Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:17

Son blog parlait de domination gay et de jeux en couche

 

Son blog parlait de domination gay et de jeux en couche, deux sujets qui titillent mes fantasmes depuis longtemps. Lorsque par correction, j’ai adressé un commentaire sur un des ses articles je n’aurai jamais imaginé que ma vie allait changer à ce point ! ! !

 

Lors des échanges email, nous nous sommes trouvés affinités sur de nombreux points et pour lui prouver que je ne suis pas un de ces fantasmeurs qui polluent les sites de rencontre je lui ai donné mon numéro de téléphone. Après deux heures de discussions aussi animées que riches en confidences, nous avons décidé de nous rencontrer le vendredi soir chez lui pour discuter voir plus…

 

Étant bisexuel, sans tabou et très joueur, l’idée d’une rencontre avec Phil qui est 100% gay et dominateur, m’a séduite. Mes neurones se sont enflammés, mes fantasmes aussi…..

 

Après l’explosion de mon couple l’envie d’explorer l’homosexualité m’est passée par la tête. Lors de la rencontre, nous avons pris quelques verres et longuement discuté de « lapins » posés par les fantasmeurs, des hommes qui vivent leurs fantasmes de 5 à 7 et repartent tout honteux retrouver leur femme. Au fil des discussions, l’idée de vivre une expérience avec lui m’a séduite tant il me semblait calme, posé, sensé et c’est sans aucune difficulté que j’ai accepté de lui faire voir mes fesses qu’il a trouvé délicieuses. Une heure plus tard, j’étais nu, menotté et à genoux devant lui pour lui faire une gâterie pendant qu’il sirotait une bière en me demandant ce qu’il entendait par « hypnose éricksonienne ».

 

Je me sentais des ailes, la permission de me donner totalement à ce que je faisais et d’y prendre un plaisir fou. Sa verge avait un goût de miel, l’odeur de son corps m’enivrait et c’est avec joie que je me suis offert à lui comme une « chienne » en chaleur en éprouvant un plaisir inouï. Je n’aime pas embrasser un homme mais avec lui c’était différent. Les jambes sur ses épaules, pendant qu’il me prenait ses lèvres et sa langue m’encensaient tout comme sa verge au plus profond de mes reins. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans un rapport homosexuel.

 

Pour le remercier de tant d’émotions et de plaisir, après sa jouissance c’est sans aucune réticence que je l’ai « remercié » en prenant à nouveau son sexe dans la bouche. Une heure après, j’étais entravé sur le lit et en couche. Cette nuit-là, mes fantasmes de soumission les plus fous lutaient contre a conscience. Le lendemain, il m’a dévoré dès le réveil après avoir arraché la couche. Sous ses asseaux ma verge tendue à rompre frottant sur les draps me fit flirter avec le paradis et déraper totalement. Sous son corps doux et chaud, je me sentais sa femelle, sa chose, ses lèvres dévorant mon oreille et mon cou me firent fondre de plaisir.

 

Quand il m’a dit que je lui plaisais bien après m’avoir libéré, ses propos m’ont rendu fou. Pris d’une crise d’affection je l’ai embrassé et mangé de partout. Cet acte affectueux envers un homme m’était inconnu, hormis jouer à touche pipi ou plus, je n’avais jamais éprouvé ce désir. Ce jour là, il a tenu à me mettre une cage de chasteté en plastique, j’en porte maintenant une magnifique en métal qu’il m’a offerte quelques temps après. Je n’ai plus le droit de pénétrer, de me caresser, de me branler. Je n’ai droit qu’au plaisir anal mais je ne m’en plaints pas car mes jouissances sont tout aussi fortes, je vie des états d’excitation monstrueux qui me rendent dingue.

 

Le mois dernier ma vie d’esclave a pris forme avec la signature d’un contrat de soumission et de mon installation chez lui. Je fais mon télétravail de sa villa où il m’a aménagé un bureau à sa façon. Un anneau scellé dans me mur et une chaîne m’interdisent de quitter la pièce, en fonction de ses envies et de la soi-disant qualité de mon travail, je suis puni à la cane anglaise ou fouetté. J’assume toutes les taches ménagères nu ou féminisé en fonction de ses délires ou des personnes qu’il reçoit. Lorsqu’il n’y a pas d’invité, il m’autorise à manger à table avec lui mais assis sur un tabouret équipé d’un phallus en bois de bonne taille, autant dire que j’essaie de ne rien oublier lorsque je mets la table.

 

Dans le hall de sa villa, il a installé deux barres en métal pour faire une croix. Sur la barre verticale perforée tous les 40 mm servant initialement pour des rayonnages il y fixe un tasseau de profondeur ressemblant à une équerre qu’il a modifié pour y recevoir des godes en bois usiné dans son garage. Avant-hier soir, j’y ai souffert et j’y ai été humilié une bonne partie de la soirée pour avoir fait brûler un rôti. Maître Phil m’a fait monter sur une calle pour que je puisse m’empaler sur l’équerre équipée d’un gros gode puis il m’a fait descendre de la calle. Poser les pieds sur le sol m’était difficile tant le gode était long. Il a entravé mes bras en croix puis mes chevilles avant de me passer une cagoule avec une fermeture sur la bouche. Vers 18 heures, il a posé des pinces assez cruelles sur mes tétons et a accroché quelque chose à mes testicules. Je ne n’ai compris l’usage que lorsque les invités sont arrivés. Il s’agissait d’un crochet pour y suspendre leur sac à main qu’ils ont placé sans prendre de précautions. Pendant un instant, j’ai cru que mes couilles allaient s’arracher tant cela faisait mal. Aux pinces à seins, ils ont mis des porte-manteaux auxquels ils ont suspendu leur veste avec la même douceur que pour leurs sacs. L’un deux m’a inséré ses clés de voiture dans la bouche en m’indiquant qu’il m’arracherait les couilles si je les faisais tomber. Transformé en porte-manteau humain, suant de douleur et de honte j’y suis resté tout le temps de l’apéro et du repas.

 

Les choses se sont corsées au café qu’ils ont pris au salon en commençant à jouer. L’un deux est venu chercher des cigarettes dans sa veste, la traction sur mon téton gauche déjà très endolori ma fait crier et lâcher les clés. La sanction n’a pas tardé ! Maître Phil est arrivé aussitôt pour me faire la leçon, puis il a retiré les porte-manteaux et les pinces à seins. J’ai cru mourir quand le sang a afflué dans mes tétons. Après avoir retiré de ses barres, il a menotté mes poignets qu’il a accrochés à ma cage de chasteté pour me conduire au salon. Couché sur le canapé fesses exposées, j’ai compris que j’allais dérouiller et cela n’a pas tardé. Le sifflement de la cane anglaise m’a fait bondir tout autant que le trait de feu embrassant mon épiderme. Il m’a donné vingt coups très appuyés avant de remarquer que j’avais le cul sale malgré le lavement qu’il m’avait imposé avant de m’entraver dans l’entrée. Plutôt que de me libérer pour que je puisse aller me laver, il m’a traité de bébé devant ses invités puis il m’a mis une couche et une culotte en plastique rose qui les a bien fait rire.

 

Pour me faire pardonner, j’ai du ensuite sucer les invités me donnant leur « biberon » à téter. Conduit manu militari à la chambre j’ai été attaché par le cou aux pieds du lit sur lequel ils ont baisé pendant des heures. J’avais une trique d’enfer au point que la cage de chasteté me faisait un mal de chien au niveau des testicules. Quand ils sont partis, j’ai du leur dire « au revoir » en les suçant l’un après l’autre pour qu’ils soient « propres » pour la route ! Leurs verges étaient odorantes et dégueulasses, ce fut dur mais j’y suis parvenu. Phil ne m’a délivré que le matin pour que je « le soulage de sa pression matinale » avant de libérer mes mains pour que j’aille me doucher. Lorsque je suis sorti de la salle de bain, un gros paquet cadeau était posé sur la table du salon à côté de deux tasses de café. Mon Maître me souriait en me désignant des yeux le paquet pour que je l’ouvre. Les doigts tremblants, brûlant d’impatience l’emballage n’a pas résisté longtemps à ma curiosité. Il m’a offert un sac de bondage en toile épaisse. Equipé de sangles des pieds à la tête et d’une très belle qualité il n’offre aucune possibilité de fuite. Après l’avoir embrassé pour le remercier, j’ai demandé à l’essayer, chose qu’il m’a accordée bien volontiers avec des yeux rieurs.

 

J’ai donc ouvert toutes les sangles et la grosse fermeture éclair du sac avant de m’étendre à l’intérieur de ce sac de couche un peu particulier. Quand il a terminé de le fermer et m’a mis la cagoule du sac, j’ai immédiatement compris que l’isolation entravé serait ma prochaine aventure. Et cela n’a pas tardé !

 

Le soir même, immédiatement après le repas, il m’a mis un plug percé équipé d’une sonde anale puis deux couches, l’une à l’endroit qu’il a trouée et l’autre à l’envers avant de me mettre une culotte en plastique au cas où il y aurait des fuites. La sonde anale en même temps que le sac de bondage ne m’enchantait pas parce que je ne suis pas scato. Je m’en suis ouvert à lui mais il ne m’a pas laissé le choix. Je devais tester son cadeau comme lui en avait envie ! Il m’a demandé de m’installer dans le sac et de passer mes bras dans les manches fermées cousues à l’intérieur puis il a placé des électrodes sur mon corps et mes seins. Quand je lui ai fait part de mes inquiétudes, il m’a répondu qu’il voulait m’offrir une expérience inoubliable et me faire progresser dans ma soumission, cela ne m’a pas rassuré du tout.

 

Quand il a fermé le sac et la cagoule m’isolant de l’extérieur, je m’attendais à ce qu’il commence immédiatement ses délires mais il n’en fut rien. Au fur et à mesure de l’attente, mon excitation est arrivée à son paroxysme, mon Popaul subissait une crise du logement monstrueuse. Un moment plus tard j’ai senti quelque chose bouger au fond de mes reins, le remplissage de mes intestins commençait. Soudain, mes seins se sont mis à piquer, les électrodes envoyaient des décharges mais j’ai crié plus de surprise que de douleur car c’était très supportable. J’ai gémis quand le lavement était trop rapide, il m’a traité de « chochotte » mais l’a dosé en m’envoyant des décharges sur le ventre en guise de « compensation ».

 

Les sensations de la pression intérieure rivalisaient avec les micros décharges électriques et un plaisir masochiste incommensurable. Le cerveau en désordre, totalement captif et vulnérable à souhait, je m’enfonçais dans un monde parallèle, une simple caresse sur mon sexe m’aurait fait exploser en une jouissance titanesque. Mon Maître m’a enjambé puis par l’ouverture de la cagoule a introduit sa verge dans ma bouche. Sentir le poids de son corps étendu sur moi et son sexe m’a comblé de plaisir jusqu’au moment où il m’a dit que j’allais boire son champagne doré. Nous en avions parlé, je n’avais pas dit non mais je n’avais pas dit oui non plus en attirant son attention sur le fait qu’il y avait de fortes chances que je vomisse. Il a choisi le moment où je suis le plus vulnérable physiquement et psychologiquement pour cette épreuve que je redoute. Il a accéléré le rythme des décharges électriques puis augmenté un peu l’intensité puis a repris le lavement en frottant son visage sur mon sexe. Même à travers le sac de bondage et les couches, le fait qu’il touche à ma cage de chasteté m’a rendu fou. Je ne savais plus où j’étais, à quelle partie de mon corps penser, je disjonctais totalement, une forme d’euphorie me gagnait.

 

L’espace d’un instant j’ai cru jouir de partout, du sexe bien sûr mais aussi de l’anus, du ventre, mon corps convulsait. C’est à cet instant qu’il a libéré un peu d’urine dans ma bouche et je l’ai bue, je l’ai avalée, j’en voulais encore. Par petits jets il s’est vidé la vessie. Tous ces tourments m’ont conduit aux bordures du vertige, j’ai tout bu et j’en voulais encore par amour pour mon Maître. Il m’a félicité et promis une récompense pour le lendemain avant de se servir de ma bouche comme d’un cul. Boire son sperme est déjà une récompense pour moi aujourd’hui, mais là j’étais comblé dé bonheur. Puis il s’est retiré et a refermé la fermeture de la cagoule du sac de bondage. Le sommeil est venu sans même que je me sente partir jusqu’au milieu de la nuit. Les fuites anales m’ont réveillé en même temps qu’une érection monstrueuse. Uriner quand on a une érection sous cage de chasteté est un moyen de diminuer l’érection mais ce soulagement entraina celui de mes intestins. Ma peur était d’en mettre de partout mais les couches ont tenu bon. Le matin il m’a libéré et conduit à la salle de bain lavé pour la première fois. Entre ses mains, malgré le côté écœurant des résultats du lavement, j’étais bien. Phil m’a porté jusqu’au lit et m’a pris comme un dieu. Les bras libres choses rares, j’ai pu l’étreindre pendant que mon anus affamé de lui savourait sans retenu la puissante pénétration de son sexe dur comme de la pierre. Il m’a conduit à la jouissance avant de jouir presque en même temps que moi. Mon cul vibrait et convulsait encore quand il a jouis en m’embrassant comme un fou. Entre ses bras je planais dans une autre dimension.

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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