Samedi 5 octobre 6 05 /10 /Oct 11:16

Soumis ABDL forcé d'assumer

Je fais parti des soumis chanceux, j'ai rencontré ma Maîtresse mais c'est parfois très dur. Nous nous voyons très souvent et passons presque tous nos week-ends ensembles, comme c'est à son initiative, cela me laisse entrevoir qu'une vie de couple serait possible.

Mon histoire a commencé avec un recadrage sur Fessestivites par Modératrice 3 qui m'a gentiment expliqué que mon annonce ne serait à rien si je la laissais en l'état et surtout sans photo personnelle. « On dirait une bouteille jetée à la mer qu'elle Maîtresse serait intéressée par un profil comme le votre » ?

Je ne remercierai jamais assez cette modératrice car elle m'a ouvert les yeux et donné des conseils puis des liens du site avec des textes et articles à lire. Je me suis donc remis en cause en suivant ses conseils, trois mois plus tard j'ai rencontré ma Maîtresse. 

 

Un soir que nous étions chez moi, elle m'a surpris à regarder une vidéo ABDL puis m'a demandé si ce genre de truc me faisait fantasmer. Comme un soumis ne doit pas mentir à sa Maîtresse, je lui avoué que je portais parfois des couches pour le plaisir quand j'étais seul chez moi.  

- Et tu fais tout dedans, pipi, caca et tu sorts avec ?

- Non Maîtresse je suis trop timide pour sortir en couche et je ne fais que pipi.

- Pourquoi ?

- Sans vouloir vous manquer de respect, la merde ce n'est pas mon truc.

- Si je comprends bien, tu fantasmes sur les couches mais tu ne sorts pas avec, la couche te permet juste de faire un petit pipi dedans et de te branler, c'est ça ?

- Vous avez raison Maîtresse. Lui ai-je avoué honteusement avec les joues si chaudes que je devais être rouge comme une pivoine.

- Un soumis assume ses fantasmes, si non c'est un soumis sans caractère, cela ne m'intéresse pas. Puisque tu es intéressé par la régression, pourquoi ne pas la vivre pleinement ?

- Ce n'est pas la régression qui m'intéresse, juste la couche Maîtresse.

 

Je lui ai donc expliqué la différence qu'il y a entre AB et DL, mais si elle m'écoutait avec attention, son regard et son sourire malicieux laissaient entendre que des idées perverses mûrissaient dans son esprit. A la fin de mes explications, elle m'a ordonné de me mettre nu puis à quatre pattes comme un bon chien obéissant puis, de lui faire voir où je cachais mes petites affaires pour jouer au pisseux. Mon sang n'a fait qu'un tout, j'étais blême car elle allait découvrir mes petits secrets.

 

A quatre pattes, je l'ai donc guidée jusqu'au placard de ma chambre devant lequel je me suis levé avec comme objectif de ne lui en faire voir qu'une partie. Elle m'a arrêté net et forcé à reste à quatre pattes sans bouger. Quand elle s'est mise à fouiller la grosse caisse en plastique dur, je me serai bien fondu dans la moquette. Maîtresse a donc découvert mes couches mais également mes culottes en plastique, mes bodys et ma grenouillère. Assise sur mon dos, elle commentait ses découvertes en les posant sur ma tête.


- Bien, alors maintenant tu vas me servir un coca puis me faire un défilé de mode en couche pour que je vois comment tu es beau avec ces tenues.

 

Que répondre ? Rien ! Dans un sens j'étais honteux et gêné, dans l'autre ravi qu'elle s'intéresse à cette partie de mes fantasmes. Après lui avoir servi son coca, la tête brûlante et la gorge serrée, je suis donc retourné dans ma chambre pour mettre une couche et une culotte en plastique. Entrer dans mon salon fut très difficile ! ! ! Un rappel à l'ordre m'a aidé à faire le premier pas pour me présenter à elle. Je lui ai indiqué que personne ne m'avait jamais vu n couche, comme pour essayer de masquer ma honte.

 

- Des patients en couche, j'en vois tous les jours au centre, sauf que eux n'ont pas d'autres choix que d'en porter. Par contre, ils n'ont pas les autres tenues que tu me cachais et que tu vas aller mettre sans tarder, histoire que je regarde à quoi tu ressembles quand tu te travesti en bébé adulte.

- Je ne me travesti pas Maîtresse, c'est de l'ABDL.

- Je crois me souvenir que se travestir c'est mettre des tenues pour ressembler à quelqu'un d'autre, que ce soit en femme, en bébé ou autre, tu seras puni pour me contredire et en plus à tord !

 

Aie ! Avec Maîtresse, les punitions ne sont pas des jeux, au point que lorsqu'elle me menace de punition, je me calme aussitôt. Pour essayer d'apaiser sa colère et donc ma punition, je me suis totalement investi dans sa demande de « défilé de mode » en lui demandant si je pouvais mettre un fond musical, une idée qu'elle a acceptée. Sans tarder, je suis allé mettre un body par-dessus la couche et je suis revenu marcher devant elle comme j'ai pu le voir lors des défilés de mode à la télévision. Elle a également voulu me voir en grenouillère puis que je refasse un passage avec mes culottes en plastique. Lors de mon dernier passage une surprise m'attendait.

 

- Habille-toi, nous allons faire un tour pour prendre l'air.

 

Mon sang c'est glacé dans mes veines mais je ne lui ais pas demandé si je pouvais poser la couche et la culotte en plastique, j'avais compris ses intentions et une punition dans la soirée suffisait amplement.

Juste avant de sortir, je lui ai dit que j'avais honte, mais elle m'a rassuré en me disant que cela ne se voyait pas et que ses patients n'avaient pas le choix. Il n'était que 20 heures, nous allions forcément croiser des voisins dans l'immeuble, j'étais blême. Ce soir là, j'ai du perdre un kilo car je transpirais de peur mais finalement tout c'est bien passé. Personne n'a rien vu ou plutôt personne n'a rien dit s'ils ont aperçu que mon pantalon était tendu.


Au retour Maîtresse m'a ordonné de me remettre à quatre pattes devant le canapé. Elle m'a laissé là un instant avant de revenir s'installer face à moi avec un autre coca. En guise de « récompense » pour avoir osé sortir en couche, j'ai eu le droit d'embrasser ses pieds puis de remonter un peu sur ses jambes recouvertes de bas noirs. Alors que je laissais gambader mes lèvres heureuses, j'ai pu découvrir une autre surprise : elle avait retiré son string ou sa culotte.


Soudain, alors que mes yeux fureteurs fouinaient sous sa robe la recherche d'une parcelle de cette anatomie magique et sensuelle que je n'avais pas encore vue (léché plusieurs fois oui mais avec un bandeau sur les yeux) elle m'a attrapé par les cheveux pour m'obliger à remonter vers son triangle de tantale. La douceur de son intimité m'a comblé de joie encore une fois, la peau satinée de son ventre plat fut un délice pour mon nez et mes yeux. Je me suis noyé de bonheur dans on intimité trempée, Maîtresse adorant l'humiliation, je me doutais bien que ce n'était pas la couche qui l'avait excitée, mais de me forcer à faire des choses.

 

Les fragrances féminines sont des parfums si délicats que mes sens olfactifs les ont gardé en mémoire et gravés dans le marbre de mes neurones.


Une fois qu'elle eut pris son plaisir, plaisir me comblant de joie, nous avons dîné et regardé un film qu'elle avait envie de voir. Lorsque je lui ai demandé si je pouvais aller aux toilettes, j'ai pris une gifle. Cette gifle n'avait rien de méchant et il en faut plus pour m'étaler, mais elle annonçait clairement ses intentions. Nous avons dormis côte à côte, elle dans une chemise de nuit affriolante et moi en couche. J'ai eu droit à un petit baiser furtif sur mes lèvres puis à un « bonne nuit bébé » moins amusant pour le ton ironique.


Le lendemain, c'est avec une couche lourde que je lui ai apporté son café au lit vers 9 heures comme à son habitude. A genou au bord du lit, je mangeais des yeux ma Reine, aussi belle le matin au réveil que le soir, malgré ce qu'elle en dit. Elle m'a ordonné de me changer puis d'aller lui acheter des cigarettes, j'ai donc fait ma deuxième sortie en couche tout seul et avec fierté.

 

Non pas la fierté de porter une couche, mais la fierté de le faire pour elle. Etant invitée chez ses parents, ce dimanche là, elle ne pouvait rester ce qui m'a attristé mais que faire hormis lui souhaiter une bonne journée ? Lorsque c'est elle qui vient chez moi, je ne change pas les draps de la semaine pour garder le parfum de son corps qui me manque tant. Je suis amoureux fou d'elle, vous l'aurez compris et cet amour me fait tout accepter, allez donc savoir pourquoi ?

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La semaine suivante il était convenu que je me rende chez elle. Je m'y suis rendu sans couche, ne voulant pas la provoquer, chose à hauts risques avec Maîtresse.

 

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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