Histoire

Samedi 5 octobre 6 05 /10 /Oct 11:16

Soumis ABDL forcé d'assumer

Je fais parti des soumis chanceux, j'ai rencontré ma Maîtresse mais c'est parfois très dur. Nous nous voyons très souvent et passons presque tous nos week-ends ensembles, comme c'est à son initiative, cela me laisse entrevoir qu'une vie de couple serait possible.

Mon histoire a commencé avec un recadrage sur Fessestivites par Modératrice 3 qui m'a gentiment expliqué que mon annonce ne serait à rien si je la laissais en l'état et surtout sans photo personnelle. « On dirait une bouteille jetée à la mer qu'elle Maîtresse serait intéressée par un profil comme le votre » ?

Je ne remercierai jamais assez cette modératrice car elle m'a ouvert les yeux et donné des conseils puis des liens du site avec des textes et articles à lire. Je me suis donc remis en cause en suivant ses conseils, trois mois plus tard j'ai rencontré ma Maîtresse. 

 

Un soir que nous étions chez moi, elle m'a surpris à regarder une vidéo ABDL puis m'a demandé si ce genre de truc me faisait fantasmer. Comme un soumis ne doit pas mentir à sa Maîtresse, je lui avoué que je portais parfois des couches pour le plaisir quand j'étais seul chez moi.  

- Et tu fais tout dedans, pipi, caca et tu sorts avec ?

- Non Maîtresse je suis trop timide pour sortir en couche et je ne fais que pipi.

- Pourquoi ?

- Sans vouloir vous manquer de respect, la merde ce n'est pas mon truc.

- Si je comprends bien, tu fantasmes sur les couches mais tu ne sorts pas avec, la couche te permet juste de faire un petit pipi dedans et de te branler, c'est ça ?

- Vous avez raison Maîtresse. Lui ai-je avoué honteusement avec les joues si chaudes que je devais être rouge comme une pivoine.

- Un soumis assume ses fantasmes, si non c'est un soumis sans caractère, cela ne m'intéresse pas. Puisque tu es intéressé par la régression, pourquoi ne pas la vivre pleinement ?

- Ce n'est pas la régression qui m'intéresse, juste la couche Maîtresse.

 

Je lui ai donc expliqué la différence qu'il y a entre AB et DL, mais si elle m'écoutait avec attention, son regard et son sourire malicieux laissaient entendre que des idées perverses mûrissaient dans son esprit. A la fin de mes explications, elle m'a ordonné de me mettre nu puis à quatre pattes comme un bon chien obéissant puis, de lui faire voir où je cachais mes petites affaires pour jouer au pisseux. Mon sang n'a fait qu'un tout, j'étais blême car elle allait découvrir mes petits secrets.

 

A quatre pattes, je l'ai donc guidée jusqu'au placard de ma chambre devant lequel je me suis levé avec comme objectif de ne lui en faire voir qu'une partie. Elle m'a arrêté net et forcé à reste à quatre pattes sans bouger. Quand elle s'est mise à fouiller la grosse caisse en plastique dur, je me serai bien fondu dans la moquette. Maîtresse a donc découvert mes couches mais également mes culottes en plastique, mes bodys et ma grenouillère. Assise sur mon dos, elle commentait ses découvertes en les posant sur ma tête.


- Bien, alors maintenant tu vas me servir un coca puis me faire un défilé de mode en couche pour que je vois comment tu es beau avec ces tenues.

 

Que répondre ? Rien ! Dans un sens j'étais honteux et gêné, dans l'autre ravi qu'elle s'intéresse à cette partie de mes fantasmes. Après lui avoir servi son coca, la tête brûlante et la gorge serrée, je suis donc retourné dans ma chambre pour mettre une couche et une culotte en plastique. Entrer dans mon salon fut très difficile ! ! ! Un rappel à l'ordre m'a aidé à faire le premier pas pour me présenter à elle. Je lui ai indiqué que personne ne m'avait jamais vu n couche, comme pour essayer de masquer ma honte.

 

- Des patients en couche, j'en vois tous les jours au centre, sauf que eux n'ont pas d'autres choix que d'en porter. Par contre, ils n'ont pas les autres tenues que tu me cachais et que tu vas aller mettre sans tarder, histoire que je regarde à quoi tu ressembles quand tu te travesti en bébé adulte.

- Je ne me travesti pas Maîtresse, c'est de l'ABDL.

- Je crois me souvenir que se travestir c'est mettre des tenues pour ressembler à quelqu'un d'autre, que ce soit en femme, en bébé ou autre, tu seras puni pour me contredire et en plus à tord !

 

Aie ! Avec Maîtresse, les punitions ne sont pas des jeux, au point que lorsqu'elle me menace de punition, je me calme aussitôt. Pour essayer d'apaiser sa colère et donc ma punition, je me suis totalement investi dans sa demande de « défilé de mode » en lui demandant si je pouvais mettre un fond musical, une idée qu'elle a acceptée. Sans tarder, je suis allé mettre un body par-dessus la couche et je suis revenu marcher devant elle comme j'ai pu le voir lors des défilés de mode à la télévision. Elle a également voulu me voir en grenouillère puis que je refasse un passage avec mes culottes en plastique. Lors de mon dernier passage une surprise m'attendait.

 

- Habille-toi, nous allons faire un tour pour prendre l'air.

 

Mon sang c'est glacé dans mes veines mais je ne lui ais pas demandé si je pouvais poser la couche et la culotte en plastique, j'avais compris ses intentions et une punition dans la soirée suffisait amplement.

Juste avant de sortir, je lui ai dit que j'avais honte, mais elle m'a rassuré en me disant que cela ne se voyait pas et que ses patients n'avaient pas le choix. Il n'était que 20 heures, nous allions forcément croiser des voisins dans l'immeuble, j'étais blême. Ce soir là, j'ai du perdre un kilo car je transpirais de peur mais finalement tout c'est bien passé. Personne n'a rien vu ou plutôt personne n'a rien dit s'ils ont aperçu que mon pantalon était tendu.


Au retour Maîtresse m'a ordonné de me remettre à quatre pattes devant le canapé. Elle m'a laissé là un instant avant de revenir s'installer face à moi avec un autre coca. En guise de « récompense » pour avoir osé sortir en couche, j'ai eu le droit d'embrasser ses pieds puis de remonter un peu sur ses jambes recouvertes de bas noirs. Alors que je laissais gambader mes lèvres heureuses, j'ai pu découvrir une autre surprise : elle avait retiré son string ou sa culotte.


Soudain, alors que mes yeux fureteurs fouinaient sous sa robe la recherche d'une parcelle de cette anatomie magique et sensuelle que je n'avais pas encore vue (léché plusieurs fois oui mais avec un bandeau sur les yeux) elle m'a attrapé par les cheveux pour m'obliger à remonter vers son triangle de tantale. La douceur de son intimité m'a comblé de joie encore une fois, la peau satinée de son ventre plat fut un délice pour mon nez et mes yeux. Je me suis noyé de bonheur dans on intimité trempée, Maîtresse adorant l'humiliation, je me doutais bien que ce n'était pas la couche qui l'avait excitée, mais de me forcer à faire des choses.

 

Les fragrances féminines sont des parfums si délicats que mes sens olfactifs les ont gardé en mémoire et gravés dans le marbre de mes neurones.


Une fois qu'elle eut pris son plaisir, plaisir me comblant de joie, nous avons dîné et regardé un film qu'elle avait envie de voir. Lorsque je lui ai demandé si je pouvais aller aux toilettes, j'ai pris une gifle. Cette gifle n'avait rien de méchant et il en faut plus pour m'étaler, mais elle annonçait clairement ses intentions. Nous avons dormis côte à côte, elle dans une chemise de nuit affriolante et moi en couche. J'ai eu droit à un petit baiser furtif sur mes lèvres puis à un « bonne nuit bébé » moins amusant pour le ton ironique.


Le lendemain, c'est avec une couche lourde que je lui ai apporté son café au lit vers 9 heures comme à son habitude. A genou au bord du lit, je mangeais des yeux ma Reine, aussi belle le matin au réveil que le soir, malgré ce qu'elle en dit. Elle m'a ordonné de me changer puis d'aller lui acheter des cigarettes, j'ai donc fait ma deuxième sortie en couche tout seul et avec fierté.

 

Non pas la fierté de porter une couche, mais la fierté de le faire pour elle. Etant invitée chez ses parents, ce dimanche là, elle ne pouvait rester ce qui m'a attristé mais que faire hormis lui souhaiter une bonne journée ? Lorsque c'est elle qui vient chez moi, je ne change pas les draps de la semaine pour garder le parfum de son corps qui me manque tant. Je suis amoureux fou d'elle, vous l'aurez compris et cet amour me fait tout accepter, allez donc savoir pourquoi ?

.......................................

La semaine suivante il était convenu que je me rende chez elle. Je m'y suis rendu sans couche, ne voulant pas la provoquer, chose à hauts risques avec Maîtresse.

 

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Lundi 30 septembre 1 30 /09 /Sep 10:22

La femme d'un ABDL découvre qu'elle est cocue et se venge de son mari soumis

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La cocue d'un soumis ABDL se venge est une histoire dès plus classique avec une femme trompée par son mari cherchant des femmes sur des sites de rencontres pour vivre ses fantasmes. Excellent bricoleur René a fabriqué une croix de Saint André pour plaire à sa Maîtresse rencontrée sur Fessestivites, après avoir découvert le pot aux roses sa femme se venge avec une grande perversité.

 

Blasée, Jacqueline avait accepté après 30 ans de mariage que son mari ABDL aime les couches et la délaisse. Elle s'était aussi faite à l'idée d'une vie sans Amour charnel son mari ne semblant plus intéressé par la chose. Au hasard de la venue d'une de ses copines, elles se rendent au garage pour aller chercher un pot de confiture qu'elle souhaite lui faire goutter. Lorsqu'elle tire la bâche servant de porte, Jacqueline découvre une croix de Saint André trônant fièrement devant ses pots de confiture. La réalité lui saute aux yeux en même temps que son amie d'un naturel gynarchiste commente cette découverte.


- Tu es cocue, tu vois, moi en étant célibataire je n'ai pas ce genre de problème ni de mauvaise surprise. Les mecs, je les prends et je les jette après usage quand je ne m'amuse pas à les martyriser. Lui dit Maryline.

- Je ne comprends pas pourquoi cette croix est là et à quoi elle sert ! S'étonne encore Jacqueline.

- C'est pourtant simple et gros comme un éléphant dans un couloir mais tu ne le vois pas. Ton mari est soumis, il a une Maîtresse qui le domine. Il la gâte et la soigne en lui faisant des cadeaux, cette croix en est la preuve.

- L'enfoiré va ma payer ça. Il aime les surprises, je vais lui en faire une, tu veux bien m'aider ?

- Avec plaisir Lui répond Maryline.

 

Une femme en colère c'est dangereux, deux c'est pire, surtout quand l'une d'entre elle est gynarchiste.

 

Jacqueline et Marilyne conspirent puis décident de prétexter une surprise à René. Arrivée dans la maison comme si de rien n'était, Jacqueline lui pose un sac sur la tête pour lui faire une soi-disant surprise. Pour apaiser sa méfiance, Marilyne en rajoute en disant qu'il a de la chance d'avoir une femme aussi sympa.

A l'aveugle avec son sac sur la tête, René se laisse donc conduire vers sa surprise. Elles troublent les pistes en le conduisant dans la maison puis sur la terrasse pour qu'il ne se doute pas qu'elles le conduisent au garage. C'est quand Jacqueline entrave un de ses poignets à la croix qu'il comprend la ruse de sa femme et qu'elle a découvert ce qu'il a fabriquée pour sa Maîtresse. Malgré sa résistance, son deuxième poignet est solidement entravé en un rine de temps.


René est mal, très mal même, il ne sait que dire car il a compris qu'une sévère scène de ménage s'annonce et là, il va avoir du mal à s'en sortir indemne. Il ment comme un homme inquiet et pris en faute avec une certaine agressivité en prétextant que c'est pour une amie.

- Une amie, oui mais une amie Maîtresse ! Crie Jacqueline. Pourquoi ne m'en as-tu pas parlé ?

- Parce que tu es trop coincé du cul ! Répond René furieux.

- Ah je suis coincée du cul, ah ben on va voir ça ! J'accepte tes conneries avec les couches et je lave tes culottes en plastique sans rien dire, mais je peux aussi te tanner les fesses. Hurle Jacqueline.

 

En découvrant le côté infantilisme de René et devant cet échange dès plus irrespectueux envers son amie, Marilyne en rajoute en conseillant à son amie de lui laisser son mari une semaine en stage de soumission. J'en ferai fera un agneau puis un bon soumis obéissant ajoute-elle avec la conviction d'une Maîtresse en colère. Jacqueline emportée par sa colère baisse le short puis le slip de son mari pour le ridiculiser devant son amie.


Elle va même lui mettre une couche pour l'humilier plus encore, mais devant les propos caustiques de son mari puis les excuses de plus en plus bidons fournies lors de ses réponses, elle voit rouge. Elle confie son mari à Marilyne pour qu'elle joue avec lui comme elle le fait avec les soumis parfois le temps d'aller chercher une couche et le bocal à lavement qu'elle a récemment découvert caché au fond d'une armoire. 

 

René se sent de plus en plus mal quand Marilyne commence à lui claquer les fesses. Par réflexe d'auto défense il lui envoie un coup de pied, chose à ne pas faire avec une Maîtresse en colère surtout quand on a les bras entravés sur une croix de Saint André. A la recherche d'un instrument pour flageller René à distance, Marilyne tombe sur un martinet de fabrication maison, sans nul doute un autre cadeau pour sa Maîtresse.

 

Et là, les choses s'enveniment vite, très vite même. Sérieusement entrepris à coup de martinet, malgré ses ruades désespérées, les fesses et ses cuisses de René prennent vite de la couleur.

 

Plus ou moins maté, il n'a plus vraiment la force de résister, sous les coups redoublés il se laisse sans aucune résistance entraver une cheville. Dans un sursaut de révolte, il envoie le pied pour repousser Marilyne qui l'esquive et lui met un coup de genou dans les couilles. Totalement piégé, il la laisse lui entraver la dernière cheville, s'offrant ainsi sans aucune résistance possible à deux femmes furieuses.

 

Jacqueline, revenue avec la couche et le bocal à lavement essaye de reprendre une discussion pour en savoir plus sur cette Maîtresse. A ses questions, Marilyne en rajoute d'autres et lui demande s'il lui lèche bien le cul ou la chatte. René perd pied, répond n'importe quoi, s'emmêle dans ses réponses qui sont souvent accompagnées de grandes claques sur ses fesses maintenant brûlantes.

 

Quand sa femme entreprend de lui fourrer la canule à lavement dans les fesses, il baisse la garde et supplie mais il est bien trop tard pour faire profil bas.

 

- Ah je suis coincée du cul, ben tu vas avoir le cul merdeux salop. Crie Jacqueline furieuse en demandant à son amie de lui poser la couche pendant qu'elle va chercher de l'eau.

 

A suivre ici

 

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Vendredi 27 septembre 5 27 /09 /Sep 12:02

Un soumis ABDL sévèrement punit par sa Maîtresse

Un-soumis-ABDL-severement-punit.jpg

Ma Maîtresse, dont je ne dirai pas le pseudo pour qu'elle ne soit pas ennuyée, est à la fois respectueuse et très sévère, à l'écoute et intransigeante à la fois. Lors de notre rencontre elle a accepté mon côté ABDL et s'en amuse parfois pour m'humilier en m'envoyant par exemple acheter ses cigarettes avec la couche pleine d'urine sous un pantalon serré.

 

Vendredi soir, elle m'a demandé de me faire un lavement, chose faite avec plaisir car en principe, cela rime avec plaisir anal pour moi, même si quelque fois c'est douloureux quand elle s'acharne. J'ai donc fait plusieurs lavements afin que l'hygiène soit respectée et que nous ne soyons pas ennuyés par de la merde sur les jouets. Une fois fait, j'attendais patiemment en position 6 sur le tapis de la salle de bain porte fermée, en essayant d'imaginer ce qu'elle préparait.


Ce soir là, elle avait décidé de me tanner les fesses en essayant de reproduire ce que TSM a fait un soir en webcam sur le chat de Fessestivites lors de la soirée fesses rouges de la ménagère. Je peux affirmer que le cul du poêle fait plus mal qu'un martinet ! TSM je me demande parfois si je dois vous détester ou inciter ma Maîtresse à quitter le site ! Effectivement, quand vous vous dite « psychopathe SM en chef » on comprend pourquoi....

Après m'avoir fessé avec tous les instruments possibles de la cuisine, Maîtresse a enfilé son gode-ceinture qu'elle m'a fait lécher avant de me prendre comme une sauvage entravé au dessus la table de la cuisine. Au début ce fut assez douloureux par manque de lubrifiant, mais quand Maîtresse a accepté d'en ajouter j'avoue avoir pris un pied pas possible sur le moment. Pourquoi sur le moment ? Parce que lorsque Maîtresse a retiré le gode-ceinture, il était particulièrement sale. Et là, cela ne l'a pas fait du tout. Elle m'a incendié en le jetant dans l'évier de la cuisine dans lequel elle était à deux doigts de vomir.


Ma punition


Maîtresse m'a envoyé me passer un gant en m'ordonnant de reprendre ensuite la position d'offrande sur la table. La toilette faite, j'attendais donc penché en avant fesses offertes en priant le seigneur des soumis pour qu'elle ne soit pas trop sévère. Quand je l'ai vue arriver avec des couches, une culotte en plastique et mon pantalon je n'ai pas compris où elle voulait en venir. Sans vouloir parler de l'intimité de Maîtresse, elle dispose d'une batterie de produits contre la constipation. Ce soir là, elle m'a mis cinq suppositoires à la glycérine, un microlax et une petite poire à lavement. Mes plus plates excuses n'ont rien changé à ses projets et quand je disais qu'elle est sévère, vous allez constater que le mot est faible.

En me promettant de « m'égorger » si j'avais une fuite, elle m'a mis deux couches et un insert puis la culotte en plastique par-dessus le tout. A la suite de quoi, et malgré mes suppliques, elle m'a obligé à mettre mon pantalon. Sur le coup, j'ai pensé qu'elle allait m'envoyer lui acheter des cigarettes mais sa punition était bien plus machiavélique que ça.

Elle m'a ensuite mis une chaîne et un cadenas en guise de ceinture et emmené par l'oreille jusqu'à l'armoire où elle m'a enfermé à clé en me disant que la prochaine fois, j'aurai le cul propre. Au plus je suppliais, au plus elle s'énervait, j'ai donc fini par me taire et accepter la plus dure des punitions qu'elle ne m'ait données. Et le pire, c'est que pendant que je vivais mon pire cauchemar je l'entendais s'envoyer en l'air sur le lit avec ses vibros.

Vous dire que ma nuit fut difficile, laborieuse, dégueulasse est inutile, je suppose que vous l'aviez deviné. Je vous passerai les détails mais ce fut vraiment très dur.


Le pire fut le lendemain ! ! ! !


Vers 7 heures, elle m'a ouvert la porte pour que je puisse sortir. Vêtue de son tailleur de travail et de ses collants noirs, elle était belle mais avec des yeux brillants qui m'ont tout de suite affolé.

- Je vais travailler, tu passes l'aspirateur, la pièce à frotter et tu fais le ménage. Quand ce sera fait, adresse-moi un texto.

Là, je l'ai carrément suppliée mais rien n'y a fait. Elle a tourné les talons puis a quitté la maison en claquant la porte. J'étais mal, très mal autant dans ma tête que dans mes couches si vous voyez ce que je veux dire. L'âme en peine, j'ai pris un café, debout, car l'idée de m'asseoir n'était pas admissible. Immédiatement je me suis mis à faire le ménage et quasiment sans fumer pour aller le plus vite possible. A 9h30 j'ai adressé un texto à ma Maîtresse en lui indiquant que tout était fait y compris la vaisselle essuyée et rangée.


Le texto qu'elle m'a adressé disait : « c'est bien ne bouge pas »

 

Avec ça comme réponse, je n'étais pas plus avancé ! ! ! Pour tuer le temps, je me suis mis à surfer toujours debout en prenant cette fois le temps de savourer mon café et de fumer en me demandant si elle allait me laisser comme ça jusqu'à 13 heures, heure où elle arrive à la maison le samedi.

Un moment plus tard, la sonnette m'a fait bondir. Avec mes couches ultra pleines, même sous mon pantalon, il était hors de question que je réponde, même au facteur. Trois minutes plus tard un texto de Maîtresse m'ordonnait d'ouvrir la porte. J'étais fou ! J'ai donc enfilé un peignoir pour masquer mon pantalon avant d'aller ouvrir la porte de la maison. Sa copine YYY est entrée dans la maison comme si elle était chez elle en me disant simplement « bonjour ».

 

Elle a fait le tour de ma maison avant d'aller dans la cuisine qu'elle a inspectée. Et là, du pot de fleur qui est sur le frigo elle a attrapé les clés de ma liberté en m'indiquant que j'avais bien travaillé. Avec un sourire narquois elle me les a tendues avant de quitter les lieux en m'indiquant que si je voulais faire des heures de ménage, je pouvais la contacter......


Je ne vous raconterai rien de m'on horrible toilette, cela n'a aucun intérêt, mais plutôt que Maîtresse m'a apporté un très bon cigare quand elle est arrivée à 13 heures.


P ......


P.S. Je remercie le webmaster de Fessestivites de diffuser ce récit à la demande de Maîtresse en respectant notre anonymat. Par sa diffusion, l'objectif de Maîtresse est de faire voir aux soumis qu'une punition n'est jamais ce que le soumis aime.

 

 

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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Mardi 24 septembre 2 24 /09 /Sep 06:31

ABDL en enfer enlevé par des nurses perverses et horribles chapitre 1

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L'ABDL excite Alex qui en fait ne rêve que d'une chose, qu'on s'occupe de lui et qu'on lui fasse faire des choses avec des couches sous la contrainte histoire que sa masculinité ne soit pas affectée..... Derrière ce fantasme généré par les vidéos ABDL, son rêve plus ou moins dissimulé est de baiser avec de jolies filles en couche ou qui le mettent en couche. Lorsqu'il drague, cela se sent à plein nez ce qui lui vaut d'être souvent rejeté par la communauté ABDL représentant des millions de personnes.

Fessestivites dans sa pub indique que les ABDL qui se rencontrent sont sur Fessestivites, cela n'est pas faux aux vues des rencontres et évènements de ce site. Alex demeurant en Isère s'y est donc inscrit. Après s'être fait jeter par les puristes, il réussit toutefois à accrocher avec des filles du site qui a accepté de le rencontrer. Elle lui a parlé de la copine avec qui elle vit, mais ce genre d'information, Alex s'en moque ce qui compte pour lui c'est réaliser son fantasme et tirer un coup, voir deux s'il y a deux filles.


Le pauvre !


Le pauvre car lorsqu'il lui a parlé de « gâterie » il s'est fait immédiatement recadrer mais il a su contourner la chose en biaisant, enfin du moins le pense t'il.

Les choses commencent mal pour lui dès son arrivée, l'adresse n'est pas la bonne. Elles l'appellent alors qu'il s'apprêtait à repartir pour lui donner un rendez-vous sur un parking de supermarché. Il s'y rend sans souci et les attend avec impatience. Sa première surprise fut qu'elles lui imposent de monter dans leur voiture en mettant une cagoule sur son visage en prétextant que ce n'est qu'un simple principe de sécurité. Sûr de lui et de sa force face à deux « gonzesses », il accepte sans trop discuter en espérant que les choses coquines commencent enfin.

 

Si au départ, les filles acceptaient de recevoir un ABDL et de passer une soirée avec lui, devant un gougeât décidé à les baiser et ayant oublié les fleurs puis la bouteille de champagne, elles décident de lui donner une bonne leçon. Elles le forcent à patienter dans une des pièces de la maison puis à entrer après avoir tapé à la porte puis à exprimer ses envies. Dans ses mots, il reprend le mot « gâterie » qui a le don de mettre les filles complices très en colère.

Quand elles le font s'allonger sur un lit, Alex s'imagine la partie gagnée mais quand elles sortent des cordes et commencent à lui attacher les mains, il essaye de résister. Aussitôt allumé par les deux filles, dont une lui a mis la main sur le cerveau qu'il a entre les jambes, il cède et se laisser attacher.


Quelle erreur !


Son pantalon et slip retiré, Tio et Gyn s'occupent de l'ABDL comme deux nurses en lui talquant le sexe après avoir passé une lingette. Le contact des mains féminines sur son sexe comment à l'émouvoir mais pas les filles qui le langent très serré avec son sexe plié presque de force entre ses jambes.

- Bébé est langé et couché, nous allons le laisser se reposer ! Annonce Tio en sortant de la chambre aussitôt suivie par Gyn.

- En fait il n'a qu'une envie, c'est de nous baiser ou de se faire tailler une pipe ! Dit Gyn à Tio quand elles sont hors de la pièce. Pourquoi l'as-tu fait venir ?

- Parce que j'ai envie de lui donner une leçon lui répond ! Tio, et on va bien s'amuser.

Une heure plus tard, lorsqu'elles reviennent, Alex est moins fier et va l'être de moins en moins. Pendant que Gyn lui colle un truc dans la bouche qu'il ne peut voir et qu'il s'imagine être une tétine de biberon, Tio s'amuse à remplir sa couche à l'eau glacée histoire de calmer les ardeurs sexuelles du dit bébé. Alex crie que c'est froid et tire sur ses liens, ce qui permet à Gyn de finir d'enfoncer le double gode dans la bouche du bébé adulte pervers et de le fixer derrière sa nuque.


Alex ne comprendra ce qu'il a dans la bouche que lorsque Gyn l'enjambera pour venir s'empaler sur le gode qu'il tient malgré lui avec ses dents. L'odeur significative du sexe d'une femme excitée passe à travers sa cagoule et le rend fou d'excitation et de colère. Non seulement il n'a pas de gâterie, il est attaché mais en plus, il leur sert de sex-toy ! ! ! ! Pour lui c'est le monde à l'envers. Quand il essaye de réfuter, les son inaudibles qu'il peut produire avec un gode dans la bouche sont aussitôt sanctionné par de sévères claques sur ses cuisses par Tio qui est assez sadique dans ses gestes.

- Tape-le encore, quand il a mal il bouge et c'est bon ! dit Gyn empalée sur le gode que tient malgré lui Alex dans sa bouche.

Après une demi-heure de « sport » et un biberon de somnifère et de décontractants, il est abandonné dans ses liens par les filles qui lui promettent des gentillesses après la sieste. Les drogues incluses dans le biberon aide Alex à se calmer voir même à s'endormir avec la tête pleine de fantasmes.

Lorsqu'elle viennent le réveiller deux heures plus tard, Alex, dans un état de léthargie avancé se laisse guider à l'extérieur de la chambre puis attacher sur une table sans aucune réfutation. Si à cet instant il lui était resté un brin de lucidité il se serait enfui à toutes jambes car ce que les filles ont prévu de lui faire vivre sera pour lui un enfer.

Pendant qu'il continue sa sieste chimique en pissant dans sa couche sans même s'en rendre compte, Gyn fait fondre des suppos à la glycérine et Tio prépare les accessoires nécessaires pour que cet ABDL vicieux et macho apprenne la courtoisie.


La suite risque de faire peur aux lecteurs de par son niveau de perversité féminine dans le monde des couches car Alex va vraiment connaître l'enfer sur terre.


LA SUITE DE CETTE HISTOIRE pendant laquelle Alex va vivre un enfer et des humiliations ABDL impossibles à imaginer est ici.  


 

Les photos de l'ABDL Alex en mauvaise posture sont ici

 

La première vidéo d'Alex ABDL en mauvaise posture est ici


TSM journaliste de Fessestivites



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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Jeudi 12 septembre 4 12 /09 /Sep 13:35

Lavement en couche avec double ballonné anal

Lavement-en-couche-sous-bondage-avec-double-ballonne-anal.jpg

Mon chéri est fou mais je l'aime parce qu'au-delà de sa folie et des trucs parfois crades, il me fait vibrer. Il est adepte du lavement, des couches et du BDSM. En parallèle de ça, au lit c'est un excellent amant particulièrement attentionné.


Il a réussi à me faire apprécier les sensations du lavement. Je ne pratiquerai pas tous les jours lol, mais de temps en temps, j'avoue que ce n'est pas désagréable. Pour les couches, c'est différent, comme je le disais sur le forum ABDL, j'aime bien là aussi de temps en temps faire pipi dans les couches, mon côté grand enfant sûrement. Il me demande parfois de lui d'en mettre pour la nuit après les gros câlins, surtout le samedi après nos folies.....

En parlant de folie, mon fou m'a fait une sacrée surprise le week-end dernier. Il m'a demandé d'aller me faire un petit lavement pour que j'ai le « cul propre » expression très romantique nous en conviendrons, mais entre nous ce sont des mots d'Amour annonciateurs de coquineries. Sans me dévêtir, il m'a ensuite posé les bracelets puis fait un petit shibari avant de me poser une sucette bâillon puis un bandeau sur les yeux.

 

Avec beaucoup de précautions puis en m'indiquant que cela serait juste un peu désagréable au début, mon fou d'Amour m'a demandée de me mettre à quatre pattes sur le lit, enfin, comme j'étais attachée, c'était la tête dans les draps, à genoux les fesses en l'air. Au début je n'ai pas compris ce que c'était et je ne savais pas qu'il en avait acheter un.

 

Il s'acharnait à faire entrer un truc dans mon anus que je ne connaissais pas. Une fois en place, il m'a embrassée les fesses avec tendresse pendant qu'un truc bougeait en moi et entre mes fesses. Ce truc est vite devenu désagréable surtout quand on ne sait pas ce que c'est. Il m'a expliquée qu'il venait de me mettre un double ballonnets, qu'il y en avait un dans mon colon, un à l'extérieur et que cela maintiendrait le lavement une fois gonflé.

 

Deux minutes plus tard, j'étais en couche attachée debout dans le salon, jambes écartées au dessus d'une bassine. Une fois qu'il a terminé ses préparatifs, j'ai senti le lavement arriver. Entravée j'aime bien, je me sens toute à lui, sa chose vulnérable qu'il martyrise mais qu'il respecte et protège, hummmmm. La première surprise car il m'en fait souvent n'a pas tardeé !

 

- Dans la poche à lavement, j'ai fait fondre trois suppos à la glycérine, cela va t'aider à te faire « le cul propre ».

 

L'enfoiré ! Aller aux toilettes avec ça dans le colon, allait être chaud..... J'ai alors compris, ou cru comprendre, le pourquoi de la couche.

La deuxième surprise est arrivée un bon moment plus tard quand il est revenu pour dégonfler le double ballonnet. Une fois dégonflé, il me l'a retiré avant de bien ajuster ma couche. Et là j'ai compris ! J'ai eu beau râler et gesticuler pour lui faire comprendre que je n'étais pas d'accord, il n'en avait rien à faire.

 

Il m'a fait quelques bisous dans le cou avant de m'abandonner pour filmer son piège à la con. Les fesses serrées comme une malade, dans mon ventre cela gargouillait et me faisait comme de petites crampes. Une première fuite anale m'a surprise quand j'ai voulu soulager ma vessie. La lutte fut rude contre mon envie de pisser, mon ventre qui gargouillait et mon colon poussant en même temps sur mon anus ultra contracté, Comme je parvenais à résister, le traître m'a fait des chatouilles. Et là, j'ai tout lâché.


Morte de honte, j'étais morte de honte mais en même temps qu'est-ce que c'était bon que de tout lâcher ! Les sensations de bien être éprouvées sont difficilement descriptibles par contre, elles sont éphémères car une fois « vidée » la dure réalité vous rattrape.

Alors que je transpirais comme si j'avais réalisé les douze travaux d'Hercule en une heure, il est venu m'embrasser dans le cou puis m'a retiré la sucette bâillon.

 

Je passerai sur mes mots doux ....... qui le faisaient rire. Au lieu d'être en colère ou de me libérer, il m'a donné une petite fessée sur la couche pleine. Quelle horreur ! Comme mon mari et Maître d'Amour assume tout, pour ça il est génial, il m'a partiellement libérée puis portée jusqu'à la chambre où avec beaucoup d'amour il m'a lavée et changée. La deuxième couche avait pour objectif d'être une sécurité en cas de fuites car avec un lavement sérieux, il y a toujours quelques risques.


Mon fou m'a laissée attachée sur le lit puis a fermé la porte de la chambre malgré toute mes suppliques. Deux heures plus tard, quand il m'a libérée, j'ai pu découvrir sa dernière surprise. Il avait fait le repas, une jolie table avec des bougies, une bouteille de champagne nous attendait pour fêter mon premier « caca couche ».


La folle qui souhaite rester anonyme


Témoignage recueilli par TSM journaliste du réseau Fessestivites.


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Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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