rêves que je sois sévère, cela ne va pas être un problème, nous allons commencer par un mois de chasteté.

- Chérie, un mois c’est énorme, je ne tiendrai jamais !

- Mais si, il y en a qui sont chastes bien plus longtemps. Va me chercher tous tes jouets, j’ai bien dit tous, si tu en oublies ne serait-ce qu’un et que je le découvre, ce sera deux mois de chasteté. File !

 

Toujours à poil, hormis le tablier de cuisine, je suis donc parti chercher mes accessoires bricolés, mes sextoys et mes couches puis ma culotte en plastique avec les deux autres paires de collants. Dans ma tête c’était Hiroshima.


- Il manque le soutien-gorge ! A crié ma femme quand j’ai tout posé par terre.

- Il est dans le panier à linge ! Me suis-je excusé.

- Ma flûte de champagne est vide, est-ce normal ?

- Non chérie, je vais de suite en chercher.

 

A mon retour, Lisa m’attendait toujours vautrée dans le fauteuil de l’ordinateur sans culotte et jambes écartées. Elle testait le petit magic wand et semblait le trouver à son goût. Mon coeur s’est emballé y compris dans ma cage de chasteté !

- Mais c’est bon ce truc ! Pourquoi ne m’en as tu pas parlé ?

- Je n’ai pas osé !

- Tu voulais le garder pour toi avoue ! Allez, fait-toi pardonner, j’ai envie de ta langue là ! M’a indiqué ma femme en désignant son intimité.

 

Jamais je n’aurai cru ma femme capable de cette attitude. Je la croyais coincée et là, elle se masturbais sous mes yeux. D’un claquement de doigts, elle a réitéré son ordre de lécher son intimité. Je me suis donc agenouillé pour oeuvrer comme demandé, en étant très gêné même si j’avais rêvé de cette situation. J’avais mon sexe sous cage de chasteté et ma langue jouait les phallus pendant que juste sous mes yeux, elle titillait son clitoris avec le magic wand massager.

 

Lisa a pris un pied d’enfer en plaquant ma tête contre son intimité chahutée et parfumée par son excitation qui me semblait démesurée. Comment se pouvait-il qu’elle s’éclate alors que pour moi, notre couple était sur la sellette. J’avais souvent rêvé de cette situation et là, elle ne me faisait rien, je n’avais aucune excitation.

- Humm, c’était bien bon, va me faire couler un bain, j’ai vraiment besoin de me détendre. Ensuite tu mettras la table avec des bougies. Nous allons fêter notre nouvelle vie.


EPILOGUE


Lisa est devenue gynarchiste, elle m’aime toujours autant mais autrement. Personne ne sait rien de notre vie, extérieurement, rien n’est affiché. Elle n’a pas souhaité que je l’appelle Maîtresse. Je suis sous cage de chasteté 24/24 sauf pendant les vacances ou quand Madame a des envies. Le côté ABDL ne la branche pas du tout, sauf la nuit.

Il faut que je vous parle de mes nuits !


Quand Madame a des envies, soit elle se fait brouter le minou ou me laisse la prendre, c’est aléatoire. Par contre, nous faisons chambre à part à cause de mes ronflements. Elle a instauré un rituel que nous fassions câlin ou pas. Tous les soirs sans exception, je dois aller me coucher dans la chambre d’amis où les entraves sont installées à demeure. Je dois me mettre en couche et m’entraver pour la nuit. C’est Lisa qui vient me libérer ou, le week-end, qui pose le cadenas électronique en calant l’heure de son petit déjeuner au lit.

Moi je vous le dis, nos femmes ne sont pas aussi prudes que nous le pensons !

TSM


NOTE DE L’AUTEUR

Ce récit est une oeuvre de pure fiction. Par conséquent toute ressemblance avec des situations réelles ou avec des personnes existantes ou ayant existé ne saurait être que fortuite.

 

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Mardi 1 mars 2 01 /03 /Mars 12:16

Un lavement pour un vilain bébé adulte

Comme presque chaque vendredi, j'arrivai vers les 18h30 chez nurse Philippa pour y passer la nuit. Le rituel était bien connu. A partir du moment où je franchissais la porte je devenais un petit de deux ans à peine, je n'avais plus le droit de parler adulte, seuls quelques mots étaient autorisés : manger, faim, pipi, caca, mal au ventre, jouer...

Immédiatement je devais me préparer pour le bain du soir. Mes vêtements me seraient rendus le samedi en fin de matinée. Pendant que je me déshabillais, ma nurse faisait couler le bain, juste une dizaine de centimètres pour barboter, et tout de suite entreprenait de me laver comme on le fait pour les bébés. Pas un recoin n'était épargné par l'éponge, surtout le zizi. Elle m'expliquait l'importance de l'hygiène et se faisant finissait par me faire bander. C'était le signal immédiat de la fin du bain !

Après m'avoir copieusement talqué et mis de l'eau qui sent bon, en particulier sur le zizi, ce qui me provoquait irrémédiablement une nouvelle érection, elle me demandait de l'allonger sur le lit pour me mettre un change complet spécial nuit, plus une couche droite pour mieux me protéger. Là dessus, elle me passait ma culotte carreau rose vichy et un body fermé à l'entrejambe pour couronner le tout.

C'était alors l'heure du repas : assis sur la chaîne haute avec mon bavoir pour protéger le beau body aux motifs ornés de dauphins, j'avais le droit à un vrai repas de bébé : petits pots de légume et poisson ou blédine, suivi d'un petit pot de compote pomme-poire et le tout arrosé d'un grand biberon d'eau. Généralement je n'étais pas sage, et avec les mains, je jouerais avec la cuillère renversant une partie de son contenu : mécontante cela se finissait toujours par le fait qu'elle m'attachait les mains derrière le dos et elle me promettait une bonne fessée avant le dodo. Ce n'était pas pour me déplaire !

Ce vendredi là j'avais décidé de la fâcher un peu plus. Comme je ne pouvais plus utiliser mes mains, je décidais de me laisser remplir la bouche avec cette horreur de limande-épinard et tout recracher d'un coup. Il y en avait plein la cuisine.

Quelle ne fut pas ma surprise. Elle ne dit rien mais le repas s'arrêta aussitôt. Mais au lieu de me détacher les mains comme d'habitude, elle m'amena directement dans la chambre à coucher et bizarrement me déshabilla. Alors elle prit mes deux chevilles, les remonta au niveau des épaules, attacha-le tout aux barreaux du lit cage et partit. J'étais inquiet, n'étais-je pas allé trop loin ?

Quelques minutes plus tard, elle revint avec un broc comme on en utilise pour faire des lavements, mais aussi avec un truc bizarre en caoutchouc comportant deux poires comme celles que les médecins ont pour prendre la tension.

- Tu as été très vilain ce soir et j'ai décidé de te punir autrement qu'avec une fessée puisque tu sembles aimer cela. Tu vas avoir un lavement et je te promets que tu vas t'en souvenir. L'instrument que tu vois s'appelle un double-bardex, il est fait pour que tu évites d'en mettre partout comme ce soir.

A l'aide d'une crème elle me lubrifia le trou des fesses et enfila le "bardex" qu'elle se mit à gonfler dans mon colon. Elle relia le tuyau du broc et ouvrit le robinet.

- Tu vas voir, au début ce n'est pas désagréable, mais au bout d'un litre, tu vas changer d'avis. Il y a deux litres d'eau chaude mélangée avec du savon de Marseille, je te laisse...

Quelques minutes après les premières crampes se faisaient cruellement sentir et je regardais avec effroi le niveau de l'eau diminuer trop lentement pour que la suite puisse ma rassurer.

De manière instinctive, je tentais de pousser pour expulser tout cela. Rien à faire, le Bardex jouait pleinement son rôle. Pas une goutte ne sortait de mon intestin. Après dix minutes, elle revint et détacha le flexible du broc du Bardex mais laissa le Bardex en place. Elle me remit couche et culotte en plastique, déplia mes jambes, laissa mes mains attachées aux barreaux et ferma la lumière. Je souffrais de crampes, j'avais envie d'aller aux toilettes, j'en avais mal au cœur. Je criais qu'elle me laisse aller faire mes besoins mais elle fit, je suppose, semblant de ne rien entendre. Mes hauts le coeur se faisaient plus puissants.

Après un bon quart d'heure elle me détacha, me déshabilla et me mis sur le pot pendant deux minutes. Je devais vider tout ce que je pouvais car ensuite ce serait trop tard ! Quel soulagement, deux crampes me firent expulser cette satanée eau, je pensais en avoir fini.

Immédiatement, elle me remit mes couches, doubla la culotte en plastique, me remit au lit et ferma de nouveau la lumière. Je ne devais la revoir que le lendemain.

Après dix minutes, les crampes reprirent de plus belle mais je n'avais rien pour empêcher d'expulser. C'est donc honteux que je fis pour la première fois un gros caca dans la couche.

Cela dura encore une demi-heure avant que tout se calme. J'étais sale et je savais que ma couche ne serait pas changée avant le lendemain matin. De manière curieuse j'aimais cela, sentir cette masse sur mon derrière. Seule l'odeur était pénible.

J'ai eu évidemment beaucoup de mal à m'endormir, mais finalement c'est bien Philippa qui me réveilla le lendemain. J'ai du prendre mon grand biberon de lait dans cet état, avant qu'un bain salvateur ne me rendit à mon était d'origine.

Ah oui, j'avais oublié, le plus dur fut de laver moi-même la culotte en plastique qui avait bien protégé le débordement de la couche.

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 09:17

Réinsertion musclée et troublante

Prologue

Un roman à rebondissement multiples avec de la fessée, de l'ABDL, du plaisir saphique mais également bien d'autres surprises qui ne devraient pas laisser le lecteur de marbre de par les multiples contraintes. Vous allez être plongé dans une histoire en milieux carcéral qui chamboule les préjugés.

.......................................

Sabine est le profil type des jeunes filles de la délinquance juvénile, elle a toujours été une rebelle en perdition. Au niveau de ses études, disons plutôt de sa scolarité, c'est un échec total, à 18 ans son niveau scolaire n'est même pas celui de la sixième. Ce qu'elle a oublié, c'est que qu'à 18 ans, vis-à-vis de la loi toute personne est civilement responsable de ses actes. C'est ce que lui rappelle le juge du tribunal lorsqu'il lui annonce qu'elle est condamnée.


Il lui propose deux choix, une année d'incarcération au centre de réinsertion avec remise à niveau ou cinq ans de prison ferme. Cette proposition il ne l'a fait pas à tous les délinquants mais parce qu'à la lecture du dossier familial de cette jeune fille dont le père a l c o o l i q u e est décédé après avoir pendant des années battu sa femme et sa progéniture. La mère pour s'en sortir et nourrir sa famille a fini par faire le tapin, comment grandir correctement dans un tel milieu ?


Entre un an et cinq ans de prison, Sabine en larme n'hésite pas un instant, elle veut s'en sortir et retrouver sa liberté le plus vite possible quoi qu'il lui propose. La teuf lui manque déjà tellement après deux mois de préventive. Son incarcération définitive se fera donc au centre appelé "Le château des anges déchus"

.......................................

Lors de son incarcération au centre, Sabine est prise en charge dès sa sortie du fourgon de police par une équipe musclée et rompue à l'arrivée de filles révoltées, ou cassées par la vie. Mises en rang, les huit filles se doivent d'écouter le "discours de bienvenue" de Max, le directeur du centre.

 

- Mesdames, mesdemoiselles je vous souhaite la bienvenue au centre. Je vous souhaite également de profiter de cette opportunité que vous a accordée le juge pour vous aider et de vous en sortir. Sachez qu'ici la discipline peut être de fer en fonction de vos attitudes. Toute mon équipe préfère vous apporter de l'aide et du réconfort plutôt que de vous punir mais n'hésitera pas à le faire si besoin est. Soyez sages et nous serons vos alliers, provoquez-nous et nous vous ferons regretter d'être nées. J'espère avoir été bien compris.

 

C'est sur ces mots très clairs que le directeur tourne les talons et quitte la cours d'accueil en laissant les filles en plein désarroi. Les gardes guident les filles abasourdies par ce discours vers le centre médical. Assises sur un banc, elles sont appelées une à une par une mégère taillée comme un docker en uniforme. Les cris de la première filtrent à travers la porte de l'infirmerie créant un mouvement de panique chez les rebelles. Portée par les bras, la première sort en larme, elle est portée manu militari vers un lieu inconnu dont la première et solide porte grillagée est verrouillée après son passage. Le nom de famille de Sabine commençant par un A, elle est appelée la deuxième. Tétanisée par la peur, elle peine à se lever et à franchir la porte de ce qu'elle imagine déjà être l'enfer. Elle entre dans l'infirmerie dont les fenêtres sont grillagées, deux gardes bras croisés appuyés contre le mur sont présents.

 

- Mademoiselle, déshabiller-vous, nous allons pratiquer la visite médicale d'incarcération dans notre centre disciplinaire. Elle est fort simple et pas douloureuse, sauf si vous faites comme l'idiote qui est passée avant vous ! Lui indique la mégère bâtie comme un docker.

 

Sabine obtempère et retire ses vêtements en ne gardant que son soutien-gorge et sa petite culotte.

 

- Je crois vous avoir demandée de vous dévêtir ! Indique la mégère en enfilant des gants chirurgicaux.

- Mais ils ne peuvent pas assister à ça ! Répond Sabine abattue et gênée.

- Ils en ont vues d'autres, ne vous inquiétez pas !

 

Les cris de la fille précédente freinent son envie de rébellion, de les envoyer paître. La m o r t dans l'âme, ses mains commencent à décrocher son soutien-gorge avec beaucoup de peine avant de dévoiler sa jolie poitrine en forme de poire devant les gardiens qui ne loupent rien. Pour la culotte, les mains de Sabine semblent ne pas pouvoir la faire glisser sur ses hanches, un rappel à l'ordre de la mégère lui demandant si elle a besoin d'aide lui fait peur, elle tourne le dos aux gardiens et parvient à la faire glisser sur ses magnifiques cuisses admirablement dessinées par la mère nature, tout comme son fessier si délicat à regarder.

 

Prestement penchée sur une table, la visite médicale commence aussitôt. L'infirmière met un peu de lubrifiant sur ses orifices intimes avant d'enfoncer deux doigts dans son vagin à la recherche de produit illicites. Pour Sabine, cette fouille intime est abominable à vivre, elle se contracte et souffre mais la mégère n'en a que faire. Son orifice anal est rapidement visité, elle n'a rien vu venir, l'infirmière est habituée à agir rapidement pour limiter les rébellions.

 

Sabine n'a jamais eu aussi honte et pleure à chaudes larmes sous l'intrusion obscène. Après ça, le thermomètre planté dans ses fesses est presque une formalité dans sa déchéance. La prise de s a n g imposée et l'observation de sa cavité buccale sont si peu de choses par rapport à l'humiliation, qu'elle ne réagit plus. Les deux gardiens précédents entrent et rejoignent leurs collègues appuyés au mur. L'un d'eux sifflent en la voyant nue, son commentaire pourtant élogieux sur sa beauté broie ce qu'il restait de fierté à Sabine, du moins le pense t-elle. L'infirmière lui demande si elle souhaite aller aux toilettes en désignant un wc sans porte, faire pipi devant toute le monde est impensable pour Sabine qui préfère se retenir.


- Bien, alors couchez-vous sur la table je vais vous préparer pour la cellule de quarantaine.

Brisée, Sabine s'exécute et s'allonge sur la table quand soudain elle voit arriver l'infirmière avec une grosse couche pour personnes âgées et incontinentes.

- Mais c'est pourquoi faire ça ? Demande Sabine aussi surprise qu'horrifiée à l'idée de porter une couche.

- En cellule de quarantaine il n'y a pas de toilettes, nous devons tout récupérer si besoin est. Soulevez vos fesses et ne m'obligez pas à demander aux gardiens de m'aider.

 

Totalement laminée dans sa fierté et son honneur, elle obtempère en soulevant ses fesses pour que l'infirmière puisse glisser la couche sous ses reins, offrant son anatomie la plus intime au regard de la mégère. Toute l'horreur de la situation s'installe dans la tête de Sabine lorsque l'infirmière lui indique qu'elle doit la raser pour des raisons d'hygiène et pour la suite de son séjour. Sabine ne peut concevoir ce qu'il lui arrive, elle repousse l'infirmière arrivant avec ses ciseaux et un rasoir. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, les gardiens sont sur elle et lui bloque les bras.

 

- C'est bon gros pédés, arrêtez de mater je me laisse faire ! Lance Sabine furieuse avec des envies de meurtre.

 

L'infirmière leur fait signe de reculer, ils obéissent comme à regret pendant l'effeuillage du minou ne tardant pas à devenir glabre. Comme elle ne s'est pas rebellée, la mégère lui met un peu de talc pour diminuer l'échauffement avant de refermer la couche à laquelle elle rajoute de gros scotchs pour qu'elle reste bien en place. Elle lui donne ensuite la robe normalisée, une robe grise proche de la robe bure des moines en lui demandant de se vêtir.


Aussitôt fait, elle est accompagnée tenue par les bras à la cellule de quarantaine qui lui est réservée. Les gardiens lui demandent de s'étendre sur la couchette, à peine allongée ils lui entravent les poignets et les jambes lui interdisant ainsi toute possibilité de retirer la couche ou même de se jeter dans les murs pour se blesser comme l'ont fait certaines en proie à des crises d'hystérie. Lorsqu'ils sortent de sa cellule, le bruit très significatif d'une grosse serrure se fait entendre, pourquoi l'enfermer alors qu'elle est attachée ?

................................

- Tu as vue les nouvelles ? Demande Béatrice à sa copine de service pendant la pause syndicale en se servant un café.

- Oui, cela va encore nous donner tu travail.

- Il y en a une c'est un vraie canon ! Répond Béatrice.

- Oh oh, j'en connais une qui va encore profiter de la situation et me demander le la couvrir.... Répond son amie.

- Je ne pense pas être la seule.....

 

Réinsertion musclée et troublante 2

 

Etendue sur la couchette, Sabine pleure de toutes les larmes de son corps, au grand jamais elle n'avait connu ainsi la honte et l'humiliation. Elle a beau tirer sur ses entraves comme bien d'autres avant elle, rien n'y fait, elle est bel et bien bloquée et incapable de faire quoi que ce soit.

 

Sa cellule fait une quinzaine de mètres carré, il y a une table scellée dans le mur avec une chaise soudée comme seul mobilier puis un seau hygiénique. Les murs froids en pierre blanche portent les marques des filles qui ont été incarcérées ici, comme si gratter les murs avait été le seul loisir possible pour elles. Le sol est en béton, une grille de ventilation proche d'une lucarne grillagée à raz du plafond à près de trois mètres au-dessus de sa tête semble pulser de l'air tiède. Sabine finit par sombrer dans le sommeil de l'ennuie pour essayer d'oublier et de ne pas penser à cette nouvelle vie.

 

Rattrapée par son envie pressante non satisfaite lors de la visite médicale, elle s'éveille avec l'horrible impression que sa vessie va éclater. Elle appelle à l'aide mais personne ne vient, personne ne l'entend. Tant bien que mal, elle parvient à se contrôler un moment avant de se rendre à l'évidence. "Je vais être obligée de me pisser dessus, c'est ignoble, ils sont ignobles". Au plus on y pense, au plus il est difficile de se retenir, Sabine sent bien qu'elle n'y arrive plus et commence à se lâcher malgré sa volonté. Ses jambes et ses bras se mettent à trembler tant elle se contracte, ses dents et ses lèvres sont serrées, son visage est crispé tant elle se contient. La nature a ses limites, la volonté de Sabine n'y peut rien, elle finit par craquer puis dans un grand désarroi se lâche en pleurant. Sa couche est envahie par un flot d'urine chaude trop longtemps contenue.

 

UNE HEURE PLUS TARD

La porte s'ouvre après un bruit de verrou, la gardienne Béatrice entre dans la cellule avec un grand sourire en lui indiquant qu'il est l'heure d'aller manger.

 

- Je n'ai pas faim, laissez-moi tranquille ! Répond Sabine.

- Tu n'as pas le choix, tu ne seras pas obligée de manger mais il faut que tu viennes, je suis désolée. S'il te plait, ne m'oblige pas à faire intervenir les gardiens, ce sont des brutes. Lui indique Béatrice en libérant les chevilles entravées et une seule main, avant de l'inviter à se lever. Je dois renforcer les fixations de ta couche, ne m'en veut pas, c'est obligatoire.

 

Debout mais penchée, Sabine laisse la gardienne relever sa robe carcérale puis faire deux fois le tour de sa taille avec du gros scotch d'emballage marron. Une fois fait, elle la libère et prend doucement la main de la petite jeune totalement dépitée, pour la conduire dans le couloir où attendent silencieusement d'autres filles reliées entre elles par une chaîne et un bracelet de poignet, bracelet à la limite du moyen-âge. Derrière-elles deux gardiens assurent le renfort.

 

- Les filles, je vais vous conduire à la cantine des arrivantes. Soyez sympas avec moi et je ferai tout ce qui est en mon possible pour rendre votre vie pas trop difficile. Si vous parlez, si vous vous battez, vous serrez sévèrement punies par les gardiens. Si vous avez un geste déplacé ou agressif envers moi ou les gardiens, vous allez vivre un enfer que je ne souhaite à aucune d'entre-vous. Allez, on y va, avancez.

 

Conduites entravées comme des bagnards, elles avancent en rand silencieusement, la politique du centre est de les briser dès le départ pour mieux les aider à se reconstruire ensuite, c'est la raison de cette organisation digne du pire des bagnes. Arrivées dans une cantine spéciale faite d'une longue table avec des chaises fixées dans le sol, elles sont invitées à s'asseoir. Le directeur face à elles les attend avec les bras croisés. Les filles peinent à poser leurs fesses sur les chaises métalliques et pour cause, elles sont toutes équipées d'une grosse couche sous leur robe.

- Mesdemoiselles, le château des anges déchus vous souhaite un bon appétit même si je me doute que vous n'avez pas très faim. Vous allez constatez qu'ici, nous avons la chance d'avoir des repas comestibles, ce n'est pas souvent le cas dans les prisons. Vous bénéficiez d'un régime de faveur.

 

Les mots "régime de faveur" passent mal auprès des filles, l'une d'elle éclate de rage et se met à insulter le directeur en lançant l'assiette en aluminium vers lui. Il ne réagit pas et attend qu'elle se calme avec un grand sourire pervers posé sur les lèvres. Deux gardiens interviennent, la délivrent et l'emmène manu militari dans un coin de la salle. Rapidement maîtrisée à même le sol, ils parviennent à lui mettre un bâillon d'un autre monde que le BDSM, fait de multiples lanières en gros cuir il lui permet à peine de respirer et l'empêche de mordre.

 

- Mesdemoiselles, je disais donc que vous allez bénéficier d'un régime de faveur visant à combler vos lacunes scolaires, avec l'intervention de professeur externes à l'établissement. En clair, vous allez avoir des cours gratuits. A la fin de l'année, vous passerez une évaluation de compétences, je tiens à ce que vous ayez toutes le niveau et les compétences pour pouvoir intégrer ensuite des centres de formation et trouver un emploi. L'état accorde chaque année de gros budgets pour cela et tient à vous aider même si aujourd'hui vous n'appréciez pas d'être ici. Les cours ont lieu tous les matins, les après-midi sont réservés à vos devoirs et révisions. Attention, toute agression envers un membre de mon équipe ou des enseignants externes ou de moi même sont sévèrement punies et vous ferons regretter d'être née, vous allez voir par vous même ce qu'il en coûte ici de m'insulter ou d'agresser quelqu'un.


Transportée manu militari jusqu'à un banc bizarre, la jeune fille rebelle en larmes est entravée penchée en avant, ses chevilles et ses bras sont bloquées par des lanières. Le directeur découpe le gros scotch et le bord de sa couche qui chute aussitôt dévoilant au regard des détenues les fesses de la fille.


- Mesdemoiselles, sachez que je ne vais prendre aucun plaisir à la punir, j'espère vraiment n'avoir jamais à le faire avec vous. La fessée c'est comme les vaccins, cela fait mal mais c'est nécessaire. A vous de voir si vous serez sages ou si vous désirez la même chose. Leur indique le directeur en attrapant une canne anglaise.

La fille entravée a tout compris, elle hurle des "non" inaudibles et tirant sur ses liens en vain. Le directeur arme son bras, la canne siffle aussitôt et percute les fesses de la détenue qui se met à hurler malgré le son bâillon bloquant ses paroles. Un trait rouge marque aussitôt ses fesses blanches. Quatorze autres coups s'abattent sur son fessier, la fille semble en pleine crise de démence tant la douleur est intense. Sa tête monte et descend à chaque coup faisant voler ses longs cheveux bruns. Les détenues sont tétanisées, en d'autres temps, elles se seraient rebellées et auraient sauté sur le directeur pour le lapider, entravées les unes aux autres avec un tel exemple de punition, elles baissent toutes la tête comme si elles avaient mal pour la fille punie. Une fois libérée, elle est portée comme une loque humaine par les gardiens qui l'a conduisent à l'infirmerie.

 

Comme l'on peut s'en douter, le repas se fait en silence et sans aucune autre agression verbale. Les filles sont invitées à se lever et à débarrasser le plateau qui leur était servi puis, à le déposer en quittant les lieux pour retourner à leur cellule.

Enfermées et entravées une après l'autre, elles retrouvent leur couchette. Béatrice et son amie Marion se partagent la visite du soir et la préparation pour la nuit.

- Bonsoir toi, je viens m'occuper de toi et te préparer pour la nuit. Indique Béatrice en entrant dans la cellule. As-tu envie de faire tes besoins sur le seau ? Je te le conseille mais rassure-toi je ne regarderai pas pour ne pas te gêner.


- Je veux bien faire pipi !

- Allez je te libère mais s'il te plait, ne te rebelle pas, le directeur est en pleine forme comme tu as pu le constater.


Aidée par Béatrice, Sabine retire sa couche pour aller s'asseoir sur le seau hygiénique pour un petit pipi qui sera analysé. Elle est très gênée de faire ça devant quelqu'un mais s'y résout, ce quelle a vécu depuis ce matin et vu ce soir la dissuade de se rebeller, elle qui en d'autres temps ..... Invitée à s'allonger sur sa couchette elle obtempère de suite comme brisée de toute envie de vivre. La gardienne entrave ses mains puis va chercher son chariot de toilette. Elle enfile des gants puis à l'aide de lingette entreprend de nettoyer l'intimité de Sabine qui resserre les jambes par réflexe.


- S'il te plait, ne m'oblige pas à appeler les gardiens, je n'ai pas envie de t'imposer ça.

 

Sabine fond en larme puis écarte les jambes. Nettoyée comme un bébé même entre les fesses et entre ses lèvres intimes, elle est morte de honte. Béatrice lui met du talc en lui expliquant que c'est contre les irritations puis, en l'étalant, lui indique qu'elle a un très bel "abricot" et qu'elle est très belle. Soulevez les fesses pour qu'on lui passe une couche sous les reins expose totalement son intimité, elle peine à le faire mais y parvient pour que les gardiens ne soient pas appelés en renfort. La couche posée est bien serrée, Béatrice ajoute du gros scotch pour renforcer les fixations puis dépose une couverture sur elle.


C'est avec une infinie douceur qu'elle la borde, puis s'agenouille pour lui caresser le visage comme si elle était un bébé en lui indiquant :" ne t'inquiète pas, cela va bien se passer". Cette caresse quasi maternelle, Sabine ne l'a jamais connue, cette gentillesse la perturbe tout comme le gros bisou sur la joue que Béatrice lui fait avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit.


Cette forme de tendresse l'a émue et ébranlée tout autant que les humiliations vécues depuis son arrivée au château des anges déchus.


Couchées à dix-neuf heures, les filles peinent à dormir, elles étaient plutôt devenues des filles du monde de la nuit avec tout ce que cela représente comme perte de repère et de fréquentations. C'est sur ses questionnements sur le "petit câlin", que Sabine s'endort en se demandant ce qu'il vient de lui arriver. Leur sommeil est "motivé" par l'alimentation et l'eau consommée, contenant de quoi les aider à se détendre puis la coupure de la lumière.

...........................

- Alors tu t'es éclatée ? Demande Marion, l'amie de Béatrice ?

- Oh oui, elle est trop craquante, son petit abricot est une merveille.

- Essaye de ne pas trop t'investir affectivement ou de tomber amoureuse, après tu souffres et nous fait des cacas nerveux. Lui répond Marion en quittant les vestiaires du personnel.

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TSM

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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