Histoire

Mardi 28 décembre 2 28 /12 /Déc 09:31

Cher lecteurs, chères lectrices,

 

Les TSM ont des projets qui sans nul doute devraient ravir les visiteurs de ce blog.

 

En attendant, ci-dessous un petit texte gentil pour rester dans l'ambiance des contes de Noël

 

Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année.

 

A très bientôt

 

TSM

 

 

D’orpheline à nounou

 

 C’est sur une ligne droite que la 405 roulant à une vitesse raisonnable s’est encastrée dans un camion pour des raisons inconnues un matin du mois de juin 1990. Des tôles enchevêtrées les pompiers ont retiré le corps sans vie de Lucie et un bébé par miracle indemne. Paul inconsolable ne s’étant jamais remarié élève seul sa fille Léa en lui menant la vie dure. Une nuit, Léa âgée de 16 ans fait un rêve particulier où elle rencontre une fée lui donnant des pouvoirs surnaturels. Lors de ce rêve, elle a mouillé son lit sans s’en rendre compte et ce n’est qu’au petit matin qu’elle découvre tout honteuse que son lit est trempé. Cherchant du réconfort, elle en parle à son père qui au lieu de la rassurer se met à crier, à la traiter de pisseuse et lui dit que si cela se reproduit, il lui fera porter des couches de bébé.

 

 Blessée dans son amour propre, elle pleure, « pleure, tu pisseras un coup de moins » lui hurle son père. Furieuse, elle s’imagine que son père plus petit, qu’elle lui retire sa couche pour lui donner la fessée qu’il mérite. Comme par magie, il se met aussitôt à rétrécir. Prenant conscience qu’il se passe quelque chose, il se met à hurler en se tenant à la table puis crie à sa fille d’appeler les pompiers au lieu de ne rien faire comme d’habitude, mais elle ne bouge pas et le fixe étrangement. En voulant bondir vers le téléphone Paul se prend les pieds dans son pantalon devenu bien trop grand et chute durement sur le sol. Léa ne bouge toujours pas et le fixe avec des yeux méchants pendant qu’il continue de lui crier des insanités jusqu’au moment où ses mots et sa voix deviennent ceux d’un enfant de 2 ans. Dans un dernier sursaut d’énergie, il parvient à se lever et à taper sur sa fille.

 

 Il l’a si souvent frappée pour rien ou pour passer la rage et sa peine sur sa fille que le premier réflexe de Léa est de se protéger. En constatant qu’il ne lui fait pas plus mal qu’un enfant de 2 ans, elle l’attrape, lui baisse le pantalon et la culotte avant de le coucher sur ses genoux avec une envie viscérale de le fesser. Les claques qu’elle lui donne sur les fesses sont bien trop sévères pour un enfant. Paul bondit, hurle mais ne peut rien faire pour se soustraire à la monstrueuse fessée que lui donne sa fille. A cet instant, dans sa tête les promesses de représailles dépassent l’entendement, sauf qu’il n’aura jamais la force physique de les réaliser.

 

 Léa se calme un peu, pousse le gamin en larmes qui chute durement sur le sol en criant sa douleur et sa rage. Pour ne plus l’entendre, elle l’attrape puis insensible aux coups de pieds pour l’enfermer dans un des placards de la cuisine dont elle pousse le loquet. Hors d’elle et dans un état second Léa l’abandonne là et va prendre une douche. Prenant conscience qu’elle ne rêve pas, elle revient un moment plus tard voir si son père est bien dans le placard. Elle y découvre effectivement un bébé nu de deux ans en larme et baignant dans son urine. Mue par son instinct maternel, elle le sort aussitôt mais Paul ayant toujours son cerveau d’adulte l’injurie encore avec des mots mal prononcés et sa voix d’enfant. Le chat entre par la chatière en miaulant, pour voir si elle ne rêve pas, elle le fixe en l’imaginant petit, en quelque seconde il devient un chaton. Elle tente aussitôt de le ramener à taille adulte, mais il ne revient pas tout à fait à sa taille initiale. Ces tentatives et manipulations lui prenant énormément d’énergie, Léa épuisée décide de ne pas aller à l’école et de se reposer.

 

Paul toujours aussi furieux continue de crier et de gesticuler comme un enfant faisant un caprice. Elle le pose sur le canapé avant de se rendre au garage où elle sait que son père a stocké précieusement toutes les affaires de bébé et surtout de sa mère. Léa prend alors une couche, un body, la gigoteuse de son enfance puis la poussette poussiéreuse. En deux temps trois mouvements, le bébé hurlant est emmailloté, vêtu et attaché sur la poussette. Elle le conduit à la chambre de son père puis referme la porte pour ne plus entendre ses cris. Etendue sur le canapé Léa allume la télé puis s’endort rapidement.

 

Dans la chambre, Paul essaye de s’extraire de sa poussette mais en vain, ses petites mains et ses doigts boudinés manquent d’agilité, il ne parvient pas à se libérer et manque de force. Epuisé il finit par se calmer, regarde autour de lui et réfléchit aux évènements en se disant qe tout cela n’est pas possible qu’il fait un cauchemar. Il a soif et envie de faire pipi. Ses appels restent sans réponse alors il se retient tant bien que mal en maudissant sa fille. Une heure plus tard, il se réveille tenaillé par l’envie pressante, ses appels restant toujours sans réponse, mort de honte il finit par se faire dessus.

 

« Papa » dit Léa d’une voix inquiète en entrant dans la chambre, « je ne sais pas ce qu’il nous arrive. Je n’ai pas fait exprès de te transformer en bébé, j’ai peur ». Au lieu d’essayer de parler, Paul fidèle à ses habitudes tape sur la fille lorsqu’elle s’approche pour le prendre dans ses bras et trouver du réconfort. Face à cette violence perpétuelle, Léa gronde son père et le menace d’une autre fessée s’il continue ainsi. Comme il ne se calme pas, en larmes elle quitte la chambre en claquant la porte. Arrivée à la cuisine, elle ouvre le frigo pour prendre quelques aliments et manger. La plaquette de chocolat terminée, elle prend conscience que son père n’a pas mangé. Elle va donc le chercher et l’emmène en poussette à la cuisine. Lorsqu’elle lui donne une tranche de jambon, il s’en saisie difficilement puis s’étouffe en tentant de se nourrir. Son instinct maternel prenant le dessus, elle lui fait chauffer une soupe toute prête et la lui donne à la petite cuillère. Le repas terminé, elle l’emmène toujours en poussette au salon puis se vautre dans le canapé. Lorsqu’elle allume la télévision, la chaine sport de Canal plus diffuse un match de foot. Elle change de chaîne et se met à chercher un programme plus plaisant. Paul se met aussitôt à crier « conasse » et à faire un caprice.

 

- Ecoute papa, pendant des années tu m’as imposé tes quatre volonté, le foot et encore le foot, maintenant, les choses vont changer. C’est moi qui décide et si tu fais des caprices, ce sera la fessée et au lit. Compris ?

 

Que sa fille lui parle comme ça est une aberration pour Paul ! Par réflexe, il tente de se lever en hurlant pour venir donner une raclée à sa fille irrespectueuse mais en vain. Les sangles de la poussette l’en empêchent, hormis crier il ne peut rien faire. Agacée, elle le sort de la poussette, le déshabille, retire la couche qu’elle découvre trempée puis lui donne la fessée promise. Pour Paul, l’humiliation est à son comble, être fessé pour la deuxième fois par sa fille dépasse l’entendement. Quelques minutes plus tard, lorsqu’elle entreprend de le laver en passant un gant entre ses jambes et ses fesses en le tenant par les pieds, il ne crie plus et pleure en silence. Au moment où elle lui remet une couche propre, il n’ose pas lui dire qu’il a besoin d’aller aux toilettes parce qu’il est inconcevable pour lui qu’elle le voit faire ou torche ses fesses. Rapidement entravé dans sa poussette mise en position horizontale, il est conduit à sa chambre. Lorsque la porte se referme sur lui, Paul a perdu toute sa superbe, son honneur, sa fierté est mal menée. Sa fierté va encore souffrir lorsqu’il sent son anus céder sous la pression. La couche pleine il pleure et finit par s’endormir mais ses rêves sont peuplés de cauchemars.

 

Réveillé par sa fille inquiète, il a chaud, il se sent mal. Plusieurs fois en posant sa main sur son front elle lui indique qu’il est brulant de fièvre. Il sent venir le pire lorsqu’elle lui parle de médecin. Léa l’abandonne un instant puis revient avec un thermomètre. Lorsqu’elle l’attrape à bras le corps puis entreprend de le déshabiller, il est blême et ne réagit même plus. Lorsque sa fille lave ses fesses sales puis lui enfonce le thermomètre dans les fesses, il voudrait mourir pour échapper à cet enfer. Léa lui remet une couche et l’habille aussitôt pour le conduire chez le médecin. Pendant la consultation, ne pouvant expliquer leur aventure sans passer pour une folle, Léa lui indique que c’est un cousin qu’ils gardent quelques jours. Compatissant, le médecin fait une ordonnance et accepte de différer le paiement de ses honoraires. Il n’a rien de grave, ce n’est qu’une petite angine. Léa passe par la maison prendre la carte vitale et se rend avec Paul en poussette à la pharmacie pour acheter les médicaments prescrits, un sirop et des suppositoires. Une cliente d’un certain âge, joue avec sa petite main et le trouve beau. Paul est fou de rage, ne pouvant étrangler la mamie le trouvant grognon grogne et pleure.

 

- Vous avez oublié sa sucette ou vous ne la lui donnez pas ? Vous savez ils en ont besoin quand ils sont malades, il ne faut pas les en priver. Dit l’adorable mamie compatissante.

 

- Je l’ai oubliée. Répond Léa.

 

Dans sa générosité, la mamie achète une sucette, demande à la pharmacienne de la laver puis la donne au bébé. Pour Paul, c’est un affront supplémentaire mais il ne peut se soustraire aux bonnes intentions de cette cliente généreuse la lui mettant dans la bouche entre deux cris. Complètement dépité, abasourdi par les évènements et la fatigue, le gros bébé ne la recrache pas, son dépit conduira Léa à en user plus que de raison pour avoir la paix.

 

Paul comprend que son calvaire est loin d’être terminé lorsque de retour à la maison, Léa lui fait voir la boite de suppositoires en lui disant « c’est pour qui ça » avec un regard amusé. Ne trouvant pas la chaise haute de son enfance, sa fille utilise à nouveau la poussette pour lui faire prendre son sirop et lui donner une nouvelle soupe toute prête. Etendu sur une serviette posée sur la table de la cuisine, la toilette au gant du bébé nu est un moment délicat pour Paul n’ayant plus aucune intimité, mais l’étape du suppositoire que sa fille lui place en lui disant que c’est une « fusée pour ses petites fesses » est un grand coup pour son vernis social.

 

Paul hurle sa rage lorsqu’elle le prépare pour la nuit en lui remettant une couche, son body fleuri et sa gigoteuse mais Léa le prend dans ses bras et le berce en lui donnant une énième leçon.

 

- Toi vois papa, toi tu me battrais ou crierais comme d’habitude alors que moi, je te donne de l’amour malgré ta méchanceté. J’ai compris que tu me reproches et me fais payer la mort de maman alors que le jour de l’accident, c’est injuste parce que je n’étais qu’un bébé. Maman me manque aussi, les autres en ont eu une pour les consoler, moi non. Les autres ont eu des moments magiques, des moments tendres, de gros gâtés et des histoires, moi les seuls moments de tendresses que tu m’as données c’était quand ta mère venait pour lui faire voir que tu es un bon père. Je ne sais pas et ne comprends pas ce qu’il nous arrive, j’ai peur mais cela ne m’empêche pas de m’occuper de toi comme tu l’as fait avec moi en te donnant un peu de cette tendresse qui m’a tant manqué.

 

Ces confidences brisent le cœur de Paul, il ne crie plus, les larmes de tristesse coulent sur ses joues. Fortement serré dans les bras de sa fille, il découvre que l’affection parentale est réconfortante dans les moments difficiles. La chaleur du corps de sa fille s’associe à la générosité d’âme et à la chaleur humaine pour parachever la leçon de vie. A cet instant précis, il aimerait tant la serrer dans ses bras.

 

Léa se prépare à son tour pour la nuit avant de les installer devant la télévision. Paul suit pour une fois une émission de variété en écoutant la musique des jeunes sans râler. Comme Léa est inquiète pour le bébé, à la fin de l’émission elle le prend avec elle dans son lit. Couché en chien de fusil, elle le serre contre elle, le sommeil les cueille tous les deux rapidement.

 

Vers sept heures, une voix douce est chaude réveille Léa en lui annonçant que le petit déjeuné est servi. Les yeux de Léa découvrent son père souriant avec un plateau à la main. C’est la première fois qu’il lui apporte un petit déjeuné au lit. La poussette est encore dans la chambre mais pas un mot n’est échangé sur leur aventure. Le chat les rejoint pour partager les étreintes affectueuses et pour une fois, il ne se fait pas virer du lit, allez-donc savoir pourquoi ?

 

TSM

 

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:17

Son blog parlait de domination gay et de jeux en couche

 

Son blog parlait de domination gay et de jeux en couche, deux sujets qui titillent mes fantasmes depuis longtemps. Lorsque par correction, j’ai adressé un commentaire sur un des ses articles je n’aurai jamais imaginé que ma vie allait changer à ce point ! ! !

 

Lors des échanges email, nous nous sommes trouvés affinités sur de nombreux points et pour lui prouver que je ne suis pas un de ces fantasmeurs qui polluent les sites de rencontre je lui ai donné mon numéro de téléphone. Après deux heures de discussions aussi animées que riches en confidences, nous avons décidé de nous rencontrer le vendredi soir chez lui pour discuter voir plus…

 

Étant bisexuel, sans tabou et très joueur, l’idée d’une rencontre avec Phil qui est 100% gay et dominateur, m’a séduite. Mes neurones se sont enflammés, mes fantasmes aussi…..

 

Après l’explosion de mon couple l’envie d’explorer l’homosexualité m’est passée par la tête. Lors de la rencontre, nous avons pris quelques verres et longuement discuté de « lapins » posés par les fantasmeurs, des hommes qui vivent leurs fantasmes de 5 à 7 et repartent tout honteux retrouver leur femme. Au fil des discussions, l’idée de vivre une expérience avec lui m’a séduite tant il me semblait calme, posé, sensé et c’est sans aucune difficulté que j’ai accepté de lui faire voir mes fesses qu’il a trouvé délicieuses. Une heure plus tard, j’étais nu, menotté et à genoux devant lui pour lui faire une gâterie pendant qu’il sirotait une bière en me demandant ce qu’il entendait par « hypnose éricksonienne ».

 

Je me sentais des ailes, la permission de me donner totalement à ce que je faisais et d’y prendre un plaisir fou. Sa verge avait un goût de miel, l’odeur de son corps m’enivrait et c’est avec joie que je me suis offert à lui comme une « chienne » en chaleur en éprouvant un plaisir inouï. Je n’aime pas embrasser un homme mais avec lui c’était différent. Les jambes sur ses épaules, pendant qu’il me prenait ses lèvres et sa langue m’encensaient tout comme sa verge au plus profond de mes reins. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans un rapport homosexuel.

 

Pour le remercier de tant d’émotions et de plaisir, après sa jouissance c’est sans aucune réticence que je l’ai « remercié » en prenant à nouveau son sexe dans la bouche. Une heure après, j’étais entravé sur le lit et en couche. Cette nuit-là, mes fantasmes de soumission les plus fous lutaient contre a conscience. Le lendemain, il m’a dévoré dès le réveil après avoir arraché la couche. Sous ses asseaux ma verge tendue à rompre frottant sur les draps me fit flirter avec le paradis et déraper totalement. Sous son corps doux et chaud, je me sentais sa femelle, sa chose, ses lèvres dévorant mon oreille et mon cou me firent fondre de plaisir.

 

Quand il m’a dit que je lui plaisais bien après m’avoir libéré, ses propos m’ont rendu fou. Pris d’une crise d’affection je l’ai embrassé et mangé de partout. Cet acte affectueux envers un homme m’était inconnu, hormis jouer à touche pipi ou plus, je n’avais jamais éprouvé ce désir. Ce jour là, il a tenu à me mettre une cage de chasteté en plastique, j’en porte maintenant une magnifique en métal qu’il m’a offerte quelques temps après. Je n’ai plus le droit de pénétrer, de me caresser, de me branler. Je n’ai droit qu’au plaisir anal mais je ne m’en plaints pas car mes jouissances sont tout aussi fortes, je vie des états d’excitation monstrueux qui me rendent dingue.

 

Le mois dernier ma vie d’esclave a pris forme avec la signature d’un contrat de soumission et de mon installation chez lui. Je fais mon télétravail de sa villa où il m’a aménagé un bureau à sa façon. Un anneau scellé dans me mur et une chaîne m’interdisent de quitter la pièce, en fonction de ses envies et de la soi-disant qualité de mon travail, je suis puni à la cane anglaise ou fouetté. J’assume toutes les taches ménagères nu ou féminisé en fonction de ses délires ou des personnes qu’il reçoit. Lorsqu’il n’y a pas d’invité, il m’autorise à manger à table avec lui mais assis sur un tabouret équipé d’un phallus en bois de bonne taille, autant dire que j’essaie de ne rien oublier lorsque je mets la table.

 

Dans le hall de sa villa, il a installé deux barres en métal pour faire une croix. Sur la barre verticale perforée tous les 40 mm servant initialement pour des rayonnages il y fixe un tasseau de profondeur ressemblant à une équerre qu’il a modifié pour y recevoir des godes en bois usiné dans son garage. Avant-hier soir, j’y ai souffert et j’y ai été humilié une bonne partie de la soirée pour avoir fait brûler un rôti. Maître Phil m’a fait monter sur une calle pour que je puisse m’empaler sur l’équerre équipée d’un gros gode puis il m’a fait descendre de la calle. Poser les pieds sur le sol m’était difficile tant le gode était long. Il a entravé mes bras en croix puis mes chevilles avant de me passer une cagoule avec une fermeture sur la bouche. Vers 18 heures, il a posé des pinces assez cruelles sur mes tétons et a accroché quelque chose à mes testicules. Je ne n’ai compris l’usage que lorsque les invités sont arrivés. Il s’agissait d’un crochet pour y suspendre leur sac à main qu’ils ont placé sans prendre de précautions. Pendant un instant, j’ai cru que mes couilles allaient s’arracher tant cela faisait mal. Aux pinces à seins, ils ont mis des porte-manteaux auxquels ils ont suspendu leur veste avec la même douceur que pour leurs sacs. L’un deux m’a inséré ses clés de voiture dans la bouche en m’indiquant qu’il m’arracherait les couilles si je les faisais tomber. Transformé en porte-manteau humain, suant de douleur et de honte j’y suis resté tout le temps de l’apéro et du repas.

 

Les choses se sont corsées au café qu’ils ont pris au salon en commençant à jouer. L’un deux est venu chercher des cigarettes dans sa veste, la traction sur mon téton gauche déjà très endolori ma fait crier et lâcher les clés. La sanction n’a pas tardé ! Maître Phil est arrivé aussitôt pour me faire la leçon, puis il a retiré les porte-manteaux et les pinces à seins. J’ai cru mourir quand le sang a afflué dans mes tétons. Après avoir retiré de ses barres, il a menotté mes poignets qu’il a accrochés à ma cage de chasteté pour me conduire au salon. Couché sur le canapé fesses exposées, j’ai compris que j’allais dérouiller et cela n’a pas tardé. Le sifflement de la cane anglaise m’a fait bondir tout autant que le trait de feu embrassant mon épiderme. Il m’a donné vingt coups très appuyés avant de remarquer que j’avais le cul sale malgré le lavement qu’il m’avait imposé avant de m’entraver dans l’entrée. Plutôt que de me libérer pour que je puisse aller me laver, il m’a traité de bébé devant ses invités puis il m’a mis une couche et une culotte en plastique rose qui les a bien fait rire.

 

Pour me faire pardonner, j’ai du ensuite sucer les invités me donnant leur « biberon » à téter. Conduit manu militari à la chambre j’ai été attaché par le cou aux pieds du lit sur lequel ils ont baisé pendant des heures. J’avais une trique d’enfer au point que la cage de chasteté me faisait un mal de chien au niveau des testicules. Quand ils sont partis, j’ai du leur dire « au revoir » en les suçant l’un après l’autre pour qu’ils soient « propres » pour la route ! Leurs verges étaient odorantes et dégueulasses, ce fut dur mais j’y suis parvenu. Phil ne m’a délivré que le matin pour que je « le soulage de sa pression matinale » avant de libérer mes mains pour que j’aille me doucher. Lorsque je suis sorti de la salle de bain, un gros paquet cadeau était posé sur la table du salon à côté de deux tasses de café. Mon Maître me souriait en me désignant des yeux le paquet pour que je l’ouvre. Les doigts tremblants, brûlant d’impatience l’emballage n’a pas résisté longtemps à ma curiosité. Il m’a offert un sac de bondage en toile épaisse. Equipé de sangles des pieds à la tête et d’une très belle qualité il n’offre aucune possibilité de fuite. Après l’avoir embrassé pour le remercier, j’ai demandé à l’essayer, chose qu’il m’a accordée bien volontiers avec des yeux rieurs.

 

J’ai donc ouvert toutes les sangles et la grosse fermeture éclair du sac avant de m’étendre à l’intérieur de ce sac de couche un peu particulier. Quand il a terminé de le fermer et m’a mis la cagoule du sac, j’ai immédiatement compris que l’isolation entravé serait ma prochaine aventure. Et cela n’a pas tardé !

 

Le soir même, immédiatement après le repas, il m’a mis un plug percé équipé d’une sonde anale puis deux couches, l’une à l’endroit qu’il a trouée et l’autre à l’envers avant de me mettre une culotte en plastique au cas où il y aurait des fuites. La sonde anale en même temps que le sac de bondage ne m’enchantait pas parce que je ne suis pas scato. Je m’en suis ouvert à lui mais il ne m’a pas laissé le choix. Je devais tester son cadeau comme lui en avait envie ! Il m’a demandé de m’installer dans le sac et de passer mes bras dans les manches fermées cousues à l’intérieur puis il a placé des électrodes sur mon corps et mes seins. Quand je lui ai fait part de mes inquiétudes, il m’a répondu qu’il voulait m’offrir une expérience inoubliable et me faire progresser dans ma soumission, cela ne m’a pas rassuré du tout.

 

Quand il a fermé le sac et la cagoule m’isolant de l’extérieur, je m’attendais à ce qu’il commence immédiatement ses délires mais il n’en fut rien. Au fur et à mesure de l’attente, mon excitation est arrivée à son paroxysme, mon Popaul subissait une crise du logement monstrueuse. Un moment plus tard j’ai senti quelque chose bouger au fond de mes reins, le remplissage de mes intestins commençait. Soudain, mes seins se sont mis à piquer, les électrodes envoyaient des décharges mais j’ai crié plus de surprise que de douleur car c’était très supportable. J’ai gémis quand le lavement était trop rapide, il m’a traité de « chochotte » mais l’a dosé en m’envoyant des décharges sur le ventre en guise de « compensation ».

 

Les sensations de la pression intérieure rivalisaient avec les micros décharges électriques et un plaisir masochiste incommensurable. Le cerveau en désordre, totalement captif et vulnérable à souhait, je m’enfonçais dans un monde parallèle, une simple caresse sur mon sexe m’aurait fait exploser en une jouissance titanesque. Mon Maître m’a enjambé puis par l’ouverture de la cagoule a introduit sa verge dans ma bouche. Sentir le poids de son corps étendu sur moi et son sexe m’a comblé de plaisir jusqu’au moment où il m’a dit que j’allais boire son champagne doré. Nous en avions parlé, je n’avais pas dit non mais je n’avais pas dit oui non plus en attirant son attention sur le fait qu’il y avait de fortes chances que je vomisse. Il a choisi le moment où je suis le plus vulnérable physiquement et psychologiquement pour cette épreuve que je redoute. Il a accéléré le rythme des décharges électriques puis augmenté un peu l’intensité puis a repris le lavement en frottant son visage sur mon sexe. Même à travers le sac de bondage et les couches, le fait qu’il touche à ma cage de chasteté m’a rendu fou. Je ne savais plus où j’étais, à quelle partie de mon corps penser, je disjonctais totalement, une forme d’euphorie me gagnait.

 

L’espace d’un instant j’ai cru jouir de partout, du sexe bien sûr mais aussi de l’anus, du ventre, mon corps convulsait. C’est à cet instant qu’il a libéré un peu d’urine dans ma bouche et je l’ai bue, je l’ai avalée, j’en voulais encore. Par petits jets il s’est vidé la vessie. Tous ces tourments m’ont conduit aux bordures du vertige, j’ai tout bu et j’en voulais encore par amour pour mon Maître. Il m’a félicité et promis une récompense pour le lendemain avant de se servir de ma bouche comme d’un cul. Boire son sperme est déjà une récompense pour moi aujourd’hui, mais là j’étais comblé dé bonheur. Puis il s’est retiré et a refermé la fermeture de la cagoule du sac de bondage. Le sommeil est venu sans même que je me sente partir jusqu’au milieu de la nuit. Les fuites anales m’ont réveillé en même temps qu’une érection monstrueuse. Uriner quand on a une érection sous cage de chasteté est un moyen de diminuer l’érection mais ce soulagement entraina celui de mes intestins. Ma peur était d’en mettre de partout mais les couches ont tenu bon. Le matin il m’a libéré et conduit à la salle de bain lavé pour la première fois. Entre ses mains, malgré le côté écœurant des résultats du lavement, j’étais bien. Phil m’a porté jusqu’au lit et m’a pris comme un dieu. Les bras libres choses rares, j’ai pu l’étreindre pendant que mon anus affamé de lui savourait sans retenu la puissante pénétration de son sexe dur comme de la pierre. Il m’a conduit à la jouissance avant de jouir presque en même temps que moi. Mon cul vibrait et convulsait encore quand il a jouis en m’embrassant comme un fou. Entre ses bras je planais dans une autre dimension.

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:00

Il est actuellement impossible de poster des photos sur Overblog, désolé......

 

 

Petit délire bdsm et ABDL avec surprise de taille H

 

Louis, célibataire, 28 ans est un adepte des jeux et plaisirs ABDL et BDSM n’hésitant pas à rencontrer des personnes partageant les mêmes passions. L’accident est arrivé un samedi soir alors qu’il rentrait d’une soirée passée chez un couple d’amis très joueurs avec qui il délire régulièrement.

 

……………………..

 

La bouteille de champagne et les petits jeux SM terminés, Louis reçut la fessée promise toute la soirée avant de se retrouver étendu sur la table de la cuisine pour sa première surprise et recevoir son cadeau. Leur délire était au départ que Louis ne puisse toute la semaine jouer avec son « petit robinet ». Pour interdire l’accès aux mains coquines, il porterait sa cage de chasteté 24/24 avec un petit cadenas à combinaison acheté pour la circonstance par Paul. En cas de souci, il n’aurait qu’à appeler pour demander les chiffres et se libérer. Louis fut donc encagé comme convenu mais la surprise vint de Cécile arrivant avec une tenue d’infirmière, une poire à lavement en plus de la couche et une culotte en plastique neuve avec des motifs enfantins.

 

« C’est ton cadeau d’anniversaire, bébé, nous l’avons achetée pour toi, il faudra en prendre soin » lui avait-elle dit en lui faisant voir la culotte en plastique mais nous allons t’administrer un « dernier verre » pour la route et pour parfaire ton éducation. Louis inquiet et très gêné malgré leurs jeux habituels reçut son premier lavement sans rien dire avec la peur de fuir sur la table ou pire en se levant. Lorsqu’elle entreprit de lui mettre une couche sans qu’il ne puisse aller aux toilettes, il commença par refuser de prendre la route ainsi mais Paul lui rappela que s’il n’était pas sage, il porterait la cage de chasteté une semaine de plus. Bon gré, mal gré, il fut donc habillé sans pouvoir rejeter son lavement. Avant de fermer le pantalon, Cécile fit de gros bisous taquins à la culotte en plastique comme une maman jouant avec son bébé juste au dessus de la cage de chasteté….. Louis prit donc congé en serrant les fesses par peur de fuites intempestives.

 

……………………………….

 

Comme chaque soir, se garer près de chez lui est un calvaire. Il ne trouve une place de parking qu’à 400 mètres de chez lui. Alors qu’il marche tranquillement une moto arrivant à vive allure glisse sur un passage piéton et vient le faucher sur le trottoir. Il ne reprend connaissance, que lorsqu’un pompier s’occupe de lui. Malgré les demandes de ne pas bouger, il s’assoie, bouge et frotte ses jambes puis sa tête. Par chance, le bilan n’est pas catastrophique, son pantalon est déchiré, il n’a qu’une grosse bosse et quelques petites plaies superficielles.

 

Pendant que les pompiers chargent le pilote mal en point dans un VSAB, la peur que l’on découvre sa tenue et sa cage de chasteté le mine mais les pompiers insistent pour l’embarquer malgré ses réfutations par prudence suite à sa perte de connaissance.

 

Arrivé à l’Hôpital, il est pris en charge par un interne lui demandant de se déshabiller et de s’étendre sur une table d’osculation. Mort de honte, Louis refuse l’interne en le voyant rougir le rassure en lui indiquant qu’aux urgences ils ne sont pas regardant sur ce qu’ils trouvent sous les vêtements. Allant de surprises en surprises, l’interne terriblement joueur et taquin s’amuse de la gêne de son patient sans pour autant le juger. Le fait qu’il ait fait dans sa couche l’inquiète car la perte de connaissance n’est jamais anodine. Blême, Louis lui avoue qu’il a reçu un lavement mais l’interne n’en démord pas, son cas peut être bénin comme il peut être sérieux. Histoire de faire des surprises aux infirmières, l’interne, voyant que son patient semble en bonne santé, décide de s’offrir un petit délire.

 

- Je vais vous garder en observation jusqu’à demain. On va vous mettre une couche, si demain elle est propre et que vous êtes en forme, vous pourrez partir.

 

Pince sans rire, l’interne, envoie une jeune infirmière pour laver le patient et lui mettre une couche en lui indiquant de le monter ensuite en salle d’observation. Mort de honte, Louis propose de se laver seul mais l’infirmière curieuse refuse catégoriquement. Très professionnelle, elle met des gants puis lave plus que de raison l’entrejambe en déplaçant la cage de chasteté pour bien nettoyer avant de lui mettre une couche et de l’inviter à prendre place sur un brancard.

 

- Voilà, vous ne bougez plus et vous êtes sage ! On va venir vous chercher. Lui dit-elle en sortant.

 

L’histoire de l’encagé en couche a déjà fait le tour du service des urgences, les cancans et rires vont bon train. En le plaçant en salle d’observation plutôt qu’en chambre, l’interne offre une « tranche de rire » à son équipe à laquelle il indique qu’ils et elles peuvent aller surveiller de près ce patient et changer la couche même si elle est propre sous prétexte de vérifier qu’il n’ait plus de perte.

 

Jamais au grand jamais, un patient en bonne santé n’a été autant surveillé et changé.

 

TSM

 

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Samedi 30 octobre 6 30 /10 /Oct 06:45

Une femme découvre des choses, furieuse elle attend son mari de pied ferme. La suite ne sera pas tout à fait celle espérée par son époux.

 

La basketteuse furieuse

 

Lorsqu’il pénètre dans le salon le lundi 17 mai 2010, à la mine furieuse de sa femme Jean sent immédiatement qu’il va y avoir le feu. Après 20 ans de mariage, il y a des choses que l’on comprend sans même qu’un mot ne soit échangé. chastity.jpg

 

- Qu’est-ce qu’il se passe ma puce ?

 

- J’hésite entre demander le divorce ou te massacrer ou les deux !

 

Informaticienne passionnée mais aussi basketteuse semi-professionnelle, avec son mètre quatre-vingt-douze et sa forme physique, si Marize décidait de se battre avec son mari, ce dernier ne ferait pas le poids. Il est mince, mesure un mètre soixante-cinq et ne pratique aucun sport. S’ils se sont trouvés des affinités il y a 22 ans, leur différence de taille attire les regards mais il s’en moque, ce qu’il aime par-dessus-tout c’est qu’elle le domine sexuellement. Entre ses mains, il réalise partiellement quelques fantasmes de soumission sexuelle quand ils font l’amour. Maryse a toujours refusé de donner dans le SM, hormis le bousculer ou au pire le fesser, elle n’entre pas dans ses délires même si elle se plait à le bousculer un peu sous la couette. Le jeu de la cage de chasteté dans lequel il l’a entrainée il y a deux ans, ne l’a amusée qu’un temps.

 

- Qui est cette fille que tu appelles nurse Helena et à qui tu files du fric ? D’ailleurs, qu’est-ce c’est que ce compte bancaire caché ? Depuis quand mènes-tu une double vie ? Hurle Marize en bondissant de son fauteuil pour se précipiter vers son mari. Tu me fais cocue depuis quand ? Lui-dit-elle en l’attrapant par le col de sa chemise.

 

- Je ne t’ai jamais trompée, calme-toi ! Crie Jean malmené et sur la pointe des pieds, presque soulevé par sa femme déchainée. Je vais t’expliquer.

 

- Et puis c’est quoi ces histoires que tu inventes où je te forcerais à porter des couches ? Tu es malade ou quoi ? Assume tes fantasmes, dit que tu aimes porter des couches c’est plus honnête. Depuis quand en portes-tu ? Tu fais ça quand ?

 

- Pendant tes entrainements ou tes matchs. Répond Jean très gêné.

 

Jeté dans le canapé par sa femme furieuse et déchaînée, Jean n’en mène pas large. Il lui demande de s’asseoir et de se calmer, il va tout lui avouer. Les mains jointes presque comme au confessionnal, il commence par jurer qu’il ne l’a jamais trompée puis entreprend de dévoiler ses plaisirs et délires ABDL. Maryse pose 1000 questions en tournant autour de lui sans parfois même lui laisser le temps de répondre. La dispute est sévère, oui, il a payé une femme pour qu’elle lui mette des couches, qu’elle le change et lui donner des fessées. Oui, elle l’a fait dormir entravé et en couche mais jamais au grand jamais ils n’ont eu de rapport sexuel et ne se sont embrassés. Ce n’est pas de l’amour ou du sexe, c’est du nursing lui permettant de réaliser ses fantasmes.

 

La dispute dure tard dans la nuit, le fait qu’il ait ouvert un compte bancaire sur internet et détourné de l’argent du ménage pour payer une femme ne passe pas plus que le fait qu’il aille voir une autre femme pour réaliser ses fantasmes. Dans sa rage, elle l’obligé à lui faire voir où il cache ses couches et découvre des tenues de bébé adulte, des culottes en plastiques, des menottes. Pendant des années, elle est passée dans le garage devant la grosse cantine près de l’établit sans jamais retirer les outils posés dessus pour voir ce qu’il y a à l’intérieur.

 

Vers deux heures du matin, Marize va prendre une douche et se couche en envoyant son mari dormir sur le canapé. Le lendemain, la colère fait encore rage, les portes claquent, les mots grossiers fusent, le verbe est très haut. En quittant la maison, elle lui indique qu’elle ne sait pas encore ce qu’elle va faire. Pour essayer de se faire pardonner, toute la journée il lui envoie des mots d’amour par texto, puis des excuses et tentatives d’explications par emails, ses messages restent tous sans réponse.

 

Au bureau, les pensées de Marize s’entrechoquent, elle passe de la colère au doute, puis à l’incompréhension. Elle sent bien que les mots d’amour de son mari sont sincères et qu’il est malheureux. « A-t-il fait ça parce que je ne le domine pas comme il voudrait ou est-ce parce qu’il compense psychologiquement ma stérilité en jouant au bébé » ?  Cette question la mine et sauvera leur couple, mais cela ne sera pas sans conséquences.

 

48 HEURES PLUS TARD

 

Lorsqu’il pénètre dans la maison, à la mine de sa femme Jean sent immédiatement qu’il va se passer quelque chose de grave. Sur la table basse du salon, bien en évidence sont posés sa cage de chasteté, ses couches et ses tenues. Elle lui ordonne d’aller s’asseoir et d’attendre qu’elle arrive. Les yeux battus la mine triste et les joues blêmes, Jean s’exécute comme un condamné au tribunal en étant convaincu qu’elle va soit le virer lui et ses jouets, soit lui demander de tout bruler.

 

- J’ai pris ma journée pour réfléchi, craquer tous les codes minables des dossiers cachés sur ton ordi que j’ai pris le temps de fouiller et je vais te proposer deux choix. Soit nous divorçons mais avec un divorce où tu prends tous les tords, de toute façon il y a assez de preuves pour convaincre un juge que tu es dépravés et que tu me trompes, soit tu mets ta cage de chasteté et tu deviens réellement mon soumis. Dans ce cas, tu feras tout ce que JE veux, tu ME donneras les codes de ton compte bancaire que JE vais fermer et tu me donneras ta carte bleue. Tu as une minute pour décider.

 

Tout cela est dit d’une voix chargée de rage avec un doigt inquisiteur pointé sur lui. Si la cage de chasteté et la soumission masculine comptaient des fantasmes de Jean, l’être réellement en permanence ne l’amuse pas. Ses yeux mouillent puis se mettent à couler mais cela n’apitoie pas sa femme. Convaincu que s’il accepte elle lui fera payer ses erreurs mais que cela ne durera pas, Jean lui indique qu’il l’aime, qu’il ne peut se passer d’elle, que ce serait terrible pour lui qu’ils divorcent mais que les conditions qu’elles lui imposent sont draconiennes.  

 

- Il te reste 10 secondes. Est la seule réponse de Marize.

 

- J’accepte ma chérie pour te prouver que je t’aime comme un fou. Crois-moi, je ne t’ai jamais trompée.

 

- Tu as juste trompé ma confiance, tu m’as juste menti, nous n’avons pas la même vision de l’amour. Met-toi nu et mets ta cage de chasteté.

 

Jean est blême, à la limite d’exploser de rage mais pour sauver son couple il va abdiquer et se soumettre à la femme qu’il découvre malgré leurs 20 ans de mariage. Se mettre nu devant sa femme en temps normal ne lui pose aucun problème, présentement, la démarche est différente, il est très gêné mais s’exécute. Si en d’autre temps, mettre sa cage de chasteté générait en lui une sourde excitation, cette fois, il n’y a pas d’urgence, sa verge restera basse et mole.

 

- Bien, donne-moi la clé et met-toi en couche puis une de tes tenues devant moi que je vois à quel point tu es ridicule en bébé.

 

Mort de honte avec les yeux embués de larmes, Jean abdique encore une fois. Ses gestes pourtant réalisés mainte et mainte fois sont gauches, pour mettre sa couche il doit s’y reprendre à deux fois. La mort dans l’âme, il enfile une culotte en plastique puis le body rose pour lequel il a en d’autres temps tant fantasmé puis éprouvé du plaisir à le mettre quand elle partait le week-end pour des matchs de basket. Inébranlable Marize ne bouge pas d’un cil en prenant plaisir à voir Jean qu’elle tyrannise totalement déconcerté.

 

- Maintenant donne-moi les codes d’accès à ta banque et va faire à manger !

 

- Nous pourrions peut-être parler un peu, boire un verre, ….

 

- Non ! Dit Marize en le coupant net. Arrête tes mièvreries donne-moi les codes des sites et de la banque immédiatement et va faire à bouffer.

 

Marize n'est pas prête à disconvenir sur quoi que ce soit. Sa rage intérieure ne le lui permet pas alors que dans ses habitudes et sa façon d’être, elle prêche volontiers la discussion et les compromis.

 

Jean lui indique ses codes et tourne les talons et dans un élan de colère bien visible, s’enfuit à la cuisine avec des pensées qui ne sont pas sans quelques oppositions avec le statut qu'il vient d’accepter. De son côté, Marize est aussi étonnée de voir son mari céder que de ses propres actes. Elle n’aurait jamais pensé avoir le courage d’aller jusqu’au bout. En le voyant s’enfuit à la cuisine, un étrange sentiment de puissance la submerge. Elle en bondit presque du canapé pour foncer à l’ordinateur de son mari. En informaticienne douée, virer les fonds sur leur compte commun ne prend que quelques minutes tout comme imprimer le document à envoyer en recommandé pour fermer le compte bancaire. Dans sa lancé, prise par le sentiment de puissance gagnant en intensité, elle met un code à son ordinateur pour l’empêcher d’y accéder sans son accord. Elle se rend ensuite en jubilant à la cuisine pour martyriser son mari quelle aime toujours malgré ses découvertes ahurissantes et révoltantes.

 

- Tu es beau comme ça en gros bébé ! Lui dit-elle en se lovant contre lui pour masser l’entrejambe protégé par la couche. Pourquoi as-tu pris ce body de couleur rose ? Les garçons, c’est en bleu.

 

- Il n’y avait pas de bleu. Répond Jean totalement dépassé par les évènements et en totale perdition psychologique au contact des mains de sa femme sur sa couche.

 

Le repas du soir de chez Vivagel, est consommé sans trop d’échanges, l’heure n’est pas propice aux dialogues. Pendant l’émission de variété, Jean tente un rapprochement physique de son épouse en venant se coucher contre elle dans le canapé. Hormis le contact physique qui en d’autres temps si ce n’était la tenue de Jean, ferait penser à un couple d’amoureux, il ne se passe rien. Ils sont aussi gênés l’un que l’autre. Au moment d’aller se coucher, alors qu’il s’apprête à entrer aux toilettes, elle le coupe dans son élan en lui indiquant qu’il n’a pas l’âge d’aller à cet endroit. Si la boutade était humoristique, elle ne le laisse pas pour autant faire son pipi du soir et l’oblige à se coucher immédiatement. A peine ont-ils éteint la lumière, que Marize l’enlace et passe sa jambe par-dessus les siennes. Si l’idée de Jean était de se relever pour aller faire ses besoins lorsqu’elle dormirait, présentement, si elle ne bouge pas d’elle-même il sait qu’il ne pourra pas s’esquiver.

 

Marize est tombée follement amoureuse de Jean très rapidement lorsqu’ils se sont rencontrés. Sa douceur, sa gentillesse, son humour l’ont comblée. Si son plus gros regret est de ne pas pouvoir avoir d’enfant, Jean ne le lui a jamais reproché même les fois où ils se sont disputés. Hormis cette histoire de sexualité dépravée et le fait que pour la vivre il ait détourné un peu d’argent du ménage en arrêtant discrètement le sport en salle, il a toujours été adorable et attentif. Marize se remet secrètement en cause, peut-être a-t-elle une part de tord elle aussi, car elle n’a pas vraiment répondu aux désirs de son mari contrairement à lui, qui la gâte plus que de raison. Le sommeil ne venant pas pour l’un et l’autre, ils se mettent à parler. Maryse veut savoir, comprendre ce que recherche Jean dans ses jeux, les raisons et plaisirs de a couche en lui demandant si c’est parce qu’il n’a jamais eu le fils qu’il rêvait d’avoir.

 

Devant la douleur et les regrets éprouvés par Marize à cause de sa stérilité, Jean décide de parler sans pudeur de ses fantasmes et délires pour qu’elle ne culpabilise pas à tord. Les discussions durent jusque tard dans la nuit, et pour lui faire plaisir, elle joue avec la couche et le caresse à travers les épaisseurs ouatées. Dans la cage de chasteté, le Popaul de Jean en pleine crise d’affection est compressé, il la caresse et l’embrasse tendrement en lui demandant pardon. Le sommeil finit par cueillir les tourtereaux enlacés.

 

Vers deux heures du matin, Jean ne tient plus, son envie d’uriner est trop pressante, Marize tirée du sommeil et donc de mauvaise humeur, le bloque aussitôt et lui interdit de se rendre aux toilettes. Ce sera pour Jean très gêné un premier pipi au lit d’adulte à côté de sa femme et pour elle un grand moment de jouissance psychologique que de se venger en utilisant les fantasmes de son mari. Si l’adage dit que la nuit porte conseil, ce sont de drôles de conseils pour Marize qui se remémore certains passages des textes rédigés par son mari où il l’a décrit comme une Maîtresse sévère abusant de son soumis amoureux. Les changements vont être notables !

 

Depuis le mardi  18 mai Jean va travailler sans couche mais en gardant sa cage de chasteté dont elle garde la clé comme ils l’ont fait par le passé quand ils jouaient un peu. Le soir, pendant qu’elle surfe sur l’ordinateur familial, il doit faire le repas ce qui est nouveau pour lui. Tous les soirs, elle l’oblige à mettre une couche et son body avant de se coucher. L’effet cage de chasteté se fait sentir, cela fait maintenant quatre jours qu’il la porte en permanence. Son sexe, devient chaque jour, chaque nuit davantage, le siège de désirs impérieux.

 

CHANGEMENT PSYCHOLOGIQUES

 

Les dispositifs de chasteté rendent les hommes amoureux, tendres et câlins. Ces changements ne sont pas volontaires ni des tentatives de manipulation affective pour essayer d’obtenir une libération mais par effet ricochet sur le plan psychologique. L’absence d’éjaculation n’est pas la seule clé de voute de ces changements, le fait d’avoir en permanence le sexe prisonnier et de laisser l’autre gérer son sexe affecte lourdement les sentiments en les décuplant tout autant que les envies de contacts.

 

De fait, Jean devient follement amoureux de sa femme qu’il câline, papouille sans même qu’elle ne lui demande. Ses étreintes câlines sont aussi fortes que celles du début de leur vie de couple.

 

Marize n’attribue pas ses élans affectifs de plus en plus généreux à la cage de chasteté mais aux couches et tenues ABDL qu’elle lui impose chaque soir. Elle est intimement convaincue que sa stérilité est une des causes de ses déviances sexuelles et qu’il a besoin à la fois d’une femme mais aussi d’une mère puisqu’il se complait à porter des couches et autres tenues comme les bébés.   

 

En même temps, ne pas avoir d’enfant la travaille, elle n’a jamais fait son deuil de ne pouvoir procréer. Le fait de sentir son gros bébé ultra câlin contre-elle la nuit la profondément perturbée en réactivant les regrets. Quelques symptômes de dépression l’affectent, elle porte en elle un sentiment de culpabilité, vis-à-vis de son mari.

 

Si lui accorder la possibilité de vivre ses fantasmes d’infantilisation peut le rendre heureux, je me dois de l’aider à les vivre, plutôt que de lui faire des scènes de ménage, pense Marize.

 

Entre deux emails professionnels, un massage attire l’attention de Jean.

 

 


De : Maryse@free.fr [mailto:Maryse@free.fr]
Envoyé : vendredi 21 mai 2010 12:48
À : jean.marcy@free.fr'
Objet : l’amour

 

Mon amour,

 

Depuis ma découverte, je suis passée de la déception à la rage en passant par la haine mais j’avais bien tord et je te prie de m’en excuser. Ces derniers jours j’ai pris conscience de certaines choses, de tes envies, de tes fantasmes et des troubles qui te minent. Je sais que tu m’aimes et je ne pense pas que tu m’ais trompée au sens propre du terme même si tu as quand même mis un coup de canif dans le contrat. Je sais maintenant pourquoi tu as fait ça et je te promets de tout faire pour te rendre heureux.

 

J’arriverai un peu plus tard ce soir à la maison, ne te fais pas de souci et prépares-nous un bon dîné, j’ai une surprise pour toi

 

Je t’aime

 

………………………..

 

Cet email perturbe les neurones embrumés de Jean profitant d’être seul au bureau pour surfer sur http://www.abkingdom.com/. Son sexe encagé compressé suite à la vision d’images érotiques ne lui permet pas de s’interroger sur ce changement soudain d’attitude. A fond dans ses fantasmes, il lui répond aussitôt qu’il l’aime comme il ne l’a jamais aimé et signe « ton bébé d’amour » ce qui conforte aussitôt Marize dans ses pensées déprimantes.

 

A la sortie de son travail, Marize se rend dans un magasin de puériculture pour faire quelques achats puis passe à la pharmacie pour acheter de grosses couches pour personne incontinente. En arrivant à la maison, elle dépose discrètement ses surprises dans le garage avant de rejoindre son mari aux fourneaux. De tendres baisers d’amour sont échangés, les étreintes ressemblent à celles d’adolescents follement amoureux qui se retrouvent. A la fin du repas, Marize aide Jean à débarrasser avant de le conduire à la salle de bain. Elle fait couler un bain et lui retire ses vêtements avec douceur. Jean en manque affiche aussitôt une érection digne de ce nom mais son sexe encagé ne peut déployer toute sa vigueur et tire douloureusement sur ses testicules. Lorsqu’il la voit prendre à son cou la clé de sa cage de chasteté, le gros bébé est submergé par des envies d’adultes……

 

Troublée par l’effet qu’elle génère, Marize s’imagine que son mari son mari est excité parce qu’il est lavé comme un bébé ce qui la conforte dans sa culpabilité. Bien décidée à se faire pardonner en compensant sa stérilité elle va lui offrir un week-end de rêve. Jean enveloppé d’un drap de bain est conduit à la chambre où il doit s’étendre sur le lit et attendre sans bouger. Deux minutes plus tard, Marize vêtue d’une blouse blanche entre avec ses paquets à la main troublant son bébé particulièrement surpris. La nurse lui fait voir qu’elle a pensé à lui et passe du lait de bébé autour du sexe bandé à rompre pour finir la toilette. Elle déchire plus qu’elle ne l’ouvre le paquet de grosses couches pour en extraire une qu’elle pose sous les fesses de Jean troublé et rouge comme une écrevisse. Après l’avoir talqué, elle essaye de remettre la cage de chasteté mais loger la verge gorgée de désir ne le permet pas. Une lutte acharnée viendra à bout du Priape frustré au bout de quelques minutes.

 

Lorsque la couche est fermée et une culotte en plastique enfilée Marize plonge sa main dans un gros sac pour en extraire un paquet cadeau qu’elle tend à Jean surpris de tant de changements. Il s’empare du paquet qu’il déchire aussitôt pour découvrir une grenouillère. Ses yeux mouillent de joie plus pour le geste que le cadeau, il l’attrape sa femme prestement pour l’étreindre et l’embrasser comme un fou. Les moments de tendres émotions passés, il enfile la grenouillère, Marize remonte la fermeture éclair dans le dos du vêtement puis se jette sur son bébé pour le manger de bisous.

 

La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes, font perdre de vue à Jean la réalité de la possession dont il devient la victime. Il est monstrueusement amoureux et heureux que son épouse partage ses délires ABDL. Ils ne regardent pas la télévision et passent la soirée à se papouiller, à se câliner. Marize cède aux envies de sexe de son mari et se laisse à son tour manger de bisous d’amour jusque dans son intimité. La fougue de Jean ne laisse pas son épouse de marbre, elle feule, se cambre, s’offre à la langue de virtuose titillant sa perle sanguine exposant sa volonté d’être lutinée. Marize feule de plus en plus fort en tortillant son corps puis exhale un incroyable soupir cisaillant presque le cou de son mari lorsque sa jouissance arrive.

 

Cette titanesque série de contractions la surprend, la pousse presque à hurler son plaisir. Rompue et repue, elle s'écroule sur le lit. Elle du mal à respirer tant la jouissance avait été longue et forte. Jean lui caresse le dos, les épaules, la nuque, les cheveux en déposant des baisers sur chaque parcelle de son visage. Cette torride soirée, les réactions de son corps et de cette de son mari la confortent dans ses décisions : elle se doit de dominer son bébé pour qu’ils soient heureux.

 

Tendrement enlacés, ils échangent quelques mots après avoir éteint la lumière. Lorsqu’il lui explique que sa frustration physique lui fait vivre des sensations méconnues d’une puissance rare, Marize déjà perturbée par l’analyse des évènements et de sa si forte jouissance interprète ses propos comme une volonté d’être son bébé chaste pour la vie et qu’elle est dans la bonne voie pour rendre son mari heureux.

 

Au petit matin, bien décidé à poursuivre l’action entreprise pour combler son mari, Maryse se lève avant Jean pour lui préparer un biberon de café. Tiré du sommeil par des caresses et mots doux, il se blottit contre son épouse qui l’attire sur elle. Lorsqu’il sent quelque chose sur ses lèvres, il ouvre les yeux et découvre le biberon. Mi-amusé, mi-gêné, il joue le jeu et le prend en bouche pour téter. Si les jeux avec les couches et la cage de chasteté comptent de ses fantasmes, être totalement infantilisé ne l’amuse pas vraiment mais il ne dit rien.

 

Marize ne lui accorde pas le droit de se lever et lui impose de rester couché. Jean essaye bien de se rebeller un peu puis explique à son épouse qu’il a envie d’aller aux toilettes. Elle refuse catégoriquement et lui rappelle qu’il a une couche pour ça. Un rapport de force s’installe, elle ne cédera pas et veut lui offrir un week-end ABDL. Si pour Jean, boire un biberon était acceptable, déféquer dans une couche ne l’est pas. En nurse autoritaire, Marize le menace en lui promettant une fessée s’il continue ses caprices et de l’attacher si besoin est pour l’obliger à vivre ses délires de bébé jusqu’au bout. Pour asseoir ses propos, la basketteuse semi-professionnelle couvre aussitôt son mari d’un mètre quatre-vingt-douze de femme décidée et en pleine forme physique. La lutte est inégale, Jean avec son corps mince et son mètre soixante-cinq ne fait pas le poids quand en prime elle entreprend de lui faire des chatouilles.

 

Comme deux enfants jouant dans un lit ils s’affrontent entre deux bisous et crises de rire. Bien décidée à le faire plier, Maryse entreprend d’entraver les mains de son bébé avec la ceinture de son peignoir. Couché sur le ventre et écrasé par le poids de sa femme, Jean poignets liés dans le dos ne peut que râler pour la forme parce qu’en même temps, cette domination l’excite monstrueusement.

 

Marize perçoit clairement au son de la voix de son mari qu’il n’est pas vraiment fâché. Le corps à corps et les évènements l’excitent bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Décidant plus pour « voir » que pour pousser sa domination elle ordonne à son mari de lui faire une « gâterie ». Pris dans le jeu des rapports de domination soumission et avec la verge si bandée qu’elle malmène la cage de chasteté et ses précieuses, Jean abdique aussitôt et passe tan bien que mal sous la couette. Cette soumission passionnelle est grisante pour Marize tout émue de voir son époux heureux.  Lorsqu’il pose ses lèvres sur son intimité, Marize frisonne de plaisir, le premier coup de langue lui fait l’effet d’un électrochoc. Pourquoi avoir attendu si longtemps pour le dominer et être passé à côté à côté de tant de plaisir est la question qu’elle se pose.   

 

Pleinement investi dans sa mission, Jean fond, craque, la cage de chasteté masculine lui apporte, à travers l’épreuve du temps et l’attitude de sa maîtresse d’amour un « voyage » mental extrême et des réactions physiques proches de l’orgasme sexuel. Il se frotte sur le lit en même temps qu’il lui titille le clitoris comme pour apaiser le feu de son excitation. Le voir agir comme une chatte en chaleur trouble Marize de plus ne plus, sa tête est en ébullition, son ventre est traversé de spasmes de plus en plus intenses. Ses muqueuses semblent incandescentes. Prise dans le tourbillon d’un plaisir nouveau, elle attrape Jean par les cheveux et force sa tête entre ses cuisses comme si elle voulait l’y faire entrer dans un sentiment de fusion extrême jusqu’à une jouissance paroxystique qui la dépasse. Jamais au grand jamais avec cette épreuve, elle n’avait atteint de pareil sommet.

 

Repue de luxure, épuisée, elle serre les jambes pour qu’il ne bouge plus et se laisse aller à une douce somnolence. Jean étouffe un peu sous la couette, mais il n’ose bouger. Faire pipi et déféquer dans ma couche quelle honte se dit-il mais cette honte est trop délicieuse pour  résister. Il se laisse aller à uriner et à laisser s’échapper un peu de matière fécale avant de se reprendre et de serrer les fesses comme un fou. Tout honteux, il essaye de se soustraire des jambes de Maryse qui l’y bloque aussitôt.

 

- J’étouffe ! Crie Jean

 

Marize le libère aussitôt mais l’attire à lui pour l’embrasser à pleine bouche et lui dire combien elle l’aime. Entre deux baisers fougueux Jean demande à se rendre aux toilettes mais la tortionnaire de son cœur le lui refuse à nouveau. En colère, il menace de tout faire dans sa couche si elle ne le libère pas aussitôt.

 

- Et alors, c’est fait pour ça non ? Lui répond Marize insensible à sa gêne.

 

- C’est dégueulasse !

 

- On s’en fiche mon bébé, maman s’occupera de toi après, fait dodo.

 

Ce n’est que vers 11 heures que Maryse émerge pour constater que Jean n’est plus avec elle. Furieuse, elle se lève aussitôt pour le trouver dans la cuisine en train d’essayer de couper la ceinture de son peignoir avec un couteau.

 

- Tu es fou, tu risques de te blesser. Vient, je vais te libérer.

 

Jean se tourne aussitôt pour lui donner le couteau. Elle se bagarre avec la ceinture un moment parce qu’en forçant sur le nœud il s’est serrée. Lorsqu’elle parvient à le libérer, elle se rend aux toilettes dans lesquels elle s’enferme à clé. Jean trépigne d’impatience devant la porte en la suppliant de se presser mais Marize n’en a que faire, elle ne sortira que lorsqu’elle aura terminé son mot croisé.

 

Il peste, rage, supplie mais en vain, cuisses et fesses serrées, il attend devant les toilettes quand soudain elle lui crie à travers la porte qu’il n’y a plus de papier WC. Et là, trop heureux de pouvoir se venger un peu, Jean se moque en lui disant que maintenant, c’est elle qui est dans la merde et qu’elle va devoir le supplier pour qu’il aille en chercher. La porte s’ouvre soudain, le mètre quatre-vingt-douze et la musculature de la basketteuse au visage amusé bloque le passage.

 

Alors comme ça, tu te moquais, ah nous deux ! Lui dit Marize en lui jetant un rouleau de papier toilette neuf qu’il attrape à la volé. Elle se jette sur lui avant même qu’il ait le temps de réagir pour l’attraper à bras le corps et le soulever. Les jambes de Jean dans le vide battent l’air, il crie « non s’il te plait » mais en vain, elle le porte jusqu’à leur chambre pour le jeter sur le lit. Elle réalise un plaquage digne d’un rugbyman puis lui fait des chatouilles. La lutte fait rage, mais lorsque l’on rigole et se bagarre, on force …… Le gros bébé se lâche puis se répand dans sa couche en criant « stop ». Prise par le jeu, Marize continue un moment malgré mes cris de plus en plus colériques. Quand ces derniers commencent à devenir méchants, elle lui clos la bouche d’un gros baiser fougueux.

 

- Je t’aime !

 

- Je te déteste ! Lui répond Jean essoufflé, gêné mais calmé.

 

- J’ai envie de toi, va vite te changer puis te laver et vient me faire l’amour.

Trop heureux Jean fonce aux toilettes, il en a de partout et râle. La douche lui fait un bien fou mais il ne s’éternise pas trop heureux de pouvoir enfin jouir.

 

Libéré de sa cage, il est happé par sa femme à peine est-il sur le lit pour être dévoré. Marize lui interdit de jouir lorsqu’elle le sent « monter » mais ne se prive pas de plaisir en le chevauchant comme une folle. Assise sur lui, elle savoure sans bouger les dernières contractions puis s’allonge pour l’embrasser goulument, comblée et heureuse. Le Popaul au garde-à-vous prêt à partir en manœuvre, Jean attend la suite avec impatience.

 

- Hum, tu étais gros, dur, c’était bon…… Maintenant, tu vas remettre ta cage et une couche, on va au resto.

 

- Et moi ?

 

- Toi, tu vas rester mon bébé chaste, puisque tels étaient tes envies, qui finalement m’amusent beaucoup.

 

Ce n’était pas tout à fait ce qu’attendait Jean mais malgré tout, il est heureux. Ses rêves et fantasmes se réalisent, sa femme devenue sa Maîtresse et nounou l’aime, que demander de mieux ? 

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 10:14

 

ESTELLE vendetta ABDL

Chapitre 1

 

 

Las des échecs, de l’ignorance de filles sur les sites ABDL,  Jean décide de changer de pseudo puis de modifier son profil. Il n’affiche plus ses fantasmes de bédéphile et sa recherche de nounou, pour afficher celle d’un parfait gentlemen désirant faire des photos de jolies filles et femmes plus âgées portant des couches ou des tenues ABDL.

 

Pour gommer les craintes de sa future victime, il indique même qu’il est résolument gay mais passionné par l’image du corps des femmes aux courbes délicieusement galbées qui font d’elles des chefs d’œuvres de la mère nature. Le modèle qu’il choisira ne fera pas de nu intégral, ce ne sont pas des photos pornos mais des photos d’Art qu’il fera pour deux magasines internationaux désirant faire des articles sur l’ABDL. 

 

Au fil du temps et des messages, il parvient à accrocher quelques filles, l’une d’elle a mordu à l’hameçon et lui a adressé une photo sur son portable. Prénommée Estelle, son visage d’ange affiche la beauté d’une fille de vingt ans insouciante et coquine. Ses longs cheveux blonds le font fondre tout comme son charmant minois souriant. Un rendez-vous est rapidement pris, Estelle devra lui remettre les justificatifs de ses frais pour qu’il puisse les lui rembourser. Il a même insisté sur ce point, ne désirant pas qu’il y ait de malentendu.

 

Son instance sur les frais et modalités de remboursement puis le fait qu’il soit gay rassure Estelle, pour elle il est évident qu’elle va rencontrer un professionnel. Comme avouer ses attirances ABDL n’est pas chose aisée, Estelle ne prévient personne lorsqu’elle prend le train à Lyon en direction de Paris. Elle a juste noté le numéro de téléphone portable et le nom qu’il lui a donné sur un papier posé en évidence sur son ordinateur avec l’heure du rendez-vous devant la gare. Ce que l’insouciante ne sait pas, lorsqu’elle aperçoit la BMW rouge devant la gare c’est qu’il s’agit d’un téléphone à carte payé en liquide et enregistré sous un faux nom.

 

…………….

 

Les paupières d’Estelle peinent à s’ouvrir, les crépitements et éclairs d’un flash chagrinent ses yeux lorsqu’elle y parvient. Elle se sent nauséeuse mais décide malgré tout de se lever. En une fraction de seconde Estelle découvre sa dramatique condition, une vague d’horreur la submerge aussitôt, elle est quasiment nue et entravée sur un lit. Tel un kaléidoscope, quelques images passent devant ses yeux, elle se revoit trinquer avec lui dans son bureau puis qu’il l’aide à s’asseoir quand elle a eu un malaise. Droguée, elle a été droguée puis enlevée par un fou.

 

Elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive et ne peut pas admettre ce qui va spurement se passer. Déglutissant avec peine elle se met à hurler à son approche. Une gifle magistrale lui balance la tête sur le coté, puis par jeu, il gifle à plusieurs reprises les seins nus rebondissant sous les coups. Elle hurle de terreur autant que de douleur, ses suppliques restent vaines. Les coups s’arrêtent enfin, elle ne bouge plus, seul le bruit de la respiration d’une fille essoufflée et en larmes sonne en cette chambre particulière.

 

- Quand tu crieras et parleras je te battrai et ce sera à chaque fois un peu plus fort. Tu vas payer pour toutes les humiliations que j’ai vécues et tous les « lapins » que vous m’avez posés salope.

 

- Je ne vous ai jamais posé de lapin, je ne vous connais pas, vous vous trompez, ce n’est pas moi, libérez-moi je vous en supplie ! Crie Estelle désespérée.

 

- Tu  me fais chier ! Je n’aime pas les filles têtues et capricieuses. Je vais te faire passer l’envie de m’emmerder connasse. Hurle Jean fou de rage. Tait-toi ou je te massacre ! Dit-il en la menaçant de son poing fermé.

 

Estelle serre les dents pour taire sa rage et son désespoir puis ferme les yeux en s’attendant à des coups qui par chance ne viennent pas. D’un geste rapide, soulève la jupe puis fouille l’entrejambes de la jeune femme se mordant les lèvres sous l’intrusion des doigts qui s’insinuent dans sa culotte. En s’attardant dans les replis de sa douce féminité ils lui font craindre le pire. Il arrache la culotte plutôt que de la baisser, la fine protection, le fin rempart de tissu n’est plus, hébétée, et choquée, elle ne bouge plus. Soudain, il se lève puis, avec un grand sourire de malade mental, retire son pantalon. A travers le slip, son sexe en érection est bien visible. Estelle, n’a plus aucun doute sur son avenir immédiat et pleure à chaude larmes.

 

- Pleure pas bébé, je ne vais pas de faire de mal, c’est promis. On va être heureux tous les deux, je vais bien m’occuper de toi, regarde !

 

D’une main leste, il sort de dessous le lit un grand sac de voyage dont il extrait des couches, du talc et deux culottes en plastiques, l’une est rose, l’autre est bleue. Jean retire son slip, puis déploie une couche sur le lit et s’assoie dessus pour entreprendre de la fermer avant d’enfiler la culotte en plastique bleue.

 

- Tu vois, on va jouer les bébés et on va s’aimer. Je sais que tu aimes ça que l’on s’occupe de toi, tu as même mis des photos pour bien faire voir ce que tu veux. Moi aussi j’ai envie de ça, mais personne n’a voulu de moi.

 

Rassurée sur son avenir immédiat, Estelle coopère lorsqu’il lui retire sa jupe puis passe sous ses fesses une couche qu’il referme après avoir talqué son entrejambe ainsi protégé pour l’instant de l’agression sexuelle. Elle n’aurait jamais cru auparavant qu’elle serait aussi heureuse qu’on lui passe une culotte en plastique. Les préparatifs des bébés terminés, Jean éteint la lumière avant de venir s’étendre contre-elle et de remonter la couverture sur eux. A sa façon de l’enlacer, ainsi blottis l’un contre l’autre, on dirait presque des amoureux. Les mains entravées à la tête du lit, elle ne peut rien faire pour se protéger des caresses des mains libertines sur sa poitrine sans défense.

 

- Tes seins sont merveilleux, j’aurai tant aimé avoir une nounou comme toi. Dit soudain Jean en se penchant sur elle pour se mettre à téter.

 

La main libre recommence à la toucher, à courir sur ses épaules, son ventre, ses hanches puis s’insinue soudain dans la couche avant d’en ressortir aussi prestement.

 

- Si tu as envie de faire pipi, tu peux, papa Jean t’a mis une grosse couche, tu ne mouilleras pas le lit, soit tranquille mon bébé.

 

- Mais je fais plus pipi au lit moi ! Répond Estelle par réflexe.

- Mais si, puisque tu es mon bébé maintenant. Tu as de la chance d’avoir qu’un qui te change et qui va s’occuper de toi. Cela a toujours été mon rêve mais personne n’a voulu de moi. Répond Jean d’une voix réellement triste.

 

Préférant ne pas répondre pour ne pas dévoiler ses pensées et prendre le risque d’être à nouveau battue pour l’avoir traité de débile mental, Estelle s’interroge un instant sur ses chances de retourner la situation pour que son nom n’apparaisse pas dans la rubrique nécrologique un jour ou l’autre. Si son ravisseur parvint à trouver le sommeil, il n’en est rien pour elle et pour cause, la peur, la rage et l’inconfort des entraves font cause commune pour l’en empêcher. Au fil de ses réflexions, allant du morbide à la vengeance, en fine psychologue elle se construit une stratégie avec d’hypothétiques possibilités de lui échapper. La première étape pourrait consister à l’amadouer pour déjouer sa méfiance. Au petit matin, elle est arrachée brutalement de son sommeil par une voix chantante qui, pour des adeptes consentants pourrait être amusante mais qui lui glace le sang. 

 

- Et coucou mon bébé, c’est l’heure de se réveiller et de boire son biberon.

 

Son ravisseur, assis sur le bord du lit avec un biberon à la main, lui caresse la joue en affichant un sourire radieux. Préférant abdiquer plutôt que de prendre des coups, Estelle se relève tant bien que mal pour se mettre sur le côté malgré le peu de marge de manœuvre que lui laissent les menottes. 

 

- Attend mon bébé, cela ne va pas être pratique comme ça, je vais libérer tes mains.

 

L’espace d’un instant, Estelle se réjouit mais lorsqu’elle le voit sortir une chaîne et des cadenas de son sac de voyage pour lui en faire un collier qu’il attache à la tête du lit, dans sa tête l'horreur s'installe quand elle comprend quel serait son nouveau mode de vie s’il ne la tue pas. Murée dans son silence, elle se frotte les poignets douloureux et marqués par la nuit sous menottes. Jean encore vêtu de sa couche s’installe près d’elle dans le lit puis l’attire sur lui pour lui donner son biberon. Malgré la soif et la faim qui commençaient à se faire sentir, Estelle n’apprécie guère le biberon de lait presque froid et non sucré. Elle y met toutefois tout son cœur pour le terminer au plus vite quand la main de son ravisseur commence à apprécier la douceur et les formes généreuses de sa poitrine. Le petit déjeuner particulier terminé, il lui annonce toujours avec son sourire radieux, qu’il va la changer. L’idée d’être nue et à sa merci lui glace le sang. Morte de peur et de honte, elle se laisse étendre sur le lit, et retirer sa couche toujours propre quand soudain lui vient une idée.

 

- Quand tu m’auras changée, je pourrais à mon tour te changer ?

 

- Oh mon bébé, que c’est gentil ça. Dit-il avec une voix si ému qu’elle en est troublante. Oui, mais il faudra être gentille avec moi, parce que papa donne aussi des fessées si tu le mérites.

 

Le sens du mot « gentille » prend plusieurs connotations dans l’esprit d’Estelle. L’une d’elle génère un frisson lui parcourant aussitôt la colonne vertébrale. Son idée pour l’amadouer un peu pourrait très bien la conduire à l’infamie quand elle s’imagine réduite au supplice de servir de sa bouche et de ses fesses son papa ravisseur. Le retrait de la culotte en plastique puis de la couche se fait sans qu’elle affiche une quelconque résistance mais l’expose grandement à la gourmandise masculine. En guise d’attouchements sexuels, son ravisseur totalement noyé dans son délire, la lave avec lait de bébé parfumé jusque dans les moindres recoins de son anatomie qui n’a plus rien d’intime. Estelle comprend que rien ne lui sera épargné quand il entreprend  de laver en profondeur la raie de ses fesses. Impuissante et vaincue, elle se laisse faire en priant le seigneur pour que cela ne dégénère pas. L’apparition du talc la rassure un peu, l’issue ne sera peut-être pas le viol du moins cette fois. L’image terriblement humiliante qu’elle offre au regard de son ravisseur avec ses jambes grandement écartées pendant qu’il lui blanchit le sexe provoque en elle un mélange explosif fait de honte, de lassitude, de peur et d’agressivité extrême qu’elle parvient difficilement à contenir. Lorsque Jean saisit dans son sac une couche propre, Estelle apprécie grandement et soulève d’elle-même ses fesses pour qu’il la glisse sous elle et la lui referme au plus vite. Elle préfère grandement être en couche que nue jambes écartées devant son ravisseur. Les attaches fermées et la culotte en plastique enfilée, Estelle se sent toute de suite mieux et se détend un peu.

 

- A mon tour ? Demande jean.

 

- A ton tour vilain bébé, fais-moi voir si tu as mouillé ta couche. Répond Estelle après un instant de réflexion.

 

Son ravisseur s’est effectivement laissé aller comme le constate la nounou forcée, mais elle constate également au sexe bandé qu’elle nettoie du bout des doigts que d’être changé l’excite follement. Tout cela ne la rassure pas, mais elle préfère s’occuper de lui que l’inverse comme l’on peu s’en douter. L’étonnante maîtrise d’Estelle provient d’une grande intelligence et de sa formation de psychologue d’entreprise. Elle sait que la date de péremption des neurones de son ravisseur est passée depuis longtemps mais ne pouvant connaître l’impact de leur dégénérescence, elle progresse à tâtons ne voulant dévoiler ses projets et risquer de prendre des coups ou pire encore de se faire violer et tuer.

 

Lorsqu’elle retire la couche, Estelle hésite un instant à faire la toilette, car cela correspond à le toucher et prendre le risque de l’exciter mais comment faire, que faire ? Le sexe de Jean se gorge, prend un volume significatif exposant les effets que lui génère sa nounou. Le lait de toilette froid qu’elle fait couler sans aucune précaution calme un peu les ardeurs masculines. Avec des gestes rapides et sûrs, elle fait une toilette éclair puis le talque généreusement à cause de ses tremblements. Lui mettre enfin une couche propre est un moment de soulagement. La culotte rose en plastique posée, Estelle s’aventure à claquer les fesses en ajoutant « voilà, le beau bébé est changé ».

 

Cette avalanche d’émotions en si peu de temps et l’attitude compréhensive d’Estelle perturbent Jean. Tout en restant sur ces gardes et cherchant le piège, il entame une discussion autour des pratiques ABDL. Chacun racontant ses fantasmes, elle s’invente un petit copain avec qui elle jouait fut un temps à la nounou, quand ce n’était pas lui qui jouait au papa sévère mais très coquin. Elle lui raconte qu’une fois il lui a donné une fessée mais qu’elle n’a pas aimé du tout et qu’elle préfère les donner plutôt que de les recevoir puis qu’ils se sont perdus de vue quand il a réussi son brevet de pilote. Jean bois ses paroles et au fils des discussions se détend un peu. Il lui raconte à son tour ses mésaventures avec les femmes qu’il a aimé mais qui étaient trop coincées. Estelle enfonce un peu le clou en ajoutant qu’il est bien dommage que les gens n’osent se parler de leurs petits fantasmes et se privent de grands plaisirs. Jean ne pouvant qu’adhérer à ces propos, trouve sa captive de plus en plus sympathique et lui propose un café.

 

- J’ai droit à un vrai, dans une tasse ? Demande Estelle en ajoutant : promis, je serai sage et je ferai attention d’une petite voix enfantine.

 

- Allez, tu as été sage, alors papa va être gentil avec toi, mais attention, si tu en fais tomber c’est la fessée.

 

- Ah non, pas la fessée. Répond Estelle en se demandant si finalement, le biberon n’aurait pas été mieux.

 

Pendant qu’il prépare le café, les neurones d’Estelle s’enflamment. Que dire, que faire maintenant pour garder le contrôle de la situation et surtout éviter qu’il sombre dans des délires à hauts risques ? Meubler le temps, parler, discuter, faire ami-ami pour affecter sa vigilance et espérer pouvoir s’échapper lui semble la solution même si présentement, elle prendrait grand plaisir à le gifler copieusement avant de le faire enfermer. 

 

La mâtiné se déroule tel que l’a prévu Estelle qui s’efforce même de rigoler puis de le toucher en mettant par exemple sa main sur l’épaule ou sur le bras pour créer et développer le contact amical. Même en perdition dans ses émotions, Jean garde à l’esprit qu’elle est captive au moment du déjeuner. Il attrape les menottes en lui expliquant qu’il est l’heure d’aller manger. Sans aucune résistance mais en faisant un effort surhumain, elle lui tend ses poignets, le contact froid du métal lui glace le sang plus que l’épiderme mais si elle veut garder un minimum de maîtrise, elle ne doit en aucun cas le contrarier. Après lui avoir retiré la chaîne qui l’obligeait à rester au lit, il la conduit à la cuisine puis la fait asseoir à la table en se demandant à haute voix ce qu’ils vont manger. Par chance, il lui reste une pizza au congélateur. Pendant quelle tourne au micro-onde il met la table et ouvre une bouteille de vin. Pour garder le contrôle, Estelle joue le jeu de son ravisseur en lui indiquant qu’elle ne sait pas manger seule et qu’il faudra lui couper la pizza en petits morceaux. Jean n’avait pas imaginé tout ça, dans sa tête, il n’y avait que les délires des couches, de laver bébé, le biberon et les dodos. Pour la première fois de sa vie, il coupe la nourriture de quelqu’un et le lui dit. Comprenant qu’il n’a pas d’enfant et que poursuivre la discussion autour d’une vie de famille, elle reprend aussitôt la main en lui parlant de ses nièces et neveux. Des brrrrrr qu’ils font avec la bouche parfois, des aléas de l’apprentissage de la vie quotidienne des enfants.

 

La pizza et le vieux morceau de fromage trouvé dans le frigo désert consommée, Estelle propose de faire la vaisselle. Jean n’étant pas un adepte du ménage accepte bien volontiers et la regarde faire en lui faisant des compliments sur son visage d’ange, ses jambes fines. Pour qu’il arrête de la reluquer, elle se presse de terminer puis lui demande si elle peut aller faire « popo » avant d’aller faire la sieste. Jean accepte et lui indique les toilettes. A peine la porte fermée derrière elle, Estelle s’interroge sur ses chances si elle reste enfermée dans les toilettes. Aucune est sa conclusion, car il risque de devenir fou et de défoncer la porte qu’elle peine à ouvrir pour sortir après avoir remonté sa couche et sa culotte en plastique. Accompagnée au dodo et aussitôt bordée, Estelle se tourne et fait semblant de vouloir dormir. Le sommeil ne vient pas mais lui enfin un peu de repos tout en lui accordant un temps de réflexion.

 

En fin d’après-midi il la change à nouveau, les discussions se poursuivent autour des enfants, de l’ABDL. Il lui propose du champagne pour fêter leur rencontre, elle accepte bien qu’il lui indique qu’elle devra le boire au biberon. « Pour ne pas t’énerver du con, je le boirai à la cuillère s’il fallait » pense-t-elle. Jean dans l’euphorie se laisse aller et achève la bouteille à lui tout seul. Pendant le succulent repas du soir composé d’une boite de raviolis, Estelle décèle de la fatigue chez son ravisseur. L’alcool et la tension nerveuse de cette journée l’ont épuisé semble-t-il. Pour parachever cette fatigue, elle se met à lui parler des sites ABDL, des discussions sur les forums, des hommes qui aiment se faire changer ou jouer les bébés. Elle indique souvent par des mots choisis ou expression qu’elle trouve cela trop mignon. Si bien est qu’il lui demande si elle s’occupera de lui ce soir. Elle accepte bien volontiers mais en lui répondant qu’il faudra qu’il soit sage s’il ne veut pas prendre une fessée. Le mot « fessée » déclenche chez Jean une nouvelle envie de confidence, il n’en a jamais reçu, enfin du moins, plus depuis qu’il est grand.

 

- Moi il y a longtemps que je n’en ai pas donnée. Si tu en as envie, je me ferai un plaisir de te la donner. Répond au tac-au-tac Estelle.

 

- C’est vrai ? Répond Jean tout penaud.

 

- J’adore ça et tu le sais, je te l’ai dit ce matin quand je te parlais de mon ex petit ami. Par contre, le temps que je fasse la vaisselle, détache- au moins une des menottes s’il te plait, ce n’est pas pratique. Tu me la remettras après si tu veux, mais là, je me fais mal pour rien. Tu es d’accord ! Dit-elle avec un ton ferme ne laissant entendre aucune réfutation. Jean se lève pour aller chercher la clé et libère le poignet droit qu’elle lui tend mais en lui disant d’un doigt menaçant de ne pas jouer au con parce qu’elle le paierait cher.

 

Pendant qu’elle fait la vaisselle, Estelle entretien la discussion autour de la fessée. Il l’écoute, fantasme, rêve, de nounou sévère. Une fois la table débarrassée, elle lui demande s’il a du whisky et du coca en lui indiquant qu’elle rependrait bien un verre. Sans se méfier, il se lève et va chercher la bouteille demandée puis lui indique qu’il doit y avoir du coca au frigo. A son retour, Estelle saisie le biberon qu’elle ouvre et remplit copieusement de whisky avant de rajouter une larme de coca puis se sert un verre avec une dose d’alcool bien plus modeste.

 

- Allez vient bébé, c’est l’heure de ton biberon. Ordonne Estelle en l’attrapant par la main pour le tirer vers la chambre.

 

Complètement dépassé, Jean la suit sans vraiment comprendre et se laisse guider par la main jusqu’au lit où elle s’installe puis l’attire sur elle pour le « bibi ». En se recroquevillant comme un enfant apeuré, son ravisseur prend place dans le lit et pose sa tête contre le buste d’Estelle. Avant même qu’il n’ait le temps de dire quoi que ce soir, la tétine franchit ses lèvres, libérant le breuvage fortement alcoolisé qui, l’espère Estelle le fera sombrer dans un profond sommeil. Il achève son biberon les yeux fermés, s’il était un chat, il ronronnerait tant il est bien. C’est gagné pense la captive.

 

- Je n’ai pas eu ma fessée. Clame soudain Jean.

 

- Mais tu vas l’avoir coquin. Tes fesses vont chauffer pour avoir osé me provoquer.

 

Tourné et « découché » les grosses fesses masculines tranchent sur les jambes fines d’Estelle, mais dans son projet de manipulation, elle n’en a que faire. Les premières claques qu’elle donne sont douces, elle appuie à peine les suivantes n’ayant en aucun cas envie de trop le tirer de la léthargie dans laquelle il sombre. La fessée terminée, elle le tourne sur le dos, le gronde sans jamais lever la voix puis lui indique qu’elle va le changer pour la nuit. Trop heureux, il se laisse faire en suçant son pouce.

 

Consciente que sa liberté se joue à cet instant précis, Estelle se couche aussitôt en remontant les draps sur eux pour l’attirer ensuite contre elle en lui indiquant qu’il a droit à un gros gâté. Le gros bébé un peu « bourré » se serre contre sa nounou providentielle, la fatigue ne tarde pas à le conduire dans les bras de Morphée. Luttant pour ne pas fuir aussitôt, Estelle attend un peu, pour qu’il sombre dans une phase de sommeil paradoxal facile à reconnaître avec la détente complète et la plupart des muscles qui se relâchent. Elle n’entreprend de le pousser avec une extrême douceur que lorsque les mains fermées de Jean s’ouvrent. Il se met à grogner puis se tourne brusquement. L’ombre d’un instant, elle a si peur que son estomac s’est noué, son cœur semble s’être arrêté, pour un peu, elle se pisserait dessus. Avec des gestes d’une infinie douceur, elle sort du lit puis de la chambre à pas de velours. Les clés ne sont pas sur la porte d’entrée ni au porte-clés. Les dents plantés dans sa lèvre pour ne pas crier sa rage, elle se met à les chercher et les trouve tout simplement dans la poche de son pantalon jeté dans la salle de bain avec un téléphone portable. Après avoir ouvert la porte de la maison, Estelle par pudeur retourne dans la salle de bain pour attraper une serviette puis par en courant dès qu’elle est dans le jardin. Le portail fermé n’est qu’une formalité pour une fille de vingt ans. Courir même pieds nus loin de cet enfer est son premier réflexe, elle ne s’arrêtera qu’au bout de la rue pour se cacher entre deux voitures en stationnement.

 

- Police, j’écoute !

 

- J’ai été enlevée, je vous appelle avec le téléphone de mon ravisseur qui s’est endormi. Venez-vite, je suis à moitié nue et morte de froid.

 

…………………….

 

Quelques dizaines de minutes plus tard, assise à l’arrière d’une voiture de police enroulée dans une couverture de survie elle regarde les policiers escalader le portail de la maison de Jean. Il dormait encore lorsqu’ils l’ont trouvé en couche comme indiqué. En guise de réveil, les vilains « papas » l’ont quelque peu bousculé. Menotté et arraché du lit manu militari il a été conduit au poste pour être enfermé en cellule toujours en couche à côté des ivrognes et délinquants hilares.

 

Enlever une fille n’est pas sans risque mais enlever une fille de famille corse multiplie grandement les risques.

 

Six-mois plus tard……

 

A suivre

 

TSM

 

ESTELLE vendetta ABDL

Chapitre 2

 

Six-mois plus tard Jean fut libéré sur parole. Il ne purgea qu’une partie de son temps et dut suivre la psychothérapie entreprise puis pointer tous les soirs au commissariat. Le vendredi 11 mars, comme il ne s’est pas présenté le lieutenant Grognard ordonna une visite à son domicile mais l’équipe envoyée trouva la maison close. Un manda d’emmené fut lancé.

 

Par mesure de sécurité, la police pensa aussitôt à Estelle qui depuis sa mésaventure avait quitté le continent pour retourner vivre chez elle en corse où toute la famille s’était serré les coude pour lui trouver une petite maison tranquille dans l’arrière pays au-dessus de Barracone ainsi qu’un emploi à Ajaccio. Ils appelèrent mais grâce au transferts d’appel, eurent la famille qui pour une fois, se fit un plaisir de répondre à la police pour leur dure la « petite » allait très bien et qu’ils seraient sur leur garde.

 

La dite « petite » regardait à ce moment là par le hublot du ferry la côte s’approcher en compagnie de son frère relativement tendu. Son fourgon garé dans la calle contenait une grosse caisse de bois solidement arrimée et fermée avec d’énorme cadenas qu’il n’aimerait pas avoir à ouvrir devant la police. Si la lumière pouvait filtrer, un œil curieux aurait pu y voir le visage tuméfié d’un homme très solidement entravé et bâillonné plus que de raison.

 

Pour cette famille corse venger la petite était une question d’honneur, malheur à celui qui aurait osé demander de la clémence, toutefois, l’idée longuement développée par Estelle les avait grandement surpris. Elle ne voulait en aucun cas sa mort, elle voulait pire que sa mort pour son propre bien. En fine psychologue, les propos tenus, développés et longuement argumentés par des expressions psychiatriques compliquées firent abdiquer les plus réticents.

 

La petite devait se venger elle-même d’après Freud et Jacques Lacan parce que s’ils persistaient dans leur processus psychique de refoulement et de censure, à l’empêcher de réaliser elle-même sa propre vengeance qui serait un compromis entre désir et interdit, elle serait marquée à vie alors que s’ils lui laisser gérer elle-même sa vengeance, elle en sortirait lavée de toutes les souffrances vécues et pourrait alors accéder au bonheur. De fait, Jean, son ravisseur avait été épargné mais néanmoins molesté avant d’être enfermé dans la caisse qui le conduisait vers les pires horreurs.

 

Si Estelle avait su gérer à merveille la situation lors de son enlèvement puis la police et la famille, sa « raison » en avait été grandement affectée. Dans son esprit torturé, désir de vengeance, cruauté, sadisme se mêlaient avec ses propres et intimes fantasmes. De fait, la vengeance ouvrait en grand la porte aux perversions sous le couvert de la morale.

 

L’ABDL l’ayant beaucoup faite fantasmer, elle se sentait comme investie d’une mission de nurse pour adulte avec comme particularité que « bébé Jean » en serait bien plus marqué qu’elle dans ses chairs et dans son cerveau déjà bien malade.

 

……………………………………….

 

Privé des drogues données par les psys, Jean a le moral au plus bas, être enchaîné par le cou depuis 24 heures avec les mains solidement entravées dans le dos n’arrange pas les choses. Le noir de la petite grange où médite ce matin en pissant allègrement dans sa couche, augmente encore sa pression psychologique. Oui, il rêvait d’avoir une nounou mais pas comme ça. Dans ses rêves, elle était gentille et lui donnait le sein, là, elle est monstrueusement agressive, le gifle quand elle ne lui donne pas des coups de pieds pour qu’il boive son biberon qui n’a rien d’ABDL. Il s’agit d’un biberon pour les agneaux ou les veaux, ou un truc comme ça, le lait a été remplacé par de la soupe agrémentée de somnifères.

 

Armé d’un fusil de chasse, le frère qui l’a molesté le regarde téter avec un œil si méchant que l’idée de réfuter ou de parler ne lui effleure même pas l’esprit. La prison où il a résidé quelques mois était un véritable palace à côté de la grange poussiéreuse avec son enchevêtrement de toile d’araignées accrochées depuis des années aux poutres vermoulues. Le frère ne comprend pas pourquoi elle lui a acheté des couches, lui se serait contenté de le laisser comme un chien baigner dans ses excréments et crever de faim. C’est donc sans comprendre qu’il la regarde le changer puis lui remettre la culotte en plastique prise avec le sac de jouets ABDL lors de son enlèvement.

 

En guise de bonnet de nuit, Estelle lui plaque la couche sale sur le visage et la referme autour de sa tête. N’ayant nullement envie de croiser les poings du frère, sans aucune possibilité de fuite ni d’esquive, Jean laisse Estelle ajouter du scotch d’emballage pour maintenir la couche. Le tampon central en ouate de cellulose trop gorgé réagit comme une éponge que l’on presse et libère de l’urine qui se met à couler sur son visage. Ecœuré et mal en point psychologiquement, Jean craque et se met à pleurer, confondant larmes et urine il craque totalement. Ses suppliques désespérées restent vaines, elles amusent beaucoup le frère commençant à trouver les idées de sa sœur bien plus perfides qu’une cartouche de fusil de chasse.

 

Dans sa tête l'horreur s'installe quand il comprend qu’ils partent et que devant lui s’ouvre une existence aussi difficile de précaire. Le somnifère et la fatigue nerveuse ont raison de sa déprime, il s’endort comme un bébé le nez dans ses souillures. Quelques heures plus tard, il est réveillé par ses épaules qui lui font horriblement mal. Aucune position ne les apaise, ses muscles et ses articulations se révoltent. C’est comme s’il y avait du feu dans ses épaules. Des cris de désespoir et de douleur filtrent de la couche mais leur résonnance n’a aucun effet sur les araignées, seules âmes vivant dans un rayon de plusieurs kilomètres.

 

La porte s’ouvrant brusquement le tire de sa léthargie, un frisson d'angoisse le fait frémir.

Il ne sait qui est là ni s’il doit s’inquiéter ou être heureux. On lui retire la couche de son visage trempé de transpiration, il va pouvoir enfin respirer librement et demander à boire car la soif le tenaille depuis un moment et parler de l’horrible douleur de ses épaules. Estelle est seule, debout, fière, hautaine, un sourire malsain se dessine sur son visage en écoutant les suppliques désespérées.

 

- Je n’ai pas d’eau connard je suis juste venu jouer avec toi et pour tes épaules, je n’ai pas les clés, il te faudra amadouer mon frère. 

 

Des rivières de larmes se mettent à couler sous les paupières de Jean quand elle soulève sa jupe pour retirer sa culotte en lui indiquant qu’elle a une solution pour apaiser sa soif. Dans un réflexe de démence, il l’insulte et lui crie qu’il ne risque pas de boire sa pisse mais un grand coup de pied entre ses jambes coupe net ses réfutations pour faire place à un hurlement inhumain. La couche n’a pas amortie la colère d’Estelle. D’autres coups tombent, il crie, s’excuse et implore sa pitié. L’avalanche de coup a été brève mais rude. Il jure qu’il va boire, et qu’il fera tout ce qu’elle veut.

 

Debout au dessus de son visage, dévoilant son intimité au regard soudain moins gourmand à celui qui quelques mois plus tôt lui lavait le sexe avec de folles envies de la manger, elle lui intime l’ordre d’ouvrir la bouche. Les yeux de l’ancien « baby-sitter » n’expriment plus le désir d’avant mais le dégoût. Uriner sur quelqu’un n’est pas aussi évident que l’imaginait Estelle. Ne pouvant accepter l’idée d’un échec, elle se force un long moment avant de parvenir à faire quelques gouttes. Si les premières sont difficiles à faire, une fois le processus engagé, la suite est bien plus aisée. La suite vient sans tarder avec une foule d’insultes et de promesses de cruelles représailles s’il ne s’applique pas. Sous la généreuse fontaine, il se laisse inonder, en bois un peu, tousse, crache, s’étouffe mais ouvre la bouche tant que peu se faire pour ne pas prendre les coups de pieds dans les couilles qu’elle lui a annoncé. Si en d’autre temps le « face setting » lui plaisait et comptait de ses fantasmes les plus fous, celui qu’elle lui impose en hurlant « lèche » lui glace le sang. Jean lèche rapidement le sexe mouillé plaqué sur son visage comme pour mettre le plus vite possible un terme à son avanie, mais elle insiste et l’écrase à l’étouffer en lui criant que cela doit être bien propre.

 

Lé séquence de réhydratation terminée, elle entreprend de lui retirer sa couche toujours aussi gorgée mais sans excréments tant la peur le constipe. Dans un sens, Estelle préfère dans un autre, elle lui aurait bien fait bouffer.

 

- A genoux connard !

 

Tant bien que mal, Jean s’agenouille, la chaîne cliquette sur le sol, elle l’attrape par les cheveux pour le faire avancer jusqu’au moment où elle commence à l’étrangler.

 

- Penche-toi en avant et montre moi ton cul, j’ai un cadeau pour toi, mais si tu ne gardes pas la chaîne tendue, je te botte les couilles.

 

De son gros sac à main, elle extrait un morceau de manche de fourche d’une vingtaine de centimètre de long et un tube de vaseline en lui criant « c’est pour qui ça ? C’est pas mieux que tes petits godes de tapette ? » Jean est autant blême que mort de peur. Pour lui, tout cela est un horrible cauchemar, elle ne va pas lui faire ça, mais c’est sans compter le vice et la détermination d’Estelle. C’est quand elle lui plaque une poignée de lubrifiant froid entre les fesses qu’il comprend que rien ne lui sera épargné et que le pire reste à venir. Accroupie derrière lui, Elle entreprend de lui enfiler le manche en écartant les fesses velues pour exposer la rondelle contractée. Le contact du bois le fait crier de peur, supplier mais elle n’en a que faire et le menace de se servir du manche pour lui briser les couilles si elle ne parvient pas à le lui mettre. Abdiquant devant la menace, tend les fesses à la torture. Elle pose le manche au cœur de la cible puis commence à pousser pour l’enfoncer. Tandis qu’il crie et supplie, elle commence à le travailler, forçant petit à petit son anus avec le manche de bois en parvenant à l’enfoncer un peu plus profond à chaque mouvement. Les cris, les « doucement » les « ça fait mal » sont sans effet sur Estelle bien décidée à lui « casser » le cul au sens propre du terme mais sans le tuer.

 

L’anus qui s’ouvre peu à peu sous la pression, ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la douleur intense qui ravage ses reins. Le rectum s’élargi à outrance, elle sourit à la pensée des cris à venir quand l'étroit petit conduit va devoir gober toute la longueur. Estelle sent la faille et pousse la totalité du manche dans l'orifice monstrueusement distendu. Jean crie comme un animal que l’on égorge et supplie sans cesse mais en guise de réponse, il n’aura que la voix de son bourreau lui indiquant que c’est fini. Il ne bouge plus, serre les dents, toutes ses pensées sont centrées sur son anus en feu.

 

- Allonge-toi sur le dos et écarte les jambes !

 

Avec d’infimes précautions, il tente de s’étendre sur le côté mais s’écroule sur son épaule en hurlant qu’il n’en peut plus mais elle n’en a que faire et l’engueule avec la rage d’une poissonnière enragée.

 

- Tu rêvais d’être un bébé, un soumis lope bébé alors je fais ce qu’il faut pour que tu le deviennes vraiment. Quand tu m’as enlevée et tripotée tu m’as dit des tonnes de choses, alors comme tu voulais de moi comme nurse, tu as ce que tu voulais non ? 

 

- Je veux plus, pitié, pardonnez-moi, j’ai trop honte de ce que j’ai fait. Je n’en peux plus, je veux partir, je ne dirai rien, mais s’il vous plait, enlevez-moi ce truc du cul j’ai trop mal. Supplie Jean en larmes.

 

En guise de compassion et de pardon, une paire de gifles le fait taire.

 

- On ne parle pas comme ça à sa maitresse ou à sa nurse. Tu mériterais une grosse fessée. Ton rêve c’était bien d’avoir une nurse sévère non ? Maintenant tu l’as, alors tais-toi. 

 

Non, arrêtez, j’en ai marre, je veux partir. Supplie Jean.

 

- Bon ben puisque tu ne m’écoutes pas, tu vas m’avoir ta fessée. Tournes-toi et montre-moi tes fesses.

 

Sachant que tout résistance est sanctionnée par des gifles ou pire encore des coups de pieds dans ses précieuses, Jean abdique et se met sur le ventre. Minée par la vengeance Estelle commence à claquer les fesses offertes avec un plaisir non dissimulé et une grande conviction. Sous les claques, Jean bondit, s’agite instinctivement de s’y soustraire mais en vain. Les mains entravées dans le dos par de sévères menottes, il parvient à saisir une main qu’il serre comme un forcené ce qui n’est pas du gout d’Estelle et lui fait mal. Elle saisit aussitôt le manche de la fourche transformé en pal puis lui fait faire de violent va-et-vient arrachant des cris et nouvelles plaintes à Jean.

 

- Lâche-moi ou je vais te massacrer ! Hurle Estelle déchaînée. 

 

Le « ramonage » sauvage est si rude que Jean lâche immédiatement la main d’Estelle et rue de douleur sous le pilonnage si fortement qu’il finit par la désarçonner. Au moment où il essaye de la saisir de ses jambes d’un geste trop rapide, il s’empale encore plus ce qui coupe net sa tentative de corps à corps avec la furie. A cet instant, s’il pouvait la tuer il le ferait bien volontiers quitte à se faire massacrer ensuite par le frère.

 

- J’ai un droit de vie et de mort sur toi. Si tu es sage, tu retrouveras la liberté quand j’en aurai fini avec toi, mais si tu me ferais un coup pareil, mon frère te coupera les couilles et te les fera bouffer. Tu entends, dis, tu entends ? ? ? ? Hurle Estelle à deux doigts de la crise d’hystérie.

 

Plié de douleur et étendu à même la terre battue, Jean ne dit rien et pleure toutes les larmes de son corps. La voir saisir une couche propre est un soulagement même s’il sait que cela rimera sans tarder avec une période de solitude, de soif, de faim. A son approche, il soulève ses fesses avant même qu’elle ne le lui demande pour faciliter la pose de la couche. Après l’avoir passée sous les fesses, Estelle saisit à pleine main le sexe mou de son ex-ravisseur puis l’agite comme si elle voulait lui faire prendre de l’ampleur mais avec le gode de bois planté dans les fesses et la douleur qu’il génère, ses tentatives son vaines.

 

- Et bien dit-donc, ta nouille a perdu de sa superbe ! Dit-elle avant de la rejeter d’un air dégouté avant de refermer la couche, empêchant de fait, toute fuite possible pour le pal toujours profondément enfoncé.

 

 

La culotte en plastique vient à son tour interdire le retrait de la couche propre, la couche jetée à même le sol est à nouveau transformée en bonnet de nuit. Rapidement comme pour en finir, la porte se referme sur lui et sa misère, le laissant seul avec ses doutes, ses peurs, ses douleurs, ses cauchemars pour de longues heures.

 

…………………………………

 

19 heures

 

Estelle entre prestement, retire la culotte et la couche puis, en tirant trop rapidement sur le manche, libère l’anus de son manche de bois. Un cri inhumain résonne dans la montagne malgré la couche couvrant toujours le visage de Jean. Dans l’anus restant ouvert, elle lui enfonce l’équivalent d’une boite de suppositoire à la glycérine, le change et repart aussi vite qu’elle est venue avec la couche sale dans un sac puis le manche de bois légèrement ensanglanté et souillé.

 

………………………………….

 

22 heures

 

La porte s’ouvre à nouveau, aux voix qu’il entend, Jean comprend qu’Estelle n’est pas seule. Quelqu’un le libère de sa chaîne et l’aide à se lever puis à rester droit. Transis de peur, il ne sait s’il doit se réjouir de cette libération ou s’ils ont décidé de l’achever. Dans ses moments de désespoir il a appelé la mort, présentement, il la redoute. Forcé de marcher à l’aveugle, guidé par deux mains ferme, il monte dans un fourgon. Sa couche pleine d’excréments et d’urine commence à empester. Couché à même le plancher de bois, il subit les effets des petites routes cahoteuses de la Corse profonde aux milles les virages. Arrivé  à Ajaccio, il est transféré dans un autre fourgon pour y être à nouveau enfermé dans une caisse de bois après que l’on ne lui ai injecté un puissant somnifère. Le véhicule démarre aussitôt de la propriété sombre où nulle lumière n’a dévoilé les activités nocturnes pour prendre la direction du port. Dans l’énorme caisse de bois, Jean, en perdition mentale, est convaincu qu’il est dans le couloir de la mort.  

 

Les heures s’écoulent lentement, son sommeil est parfois proche du coma tant il sombre.

 

MARSEILLE  11 heures

 

Jean s’éveille doucement, ses mains sont libres, ses épaules ne le font plus souffrir. Ce n’est plus enfermé dans une caisse de bois mais dans un énorme carton. Avec l’énergie du désespoir, prêt à tenter le tout pour le tout pour ne pas mourir, il arrache la couche qu’il porte sur le visage depuis de longues heures puis défonce comme un forcené le carton qui ne lui offre que très peu de résistance. Aussitôt aveuglé par le soleil, il s’écroule sur le bitume du trottoir à l’angle de la Canebière et de la rue Paradis.

 

La femme qu’il vient de bousculer se met à hurler, puis lui envoie un violent coup de sac à main dans la figure avant de partir en courant. Toujours avec l’idée de fuir ses ravisseurs, il se met à courir sur la Canebière. Les gens s’écartent pour laisser passer cet énergumène presque nu avec comme seul vêtement une couche abominablement salle.

 

Les occupants d’un véhicule de police aperçoivent Jean courant sur le trottoir, leur premier réflexe est d’intervenir, le deuxième d’appeler les pompiers pour conduire la personne aux urgences psychiatriques.

 

Vue son casier, personne n’a réellement cru à ses propos et à son histoire d’enlèvement. L’officier de la gendarmerie d’Ajaccio chargée d’enquêter s’est contenté de téléphoner pour savoir si Estelle était chez elle et si elle allait bien.

 

Depuis Jean porte des couches à l’hôpital psychiatrique de Charenton-le-Pont et a plusieurs nounous avec de jolies blouses pour s’occuper de lui.

 

La morale de cette histoire ?

 

En communiquant gentiment avec Estelle, il aurait pu s’accorder avec elle. Quel dommage non ?

 

Petit, retient que si tu forces une fille corse et qu’elle n’est pas consentante, il faut t’attendre à ce qu’elle découche et te face porter des couches.

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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