Dimanche 10 mai 7 10 /05 /Mai 09:17

Réinsertion musclée et troublante

Prologue

Un roman à rebondissement multiples avec de la fessée, de l'ABDL, du plaisir saphique mais également bien d'autres surprises qui ne devraient pas laisser le lecteur de marbre de par les multiples contraintes. Vous allez être plongé dans une histoire en milieux carcéral qui chamboule les préjugés.

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Sabine est le profil type des jeunes filles de la délinquance juvénile, elle a toujours été une rebelle en perdition. Au niveau de ses études, disons plutôt de sa scolarité, c'est un échec total, à 18 ans son niveau scolaire n'est même pas celui de la sixième. Ce qu'elle a oublié, c'est que qu'à 18 ans, vis-à-vis de la loi toute personne est civilement responsable de ses actes. C'est ce que lui rappelle le juge du tribunal lorsqu'il lui annonce qu'elle est condamnée.


Il lui propose deux choix, une année d'incarcération au centre de réinsertion avec remise à niveau ou cinq ans de prison ferme. Cette proposition il ne l'a fait pas à tous les délinquants mais parce qu'à la lecture du dossier familial de cette jeune fille dont le père a l c o o l i q u e est décédé après avoir pendant des années battu sa femme et sa progéniture. La mère pour s'en sortir et nourrir sa famille a fini par faire le tapin, comment grandir correctement dans un tel milieu ?


Entre un an et cinq ans de prison, Sabine en larme n'hésite pas un instant, elle veut s'en sortir et retrouver sa liberté le plus vite possible quoi qu'il lui propose. La teuf lui manque déjà tellement après deux mois de préventive. Son incarcération définitive se fera donc au centre appelé "Le château des anges déchus"

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Lors de son incarcération au centre, Sabine est prise en charge dès sa sortie du fourgon de police par une équipe musclée et rompue à l'arrivée de filles révoltées, ou cassées par la vie. Mises en rang, les huit filles se doivent d'écouter le "discours de bienvenue" de Max, le directeur du centre.

 

- Mesdames, mesdemoiselles je vous souhaite la bienvenue au centre. Je vous souhaite également de profiter de cette opportunité que vous a accordée le juge pour vous aider et de vous en sortir. Sachez qu'ici la discipline peut être de fer en fonction de vos attitudes. Toute mon équipe préfère vous apporter de l'aide et du réconfort plutôt que de vous punir mais n'hésitera pas à le faire si besoin est. Soyez sages et nous serons vos alliers, provoquez-nous et nous vous ferons regretter d'être nées. J'espère avoir été bien compris.

 

C'est sur ces mots très clairs que le directeur tourne les talons et quitte la cours d'accueil en laissant les filles en plein désarroi. Les gardes guident les filles abasourdies par ce discours vers le centre médical. Assises sur un banc, elles sont appelées une à une par une mégère taillée comme un docker en uniforme. Les cris de la première filtrent à travers la porte de l'infirmerie créant un mouvement de panique chez les rebelles. Portée par les bras, la première sort en larme, elle est portée manu militari vers un lieu inconnu dont la première et solide porte grillagée est verrouillée après son passage. Le nom de famille de Sabine commençant par un A, elle est appelée la deuxième. Tétanisée par la peur, elle peine à se lever et à franchir la porte de ce qu'elle imagine déjà être l'enfer. Elle entre dans l'infirmerie dont les fenêtres sont grillagées, deux gardes bras croisés appuyés contre le mur sont présents.

 

- Mademoiselle, déshabiller-vous, nous allons pratiquer la visite médicale d'incarcération dans notre centre disciplinaire. Elle est fort simple et pas douloureuse, sauf si vous faites comme l'idiote qui est passée avant vous ! Lui indique la mégère bâtie comme un docker.

 

Sabine obtempère et retire ses vêtements en ne gardant que son soutien-gorge et sa petite culotte.

 

- Je crois vous avoir demandée de vous dévêtir ! Indique la mégère en enfilant des gants chirurgicaux.

- Mais ils ne peuvent pas assister à ça ! Répond Sabine abattue et gênée.

- Ils en ont vues d'autres, ne vous inquiétez pas !

 

Les cris de la fille précédente freinent son envie de rébellion, de les envoyer paître. La m o r t dans l'âme, ses mains commencent à décrocher son soutien-gorge avec beaucoup de peine avant de dévoiler sa jolie poitrine en forme de poire devant les gardiens qui ne loupent rien. Pour la culotte, les mains de Sabine semblent ne pas pouvoir la faire glisser sur ses hanches, un rappel à l'ordre de la mégère lui demandant si elle a besoin d'aide lui fait peur, elle tourne le dos aux gardiens et parvient à la faire glisser sur ses magnifiques cuisses admirablement dessinées par la mère nature, tout comme son fessier si délicat à regarder.

 

Prestement penchée sur une table, la visite médicale commence aussitôt. L'infirmière met un peu de lubrifiant sur ses orifices intimes avant d'enfoncer deux doigts dans son vagin à la recherche de produit illicites. Pour Sabine, cette fouille intime est abominable à vivre, elle se contracte et souffre mais la mégère n'en a que faire. Son orifice anal est rapidement visité, elle n'a rien vu venir, l'infirmière est habituée à agir rapidement pour limiter les rébellions.

 

Sabine n'a jamais eu aussi honte et pleure à chaudes larmes sous l'intrusion obscène. Après ça, le thermomètre planté dans ses fesses est presque une formalité dans sa déchéance. La prise de s a n g imposée et l'observation de sa cavité buccale sont si peu de choses par rapport à l'humiliation, qu'elle ne réagit plus. Les deux gardiens précédents entrent et rejoignent leurs collègues appuyés au mur. L'un d'eux sifflent en la voyant nue, son commentaire pourtant élogieux sur sa beauté broie ce qu'il restait de fierté à Sabine, du moins le pense t-elle. L'infirmière lui demande si elle souhaite aller aux toilettes en désignant un wc sans porte, faire pipi devant toute le monde est impensable pour Sabine qui préfère se retenir.


- Bien, alors couchez-vous sur la table je vais vous préparer pour la cellule de quarantaine.

Brisée, Sabine s'exécute et s'allonge sur la table quand soudain elle voit arriver l'infirmière avec une grosse couche pour personnes âgées et incontinentes.

- Mais c'est pourquoi faire ça ? Demande Sabine aussi surprise qu'horrifiée à l'idée de porter une couche.

- En cellule de quarantaine il n'y a pas de toilettes, nous devons tout récupérer si besoin est. Soulevez vos fesses et ne m'obligez pas à demander aux gardiens de m'aider.

 

Totalement laminée dans sa fierté et son honneur, elle obtempère en soulevant ses fesses pour que l'infirmière puisse glisser la couche sous ses reins, offrant son anatomie la plus intime au regard de la mégère. Toute l'horreur de la situation s'installe dans la tête de Sabine lorsque l'infirmière lui indique qu'elle doit la raser pour des raisons d'hygiène et pour la suite de son séjour. Sabine ne peut concevoir ce qu'il lui arrive, elle repousse l'infirmière arrivant avec ses ciseaux et un rasoir. En moins de temps qu'il ne faut pour le dire, les gardiens sont sur elle et lui bloque les bras.

 

- C'est bon gros pédés, arrêtez de mater je me laisse faire ! Lance Sabine furieuse avec des envies de meurtre.

 

L'infirmière leur fait signe de reculer, ils obéissent comme à regret pendant l'effeuillage du minou ne tardant pas à devenir glabre. Comme elle ne s'est pas rebellée, la mégère lui met un peu de talc pour diminuer l'échauffement avant de refermer la couche à laquelle elle rajoute de gros scotchs pour qu'elle reste bien en place. Elle lui donne ensuite la robe normalisée, une robe grise proche de la robe bure des moines en lui demandant de se vêtir.


Aussitôt fait, elle est accompagnée tenue par les bras à la cellule de quarantaine qui lui est réservée. Les gardiens lui demandent de s'étendre sur la couchette, à peine allongée ils lui entravent les poignets et les jambes lui interdisant ainsi toute possibilité de retirer la couche ou même de se jeter dans les murs pour se blesser comme l'ont fait certaines en proie à des crises d'hystérie. Lorsqu'ils sortent de sa cellule, le bruit très significatif d'une grosse serrure se fait entendre, pourquoi l'enfermer alors qu'elle est attachée ?

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- Tu as vue les nouvelles ? Demande Béatrice à sa copine de service pendant la pause syndicale en se servant un café.

- Oui, cela va encore nous donner tu travail.

- Il y en a une c'est un vraie canon ! Répond Béatrice.

- Oh oh, j'en connais une qui va encore profiter de la situation et me demander le la couvrir.... Répond son amie.

- Je ne pense pas être la seule.....

 

Réinsertion musclée et troublante 2

 

Etendue sur la couchette, Sabine pleure de toutes les larmes de son corps, au grand jamais elle n'avait connu ainsi la honte et l'humiliation. Elle a beau tirer sur ses entraves comme bien d'autres avant elle, rien n'y fait, elle est bel et bien bloquée et incapable de faire quoi que ce soit.

 

Sa cellule fait une quinzaine de mètres carré, il y a une table scellée dans le mur avec une chaise soudée comme seul mobilier puis un seau hygiénique. Les murs froids en pierre blanche portent les marques des filles qui ont été incarcérées ici, comme si gratter les murs avait été le seul loisir possible pour elles. Le sol est en béton, une grille de ventilation proche d'une lucarne grillagée à raz du plafond à près de trois mètres au-dessus de sa tête semble pulser de l'air tiède. Sabine finit par sombrer dans le sommeil de l'ennuie pour essayer d'oublier et de ne pas penser à cette nouvelle vie.

 

Rattrapée par son envie pressante non satisfaite lors de la visite médicale, elle s'éveille avec l'horrible impression que sa vessie va éclater. Elle appelle à l'aide mais personne ne vient, personne ne l'entend. Tant bien que mal, elle parvient à se contrôler un moment avant de se rendre à l'évidence. "Je vais être obligée de me pisser dessus, c'est ignoble, ils sont ignobles". Au plus on y pense, au plus il est difficile de se retenir, Sabine sent bien qu'elle n'y arrive plus et commence à se lâcher malgré sa volonté. Ses jambes et ses bras se mettent à trembler tant elle se contracte, ses dents et ses lèvres sont serrées, son visage est crispé tant elle se contient. La nature a ses limites, la volonté de Sabine n'y peut rien, elle finit par craquer puis dans un grand désarroi se lâche en pleurant. Sa couche est envahie par un flot d'urine chaude trop longtemps contenue.

 

UNE HEURE PLUS TARD

La porte s'ouvre après un bruit de verrou, la gardienne Béatrice entre dans la cellule avec un grand sourire en lui indiquant qu'il est l'heure d'aller manger.

 

- Je n'ai pas faim, laissez-moi tranquille ! Répond Sabine.

- Tu n'as pas le choix, tu ne seras pas obligée de manger mais il faut que tu viennes, je suis désolée. S'il te plait, ne m'oblige pas à faire intervenir les gardiens, ce sont des brutes. Lui indique Béatrice en libérant les chevilles entravées et une seule main, avant de l'inviter à se lever. Je dois renforcer les fixations de ta couche, ne m'en veut pas, c'est obligatoire.

 

Debout mais penchée, Sabine laisse la gardienne relever sa robe carcérale puis faire deux fois le tour de sa taille avec du gros scotch d'emballage marron. Une fois fait, elle la libère et prend doucement la main de la petite jeune totalement dépitée, pour la conduire dans le couloir où attendent silencieusement d'autres filles reliées entre elles par une chaîne et un bracelet de poignet, bracelet à la limite du moyen-âge. Derrière-elles deux gardiens assurent le renfort.

 

- Les filles, je vais vous conduire à la cantine des arrivantes. Soyez sympas avec moi et je ferai tout ce qui est en mon possible pour rendre votre vie pas trop difficile. Si vous parlez, si vous vous battez, vous serrez sévèrement punies par les gardiens. Si vous avez un geste déplacé ou agressif envers moi ou les gardiens, vous allez vivre un enfer que je ne souhaite à aucune d'entre-vous. Allez, on y va, avancez.

 

Conduites entravées comme des bagnards, elles avancent en rand silencieusement, la politique du centre est de les briser dès le départ pour mieux les aider à se reconstruire ensuite, c'est la raison de cette organisation digne du pire des bagnes. Arrivées dans une cantine spéciale faite d'une longue table avec des chaises fixées dans le sol, elles sont invitées à s'asseoir. Le directeur face à elles les attend avec les bras croisés. Les filles peinent à poser leurs fesses sur les chaises métalliques et pour cause, elles sont toutes équipées d'une grosse couche sous leur robe.

- Mesdemoiselles, le château des anges déchus vous souhaite un bon appétit même si je me doute que vous n'avez pas très faim. Vous allez constatez qu'ici, nous avons la chance d'avoir des repas comestibles, ce n'est pas souvent le cas dans les prisons. Vous bénéficiez d'un régime de faveur.

 

Les mots "régime de faveur" passent mal auprès des filles, l'une d'elle éclate de rage et se met à insulter le directeur en lançant l'assiette en aluminium vers lui. Il ne réagit pas et attend qu'elle se calme avec un grand sourire pervers posé sur les lèvres. Deux gardiens interviennent, la délivrent et l'emmène manu militari dans un coin de la salle. Rapidement maîtrisée à même le sol, ils parviennent à lui mettre un bâillon d'un autre monde que le BDSM, fait de multiples lanières en gros cuir il lui permet à peine de respirer et l'empêche de mordre.

 

- Mesdemoiselles, je disais donc que vous allez bénéficier d'un régime de faveur visant à combler vos lacunes scolaires, avec l'intervention de professeur externes à l'établissement. En clair, vous allez avoir des cours gratuits. A la fin de l'année, vous passerez une évaluation de compétences, je tiens à ce que vous ayez toutes le niveau et les compétences pour pouvoir intégrer ensuite des centres de formation et trouver un emploi. L'état accorde chaque année de gros budgets pour cela et tient à vous aider même si aujourd'hui vous n'appréciez pas d'être ici. Les cours ont lieu tous les matins, les après-midi sont réservés à vos devoirs et révisions. Attention, toute agression envers un membre de mon équipe ou des enseignants externes ou de moi même sont sévèrement punies et vous ferons regretter d'être née, vous allez voir par vous même ce qu'il en coûte ici de m'insulter ou d'agresser quelqu'un.


Transportée manu militari jusqu'à un banc bizarre, la jeune fille rebelle en larmes est entravée penchée en avant, ses chevilles et ses bras sont bloquées par des lanières. Le directeur découpe le gros scotch et le bord de sa couche qui chute aussitôt dévoilant au regard des détenues les fesses de la fille.


- Mesdemoiselles, sachez que je ne vais prendre aucun plaisir à la punir, j'espère vraiment n'avoir jamais à le faire avec vous. La fessée c'est comme les vaccins, cela fait mal mais c'est nécessaire. A vous de voir si vous serez sages ou si vous désirez la même chose. Leur indique le directeur en attrapant une canne anglaise.

La fille entravée a tout compris, elle hurle des "non" inaudibles et tirant sur ses liens en vain. Le directeur arme son bras, la canne siffle aussitôt et percute les fesses de la détenue qui se met à hurler malgré le son bâillon bloquant ses paroles. Un trait rouge marque aussitôt ses fesses blanches. Quatorze autres coups s'abattent sur son fessier, la fille semble en pleine crise de démence tant la douleur est intense. Sa tête monte et descend à chaque coup faisant voler ses longs cheveux bruns. Les détenues sont tétanisées, en d'autres temps, elles se seraient rebellées et auraient sauté sur le directeur pour le lapider, entravées les unes aux autres avec un tel exemple de punition, elles baissent toutes la tête comme si elles avaient mal pour la fille punie. Une fois libérée, elle est portée comme une loque humaine par les gardiens qui l'a conduisent à l'infirmerie.

 

Comme l'on peut s'en douter, le repas se fait en silence et sans aucune autre agression verbale. Les filles sont invitées à se lever et à débarrasser le plateau qui leur était servi puis, à le déposer en quittant les lieux pour retourner à leur cellule.

Enfermées et entravées une après l'autre, elles retrouvent leur couchette. Béatrice et son amie Marion se partagent la visite du soir et la préparation pour la nuit.

- Bonsoir toi, je viens m'occuper de toi et te préparer pour la nuit. Indique Béatrice en entrant dans la cellule. As-tu envie de faire tes besoins sur le seau ? Je te le conseille mais rassure-toi je ne regarderai pas pour ne pas te gêner.


- Je veux bien faire pipi !

- Allez je te libère mais s'il te plait, ne te rebelle pas, le directeur est en pleine forme comme tu as pu le constater.


Aidée par Béatrice, Sabine retire sa couche pour aller s'asseoir sur le seau hygiénique pour un petit pipi qui sera analysé. Elle est très gênée de faire ça devant quelqu'un mais s'y résout, ce quelle a vécu depuis ce matin et vu ce soir la dissuade de se rebeller, elle qui en d'autres temps ..... Invitée à s'allonger sur sa couchette elle obtempère de suite comme brisée de toute envie de vivre. La gardienne entrave ses mains puis va chercher son chariot de toilette. Elle enfile des gants puis à l'aide de lingette entreprend de nettoyer l'intimité de Sabine qui resserre les jambes par réflexe.


- S'il te plait, ne m'oblige pas à appeler les gardiens, je n'ai pas envie de t'imposer ça.

 

Sabine fond en larme puis écarte les jambes. Nettoyée comme un bébé même entre les fesses et entre ses lèvres intimes, elle est morte de honte. Béatrice lui met du talc en lui expliquant que c'est contre les irritations puis, en l'étalant, lui indique qu'elle a un très bel "abricot" et qu'elle est très belle. Soulevez les fesses pour qu'on lui passe une couche sous les reins expose totalement son intimité, elle peine à le faire mais y parvient pour que les gardiens ne soient pas appelés en renfort. La couche posée est bien serrée, Béatrice ajoute du gros scotch pour renforcer les fixations puis dépose une couverture sur elle.


C'est avec une infinie douceur qu'elle la borde, puis s'agenouille pour lui caresser le visage comme si elle était un bébé en lui indiquant :" ne t'inquiète pas, cela va bien se passer". Cette caresse quasi maternelle, Sabine ne l'a jamais connue, cette gentillesse la perturbe tout comme le gros bisou sur la joue que Béatrice lui fait avant de quitter les lieux en lui souhaitant bonne nuit.


Cette forme de tendresse l'a émue et ébranlée tout autant que les humiliations vécues depuis son arrivée au château des anges déchus.


Couchées à dix-neuf heures, les filles peinent à dormir, elles étaient plutôt devenues des filles du monde de la nuit avec tout ce que cela représente comme perte de repère et de fréquentations. C'est sur ses questionnements sur le "petit câlin", que Sabine s'endort en se demandant ce qu'il vient de lui arriver. Leur sommeil est "motivé" par l'alimentation et l'eau consommée, contenant de quoi les aider à se détendre puis la coupure de la lumière.

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- Alors tu t'es éclatée ? Demande Marion, l'amie de Béatrice ?

- Oh oui, elle est trop craquante, son petit abricot est une merveille.

- Essaye de ne pas trop t'investir affectivement ou de tomber amoureuse, après tu souffres et nous fait des cacas nerveux. Lui répond Marion en quittant les vestiaires du personnel.

La suite est ici

TSM

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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