Histoire

Jeudi 24 avril 4 24 /04 /Avr 10:17

Ma femme a une maîtresse (BDSM et ABDL couple)




Cela fait des années que nous pratiquons le BDSM, lors des soirées je suis le soumis de ma femme qui prend plaisir à me « martyriser » pour son et mon plaisir. En dehors des soirées BDSM, nous vivons normalement comme tous les couples conventionnels appelés « vanille ».

Sur le site www.fessestivite.com ma femme a rencontré une soumise qui cherchait un Maître ou une Maîtresse digne de ce nom. Cette pauvre fille aussi jolie que sympa vivait avec un rustre se prétendant Maître et qui du BDSM ne connaissait pas les notions de respect. Leur relation allait mal, Michelle trouva en mon épouse une oreille attentive à ses problèmes de couple. Elles mirent rapidement à communiquer par téléphone pendant des heures.

Elle est venue seule à la maison pour nous rencontrer, la soirée a un peu dérapé autour des jeux SM mais plus verbalement que physiquement car Michèle était relativement perturbée. La seule personne qui a pris des coups ce soir là ce fut moi ! Une réelle amitié est née entre nous et lors de l’explosion de son couple, comme nous disposons d’une chambre indépendante, nous l’avons hébergée pour la préserver du « maimaitre » devenu violent et débile le temps qu’elle trouve un appartement.

Un soir, alors que je commençais à être en manque de jeux et plaisirs SM, je me suis amusé à la provoquer devant son amie sans gêne ni pudeur puisque nous étions entre joueurs et adeptes des jeux de domination / soumission. Mon épouse me promit une fessée, promesse à laquelle je répondis « promesse, promesse » et d’autres provocations imagées ayant pour objectifs de déclencher une petite soirée SM.

C’est en tant que complice de notre couple que Michèle intervint en soulignant mes provocations. Et moi, tout heureux de rire et parler de nos délires, j’en ai rajouté en baissant mon short pour faire voir mes fesses en partant aux toilettes pour éliminer les apéros consommés avant le dîner. Les filles conspirèrent en mon absence car dès mon retour à la cuisine, mon épouse m’intima l’ordre de baisser mon short et de venir m’allonger sur ses genoux pour recevoir la fessée méritée. Un peu gêné, je me suis exécuté devant Michèle amusée. Les premières claques furent assez fortes et douloureuses, mes demandes de commencer doucement furent à peine entendues. Mon fessier commençait méchamment à s’échauffer lorsque l’idée de partager ma fessée vint à l’esprit de ma femme. Elle me fit me relever puis plaça deux chaises face à face comme il m’arrive de le faire pour martyriser des soumis ou des soumises lors des soirées BDSM. C’est en m’étendant sur leurs genoux que je pris conscience que cela ne m’était encore jamais arrivé que deux femmes me donnent une fessée ensembles. Comme à mon habitude, je ne pus contenir mes pensées, ce qui me valut la promesse de sévères représailles.

C’est donc sous quatre mains féminines que je me suis tortillé de douleur au fur et à mesure que les claques sonantes s’abattaient sur mon postérieur rougissant pour d’autres raisons que le pudeur….. Les filles s’éclataient, moi aussi je l’avoue malgré la cuisante fessée qu’elles m’administraient. Michèle pour qui fesser quelqu’un était une première trouva grisant de passer de soumise à dominante. Les coups cessèrent et quand je voulus me relever, Sophie m’imposa de la main de rester sur leurs genoux. Et là, surprise, pendant que j’attendais la suite, au-dessus de mes fesses enflammées les filles se bécotaient tendrement ! Certes elles avaient déjà un peu joué ensembles mais la durée du baiser saphique me surprit.

Sonné d’aller chercher ma cage de chasteté, je les laissais entre filles en me demandant si ce prélude aux jeux SM aurait une suite. Pour anticiper les soucis d’érection rendant impossible la pose de la cage de chasteté, je l’ai enfilée avant même de revenir à la cuisine en laissant le plaisir de clore le cadenas à mon épouse. A mon arrivé à la cuisine, elles étaient debout enlacées en train de câliner. J’appréciais un instant du regard ces tendres épanchements avant de venir me lover contre ma femme qui me rabroua pour les avoir dérangées. Elle ferma le cadenas de ma cage de chasteté et mit la clé dans sa poche, m’ordonna de débarrasser la cuisine avant d’emmener Michèle au salon. Autant dire que dans ma cage, la crise du logement se faisait sentir et qu’il n’y avait pas que mes fesses de chaudes….

La cuisine débarrassée, je les ai trouvées au salon poitrines à l’air dans des câlins saphiques des plus gloutons. Ma présence sembla gêner leurs envies, ma femme proposa que l’on s’occupe de moi, idée qui me fit fondre de joies. Mon teeshirt retiré, je fus conduit à notre lit où je m’étendis avec le sourire banane d’un homme qui va se faire croquer par deux femmes.



Sauf que ma belle ouvrit le tiroir où je range mes accessoires ABDL d’où elle sortie une couche, une culotte en plastique et la camisole de force. Sous les yeux amusés de Michèle, elle me langea puis m’ordonna de me lever. J’étais blême de honte d’apparaître ainsi vêtu devant son amie qui l’aida avec joie à m’enfiler puis à boucler la camisole de force. Sophie sortit mon collier de soumis et une chaînette de la caisse à jouets et qu’elle attacha au pied du canapé. Elle m’y coucha puis referma le collier autour de mon cou et me souhaita bonne nuit avant d’entrainer son amie dans notre chambre. J’aime les entraves, les bondages, les plaisirs ABDL, les jeux de contraintes mais là, j’aurai bien aimé participer à leurs ébats ou au moins les regarder. Il n’en fut rien, hormis les soupirs, râles, bruits de vibromasseurs et cris de jouissance, je n’ai rien pu apprécier. Sur mon canapé, j’étais fou…

Ma femme vint me souhaiter bonne nuit puis me parler en quelques mots du plaisir qu’elle avait eu à faire l’amour en me sachant entravé avant de me m’embrasser et de me planter là. La lumière de la chambre s’éteignit en me laissant en pleine crise d’excitation sous cage de chasteté avec mon Popaul gorgé de désir et surtout compressé dans son tube d’acier. Ma nuit fut peuplée de rêves érotiques aussi fous les uns que les autres malgré l’inconfort du canapé.

Au petit matin, mon épouse est venue me libérer de la camisole en me demandant de leur apporter un café, chose que je fis avec l’esprit embrouillé de songes érotiques avec mon Popaul tendu à rompre la cage qui étirait mes testicules à m’en faire mal. Par pudeur, j’avais mis mon peignoir mais elles voulurent voir le « gros bébé » dans ses langes ce qui me troubla énormément car entre délirer seul, délirer avec sa femme et délirer devant une tierce personne, il y a tout un monde. Je m’en ouvris à elle ce qui me valut la réponse suivante qui me surprit et coupa net toutes mes réfutations :

« C’est toi qui me donne toutes ces idées, c’est toi qui achète tout ce matériel, c’est toi qui me parle de stage et de domination sur la durée, c’est encore toi qui écrit des textes et modes d’emploi pour bien dominer son mari. Tu as eu l’outrecuidance de dire à nos amis que je suis trop soft avec toi ce qui m’a gênée pour deux raisons. La première parce que tu parles de notre intimité sans m’en parler au préalable, la deuxième parce que j’apparais comme une maîtresse gnangnan qui ne sait pas dominer. Quand je t’ai dit que je cherchais une Maîtresse pour m’aider à te dominer, cela avait l’air de te plaire n’est pas…. alors j’ai trouvé. Le temps qu’elle trouve un appartement, Michèle va m’aider à te recadrer. Elle a toute ma confiance et je sais pertinemment qu’elle ne cherchera pas à briser notre couple. Tu voulais une domination dans la durée, tu vas l’avoir mais tu as intérêt à être un bon soumis si tu ne veux pas trop souffrir».

Que répondre à cela ?
Rien !
J’étais sans voix, au pied du mur face à mes délires et fantasmes.

Mon épouse me semblait très sérieuse, j’aurai pu me révolter et mettre un terme à ce jeu mais l’appel des émotions et plaisirs BDSM furent plus forts que la raison. Mes yeux se sont baissés presque malgré moi, scellant mon sort pour une histoire qui allait dépasser tout ce que j’aurai pu imaginer parce que ce qu’une femme qui veut obtenir quelque chose de son mari elle l’obtient, deux c’est pire. Michèle prenant son rôle très à cœur m’ordonna de me mettre à genoux, en acceptant j’ai reconnu son autorité. Ce matin restera à jamais gravé dans ma mémoire car il a scellé mon destin. Elles étaient elles aussi imprégnées de cette atmosphère grave, presque lourde, personne ne souriait tant la pression était palpable.

Michèle m’ordonna d’aller refaire du café, mon épouse d’ouvrir ensuite le portail pour qu’elle n’ait pas à le faire pour partir travailler. Ma requête de me changer s’opposa à un refus catégorique. Comme ivre et dans un état second, j’ai enfilé mon peignoir pour réaliser ce qui m’était demandé. Quand je suis revenu après avoir ouvert le portail, elles prenaient la douche ensembles la porte était fermée. Ne sachant que faire, j’ai allumé mon ordinateur et j’ai pris un café en fumant une cigarette.


Elles sont sorties nues de la salle de bain sans aucun gêne, j’ai du fermer le soutien-gorge de Michèle et l’aider à enfiler son pull. Elles sont parties travailler en me laissant une liste de choses à faire, comme ranger la maison, faire le lit et le repas du midi. Je fais du télétravail mais ce matin-là, mon travail prit du retard car j’étais à la fois, perturbé, excité et troublé. En faisant un brin de ménage, mille questions me traversaient l’esprit, j’étais à la fois heureux de vivre un de mes fantasmes et à la fois inquiet.

Lorsqu’elles sont arrivées presque en même temps vers 12h30 la table était mise, le repas était prêt. Le déjeuner fut assez rapide, elles parlèrent de choses et d’autres comme si de rien n’était. Sophie m’annonça qu’elles arriveraient plus tard ce soir là et que je ne devais pas m’inquiéter sans pour autant m’en dire plus. L’après-midi est passée lentement malgré la surcharge de travail que j’avais. Vers 18 h je me suis mis en cuisine, vers 19h j’ai pris un apéro comme pour tuer le temps en surfant sur le net sans grande conviction.

LA SURPRISE

Les deux voitures sont entrées dans le jardin vers 19h45, elles ont fermé le portail puis elles ont débarqué les bras chargés de sac de fringues en m’ordonnant de servir l’apéro au salon. Connaissant leurs goûts, j’ai aussitôt ouvert une bouteille de blanc que j’ai apporté comme ça au salon avec des verres dans les mains. Michèle me renvoya aussitôt à la cuisine sans me laisser les poser sur la table en m’indiquant qu’un service se fait sur un plateau. Je revins donc avec un plateau pour faire le service sous leurs yeux rieurs. Mon épouse m’indiqua alors avec un sourire radieux qu’elles avaient une surprise pour moi.


Leurs mimiques indiquaient clairement que la surprise risquait d’être difficile et je ne me trompais pas. Sonné de me mettre nu devant elles, je retirais mes vêtements en me demandant ce qui m’attendait. C’est mon épouse qui ouvrit le bal des surprises en ouvrant un sac dont elle sortit une culotte rose en dentelle que je dus enfiler aussitôt devant elle. Michèle se leva avec un soutien-gorge assorti qu’elle me passa en me disant que je serai « belle » avec ça. J’aurai préféré être nu, c’est moins gênant. Sphie sortit ensuite des bas auto-fixant noirs que je dus passer devant elle en écoutant leurs conseils pour les mettre sans les abimer puis ce fut une robe rose en tissu type chiffon qu’elles sortirent d’un des sacs. J’étais blême car si les sous-vêtements féminins m’ont toujours attirés, les porter ainsi devant elles comme un spectacle me gênait. Le clou du spectacle qui m’humiliait fut de mettre une perruque brune cheveux mi-long. Elles s’éclataient comme des folles, leurs commentaires sur ma beauté fusaient. J’ai demandé l’autorisation de me servir un verre, elles me l’ont accordé, c’est une 102 (double pastis) que je me suis servi pour puiser dans l’alcool le courage nécessaire pour ne pas les envoyer « chier ».

Me sentant sûrement proche de mes limites et de l’incident, elles m’invitèrent à m’asseoir entre-elles pour trinquer. Leurs mains se firent coquines sur mon corps, l’une caressait mes cuisses, l’autre mes seins à travers le soutien-gorge, leurs attouchements et baisers me firent fondre et oublier le ridicule de ma situation. « Ce soir, c’est soirée filles » m’indiqua mon épouse en ajoutant que je luis plaisais beaucoup comme ça. Entre leurs mains, je devais fou et un jouet sexuel avec lequel elles s’amusaient comme des folles.

Faire le service du dîner en fille ne m’a pas gêné, c’était rigolo, un peu moins quand elles parlèrent de me trouver des chaussures à talon et de me faire sortir en fille ! Après le diner, la soirée s’orienta immédiatement vers les jeux et câlins. Mon épouse m’envoya chercher notre chaise percée, ce que je fis volontiers car j’aime déguster les minettes et les sentir vibrer sous ma langue. La chaise donne l’impression de contrainte, pour moi ce n’en était pas une sauf que les choses ont un peu dérapé quand Michèle voulu me faire boire son champagne doré pendant que mon épouse jouait avec ses tétons pendant que je savourai sa minette. Certes je l’ai déjà fait, mais partiellement et en étant très chaud mais là, elles surent être très convaincantes.


C’est avec de sévères pinces à sein accrochées à mes tétons et tirées fortement par Michèle en délire puis avec le pied de mon épouse sur mon sexe que j’ai bu une bonne partie de son champagne dorée. Puis ce fut au tour de ma femme de se soulager avant de s’offrir une jouissance titanesque sous mes lèvres et son vibro favori pendant que Michèle lui pinçait les tétons. Mon épouse étant femme fontaine, je fus inondé une troisième fois mais cette fois, je bus avec conviction le fruit de sa généreuse jouissance.

Après ces moments d’extases et de délires, nous étions épuisés. Elles me mirent une couche et la camisole en deux temps trois mouvements avant de m’enchaîner par le cou aux pieds du lit sur et sous une couverture. Ce qui me surpris et aussi surprenant que cela puisse paraître j’étais heureux de dormir avec elles, même si c’était par terre. Un sentiment d’appartenance et un bien être m’a permis de sombrer rapidement dans les bras de Morphée.

Par chance, ou comble de malchance, Michèle trouva le lendemain un travail à Paris très bien rémunéré et partie deux jours plus tard. Je garde un sublime souvenir de cette aventure. Elles ont prévu de passer cet été 15 jours de vacances ensembles, je crains le pire et le meilleur.

Ecrivaillon


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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL & plaisir
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Dimanche 6 avril 7 06 /04 /Avr 12:14

Grenouillère pour adulte un piège

 


Adepte des rencontres libertines ou fessée, je surfais depuis près de deux ans sur le site de rencontre Fessestivites ce qui m’a permis de rencontrer des gens géniaux et de passer de superbes soirées. Comme ce site est ouvert à tous les profils, j’ai sympathisé avec un couple ABDL qui fait parfois un peu de la fessée. Passant dans leur région avec mon camion, je leur ai proposé de les rencontrer en tout bien tout honneur histoire de faire connaissance puis de parler un peu de nos passions.

Lors de nos échanges autour d’une bouteille de champagne, ils m’ont demandé si j’avais déjà essayé la couche dans mes jeux. Du tac au tac, je leur ai demandé s’ils avaient déjà été fessés par un étranger. La complicité s’installant entre nous, l’idée est venue de nous défier amicalement ce qui nous emmena à faire un parie sur ce qu’il se passerait après le repas. Allez t’ils prendre une fessée ou allais-je devoir mettre une couche ?

Franck est un gros joueur, les défis l’amusent follement contrairement à sa femme Karine qui est plus réservée bien que sacrément coquine. C’est finalement lui qui a lancé le défi sur une partie d’échec, un jeu que j’affectionne. S’il perdait, je les fessais tous les deux, s’il gagnait, je devrais découvrir l’ABDL à leur façon.

- Si tu perds chéri, attend-toi à ce que je fesse aussi et cette fessée, tu t’en souviendras ! Lui dit Karine quand il a sorti le jeu d’échec.

La partie ne pouvant durer des heures, nous avons décidé de limiter le temps de réflexion à une minute par coup sur le jeu d’échec. En grand provocateur, lorsque la partie a débuté, je leur ai conseillé de préparer leurs fesses, Karine me répondit au tac au tac, « si je m’occupe des tiennes, tu t’en souviendras ». Cet enfoiré de Franck a roqué, une stratégie que je n’avais pas prévue. Du coup mon attaque sur son roi n’avait plus aucun sens, sa tour menaçait mon cavalier ou ma tour. En une dizaine de coup j’étais mat ! L’enfoiré, adieu les petites fessées que j’aurai bien donné à l’un comme à l’autre car je fesse aussi bien les hommes que les femmes, même si évidement, j’ai une préférence pour les dames.

Karine était plié de rire à ma mine déconfite, Franck en rajoutait en disant « c’est pour qui la cou-couche » ? Avec beaucoup de gentillesse, il m’a offert un bon whisky pour me donner du courage avant de m’inviter à m’allonger nu sur le canapé pour que sa femme s’occupe de moi. Elle revint avec une grande serviette à mettre sous mes fesses et son matériel d’ABDL. J’ai eu droit à la totale ! Le lait de bébé, le talc la couche et même une culotte en plastique rose d’ABCplaisir.com !

« Avec ma couche et une culotte en plastique j’avais l’air d’un con ma mère, avec ma couche et une culotte en plastique j’avais l’air d’un con » !

Chers lecteur ABDL ne voyez aucune agression de ma part ni critique avec cette parodie, disons que je n’étais pas à l’aise du tout ! Cet enfoiré de Franck est aller chercher une grenouillère pour adulte et me l’a faite enfiler en me disant que Karine allait avoir une surprise pour moi. Il insista sur le fait qu’avec l’alcool consommé, je ne pouvais pas prendre la route et que je devais dormir chez eux.

 

La belle a compris après-coup et s’en est follement amusée en nous abandonnant un instant. Deux minutes plus tard, elle revint avec un cadenas qu’elle posa aux anneaux de la grenouillère pour adulte en bloquant également la fermeture éclair. Nous avons pris un dernier verre et sommes allées nous coucher non sans quelques quolibets à mon encontre du type, « bonne nuit bébé » ou pire « ne fais pas pipi au lit »….. .

Vers 2 heures du matin, une furieuse envie de faire pipi m’a réveillé. Par réflexe je me suis assis au bord du lit pour me lever avant de reprendre mes esprits. Heu ? Que faire, déchirer la grenouillère d’ABCplaisir.com ? Impensable, je ne pouvais pas faire ça à des gens aussi gentils ! Les réveiller ? L’idée me dérangeait fortement surtout que je n’étais pas convaincu qu’ils acceptent de me libérer pour que j’aille aux toilettes……. Je me suis donc recouché en pensant pouvoir tenir jusqu’au petit matin mais il me fut impossible de retrouver le sommeil.

A force de négociations entre ma vessie et ma raison, à savoir la propreté, j’ai fini par me dire que j’allais faire un petit pipi dans la couche histoire de soulager un peu la vessie. Par peur de tremper le lit de leur chambre d’amis, je me suis levé pour faire. Impossible ! Impossible j’en mourrais d’envie mais je n’y arrivais pas. Je me suis recouché, puis à nouveau levé un moment plus tard et là, j’ai fini par y parvenir avec un petit pipi bien plus gros que prévu ! Je m’attendais à baigner dans mon urine, il n’en fut rien. J’ai bien senti une chaleur envahir mon bas ventre mais sans plus. Du coup, j’ai libéré ma vessie ce qui généra en moi de sensations bizarre.

L’érection du matin m’a posé un souci ! Comme beaucoup d’homme, le matin Popaul nous montre les étoiles, sauf que le mien était coincé entre mes jambes par la couche. Cela est perturbant et à la fois excitant. Me caresser à travers la grenouillère et la couche, ne fit pas grand-chose hormis augmenter mon excitation et donc la tension « du bas ». Un second pipi a eu raison de l’érection matinale avant que je retrouve le sommeil.

Vers 7 heures, je me suis levé pour aller prendre un café à défaut d’aller aux toilettes… Karine prenait son petit déjeuner dans la cuisine et me dit bonjour le plus naturellement du monde alors que j’étais très gêné. Que j’ai mouillé ma couche ou pas, elle s’en moquait éperdument. Deux tartines plus tard, elle m’a donné les clés du cadenas de ma grenouillère pour adulte en m’indiquant la salle de bain. Tout penaud, j’ai récupéré mes vêtements avant de « m’enfuir » pour une douche bien méritée.

EPILOGUE

Je ne regrette finalement pas cette expérience, elle m’a permis de commencer à comprendre les sensations que peuvent avoir les ABDL et surtout de découvrir le confort des grenouillères pour adultes.

Ecrivaillon

 

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Lundi 24 mars 1 24 /03 /Mars 11:53

Piégé en gigoteuse adulte sac de bondage par une nurse en colère.



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Depuis des années, soumis Louis fantasme sur le bondage, la cage de chasteté puis sur les contraintes que pourrait lui imposer une Maîtresse. Ses attirances l’ont conduit à acheter une cage de chasteté mais avoir la clé de sa cage quand on est célibataire n’est pas très grisant. Il a toutefois réalisé les défis organisés par Fessestivites et Maîtresse Alysé qui gère parfois les cages de chasteté de quelques membres du réseau. Il fera d’ailleurs le prochain défi chasteté du 31 mars 2014.

Sur le chat webcam de Fessestivites, il est entré en contact avec une nurse un peu sévère, soumis Louis n’est pas ABDL mais pour être dominé il est prêt à tout.

Lorsque la boutique ABCplaisir a lancé une gamme de gigoteuse pour adulte équipée d’anneaux pour des cadenas puis des moufles ABDL assorties également équipées d’anneaux et chaînettes pour des cadenas, il n’a pu résister à la tentation de se les offrir. S’il est parvenu à se faire un selfbondage dans cette gigoteuse pour adulte et a galéré deux heures pour s’en libérer. L’absence d’une Maîtresse lui pèse énormément. Lors des échanges sur le chat de Fessestivites, il parvient à obtenir une rencontre avec Nurse Mam en lui parlant de cette gigoteuse qu’il pourrait emmener pour lui faire voir.

La rencontre ne devait durer deux heures……………

La rencontre ne devait durer que deux heures mais soumis Louis s’y est très mal pris avec Nurse Mam n’ayant pas apprécié du tout qu’il essaye de négocier ses services en la prenant pour une professionnelle à qui on s’imagine pouvoir dire « je veux ». Elle s’est même sentie pousser des ailes de Maîtresse sadique et perverse en l’écoutant parler. Le recadrage fut à la hauteur du caractère de Nurse Mam, carré, expéditif et punitif. Soumis Louis s’est retrouvé sur ses genoux pour une fessée maison qui s’est terminée au paddle. Le cul en feu après la fessée et mis au coin comme un gamin, il n’en menait par large quand Nurse Mam lui demanda ses disponibilités pour le soir même. Il lui répondit qu’il était libre comme l’air et en RTT et le week-end.

Soumis Louis ayant emmené comme convenu sa gigoteuse et ses moufles, Nurse Mam entreprit de les regarder de près et les trouva superbes. Elle annonça à Louis sans lui demander son avis qu’il allait y passer quelques heures et en couche. Il essaya bien de négocier pour éviter la couche mais on ne négocie pas avec Nurse Mam quand elle est en colère. Il en eut une grosse avec deux inserts, trois suppositoires à la glycérine sans savoir ce qu’elle mettait dans ses fesses et même une culotte en plastique. Rouge de honte, il faut conduit par l’oreille dans une petite chambre où elle jeta la gigoteuse sur le lit en lui ordonnant de se glisser à l’intérieur. Elle lui posa les moufles qu’elle cadenassa serrées pour qu’il ne puisse les retirer.



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Prévoyante, Nurse mam lui posa une cagoule en polaire qui ne permit pas à soumis Louis roi de l’évasion de ses selfbondages de voir ce qu’elle lui préparait. Elle rajouta une chaîne sous les bras de Louis puis des sangles tout autour de la gigoteuse. Une fois entravé, il n’était plus capable d’écarter les jambes ni les bras de son corps.

- Tu voulais du bondage, être entravé et découvrir ce qu’est une réelle contrainte avec une Maîtresse ? Et bien tu vas le découvrir avec la Nurse que tu as vexé mufle.

Avant même que soumis Louis n’ait le temps d’essayer de formuler des excuses, Nurse Mam avait quitté la chambre et fermé la porte. La première heure, il se fit quelques films érotiques dans sa tête au point de bander comme un taureau mais avec le sexe maintenu entre ses jambes par la couche, il découvrir aussi une autre forme de contrainte. Une heure plus tard, l’envie d’uriner le taraudant, il appela Nurse Mam mais en vain et il du se contenir. L’envie pressante fut rapidement rattrapée par une envie d’aller à la scelle ce qui le perturba au plus haut point comme l’on peut s’en douter. Les fesses ultra serrées, il dut se résoudre à vider sa vessie avec une attention particulière sur son anus contracté.

Trois heures plus tard, Nurse Mam fit irruption dans la chambre avec un biberon à la main. Elle fut accueillie par des tonnes de jérémiades et de multiples requêtes de libération. En guise de réponse, Nurse Mam monta sur le lit, enjamba Louis et posa son fessier généreux sur le ventre du soumis entravé qui crut s’étouffer sous la surprise. A grands coups de fessier sur son ventre, il ouvrit la bouche comme demandé et absorba le contenu du biberon de lait contenant un laxatif, un somnifère et un décontractant. En manque de tabac il essaya de négocier le droit de fumer une cigarette, elle lui répondit qu’un bébé ne fume pas, avant d’entreprendre un cours de politesse.

Louis dut se résoudre à répéter les phrases demandées du type, « s’il vous plait madame », « merci madame », « pourrais-je avoir s’il vous plait » suivi d’un volume d’information descendantes du même style sur la façon de parler aux dames. Lorsqu’il s’aperçut qu’elle allait à nouveau quitter la chambre et le laisser là, il la supplia et, devant l’absence de réponse se laissa emporter par la colère et l’insulta. Nurse Mam fit demi-tour, lui retira la cagoule pour lui donner une paire de gifles monumentales à décorner un boeuf.

- Répète pour voir ce que tu viens de dire ? Lui demanda Nurse Mam en levant la main.

Louis s’excusa platement et essaya à nouveau de négocier mais en vain. Nurse Mam lui rappela qu’il avait accepté de rester pour qu’elle le domine à sa façon. Elle lui rappela également tous ses manques de respect justifiant entre autre sa punition avant de sortir de la chambre en laissant le soumis désespéré. Lorsqu’elle revint le voir deux heures plus tard, Louis dormait à poings fermés comme un bébé. Il eut beaucoup de difficultés à se réveiller et, dans un état comateux, prit le gros biberon sans même discuter. Etendue contre lui sur le lit pendant qu’il tétait, Nurse Mam lui parla avec douceur et caressa son visage avec beaucoup de douceur. Cette douceur fit fondre Louis de bonheur, ses neurones embrumés ne lui permettant plus vraiment de discerner les choses.

Agrémenté d’un second somnifère le biberon fut assez rapidement terminé, Nurse Mam lui mit dans la bouche une grosse sucette maintenue avec un bandeau élastique avant de quitter la chambre. S’il aurait pu la rejeter, Louis n’en fit rien et se mit à téter en se pissant dessus avec plus de facilité que la première fois ce qui lui valut des fuites anales. Sa nuit fut paisible jusqu’au petit matin où des crampes dans le ventre le réveillèrent. Malgré ses efforts désespérés, il finit par se vider dans ses couches en pleurant comme un bébé.

8 HEURES

Nurse Mam entra dans la chambre accompagnée de son mari, bâti comme un docker. Elle retira les moufles des mains de Louis à moitié dans les vapes, l’aida à sortir ses bras de la gigoteuse avant de poser une paire de menottes sur ses poignets. Totalement libéré des autres entraves, il put tant bien que mal se mettre debout pour être conduit dans une douche spéciale où il fut entravé mains en l’air pour y être décrassé au jet d’eau. Nurse Mam le sécha comme le ferait une maman avec son enfant, (hormis les menottes) avant de le guider dans sa nurserie pour le langer et le mettre en grenouillère pour la mâtiné qu’il passa menotté dans un parc à bébé sans même discuter. Il but un biberon cette fois « conventionnel » et prolongea sa nuit.

12 HEURES

Louis avait repris tous ces esprits mais accepta sans rechigner de prendre un autre biberon. Etant devenu sage, il eut le droit de fumer une cigarette, un moment magique pour lui n’ayant pas fumé depuis 14 heures le jour d’avant.

- Est-ce que tu te sens de conduire pour repartir ?

- Je crois que oui Madame. Répondit Louis cette fois avec politesse. Est-ce que vous me libérez ?

- Oui, mais tu n’as jamais été mon prisonnier, juste un soumis désirant vivre une aventure en soumission, n’est-ce pas ce que tu m’avais demandé ?

- Oui madame, mais je n’avais pas vu les choses comme ça.

- Disons que si tu avais été plus poli et surtout plus respectueux de ma personne, j’aurais fonctionné autrement mais tu méritais une bonne leçon.

EPILOGUE

Nurse Mam a estimé qu’il était plus prudent que Louis déjeune avec eux avant de prendre la route, le repas fut enrichissant en termes de discussions et d’échange. Pour remercier Nurse Mam et essayer de se faire pardonner il lui offrit la gigoteuse et les moufles de son calvaire. Elle accepta à condition qu’il revienne au moins une fois, chose qu’il fit la semaine suivante en arrivant pour lui faire plaisir en couche sous ses vêtements.

TSM

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Samedi 7 décembre 6 07 /12 /Déc 07:35

La femme du banquier est une nurse perverse


Auteur TSM membre du réseau Fessestivites

- J’ai réfléchi à tes fantasmes et délires ABDL, après tout chacun a le droit de vivre les fantasmes qu’il veut ! Indique Amélie à son mari, directeur de banque au moment où ils allaient se coucher.

La femme du banquier est une nurse perverseTout étonné par ce revirement de situation, sans rien dire Denis la regarde ouvrir l’armoire puis les tiroirs où il range ses couches et ses culottes en plastique puis ses tenues de bébé adulte. Amélie sort ce qu’il faut pour le langer ainsi qu’une grenouillère de chez ABCplaisir avant de lui demander de retirer son pyjama.

- Mais que me vaut se changement ? Demande Denis aussi surpris que gêné car jusqu’à présent, elle ne s’était jamais occupée de lui pour la réalisation de ses jeux et plaisirs ABDL.

- L’envie de te faire plaisir et de vivre aussi mes envies mais nous en parlerons plus tard, je ne suis pas encore prête pour en parler. Allez mon gros bébé, couche toi sur le dos et relève les fesses, maman va s’occuper de toi !

Amélie lui pose une couche puis une culotte en plastique rose, l’aide à enfiler une grenouillère avant de le recouvrir de la couette. Elle l’abandonne un instant pour revenir, sous les yeux extrêmement étonnés de Denis, avec une sucette de bébé qu’elle lui met dans la bouche avant de lui faire un bisou sur le front et d’éteindre la lumière puis de se coucher.

Denis est heureux comme le petit prince de ses rêves les plus fous. Si ses passions ABDL se réalisent, il aura réussi tous ses projets de vie, une belle femme, une belle situation, une maison de Maître comme dans les livres et une certaine aisance financière lui permettant de leur offrir d’autres plaisirs. S’il savait…

……………………………..

Le lendemain Amélie le réveille avec un biberon de café, l’embrasse avant de quitter la maison pour aller anime ses cours de gymnastique. Agée de 35 ans et prof de sport, mariée depuis 5 ans avec Denis son cadet de 10 ans ayant très largement les moyens d’assurer les besoins financiers du couple, Amélie a quitté l’éducation nationale pour exercer un métier passion dans des établissements privés.

Amélie s’ennuie à mourir dans son couple depuis 3 ans. Denis au lit n’est pas un bon amant, c’est un précoce qui la laisse sur sa faim en s’endormant pour se mettre à ronfler comme un tracteur. Elle l’a fréquenté trois mois et s’est mariée avec lui sur un coup de tête, il faut dire que si au lit c’est la platitude, dans la vie son mari un brin soumis est charmant et lui a toujours offert tout ce qu’elle désire, l’Audi coupé sport dans le garage en est qu’un exemple.

Jours après jours elle prépare un piège machiavélique qui va lui permettre de devenir une femme totalement comblée avec l’aide d’une personne très mal attentionnée.

……………………………

Le soir même, elle passe la surmultipliée dans son programme d’une grande perversité, en reproduisant ce qu’elle a fait la veille avec une variable près, des entraves. Une fois Denis langé et couché en grenouillère, elle lui pose une paire de menottes qu’elle accroche à la tête du lit en lui indiquant que c’est une surprise. Elle ouvre la grenouillère, glisse sa main dans la couche pour venir jouer avec le sexe de son mari en faisant attention de ne pas le faire jouir. Amélie va plus loin dans la perversité en lui faisant une petite fellation interrompue juste avant qu’il ne jouisse. Denis est aux anges, même lorsqu’elle force son sexe pour le remettre dans sa couche avant de refermer la grenouillère. Sa nurse diabolique monte à cheval sur lui pour frotter d’une façon dès plus érotique son intimité sur le bas ventre de Denis qui tire désespérément sur ses menottes dans des envolées fantasmagoriques les plus folles.

- J’ai trouvé un très joli meuble qui irait à merveille dans le salon. Il ressemble à un buffet en merisier massif mais quand on l’ouvre, c’est un lit. Si on l’achète, je pourrai t’y attacher dedans et te faire des tonnes de choses sadiques pour te rendre fou tout en jouant avec mon gros bébé. Si tu es d’accord, je le fais livrer demain. Lui indique Amélie en embrassant son mari dans le cou, chose qui le fait craquer.

Dans l’état d’excitation où il se trouve, si elle voulait acheter une maison pour aller plus loin dans ses plaisirs de gros bébé adulte, il répondrait « oui » sans même réfléchir. Au lieu de le faire jouir, Amélie se love contre son mari en lui mettant sa sucette de bébé dans la bouche avant d’éteindre la lumière. Pour Denis, cette deuxième soirée magique colle à 100% à ses fantasmes, une nurse sadique belle comme un cœur l’attache pour la nuit et l’oblige à faire pipi dans sa couche. Si les menottes sont très inconfortables pour dormir, au petit matin pendant qu’elle prend sa douche, en frottant son ventre et sa couche contre les draps il parvient à jouir en un rien de temps.

Trois heures plus tard, le gros bébé adulte directeur de banque décide de bloquer le compte bancaire d’une de ses clientes. Mère de famille en situation difficile et à découvert, il sait qu’il la plonge dans la misère, mais le bisness est le bisness.

EN FIN DE SEMAINE

Le magnifique buffet en merisier massif cachant un lit en son intérieur a été livré. Sur les conseils d’une personne très mal attentionnée, Amélie a réussi à installer de quoi menotter les poignets de son mari et de quoi lui bloquer les jambes pour qu’il ne puisse pas s’échapper ni bouger.

Pour cette soirée très spéciale, Amélie se surpasse en terme d’attention. Sur fessestivites, elle a trouvé des tonnes d’astuces et de conseils tant pour l’ABDL que le BDSM et la façon d’attacher. Après avoir menotté son mari vers 21 heures, elle pose une grosse couche sous ses fesses puis un insert mais ne la referme pas.

- J’ai des surprises pour toi mon amour, comme ce soir c’est ta fête, je vais te gâter comme tu ne l’as jamais été. Lui indique Amélie en installant leur caméscope sur un pied pour filmer le "cadeau" qu’elle désire lui faire.

Elle l’abandonne un instant pour se rendre dans leur chambre afin de revêtir rapidement la tenue d’infirmière achetée pour la circonstance, avant de revenir avec un gros pot de talc en lui criant « c’est pour qui ça bébé ». Amélie talque donc le sexe de son mari ravi de tant de douceur puis referme la couche sur laquelle elle rajoute du scotch, car la suite va être chaude. Pour parachever son piège, elle fait quelques photos puis lui enfile avec difficulté pour cause de menotte un body rose sans manche.

- Et maintenant on va prendre son biberon comme un grand si non, maman va devoir te punir ! Crie presque Amélie pour que ses paroles soient bien enregistrées par le caméscope.

Elle attrape le biberon vide, ouvre une bouteille de champagne d’un très grand cru pour en remplir le biberon et s’en servir une flutte. Du champagne à 280 euros la bouteille à boire au biberon est un sacrilège mais Denis trop heureux n’en a que faire ! Bien au contraire il joue le bébé qui veut son biberon et joue même en essayer de le maintenir avec des dents pour trinquer avec sa nurse diabolique. Amélie fait quelques photos supplémentaires avant d’aller la télévision et d’insérer un DVD très particulier avec des dessins animés et des seins animés mais cela il ne peut le savoir.

Denis regarde un dessin animé de Donald lorsque l’on sonne au portail. Affolé il tire sur ses menottes mais elles résistent. Ses chevilles sanglées maintiennent ses jambes écartées, il est cloué au lit et ne peut vraiment rien faire pour se libérer quand il voit son épouse utiliser la télécommande pour ouvrir le portail.

- C’est une surprise ! Lui crie Amélie en abandonnant Denis dans ses soudaines angoisses.

Un beau sportif, grand et musclé entre dans la maison. Introduit au salon par Amélie ravie, il ne semble pas s’étonner de voir un bébé adulte en couche et body entravé sur un lit. Au contraire, il accepte une flutte de champagne et trinque avec sa femme qui en remet dans son biberon avant de lui coller dans la bouche. Tout cela met Denis extrêmement mal à l’aise, s’il savait !

La surprise va être de taille pour Denis ! Vraiment de taille !

La suite des mésaventures de Denis le bébé adulte martyrisé est sur le forum ABDL de Fessestivites ici 

 

 

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Dimanche 27 octobre 7 27 /10 /Oct 09:03

Ma chef se découvre nurse sadique


Nurse-ABDL.jpg
J’écris des histoires ABDL sans pour autant franchir le pas car j’ai trop peur que cela se sache et surtout que ma femme l’apprenne. Si pour voir j’ai une fois osé acheter des couches, j’ai abandonné les 9 restantes du sac dans une poubelle. La seule fois où j’ai essayé j’ai trouvé ça sympa mais si ma femme découvrait ça, ce serait le divorce assuré.

Au bureau, lors de mes heures de liberté et le soir, j’écris donc des textes où j’utilise les noms de personnes qui travaillent avec moi comme acteurs. Ma chef de service est d’une beauté à couper le souffle mais elle n’est pas chef pour rien….

 

De fait, son profil en faisait dans mes fantasmes une nurse autoritaire. Léa est devenue « Maman Léa » ou « Nurse Léa » une professionnelle très sévère.

LE GROS BUG

Lorsqu’ils ont mis en place le réseau informatique pour permettre aux personnes de se communiquer des pièces par ordinateur et ainsi économiser le papier et l’encre, je ne me suis pas méfié. Ma chef de service a découvert mes textes à cause de mes textes dont le titre était « Léa chef de sévices », « Nurse Léa devient diabolique », « Léa a un amant soumis » …..


Mes longues descriptions de sa personne et des lieux font qu’il m’était impossible de prétexter que ce n’était pas d’elle dont je parlais ! ! !

 

Convoqué chez le directeur, j’étais convaincu que j’allais me faire licencier. Je passe sur la remontée de bretelles qu’il m’a faite pour en venir à la suite bien plus ennuyeuse.

Pendant leurs échanges à mon égard, j’ai découvert que Léa et le directeur sont des amis quand il lui a parlé de son gazon, de ses arbres puis de ses clôtures en mauvais état. Leur discussion ne laissait aucun doute sur le fait qu’ils se voient en dehors du travail.

 

Plutôt que de me licencier, de détruire ma réputation puis mon image voir même mon couple, ils m’ont proposé vingt heures de travail d’intérêt général chez Léa, Léa étant la seule décisionnaire des tenus vestimentaires et sanctions pouvant tomber pendant ce travail. C’était ça ou le licenciement avec tout ce qu’il s’en suit.

J’ai accepté de signer l’avertissement qu’il m’a remis en main propre, avertissement indiquant bien les motifs, ce qui en droit social est tout à fait légal. Par contre, rien n’indiquait les heures de travail d’intérêt général chez Léa. Juste avant de me congédier, Léa m’a fait voir une clé USB en m’indiquant qu’elle avait une sauvegarde de mes écrits et une copie de mon avertissement. J’étais mal de chez mal……

……………………………

Le samedi suivant j’étais convoqué officieusement chez Léa à 9h avec un bleu de travail et des changes complets pour adulte. Connaissant la rigueur de ma chef de service, je suis arrivé chez elle dix minutes avant l’heure car un retard avec elle aurait forcément été sanctionné.

Ma première humiliation

Léa m’a ordonné de mettre un change complet devant elle ce qui m’obligea à quitter le bleu de travail et à lui montrer mes fesses. J’étais blême et mort de honte. Juste avant que je remonte le bleu de travail, elle a tenu à rajouter du scotch par-dessus en m’indiquant que c’est ce qu’elle faisait pour la nuit à sa mère incontinente d’un naturel très agité.

 

A la suite de quoi ; elle m’a tendu un biberon de café que je dus boire devant elle avant d’aller tondre son gazon. Ce café était dégueulasse et le boire au biberon ne me permettait pas de faire « cul-sec » pour m’en débarrasser au plus vite.

 

Dix minutes de torture mentale plus tard, j’attaquais la tonte de son gazon. Le bleu de travail relativement large dissimulait bien la couche, j’ai donc pu travailler sereinement. Vers 10h30, alors que j’avais presque terminé, elle m’a appelé et fait boire un second biberon de son café toujours aussi ignoble avant de m’indiquer qu’ensuite je devait tailler les haies et surtout bien ramasser le produit de la taille à mettre en sac.

Vers 11h, ma vessie se révolta ce qui m’obligea à faire pipi dans la couche, chose difficile quand on sait que votre chef de service risque fort de le savoir. C’est lorsque j’ai entrepris de ramasser les feuilles de sa haie que je fus pris d’une forte envie de déféquer. Quand on se baisse pour ramasser des feuilles, il est très difficile de résister à la « poussée interne » si vous voyez ce que je veux dire…. J’y suis parvenu mais ce fut horriblement dur.

12h l’heure de ma libération ayant sonné, je me suis présenté à ma chef de service en lui indiquant que j’avais terminé mes trois premières heures. Cette garce voulue vérifier le travail effectué ! Je l’ai donc suivi avec une boule sur l’estomac et une énorme envie de déféquer. Je n’en pouvais plus et elle se marrait en m’obligeant à ramasser quelques feuilles oubliées ci et là. Quand je lui ai demandé d’aller aux toilettes sa réponse fut catégorique

- C’est hors de question, dans vos textes, la sadique Léa n’aurait pas permis ça, donc respectons vos écrits. Ou vous faites sur vous ou vous vous retenez. D’ailleurs je dois partir, vous êtes donc libre pour aujourd’hui. Samedi prochain, rendez-vous à la même heure.

Léa a accepté dans sa grande mansuétude de conserver les couches chez elle quand je lui ai expliqué que cela serait sûrement une cause de divorce si ma femme les découvrait, par contre elle m’a congédié en me laissant avec mon horrible envie. J’ai résisté mais trouver un lieu isolé dans la nature pour faire et me débarrasser de la couche fut compliqué. J’ai compris au moment de la libération le pourquoi son café est aussi ignoble…..

………………………

La semaine se déroula normalement sans aucune allusion à mes soucis, mais mes goûts pour l’écriture au bureau se sont arrêtés net.

LES QUATRE SAMEDIS SUIVANTS FURENT HORRIBLES

 

La suite de l'histoire est ici


 

 

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