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Un petit blog sur les jeux et plaisirs ABDL pour partager nos petites passions. Au menu dans le temps, vous trouverez ici, des textes, des photos, des trucs et astuces sur ces pratiques (ou dérive diront certains) bien agréables d'un couple membre du réseau WWW.FESSESTIVITES.COM
La vie privée s'étale sur facebook et sur des sites internet, Secret story, star academy dont les programmes sont souvent assez pauvres à première vue, suscitent un engouement indéniable qu’on le veuille ou non. C’est aussi une forme de voyeurisme. Cependant, il serait simpliste et malhonnête de jeter la responsabilité de nos dérives perverses sur les médias.
En effet, analysons les comportements en club libertin où
de nombreux couples se rendent pour simplement satisfaire leurs passions pour le voyeurisme et exhibitionnisme. Ces couples là, franchiront-il un jour la pas de l’échangisme rien n’est sûr, voir et / ou être vu leur
suffit parfois pour ranimer une libido défaillante ou tout simplement pour le plaisir de satisfaire leur besoin d’exhibitionnisme.
Vouloir être vu dans son intimité s’appelle l’exhibitionnisme, et se passionner pour ce genre de spectacle se nomme
voyeurisme. Ces pulsions sont normalement présentes dans le psychisme de chacun, elles sont tantôt assouvies, tantôt jugées honteuses et condamnées par la part morale de l’inconscient, le
surmoi. Ainsi l’enfant qui se donne en spectacle devant un parent ou un public, satisfait sans honte une pulsion exhibitionniste. Pour autant,
cet enfant, n’est pas un pervers ! Il s’agit donc de pulsion naturelle, satisfaite ou non, jugée ou non en fonction des âges.
Avoir un blog, ce n’est pas seulement écrire sur soi ou sur un sujet qui nous passionne, c’est aussi écrire publiquement.
Bloguer c’est donc s’exposer volontairement.
Toute personne a en elle une part d’exhibitionnisme, preuve en est, les nombreux réseaux sociaux qui se développent
(facebook, myspace), où les individus prennent plaisir à exposer une part de leur intimité. Mais ceci montre également à quel point nous sommes voyeuristes. On ne prendrait pas plaisir à
s’exposer si d’autres ne prenaient pas plaisir à nous regarder.
En clair, si le voyeurisme et exhibitionnisme n’existaient pas, internet perdrait beaucoup d’intérêt……
ET L’EROTISME DANS TOUT CA ?
Si l’on approfondit en orientant le sujet vers des choses plus coquines et diverses pratiques, les jeux et enjeux du
regard ou de l’oreille il apparaît clairement que le voyeurisme et exhibitionnisme est très présent chez beaucoup de personnes qu’elles l’acceptent ou non.
Quelques exemples ?
1°) Les clubs BDSM ! On ne s’y rend pas que pour rencontrer du monde, on y a aussi pour voir et être vu.
2°) Les ABDL adepte de la couche ! Si porter une couche plait à quelqu’un, être vu sans être jugé est très souvent dans son fantasme. Si ce n’est
pas de porter une couche qui anime la personne, c’est de voir une personne en porter.
3°) Les clubs libertins comme indiqué au début de cet article.
4°) Les adeptes de la fessée n’y échappent pas non plus. Pourquoi passent-ils du temps sur le net ? Est-ce juste pour apprendre des techniques ou
pour les confidences ou pour voir des fesses rouges ? Si c’est juste pour voir des fesses rouges il y a bien une notion de voyeurisme non ?
5°) Les fétichistes du collant, du latex, du …. font la même chose. Ils surfent sur les fétichismes qui motivent leur envie de voir, c’est
donc une forme de voyeurisme.
Entre passer du voyeurisme à l’exhibitionnisme pur et donc passer à l’acte en public, il y a un plusieurs
étapes.
La première étape pour passer du voyeurisme à l’exhibitionnisme est parfois le miroir, se voir faire l’amour est ou étape,
tout comme la photo ou la vidéo personnelle que l’on ne dévoilera jamais. Il arrive que l’on s’excite en les faisant mais que l’on se sente honteux en les regardant ou inversement. Peu importe,
on l’a fait dans l’intimité et on n’en meurt pas.
La deuxième étape est Internet avec les sites et blogs avec des photos personnelles permettant de dévoiler aux internautes
une partie de son anatomie ou de ses passions sans faire voir son visage par peur d’être reconnu. L’exhibitionniste timide se contentera de voler des photos en essayant de faire croire que
c’est lui.
La troisième étape consiste à oser sortir, aller dans des lieux publics où l’on ne dévoilera presque rien en étant
convaincu que tout le monde vous regarde. Combien de femmes sont sorties sans culotte sous leur jupe juste pour satisfaire le « risque d’être vue », combien de soumis avec leur cage de chasteté
avec un long manteau, combien d'hommes en collants ou avec des sous-vêtement féminin et combien d’ABDL, sont sortis en couche avec un grand manteau d’hiver pour qu’on ne puisse voir ce qu’ils
portaient sur eux ? (Ce ne sont que des exemples, mais si l’on creuse un peu, il y en a bien d’autres)
Après il y a les clubs, SM ou libertin, puis les rencontres privées réalisées grâce à des sites de rencontre. Là, les
premiers pas sont parfois difficiles, combien de personnes ont fait demi-tour avant de sonner chez ceux qui devaient les recevoir ?
Entre l’exhibitionnisme virtuel et la réalité la marche est donc difficile pour certains.
Etre vus excite les exhibitionnistes tout comme être entendus. Etre entendu en train de faire l’amour est grisant pour
certains, honteux pour d’autres, mais ceux qui trouvent cela honteux tapent rarement à la cloison pour faire taire ces bruits, allez donc savoir pourquoi ?
Ensuite, il y a ceux qui assument et que cela excite.
ET vous ;
Aimez-vous vous voir faire l’amour dans le miroir ?
Etes-vous excité à l’idée d’êtres entendu
Etes-vous excité à l’idée que l’on pourrait vous voir ?
Etes-vous excité à l’idée d’être vu ?
Pourquoi je ne vous demande pas si vous êtes voyeurs ?
Deux questions en guise de réponse : pourquoi êtes-vous sur ce site ? Avez-vous déjà regardé des photos érotiques ?
Passer du fantasme à la réalité implique que l'on passe de la toute puissance imagination à une action réelle mais là, arrive nos « blocages ».
Certes le fantasme serait sans saveur s'il n'y avait pas la tentation d'y succomber oui mais y succomber comment et jusqu'où ?
La toute puissance imagination génère en nos pensées d'agréables sensations quand il s'agit des fantasmes, toutefois la réalité est parfois décevante ou aussi magique qu'on ne l'imaginait.
Réalité est parfois décevante oui est non car son contraire existe bel est bien souvent avec un effet « recul » traduire qu'après la réalisation de son fantasme on regrette de ne pas être allé plus loin, plus fort. Il arrive même souvent qu'après la réalisation d'autres fantasmes voient le jour.
DE MULTIPLES QUESTIONS SE POSENT
- Quels fantasmes pouvons nous réaliser sans prendre le risque d'être déçu ou comment les aborder pour ne pas l'être ?
- Avec qui, quoi et où réaliser un fantasme ?
- Quels fantasmes doivent rester du monde des fantasmes, quels fantasmes sont réalisables ou partiellement réalisables ?
- Quelle est la différence entre curiosité et réel fantasme ? Exemple essayer pour voir sans que cela ne soit un réel fantasme.
OSER PARLE DES SES FANTASMES
- Oui mais à qui et dans quel but ?
- Oui mais vais-je être pris pour un fou ou une folle ?
Ces sujets sont débattus ICI avec des personnes qui ont déjà réalisé leurs fantasmes et ceux pour qui le fantasme n'est pas encore ou ne sera jamais une réalité.

J’écris des histoires ABDL sans pour autant franchir le pas car j’ai trop peur que cela se sache et surtout que ma femme l’apprenne. Si pour voir
j’ai une fois osé acheter des couches, j’ai abandonné les 9
restantes du sac dans une poubelle. La seule fois où j’ai essayé j’ai trouvé ça sympa mais si ma femme découvrait ça, ce serait le divorce assuré.
Au bureau, lors de mes heures de liberté et le soir, j’écris donc des textes où j’utilise les noms de personnes qui travaillent avec moi comme acteurs. Ma chef de
service est d’une beauté à couper le souffle mais elle n’est pas chef pour rien….
De fait, son profil en faisait dans mes fantasmes une nurse autoritaire. Léa est devenue « Maman Léa » ou « Nurse Léa » une professionnelle très
sévère.
LE GROS BUG
Lorsqu’ils ont mis en place le réseau informatique pour permettre aux personnes de se communiquer des pièces par ordinateur et ainsi économiser le papier et
l’encre, je ne me suis pas méfié. Ma chef de service a découvert mes textes à cause de mes textes dont le titre était « Léa chef de sévices », « Nurse Léa devient diabolique »,
« Léa a un amant soumis » …..
Mes longues descriptions de sa personne et des lieux font qu’il m’était impossible de prétexter que ce n’était pas d’elle dont je parlais ! ! !
Convoqué chez le directeur, j’étais convaincu que j’allais me faire licencier. Je passe sur la remontée de bretelles qu’il m’a faite pour en venir à la suite bien
plus ennuyeuse.
Pendant leurs échanges à mon égard, j’ai découvert que Léa et le directeur sont des amis quand il lui a parlé de son gazon, de ses arbres puis de ses clôtures en
mauvais état. Leur discussion ne laissait aucun doute sur le fait qu’ils se voient en dehors du travail.
Plutôt que de me licencier, de détruire ma réputation puis mon image voir même mon couple, ils m’ont proposé vingt heures de travail d’intérêt général chez Léa,
Léa étant la seule décisionnaire des tenus vestimentaires et sanctions pouvant tomber pendant ce travail. C’était ça ou le licenciement avec tout ce qu’il s’en suit.
J’ai accepté de signer l’avertissement qu’il m’a remis en main propre, avertissement indiquant bien les motifs, ce qui en droit social est tout à fait légal. Par
contre, rien n’indiquait les heures de travail d’intérêt général chez Léa. Juste avant de me congédier, Léa m’a fait voir une clé USB en m’indiquant qu’elle avait une sauvegarde de mes écrits
et une copie de mon avertissement. J’étais mal de chez mal……
……………………………
Le samedi suivant j’étais convoqué officieusement chez Léa à 9h avec un bleu de travail et des changes complets pour adulte. Connaissant la rigueur de ma chef de
service, je suis arrivé chez elle dix minutes avant l’heure car un retard avec elle aurait forcément été sanctionné.
Ma première humiliation
Léa m’a ordonné de mettre un change complet devant elle ce qui m’obligea à quitter le bleu de travail et à lui montrer mes fesses. J’étais blême et mort de honte.
Juste avant que je remonte le bleu de travail, elle a tenu à rajouter du scotch par-dessus en m’indiquant que c’est ce qu’elle faisait pour la nuit à sa mère incontinente d’un naturel très
agité.
A la suite de quoi ; elle m’a tendu un biberon de café que je dus boire devant elle avant d’aller tondre son gazon. Ce café était dégueulasse et le boire au biberon ne me permettait pas de faire « cul-sec » pour m’en débarrasser au plus vite.
Dix minutes de torture mentale plus tard, j’attaquais la tonte de son gazon. Le bleu de travail relativement large dissimulait bien la couche, j’ai donc pu
travailler sereinement. Vers 10h30, alors que j’avais presque terminé, elle m’a appelé et fait boire un second biberon de son café toujours aussi ignoble avant de m’indiquer qu’ensuite je
devait tailler les haies et surtout bien ramasser le produit de la taille à mettre en sac.
Vers 11h, ma vessie se révolta ce qui m’obligea à faire pipi dans la couche, chose difficile quand on sait que votre chef de service risque fort de le savoir.
C’est lorsque j’ai entrepris de ramasser les feuilles de sa haie que je fus pris d’une forte envie de déféquer. Quand on se baisse pour ramasser des feuilles, il est très difficile de résister
à la « poussée interne » si vous voyez ce que je veux dire…. J’y suis parvenu mais ce fut horriblement dur.
12h l’heure de ma libération ayant sonné, je me suis présenté à ma chef de service en lui indiquant que j’avais terminé mes trois premières heures. Cette garce
voulue vérifier le travail effectué ! Je l’ai donc suivi avec une boule sur l’estomac et une énorme envie de déféquer. Je n’en pouvais plus et elle se marrait en m’obligeant à ramasser quelques
feuilles oubliées ci et là. Quand je lui ai demandé d’aller aux toilettes sa réponse fut catégorique
- C’est hors de question, dans vos textes, la sadique Léa n’aurait pas permis ça, donc respectons vos écrits. Ou vous faites sur vous ou vous vous retenez.
D’ailleurs je dois partir, vous êtes donc libre pour aujourd’hui. Samedi prochain, rendez-vous à la même heure.
Léa a accepté dans sa grande mansuétude de conserver les couches chez elle quand je lui ai expliqué que cela serait sûrement une cause de divorce si ma femme les
découvrait, par contre elle m’a congédié en me laissant avec mon horrible envie. J’ai résisté mais trouver un lieu isolé dans la nature pour faire et me débarrasser de la couche fut compliqué.
J’ai compris au moment de la libération le pourquoi son café est aussi ignoble…..
………………………
La semaine se déroula normalement sans aucune allusion à mes soucis, mais mes goûts pour l’écriture au bureau se sont arrêtés net.
LES QUATRE SAMEDIS SUIVANTS FURENT HORRIBLES
La suite de l'histoire
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Je fais parti des soumis chanceux, j'ai rencontré ma Maîtresse mais c'est parfois très dur. Nous nous voyons très souvent et passons presque tous nos week-ends ensembles, comme c'est à son initiative, cela me laisse entrevoir qu'une vie de couple serait possible.
Mon histoire a commencé avec un recadrage sur Fessestivites par Modératrice 3 qui m'a gentiment expliqué que mon annonce ne serait à rien si je la laissais en l'état et surtout sans photo personnelle. « On dirait une bouteille jetée à la mer qu'elle Maîtresse serait intéressée par un profil comme le votre » ?
Je ne remercierai jamais assez cette modératrice car elle m'a ouvert les yeux et donné des conseils puis des liens du site avec des textes et articles à lire. Je me suis donc remis en cause en suivant ses conseils, trois mois plus tard j'ai rencontré ma Maîtresse.
Un soir que nous étions chez moi, elle m'a surpris à regarder une vidéo ABDL puis m'a demandé si ce genre de truc me faisait fantasmer. Comme un soumis ne doit pas mentir à sa Maîtresse, je lui avoué que je portais parfois des couches pour le plaisir quand j'étais seul chez moi.
- Et tu fais tout dedans, pipi, caca et tu sorts avec ?
- Non Maîtresse je suis trop timide pour sortir en couche et je ne fais que pipi.
- Pourquoi ?
- Sans vouloir vous manquer de respect, la merde ce n'est pas mon truc.
- Si je comprends bien, tu fantasmes sur les couches mais tu ne sorts pas avec, la couche te permet juste de faire un petit pipi dedans et de te branler, c'est ça ?
- Vous avez raison Maîtresse. Lui ai-je avoué honteusement avec les joues si chaudes que je devais être rouge comme une pivoine.
- Un soumis assume ses fantasmes, si non c'est un soumis sans caractère, cela ne m'intéresse pas. Puisque tu es intéressé par la régression, pourquoi ne pas la vivre pleinement ?
- Ce n'est pas la régression qui m'intéresse, juste la couche Maîtresse.
Je lui ai donc expliqué la différence qu'il y a entre AB et DL, mais si elle m'écoutait avec attention, son regard et son sourire malicieux laissaient entendre que des idées perverses mûrissaient dans son esprit. A la fin de mes explications, elle m'a ordonné de me mettre nu puis à quatre pattes comme un bon chien obéissant puis, de lui faire voir où je cachais mes petites affaires pour jouer au pisseux. Mon sang n'a fait qu'un tout, j'étais blême car elle allait découvrir mes petits secrets.
A quatre pattes, je l'ai donc guidée jusqu'au placard de ma chambre devant lequel je me suis levé avec comme objectif de ne lui en faire voir qu'une partie. Elle m'a arrêté net et forcé à reste à quatre pattes sans bouger. Quand elle s'est mise à fouiller la grosse caisse en plastique dur, je me serai bien fondu dans la moquette. Maîtresse a donc découvert mes couches mais également mes culottes en plastique, mes bodys et ma grenouillère. Assise sur mon dos, elle commentait ses découvertes en les posant sur ma tête.
- Bien, alors maintenant tu vas me servir un coca puis me faire un défilé de mode en couche pour que je vois comment tu es beau avec ces tenues.
Que répondre ? Rien ! Dans un sens j'étais honteux et gêné, dans l'autre ravi qu'elle s'intéresse à cette partie de mes fantasmes. Après lui avoir servi son coca, la tête brûlante et la gorge serrée, je suis donc retourné dans ma chambre pour mettre une couche et une culotte en plastique. Entrer dans mon salon fut très difficile ! ! ! Un rappel à l'ordre m'a aidé à faire le premier pas pour me présenter à elle. Je lui ai indiqué que personne ne m'avait jamais vu n couche, comme pour essayer de masquer ma honte.
- Des patients en couche, j'en vois tous les jours au centre, sauf que eux n'ont pas d'autres choix que d'en porter. Par contre, ils n'ont pas les autres tenues que tu me cachais et que tu vas aller mettre sans tarder, histoire que je regarde à quoi tu ressembles quand tu te travesti en bébé adulte.
- Je ne me travesti pas Maîtresse, c'est de l'ABDL.
- Je crois me souvenir que se travestir c'est mettre des tenues pour ressembler à quelqu'un d'autre, que ce soit en femme, en bébé ou autre, tu seras puni pour me contredire et en plus à tord !
Aie ! Avec Maîtresse, les punitions ne sont pas des jeux, au point que lorsqu'elle me menace de punition, je me calme aussitôt. Pour essayer d'apaiser sa colère et donc ma punition, je me suis totalement investi dans sa demande de « défilé de mode » en lui demandant si je pouvais mettre un fond musical, une idée qu'elle a acceptée. Sans tarder, je suis allé mettre un body par-dessus la couche et je suis revenu marcher devant elle comme j'ai pu le voir lors des défilés de mode à la télévision. Elle a également voulu me voir en grenouillère puis que je refasse un passage avec mes culottes en plastique. Lors de mon dernier passage une surprise m'attendait.
- Habille-toi, nous allons faire un tour pour prendre l'air.
Mon sang c'est glacé dans mes veines mais je ne lui ais pas demandé si je pouvais poser la couche et la culotte en plastique, j'avais compris ses intentions et une punition dans la soirée suffisait amplement.
Juste avant de sortir, je lui ai dit que j'avais honte, mais elle m'a rassuré en me disant que cela ne se voyait pas et que ses patients n'avaient pas le choix. Il n'était que 20 heures, nous allions forcément croiser des voisins dans l'immeuble, j'étais blême. Ce soir là, j'ai du perdre un kilo car je transpirais de peur mais finalement tout c'est bien passé. Personne n'a rien vu ou plutôt personne n'a rien dit s'ils ont aperçu que mon pantalon était tendu.
Au retour Maîtresse m'a ordonné de me remettre à quatre pattes devant le canapé. Elle m'a laissé là un instant avant de revenir s'installer face à moi avec un autre coca. En guise de « récompense » pour avoir osé sortir en couche, j'ai eu le droit d'embrasser ses pieds puis de remonter un peu sur ses jambes recouvertes de bas noirs. Alors que je laissais gambader mes lèvres heureuses, j'ai pu découvrir une autre surprise : elle avait retiré son string ou sa culotte.
Soudain, alors que mes yeux fureteurs fouinaient sous sa robe la recherche d'une parcelle de cette anatomie magique et sensuelle que je n'avais pas encore vue (léché plusieurs fois oui mais avec un bandeau sur les yeux) elle m'a attrapé par les cheveux pour m'obliger à remonter vers son triangle de tantale. La douceur de son intimité m'a comblé de joie encore une fois, la peau satinée de son ventre plat fut un délice pour mon nez et mes yeux. Je me suis noyé de bonheur dans on intimité trempée, Maîtresse adorant l'humiliation, je me doutais bien que ce n'était pas la couche qui l'avait excitée, mais de me forcer à faire des choses.
Les fragrances féminines sont des parfums si délicats que mes sens olfactifs les ont gardé en mémoire et gravés dans le marbre de mes neurones.
Une fois qu'elle eut pris son plaisir, plaisir me comblant de joie, nous avons dîné et regardé un film qu'elle avait envie de voir. Lorsque je lui ai demandé si je pouvais aller aux toilettes, j'ai pris une gifle. Cette gifle n'avait rien de méchant et il en faut plus pour m'étaler, mais elle annonçait clairement ses intentions. Nous avons dormis côte à côte, elle dans une chemise de nuit affriolante et moi en couche. J'ai eu droit à un petit baiser furtif sur mes lèvres puis à un « bonne nuit bébé » moins amusant pour le ton ironique.
Le lendemain, c'est avec une couche lourde que je lui ai apporté son café au lit vers 9 heures comme à son habitude. A genou au bord du lit, je mangeais des yeux ma Reine, aussi belle le matin au réveil que le soir, malgré ce qu'elle en dit. Elle m'a ordonné de me changer puis d'aller lui acheter des cigarettes, j'ai donc fait ma deuxième sortie en couche tout seul et avec fierté.
Non pas la fierté de porter une couche, mais la fierté de le faire pour elle. Etant invitée chez ses parents, ce dimanche là, elle ne pouvait rester ce qui m'a attristé mais que faire hormis lui souhaiter une bonne journée ? Lorsque c'est elle qui vient chez moi, je ne change pas les draps de la semaine pour garder le parfum de son corps qui me manque tant. Je suis amoureux fou d'elle, vous l'aurez compris et cet amour me fait tout accepter, allez donc savoir pourquoi ?
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La semaine suivante il était convenu que je me rende chez elle. Je m'y suis rendu sans couche, ne voulant pas la provoquer, chose à hauts risques avec Maîtresse.
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