Histoire

Samedi 29 septembre 6 29 /09 /Sep 18:53

Capucine c'est DONC rendue chez les Capucins (rue des capucins à Marseille) où l'on trouve un club d'entraide et de solidarité franciscaine et c'est là que les Capucins ont découvert son secret.

Les secrets de Capucine devoiles par une vidéo

LES CAPUCINS DANS L'HISTOIRE

Les Frères mineurs capucins forment l'une des trois branches masculines du Premier Ordre de la famille franciscaine, approuvé comme véritable Ordre de saint François en 1517 par le pape Léon X. De nombreux frères provenant presque tous de la branche de l'Observance et séparée de celle des Conventuels ont rallié alors ce nouvel ordre. Ils sont ainsi nommés du capuce ou capuchon dont ils couvrent leur tête.


Sa visite chez les Capucins reconvertis pour des raisons évidentes de finances avait pour objectif d'expier ses péchés.

Elle n'a pas dévoilé tous ses secrets lors de sa confession comme l'on peut s'en douter. Immédiatement après sa confession, ils l'ont mise au secret dans une cellule où elle a pu s'installer avec quelques effets personnels n'étant point venue là pour vivre recluse.

 

Le Père Stroïka sentant qu'il y avait anguille sous roche eut l'idée ingénieuse de placer une webcam miniature dans sa cellule, ci-dessous, les images captées par son ordinateur.

 

La morale ne dit pas s'il a agité son poireau mais ce qui est sûr c'est qu'il n'a pu garder le secret pour lui, les images en sont la preuve. Convoqué par le Père Vert, il s'est vu imposé de prendre en charge Capucine et de l'exorciser.

Le Père Stroïka se doit de faire des rapports et de les adresser par internet. Fessestivites.com piratant son ordinateur (chut il ne faut pas le dire) nous ne tarderons pas à vous informer des suites des aventures de Capucine.

 

La première vidéo est ici :

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites/2_ABDL-diaper-girl-couple/1032_Les-secrets-de-Capucine-devoiles.html

 

La prochaine ou les prochaines seront ici :

http://www.fessestivites.com/fre/videos_gratuites.html

 

Ici TSM, à vous les studios

Les secrets de Capucine devoiles par une vidéo

Les secrets de Capucine devoiles par une vidéo

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Mercredi 26 septembre 3 26 /09 /Sep 11:24

Cucklod-sur-le-cocu-lécheur-entravé


Elle l'a entravé nu sur sa table de massage et l'a laissé méditer avant de lui annoncer l'arrivé de son amant. Cela fait un moment qu'ils pratiquent le libertinage et le « cocufiage » mais ils aiment tous les deux en jouer.


Il ne s'estime pas cocu puisqu'il sait tout et qu'il est d'accord tout comme Rose n'estime pas tromper son mari puisqu'il participe à la recherche des amants. Si l'un d'entre eux ne plait pas à Paul, il le refuse, Rose approuve par principe les décisions de son mari. Par contre, une fois que l'amant et le jour sont choisis, Paul doit se soumettre à toutes les excentricités de sa femme devenant une Maîtresse perverse le temps d'une nuit.


Le mois dernier, elle a entravé Paul en couche sur la chaise de son bureau avec l'ordinateur ouvert sur MSN. Pour Paul, le plus dur n'était pas de voir sa femme en webcam en train de baiser dans un hôtel ni d'avoir le sexe enfermé dans une cage de chasteté mais d'être en couche. Qu'elle horreur pour lui que d'avoir du se pisser dessus. Lorsqu'elle est revenue au milieu de la nuit, il l'a traitée de grosse salope et d'autres noms d'oiseau ce qui lui a valu de finir la nuit sur la chaise au lieu de faire l'amour.

Cocklod-sur-le-cocu-lécheur-entravé

Ce soir, Rose est excitée comme une puce, elle n'arrête pas de l'allumer et de jouer avec son sexe bandé à rompre. Elle monte sur la table de massage pour se faire lécher le sexe, « il doit être bien lubrifié pour mon amant » lui dit-elle. Ces propos le rendent fou d'excitation, excitation qu'elle entretient en caressant son sexe dans pour autant chercher à le faire jouir, non, juste pour entretenir la libido de son mari.


Lorsque l'on sonne à la porte, elle saute quasiment de la table de massage, lui fait un baiser furtif avant d'enfiler son déshabillée de soie pour aller ouvrir à l'amant d'une nuit. Pendant qu'ils prennent un verre et s'échangent le test du sida fait récemment pour pouvoir réaliser les envies de Rose, faire lécher le sperme de l'amant son mari.


Après quelques coupes de champagne et caresses dignes d'une aluneuse de grand nom, Rose conduit son amant dans la pièce où Paul cagoulé pour la discrétion est entravé et impuissant. S'il n'avait pas été attaché, il se serait branlé comme un fou pour apaiser son excitation démesurée. La nouveauté pour eux est un très bon caméscope acheté la semaine précédente qu'elle vient de mettre en marche et qui va tout enregistrer. L'amant est d'accord pour être filmé, cela leur fera des souvenirs et sera sûrement la cause de x et x branlettes pour Paul.

Cocklod-sur-le-cocu-lécheur-entravé

Rose va tout faire sur Paul, sucer son amant, se faire baiser en l'utilisant comme support pour qu'il ressente tout et voit tous les détails. Pierre est un queutard de première, effectivement la présence du mari ne le gène pas du tout mais comment résister à une aussi belle bite pense Rose en lui taillant un pipe juste au dessus du visage de son mari.


L'appel du sexe et la situation la rendent folle d'excitation, elle se tourne puis s'allonge sur son mari en lui demandant de relever les jambes pour lui servir de coussin. C'est allongée sur le dos sur le ventre de son mari avec le sexe trempé qu'elle se fait pénétrer en grognant de plaisir. Paul ne loupe rien ou presque car les couilles de Pierre passent et repassent sur son nez, il voit même les fesses masculines qui s'ouvrent et se serrent lorsqu'il avance et recule pour baiser sa femme.


La tête et les longs cheveux soyeux de Rose appuient sur son bas ventre, transmettant à son sexe les mouvements désordonnés d'une femme prenant du plaisir. Hélas, cela ne dure pas assez longtemps pour qu'il parvienne à la jouissance, sa salope de femme veut se faire prendre à quatre pattes comme une chienne en chaleur. Là encore il ne loupe rien du sexe masculin pénétrant sans relâche sa chatte gluante de ses humeurs vaginales généreuses. Une odeur envoûtante, savamment épicée, un parfum des Déesse, indescriptiblement enchanteur comble les neurones olfactifs de Paul surexcité.


L'amant annonce déjà la montée de son plaisir, quel dommage pense Paul, la vision du merveilleux minou qui s'ouvre comme une fleur à chaque pénétration est si belle à ses yeux qu'il en arrive à haïr l'amant de venir si vite. Quelques minutes plus tard, les râles de plaisir s'accentuent, les mouvements s'accélèrent, les cris emplissent la pièce jusqu'à l'explosion finale accompagnée d'un beuglement masculin.

Cocklod-sur-le-cocu-lécheur-entravé

Comme convenu à l'avance par téléphone avec Rose, Pierre se retire lentement du sexe féminin puis quitte la pièce sans dire un mot pour laisser le couple maintenant vivre leur vie. Pendant qu'il s'habille dans le salon, Rose caresse déjà la verge tendue de son mari pour lui donner le courage de ce qu'elle aime lui imposer après les rapports sexuels avec ses amants : lui faire lécher sa chatte pleine de sperme. En domina décidée, sans aucune hésitation elle s'empare des tétons de Pierre qu'elle presse fortement de ses pinces digitales avant de poser sa chatte gluante de leurs sécrétions sur la bouche de son mari.Elle ne lâchera ses seins que lorsqu'elle s'estimera propre.

 

Confusion indicible l'envahit sur cette langue furetant en elle à la recherche des dernières gouttes de sperme. Elle venait de jouir éperdument mais, une fois sa chair emplie de lave son corps en demande encore plus, toujours plus. Assise maintenant sur Pierre, tout en caressant son clitoris dardé, elle se branle le cul sur le nez en se faisant brouter la chatte à en étouffer son mari.

 

Une jouissance paroxystique emporte tout sur son passage comme un tsunami, après les gigantesques vagues de plaisir, elle s'écroule sur Paul, ravi et heureux de sentir sa femme foudroyée par l'extase. Les spasmes de son corps s'enchaînent, elle geint et les yeux sont clos roule la tête en tous sens sur son bas ventre. Quel bonheur !

 

soumcocucontent membre du réseau Fessestivites

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Jeudi 12 avril 4 12 /04 /Avr 10:55

Les misérables ABDL Cosette et Jean Valjean en cuisine

 

06 miserables ABDL Victor Hugo

Les misérables des temps modernes, n’avaient même pas une simple cuisine de chez IKEA, pourtant Cosette devait la faire briller mais sans succès. Jean Valjean, furieux, décida de lui faire porter des couches pour qu’elle ne puisse plus prétexter des pauses pipis.

 

- Mais monsieur, je ne suis pas une enfant ! S’écria Cosette.

 

Jean Valjean insensible aux jérémiades fut intransigeant, c’est donc ainsi que Cosette dut œuvrer pour faire briller la vieille cuisine en rêvant qu’un jour, un beau prince charmant l’emmènerait dans son château équipé d’une cuisine Schmidt.

 

Amusé par son adorable petit cul blanc, les neurones de Jean Valjean s’emballèrent de plus belle. L’idée de pousser Cosette dans l’infantilisme lui vint à l’esprit, cela lui permettrait peut-être de reprendre l’éducation manquée de Cosette. Il se rendit donc dans la boutique de fessestivites.com pour faire quelques emplettes. Les bras chargés de couches, de bodys de bébé adulte et d’une grenouillère il fit irruption dans la cuisine.

 

- Regarde Cosette ce que j’ai acheté pour toi, cela ira à merveille avec tes couches et peut-être même que le prince Hygena se décidera à jeter un œil sur toi.

 

La pauvre Cosette n’en croyait pas ses yeux mais elle dut sans se plaindre revenir le body rose qu’il lui tendait sans quoi elle se serait exposée à une copieuse fessée. La première nuit, Cosette dut dormir dans une grenouillère cadenassée ce qui l’obligea à faire pipi dans la couche.

 

Lapeyre, richissime duc du quartier eut vent de l’histoire et décida d’offrir une cuisine à Cosette si cette histoire d’infantilisation était vraie. Il toqua donc à la porte de la maison des misérables située rue Victor Hugo. Jean Valjean ouvrit sans tenir compte de la gêne de la pauvre Cosette et lorsque Lapeyre entra dans la fameuse cuisine devenue nurserie, elle se mit son index sur sa bouche dans un réflexe de gêne.

 

Lapeyre dont la vue baissait avec le temps, crut qu’elle suçait son pouce ce qui pour lui signifiait qu’elle était réellement atteinte par le fétichisme ABDL. Il s’excusa d’avoir dérangé et repartit sans rien dire.

 

Il se mit à surfer sur fessestivites.com à la recherche d’une fille qui pourrait jouer secrètement la nurse avec lui. Cosette profita que Jean Valjean dut partir en voyage pour surfer allègrement sans pour autant quitter ses tenues de bébé qu’elle commençait à grandement apprécier. L’énorme avantage de surfer en couche, c’est que l’on n’a pas à s’arrêter pour aller faire pipi pensait-elle.

 

La chance sourit à Cosette qui retrouva sur Fessestivites.com le richissime duc. Depuis elle a quitté la misérable maison pour vivre ses passions ABDL avec Lapeyre.

 

TSM

La suite des photos est sur www.fessestivites.com où l'on peut également voir Cosette faire du vélo en couche.

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Samedi 31 mars 6 31 /03 /Mars 12:56

Etudiante fessée cannée et obligée à porter des couches

 

L'idée m'est venue ce matin de faire une petite galerie photos pour fessestivites en associant la fessée, la canne anglaise et la contrainte.

Aussitôt pensé, aussitôt lancé !

Etudiante fessée canne couche

Soumise Kioki-san dut se préparer et revêtir une tenue d'étudiante puis s'installer devant un bureau pour faire ses devoirs. D'un naturel rebelle et provocateur, la soumise s'est connectée sur fessestivites pour chatter avec ses copines. 

Prise sur le fait, elle a donc reçu une fessée devant ses copines et autres membres du chat qui se sont laissés aller à de charmants commentaires sur la couleur de ses fesses. 

 

Etudiante fessée canne couche

Pour l'obliger à faire ses devoirs, j'ai donc décidé de l'attacher au bureau et là, la rebelle m'a indiqué avoir des envies de faire pipi. Hé hé hé, j'adore ses provocations..... Pour qu'elle ne puisse échapper à mes envies de délirer, je lui ais imposé le port de la couche, chose qui ne l'a pas amusée du tout et a généré quelques claques sur les fesses supplémentaires pour la convaincre d'abdiquer.(Toujours en cam et là, elle ne rigolait plus..

Etudiante fessée canne couche

C'est donc les fesses beaucoup plus rouges et en couche qu'elle a pris place devant le bureau où j'ai enchaîné ses petons pour qu'elle ne fuit point ses obligations.

Etudiante fessée canne couche

REBELLE jusqu'au bout, elle s'est couchée sur le bureau pour dormir malgré mes menaces de sévir. Son côté maso et provocateur lui ont valu une seconde déculottée et fessée mais cette fois à la canne anglaise.


Etudiante fessée canne couche

La canne est un outil pédagogique très puissant car un quart d'heure plus tard elle prennait place toute seule au bureau pour faire ses devoirs sauf que !

Sauf que pour m'avoir cherché, elle a gardé sa couche jusqu'à midi.

37 Etudiante fessée canne couche

Non mais

TSM

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Lundi 2 mai 1 02 /05 /Mai 08:19

Sa fiche indiquait domination gay et de jeux en couche

 

  domination gay ABDL

Sa fiche sur www.fessestivites.com parlait de domination gay et de jeux en couche, deux sujets qui titillent mes fantasmes depuis longtemps. Lorsque par correction, j’ai adressé un commentaire sur un des ses articles je n’aurai jamais imaginé que ma vie allait changer à ce point ! ! !

 

Lors des échanges email, nous nous sommes trouvés affinités sur de nombreux points et pour lui prouver que je ne suis pas un de ces fantasmeurs qui polluent les sites de rencontre je lui ai donné mon numéro de téléphone. Après deux heures de discussions aussi animées que riches en confidences, nous avons décidé de nous rencontrer le vendredi soir chez lui pour discuter voir plus…

 

Étant bisexuel, sans tabou et très joueur, l’idée d’une rencontre avec Phil qui est 100% gay et dominateur, m’a séduite. Mes neurones se sont enflammés, mes fantasmes aussi…..

 

Après l’explosion de mon couple l’envie d’explorer l’homosexualité m’est passée par la tête. Lors de la rencontre, nous avons pris quelques verres et longuement discuté de « lapins » posés par les fantasmeurs, des hommes qui vivent leurs fantasmes de 5 à 7 et repartent tout honteux retrouver leur femme. Au fil des discussions, l’idée de vivre une expérience avec lui m’a séduite tant il me semblait calme, posé, sensé et c’est sans aucune difficulté que j’ai accepté de lui faire voir mes fesses qu’il a trouvé délicieuses. Une heure plus tard, j’étais nu, menotté et à genoux devant lui pour lui faire une gâterie pendant qu’il sirotait une bière en me demandant ce qu’il entendait par « hypnose éricksonienne ».

 

Je me sentais des ailes, la permission de me donner totalement à ce que je faisais et d’y prendre un plaisir fou. Sa verge avait un goût de miel, l’odeur de son corps m’enivrait et c’est avec joie que je me suis offert à lui comme une « chienne » en chaleur en éprouvant un plaisir inouï. Je n’aime pas embrasser un homme mais avec lui c’était différent. Les jambes sur ses épaules, pendant qu’il me prenait ses lèvres et sa langue m’encensaient tout comme sa verge au plus profond de mes reins. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans un rapport homosexuel.

 

Pour le remercier de tant d’émotions et de plaisir, après sa jouissance c’est sans aucune réticence que je l’ai « remercié » en prenant à nouveau son sexe dans la bouche. Une heure après, j’étais entravé sur le lit et en couche. Cette nuit-là, mes fantasmes de soumission les plus fous lutaient contre a conscience. Le lendemain, il m’a dévoré dès le réveil après avoir arraché la couche. Sous ses asseaux ma verge tendue à rompre frottant sur les draps me fit flirter avec le paradis et déraper totalement. Sous son corps doux et chaud, je me sentais sa femelle, sa chose, ses lèvres dévorant mon oreille et mon cou me firent fondre de plaisir.

 

Quand il m’a dit que je lui plaisais bien après m’avoir libéré, ses propos m’ont rendu fou. Pris d’une crise d’affection je l’ai embrassé et mangé de partout. Cet acte affectueux envers un homme m’était inconnu, hormis jouer à touche pipi ou plus, je n’avais jamais éprouvé ce désir. Ce jour là, il a tenu à me mettre une cage de chasteté en plastique, j’en porte maintenant une magnifique en métal qu’il m’a offerte quelques temps après. Je n’ai plus le droit de pénétrer, de me caresser, de me branler. Je n’ai droit qu’au plaisir anal mais je ne m’en plaints pas car mes jouissances sont tout aussi fortes et je vie des états d’excitation monstrueux qui me rendent dingue.

 

Le mois dernier ma vie d’esclave a pris forme avec la signature d’un contrat de soumission et de mon installation chez lui. Je fais mon télétravail de sa villa où il m’a aménagé un bureau à sa façon. Un anneau scellé dans me mur et une chaîne m’interdisent de quitter la pièce, en fonction de ses envies et de la soi-disant qualité de mon travail, je suis puni à la cane anglaise ou fouetté. J’assume toutes les taches ménagères nu ou féminisé en fonction de ses délires ou des personnes qu’il reçoit. Lorsqu’il n’y a pas d’invité, il m’autorise à manger à table avec lui mais assis sur un tabouret équipé d’un phallus en bois de bonne taille, autant dire que j’essaie de ne rien oublier lorsque je mets la table.

 

Dans le hall de sa villa, il a installé deux barres en métal pour faire une croix. Sur la barre verticale perforée tous les 40 mm servant initialement pour des rayonnages il y fixe un tasseau de profondeur ressemblant à une équerre qu’il a modifié pour y recevoir des godes en bois usiné dans son garage. Avant-hier soir, j’y ai souffert et j’y ai été humilié une bonne partie de la soirée pour avoir fait brûler un rôti. Maître Phil m’a fait monter sur une calle pour que je puisse m’empaler sur l’équerre équipée d’un gros gode puis il m’a fait descendre de la calle. Poser les pieds sur le sol m’était difficile tant le gode était long. Il a entravé mes bras en croix puis mes chevilles avant de me passer une cagoule avec une fermeture sur la bouche. Vers 18 heures, il a posé des pinces assez cruelles sur mes tétons et a accroché quelque chose à mes testicules.

 

Je ne n’ai compris l’usage que lorsque les invités sont arrivés. Il s’agissait d’un crochet pour y suspendre leur sac à main qu’ils ont placé sans prendre de précautions. Pendant un instant, j’ai cru que mes couilles allaient s’arracher tant cela faisait mal. Aux pinces à seins, ils ont mis des porte-manteaux auxquels ils ont suspendu leur veste avec la même douceur que pour leurs sacs. L’un deux m’a inséré ses clés de voiture dans la bouche en m’indiquant qu’il m’arracherait les couilles si je les faisais tomber. Transformé en porte-manteau humain, suant de douleur et de honte j’y suis resté tout le temps de l’apéro et du repas.

 

Les choses se sont corsées au café qu’ils ont pris au salon en commençant à jouer. L’un deux est venu chercher des cigarettes dans sa veste, la traction sur mon téton gauche déjà très endolori m’a fait crier et lâcher les clés. La sanction n’a pas tardé ! Maître Phil est arrivé aussitôt pour me faire la leçon, puis il a retiré les porte-manteaux et les pinces à seins. J’ai cru mourir quand le sang a afflué dans mes tétons. Après avoir retiré de ses barres, il a menotté mes poignets qu’il a accrochés à ma cage de chasteté pour me conduire au salon. Couché sur le canapé fesses exposées, j’ai compris que j’allais dérouiller et cela n’a pas tardé. Le sifflement de la canne anglaise m’a fait bondir tout autant que le trait de feu embrassant mon épiderme. Il m’a donné vingt coups très appuyés avant de remarquer que j’avais le cul sale malgré le lavement qu’il m’avait imposé avant de m’entraver dans l’entrée. Plutôt que de me libérer pour que je puisse aller me laver, il m’a traité de bébé devant ses invités puis il m’a mis une couche et une culotte en plastique rose qui les a bien fait rire.

 

Pour me faire pardonner, j’ai du ensuite sucer les invités me donnant leur « biberon » à téter. Conduit manu militari à la chambre j’ai été attaché par le cou aux pieds du lit sur lequel ils ont baisé pendant des heures. J’avais une trique d’enfer au point que la cage de chasteté me faisait un mal de chien au niveau des testicules. Quand ils sont partis, j’ai du leur dire « au revoir » en les suçant l’un après l’autre pour qu’ils soient « propres » pour la route ! Leurs verges étaient odorantes et dégueulasses, ce fut dur mais j’y suis parvenu.

 

Phil ne m’a délivré que le matin pour que je « le soulage de sa pression matinale » avant de libérer mes mains pour que j’aille me doucher. Lorsque je suis sorti de la salle de bain, un gros paquet cadeau était posé sur la table du salon à côté de deux tasses de café. Mon Maître me souriait en me désignant des yeux le paquet pour que je l’ouvre. Les doigts tremblants, brûlant d’impatience l’emballage n’a pas résisté longtemps à ma curiosité. Il m’a offert un sac de bondage en toile épaisse. Equipé de sangles des pieds à la tête et d’une très belle qualité il n’offre aucune possibilité de fuite. Après l’avoir embrassé pour le remercier, j’ai demandé à l’essayer, chose qu’il m’a accordée bien volontiers avec des yeux rieurs.

 

J’ai donc ouvert toutes les sangles et la grosse fermeture éclair du sac avant de m’étendre à l’intérieur de ce sac de couche un peu particulier. Quand il a terminé de le fermer et m’a mis la cagoule du sac, j’ai immédiatement compris que l’isolation entravé serait ma prochaine aventure. Et cela n’a pas tardé !

 

Le soir même, immédiatement après le repas, il m’a mis un plug percé équipé d’une sonde anale puis deux couches, l’une à l’endroit qu’il a trouée et l’autre à l’envers avant de me mettre une culotte en plastique au cas où il y aurait des fuites. La sonde anale en même temps que le sac de bondage ne m’enchantait pas parce que je ne suis pas scato. Je m’en suis ouvert à lui mais il ne m’a pas laissé le choix. Je devais tester son cadeau comme lui en avait envie ! Il m’a demandé de m’installer dans le sac et de passer mes bras dans les manches fermées cousues à l’intérieur puis il a placé des électrodes sur mon corps et mes seins. Quand je lui ai fait part de mes inquiétudes, il m’a répondu qu’il voulait m’offrir une expérience inoubliable et me faire progresser dans ma soumission, cela ne m’a pas rassuré du tout.

 

Quand il a fermé le sac et la cagoule m’isolant de l’extérieur, je m’attendais à ce qu’il commence immédiatement ses délires mais il n’en fut rien. Au fur et à mesure de l’attente, mon excitation est arrivée à son paroxysme, mon Popaul subissait une crise du logement monstrueuse. Un moment plus tard j’ai senti quelque chose bouger au fond de mes reins, le remplissage de mes intestins commençait. Soudain, mes seins se sont mis à piquer, les électrodes envoyaient des décharges mais j’ai crié plus de surprise que de douleur car c’était très supportable. J’ai gémis quand le lavement était trop rapide, il m’a traité de « chochotte » mais l’a dosé en m’envoyant des décharges sur le ventre en guise de « compensation ».

 

Les sensations de la pression intérieure rivalisaient avec les micros décharges électriques et un plaisir masochiste incommensurable. Le cerveau en désordre, totalement captif et vulnérable à souhait, je m’enfonçais dans un monde parallèle, une simple caresse sur mon sexe m’aurait fait exploser en une jouissance titanesque. Mon Maître m’a enjambé puis par l’ouverture de la cagoule a introduit sa verge dans ma bouche. Sentir le poids de son corps étendu sur moi et son sexe m’a comblé de plaisir jusqu’au moment où il m’a dit que j’allais boire son champagne doré. Nous en avions parlé, je n’avais pas dit non mais je n’avais pas dit oui non plus en attirant son attention sur le fait qu’il y avait de fortes chances que je vomisse. Il a choisi le moment où je suis le plus vulnérable physiquement et psychologiquement pour cette épreuve que je redoute. Il a accéléré le rythme des décharges électriques puis augmenté un peu l’intensité puis a repris le lavement en frottant son visage sur mon sexe. Même à travers le sac de bondage et les couches, le fait qu’il touche à ma cage de chasteté m’a rendu fou. Je ne savais plus où j’étais, à quelle partie de mon corps penser, je disjonctais totalement, une forme d’euphorie me gagnait.

 

L’espace d’un instant j’ai cru jouir de partout, du sexe bien sûr mais aussi de l’anus, du ventre, mon corps convulsait. C’est à cet instant qu’il a libéré un peu d’urine dans ma bouche et je l’ai bue, je l’ai avalée, j’en voulais encore. Par petits jets il s’est vidé la vessie. Tous ces tourments m’ont conduit aux bordures du vertige, j’ai tout bu et j’en voulais encore par amour pour mon Maître. Il m’a félicité et promis une récompense pour le lendemain avant de se servir de ma bouche comme d’un cul. Boire son sperme est déjà une récompense pour moi aujourd’hui, mais là j’étais comblé dé bonheur. Puis il s’est retiré et a refermé la fermeture de la cagoule du sac de bondage. Le sommeil est venu sans même que je me sente partir jusqu’au milieu de la nuit. Les fuites anales m’ont réveillé en même temps qu’une érection monstrueuse. Uriner quand on a une érection sous cage de chasteté est un moyen de diminuer l’érection mais ce soulagement entraina celui de mes intestins. Ma peur était d’en mettre de partout mais les couches ont tenu bon.

 

Le matin il m’a libéré et conduit à la salle de bain lavé pour la première fois. Entre ses mains, malgré le côté écœurant des résultats du lavement, j’étais bien. Phil m’a porté jusqu’au lit et m’a pris comme un dieu. Les bras libres choses rares, j’ai pu l’étreindre pendant que mon anus affamé de lui savourait sans retenu la puissante pénétration de son sexe dur comme de la pierre. Il m’a conduit à la jouissance avant de jouir presque en même temps que moi. Mon cul vibrait et convulsait encore quand il a jouis en m’embrassant comme un fou. Entre ses bras je planais dans une autre dimension.

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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