Vendredi 4 mars 5 04 /03 /Mars 11:55

cage de chasteté et couche
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cage de chasteté et couche
par TSM

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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Mardi 28 décembre 2 28 /12 /Déc 09:31

Cher lecteurs, chères lectrices,

 

Les TSM ont des projets qui sans nul doute devraient ravir les visiteurs de ce blog.

 

En attendant, ci-dessous un petit texte gentil pour rester dans l'ambiance des contes de Noël

 

Nous vous souhaitons de bonnes fêtes de fin d’année.

 

A très bientôt

 

TSM

 

 

D’orpheline à nounou

 

 C’est sur une ligne droite que la 405 roulant à une vitesse raisonnable s’est encastrée dans un camion pour des raisons inconnues un matin du mois de juin 1990. Des tôles enchevêtrées les pompiers ont retiré le corps sans vie de Lucie et un bébé par miracle indemne. Paul inconsolable ne s’étant jamais remarié élève seul sa fille Léa en lui menant la vie dure. Une nuit, Léa âgée de 16 ans fait un rêve particulier où elle rencontre une fée lui donnant des pouvoirs surnaturels. Lors de ce rêve, elle a mouillé son lit sans s’en rendre compte et ce n’est qu’au petit matin qu’elle découvre tout honteuse que son lit est trempé. Cherchant du réconfort, elle en parle à son père qui au lieu de la rassurer se met à crier, à la traiter de pisseuse et lui dit que si cela se reproduit, il lui fera porter des couches de bébé.

 

 Blessée dans son amour propre, elle pleure, « pleure, tu pisseras un coup de moins » lui hurle son père. Furieuse, elle s’imagine que son père plus petit, qu’elle lui retire sa couche pour lui donner la fessée qu’il mérite. Comme par magie, il se met aussitôt à rétrécir. Prenant conscience qu’il se passe quelque chose, il se met à hurler en se tenant à la table puis crie à sa fille d’appeler les pompiers au lieu de ne rien faire comme d’habitude, mais elle ne bouge pas et le fixe étrangement. En voulant bondir vers le téléphone Paul se prend les pieds dans son pantalon devenu bien trop grand et chute durement sur le sol. Léa ne bouge toujours pas et le fixe avec des yeux méchants pendant qu’il continue de lui crier des insanités jusqu’au moment où ses mots et sa voix deviennent ceux d’un enfant de 2 ans. Dans un dernier sursaut d’énergie, il parvient à se lever et à taper sur sa fille.

 

 Il l’a si souvent frappée pour rien ou pour passer la rage et sa peine sur sa fille que le premier réflexe de Léa est de se protéger. En constatant qu’il ne lui fait pas plus mal qu’un enfant de 2 ans, elle l’attrape, lui baisse le pantalon et la culotte avant de le coucher sur ses genoux avec une envie viscérale de le fesser. Les claques qu’elle lui donne sur les fesses sont bien trop sévères pour un enfant. Paul bondit, hurle mais ne peut rien faire pour se soustraire à la monstrueuse fessée que lui donne sa fille. A cet instant, dans sa tête les promesses de représailles dépassent l’entendement, sauf qu’il n’aura jamais la force physique de les réaliser.

 

 Léa se calme un peu, pousse le gamin en larmes qui chute durement sur le sol en criant sa douleur et sa rage. Pour ne plus l’entendre, elle l’attrape puis insensible aux coups de pieds pour l’enfermer dans un des placards de la cuisine dont elle pousse le loquet. Hors d’elle et dans un état second Léa l’abandonne là et va prendre une douche. Prenant conscience qu’elle ne rêve pas, elle revient un moment plus tard voir si son père est bien dans le placard. Elle y découvre effectivement un bébé nu de deux ans en larme et baignant dans son urine. Mue par son instinct maternel, elle le sort aussitôt mais Paul ayant toujours son cerveau d’adulte l’injurie encore avec des mots mal prononcés et sa voix d’enfant. Le chat entre par la chatière en miaulant, pour voir si elle ne rêve pas, elle le fixe en l’imaginant petit, en quelque seconde il devient un chaton. Elle tente aussitôt de le ramener à taille adulte, mais il ne revient pas tout à fait à sa taille initiale. Ces tentatives et manipulations lui prenant énormément d’énergie, Léa épuisée décide de ne pas aller à l’école et de se reposer.

 

Paul toujours aussi furieux continue de crier et de gesticuler comme un enfant faisant un caprice. Elle le pose sur le canapé avant de se rendre au garage où elle sait que son père a stocké précieusement toutes les affaires de bébé et surtout de sa mère. Léa prend alors une couche, un body, la gigoteuse de son enfance puis la poussette poussiéreuse. En deux temps trois mouvements, le bébé hurlant est emmailloté, vêtu et attaché sur la poussette. Elle le conduit à la chambre de son père puis referme la porte pour ne plus entendre ses cris. Etendue sur le canapé Léa allume la télé puis s’endort rapidement.

 

Dans la chambre, Paul essaye de s’extraire de sa poussette mais en vain, ses petites mains et ses doigts boudinés manquent d’agilité, il ne parvient pas à se libérer et manque de force. Epuisé il finit par se calmer, regarde autour de lui et réfléchit aux évènements en se disant qe tout cela n’est pas possible qu’il fait un cauchemar. Il a soif et envie de faire pipi. Ses appels restent sans réponse alors il se retient tant bien que mal en maudissant sa fille. Une heure plus tard, il se réveille tenaillé par l’envie pressante, ses appels restant toujours sans réponse, mort de honte il finit par se faire dessus.

 

« Papa » dit Léa d’une voix inquiète en entrant dans la chambre, « je ne sais pas ce qu’il nous arrive. Je n’ai pas fait exprès de te transformer en bébé, j’ai peur ». Au lieu d’essayer de parler, Paul fidèle à ses habitudes tape sur la fille lorsqu’elle s’approche pour le prendre dans ses bras et trouver du réconfort. Face à cette violence perpétuelle, Léa gronde son père et le menace d’une autre fessée s’il continue ainsi. Comme il ne se calme pas, en larmes elle quitte la chambre en claquant la porte. Arrivée à la cuisine, elle ouvre le frigo pour prendre quelques aliments et manger. La plaquette de chocolat terminée, elle prend conscience que son père n’a pas mangé. Elle va donc le chercher et l’emmène en poussette à la cuisine. Lorsqu’elle lui donne une tranche de jambon, il s’en saisie difficilement puis s’étouffe en tentant de se nourrir. Son instinct maternel prenant le dessus, elle lui fait chauffer une soupe toute prête et la lui donne à la petite cuillère. Le repas terminé, elle l’emmène toujours en poussette au salon puis se vautre dans le canapé. Lorsqu’elle allume la télévision, la chaine sport de Canal plus diffuse un match de foot. Elle change de chaîne et se met à chercher un programme plus plaisant. Paul se met aussitôt à crier « conasse » et à faire un caprice.

 

- Ecoute papa, pendant des années tu m’as imposé tes quatre volonté, le foot et encore le foot, maintenant, les choses vont changer. C’est moi qui décide et si tu fais des caprices, ce sera la fessée et au lit. Compris ?

 

Que sa fille lui parle comme ça est une aberration pour Paul ! Par réflexe, il tente de se lever en hurlant pour venir donner une raclée à sa fille irrespectueuse mais en vain. Les sangles de la poussette l’en empêchent, hormis crier il ne peut rien faire. Agacée, elle le sort de la poussette, le déshabille, retire la couche qu’elle découvre trempée puis lui donne la fessée promise. Pour Paul, l’humiliation est à son comble, être fessé pour la deuxième fois par sa fille dépasse l’entendement. Quelques minutes plus tard, lorsqu’elle entreprend de le laver en passant un gant entre ses jambes et ses fesses en le tenant par les pieds, il ne crie plus et pleure en silence. Au moment où elle lui remet une couche propre, il n’ose pas lui dire qu’il a besoin d’aller aux toilettes parce qu’il est inconcevable pour lui qu’elle le voit faire ou torche ses fesses. Rapidement entravé dans sa poussette mise en position horizontale, il est conduit à sa chambre. Lorsque la porte se referme sur lui, Paul a perdu toute sa superbe, son honneur, sa fierté est mal menée. Sa fierté va encore souffrir lorsqu’il sent son anus céder sous la pression. La couche pleine il pleure et finit par s’endormir mais ses rêves sont peuplés de cauchemars.

 

Réveillé par sa fille inquiète, il a chaud, il se sent mal. Plusieurs fois en posant sa main sur son front elle lui indique qu’il est brulant de fièvre. Il sent venir le pire lorsqu’elle lui parle de médecin. Léa l’abandonne un instant puis revient avec un thermomètre. Lorsqu’elle l’attrape à bras le corps puis entreprend de le déshabiller, il est blême et ne réagit même plus. Lorsque sa fille lave ses fesses sales puis lui enfonce le thermomètre dans les fesses, il voudrait mourir pour échapper à cet enfer. Léa lui remet une couche et l’habille aussitôt pour le conduire chez le médecin. Pendant la consultation, ne pouvant expliquer leur aventure sans passer pour une folle, Léa lui indique que c’est un cousin qu’ils gardent quelques jours. Compatissant, le médecin fait une ordonnance et accepte de différer le paiement de ses honoraires. Il n’a rien de grave, ce n’est qu’une petite angine. Léa passe par la maison prendre la carte vitale et se rend avec Paul en poussette à la pharmacie pour acheter les médicaments prescrits, un sirop et des suppositoires. Une cliente d’un certain âge, joue avec sa petite main et le trouve beau. Paul est fou de rage, ne pouvant étrangler la mamie le trouvant grognon grogne et pleure.

 

- Vous avez oublié sa sucette ou vous ne la lui donnez pas ? Vous savez ils en ont besoin quand ils sont malades, il ne faut pas les en priver. Dit l’adorable mamie compatissante.

 

- Je l’ai oubliée. Répond Léa.

 

Dans sa générosité, la mamie achète une sucette, demande à la pharmacienne de la laver puis la donne au bébé. Pour Paul, c’est un affront supplémentaire mais il ne peut se soustraire aux bonnes intentions de cette cliente généreuse la lui mettant dans la bouche entre deux cris. Complètement dépité, abasourdi par les évènements et la fatigue, le gros bébé ne la recrache pas, son dépit conduira Léa à en user plus que de raison pour avoir la paix.

 

Paul comprend que son calvaire est loin d’être terminé lorsque de retour à la maison, Léa lui fait voir la boite de suppositoires en lui disant « c’est pour qui ça » avec un regard amusé. Ne trouvant pas la chaise haute de son enfance, sa fille utilise à nouveau la poussette pour lui faire prendre son sirop et lui donner une nouvelle soupe toute prête. Etendu sur une serviette posée sur la table de la cuisine, la toilette au gant du bébé nu est un moment délicat pour Paul n’ayant plus aucune intimité, mais l’étape du suppositoire que sa fille lui place en lui disant que c’est une « fusée pour ses petites fesses » est un grand coup pour son vernis social.

 

Paul hurle sa rage lorsqu’elle le prépare pour la nuit en lui remettant une couche, son body fleuri et sa gigoteuse mais Léa le prend dans ses bras et le berce en lui donnant une énième leçon.

 

- Toi vois papa, toi tu me battrais ou crierais comme d’habitude alors que moi, je te donne de l’amour malgré ta méchanceté. J’ai compris que tu me reproches et me fais payer la mort de maman alors que le jour de l’accident, c’est injuste parce que je n’étais qu’un bébé. Maman me manque aussi, les autres en ont eu une pour les consoler, moi non. Les autres ont eu des moments magiques, des moments tendres, de gros gâtés et des histoires, moi les seuls moments de tendresses que tu m’as données c’était quand ta mère venait pour lui faire voir que tu es un bon père. Je ne sais pas et ne comprends pas ce qu’il nous arrive, j’ai peur mais cela ne m’empêche pas de m’occuper de toi comme tu l’as fait avec moi en te donnant un peu de cette tendresse qui m’a tant manqué.

 

Ces confidences brisent le cœur de Paul, il ne crie plus, les larmes de tristesse coulent sur ses joues. Fortement serré dans les bras de sa fille, il découvre que l’affection parentale est réconfortante dans les moments difficiles. La chaleur du corps de sa fille s’associe à la générosité d’âme et à la chaleur humaine pour parachever la leçon de vie. A cet instant précis, il aimerait tant la serrer dans ses bras.

 

Léa se prépare à son tour pour la nuit avant de les installer devant la télévision. Paul suit pour une fois une émission de variété en écoutant la musique des jeunes sans râler. Comme Léa est inquiète pour le bébé, à la fin de l’émission elle le prend avec elle dans son lit. Couché en chien de fusil, elle le serre contre elle, le sommeil les cueille tous les deux rapidement.

 

Vers sept heures, une voix douce est chaude réveille Léa en lui annonçant que le petit déjeuné est servi. Les yeux de Léa découvrent son père souriant avec un plateau à la main. C’est la première fois qu’il lui apporte un petit déjeuné au lit. La poussette est encore dans la chambre mais pas un mot n’est échangé sur leur aventure. Le chat les rejoint pour partager les étreintes affectueuses et pour une fois, il ne se fait pas virer du lit, allez-donc savoir pourquoi ?

 

TSM

 

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:21

Plan self bondage ABDL avec laxatif 

 

En préambule

 

Mon épouse est une perle. Elle connaît mes délires ABDL, sans les partager complètement, elle s’en amuse parfois. Nous partageons d’autres passions comme le SM et le bondage sans aucune pudeur en inversant parfois les rôles.

 

………………………………

 

Cette fois c’était décidé, j’allais tester malgré moi et voir ce que cela fait de tout faire dans sa couche. J’avais déjà testé mais sans vraiment tout faire disons que je m’étais arrêté à quelques grosses traces de freinage… Toutes mes propres tentatives précédentes de jeux me poussant dans mes limites avaient échoué. Au dernier moment, le passage à l'acte me semblant inenvisageable et impossible psychologiquement, je suis toujours parvenu à me retenir en serrant les fesses comme un fou. L’excitation étant à ce moment là de jouer sur les interdits avec mon corps vibrant de partout tant la résistance contre la fuite était farouche.

 

Sans en parler à mon épouse non pas pour cause de pudeur mal placé mais par envie de tester seul puisque cela ne la branchait pas, il m’est alors venu l’idée de me monter un plan fou pour m’obliger à aller jusqu’au bout en utilisant de la glycérine et un laxatif. En surfant sur le net pour trouver le dit laxatif j’ai trouvé « éductyl » que je suis allé acheter en pharmacie. Arrivé à la maison, le mot « effervescent » écrit sur la boite sauta à mes yeux. Que pouvait signifier « effervescent » ? Pour les médicaments s’administrant par voix orale je connaissais mais par voix rectale, ne n’arrivais pas à imaginer la chose. Plutôt que de faire des recherches, je décidais de me laisser porter par l’aventure.

 

Mes délires d’autos contraintes étaient les suivants

 

 Le matin au réveil, alors que j’ai envie d’aller déféquer) m’administrer le puissant laxatif en suppositoire plus 2 suppositoires à la glycérine.

 Mettre mes tenues ABDL (couche/ culotte en plastique puis pour me forcer à avoir les cuisses écartées, mes culottes ABDL rembourrées et ma culotte en plastique gonflable qui se cadenasse.

 Passer par-dessus tout cela ma grenouillère cadenassée au col avec pour objectifs d’ajouter des vêtements et contraintes qui rajouteraient des obstacles entre mes fesses et les toilettes.

 Programmer un ice-timer m’obligeant à attendre 2 heures minimum menotté.

 Etre obligé de traverser la propriété à petits pas pour aller chercher les clés des cadenas de mes chevilles enchainées et de ma culotte en plastique gonflable.

 Etre obligé de passer par la maison pour prendre un peignoir afin de traverser le parking (pas très isolé) afin de récupérer la clé de la Grenouillère.

 

Ce plan était complètement tordu mais si le laxatif était réellement puissant, avec les deux suppos à la glycérine lubrifiant le passage, j’allais cette fois avoir bien du mal à résister car le temps et la distance à parcourir en serrant les fesses joueraient contre moi.

 

Chance et malchance !

 

Ma perle d’Amour dut s’absenter 48 heures pour raisons familiales, au lieu d’essayer de jouer mes délires un matin lorsqu’elle travaille, j’allais pouvoir prendre le temps. Après l’avoir déposée à la gare vers 17 heures, je fis un ice timer en mettant les clés des menottes dans un Tupperware contenant environ 50 centilitres d’eau. Après avoir préparé la totalité du matériel, pendant la soirée, je n’ai pas été très sage au fur et à mesure de mes surfs.

 

Au petit matin vers 5 heures

 

Le café bu, je suis allé déposer au fond du jardin un Tupperware avec les clés de 2 cadenas et celle de ma culotte gonflable équipée d’une chaîne. Dans un état d’excitation avancé comme un gamin qui va faire des bêtises, il m’est venu l’idée d’ajouter quelques délires à ceux initialement prévus. Après avoir déposé la clé de la grenouillère sur le siège de ma voiture de l’autre côté de la propriété, mes pas me conduisirent au donjon où je pris un soutien-gorge clouté (petits pointes à l’intérieur) plus deux petites pinces à seins, un maillot une pièce féminin et un soutien-gorge rembourré pour couvrir plus encore les pinces et m’interdire de le retirer à travers la grenouillère avant la fin de mon délire initial. La totale quoi…..

 

Il m’a semblé opportun de prendre le dernier café et la cigarette du condamné avant de me lancer dans la grande aventure. Le suppo « éductyl » trouva sa place tout comme les 2 ovules de glycérine. Je me suis mis ou posé dans l’ordre :

 

 Une couche + un insert pour incontinence fécale

 Une culotte en plastique + trois culottes ABDL dont une rembourrée pour faire du volume anti serrage de cuisse.

 Les pinces à seins + le soutien gorge clouté + le soutien-gorge rembourré pour les massages cuisants ».

 Le maillot de bain une pièce + le body ABDL rembourré lui aussi l’entrejambe pour ajouter des verrous entre mes mains et mes pinces à sein puis pour faire du volume.

 La culotte gonflable (et gonflée) que j’ai cadenassée.

 La grenouillère que j’ai cadenassée au niveau de ma nuque m’a obligé à faire des confortions délicates et douloureuses pour mes tétons….

 Les chaînes à mes pieds pour m’obliger à faire de petits pas et ralentir ma course vers la liberté.

 

Tremblant d’excitation, je me suis repris un café et une cigarette en vérifiant que mon téléphone portable était bien à côté de la chaine où j’allais accrocher mes menottes pour la prudence. Le suppo « éductyl » ne me sembla par effervescent ce qui me chagrina presque. Le ice-timer trouva sa place sur le sol près du clic clac où j’avais la veille verrouillé la chaîne dans le sommier. Je m’y suis étendu et dans un dernier élan, je me suis relevé pour aller éteindre la lumière avant de verrouiller les menottes bloquées par la chaîne sur mes poignets.

 

Excité comme une puce, je frottais mes fesses au clic clac sans grands résultats. L’envie de frotter mon devant me vint. Le demi-tour fut douloureux car les pinces à seins et le soutien-gorge clouté commençaient à me faire mal. Ais-je mis la barre trop haute fut ma question en essayant de les retirer ce qui m’obligea à gesticuler et à augmenter les effets sur mes tétons furieux. Les épaisseurs prévues pour éviter que je puisse retirer les pinces fonctionnaient à merveille…. Je me suis donc assagi (rare) et recouché sur le dos pour méditer et fantasmer comme un fou.

 

Les minutes s’égrainaient lentement et toujours rien ne venait hormis quelques « prouts ». Une demi-heure plus tard, la première envie de déféquer vint. Cuisses et fesses serrées, je résistais aisément. Trois quart d’heure plus tard, cette résistance généra de délicieuses contractions à mon anus et à mon devant mais je tins bon en me demandant si j’allais encore une fois parvenir à résister en lutant contre mes envies naturelles cette fois forcées par le laxatif. La réponse à cette question semblait être positive, car une heure trente-trois plus tard, les doigts plongés dans l’eau glacée je pus attraper la clé des menottes et me libérer sans rien avoir fait dans la couche.

 

Fier de ma résistance anale, je m’offris un café, une cigarette et un petit pipi dans la couche qui faillit être fatal à mon derrière. A petits pas pour cause de pieds entravés, je quittais la maison pour prendre la direction du jardin quand un coup de feu me coupa net dans mes élans. Des chasseurs se trouvaient dans le champ voisin ! Et merde ! ! ! Comme derrière cela commençait à pousser au-delà de ma résistance, une des chaises de la terrasse me tendit son siège. Elle me permit de patienter et d’essayer de contenir la fuite. Entre deux « crises », je pu reprendre un café et mes cigarettes puis essayer de retirer mes pinces à sein mais en vain. Je souffrais le martyr et ces « connards » de chasseurs ne quittèrent le champ voisin qu’une heure plus tard ce qui me poussa encore dans mes retranchements côté arrière. La première fuite arriva sans crier « gare » lorsque je me suis levé. La matière chaude fusa soudain entre mes fesses sans que je ne puisse rien n’y faire.

 

Cela se reproduit à nouveau lorsqu’à petits pas pour cause des chaînes aux pieds, j’ai traversé le jardin. Me baisser pour attraper le Tupperware contenant les clés généra une autre fuite. Accroupi pour libérer mes chevilles, je n’ai rien pu faire pour freiner l’arrivée massive de matière fécale. Ce fut presque une vague qui s’étala dans ma couche. Les pieds libres, je partis presque au pas de charge pour aller chercher la clé du cadenas de ma grenouillère sur le siège de ma voiture de l’autre côté de la propriété. Bien mal m’en prit, les grands pas avec les jambes écartées pour cause de culotte gonflable eurent un effet néfaste sur ma retenue anale. J’ai eu l’impression de me vider tout le long du chemin. Je voulais voir j’étais servi mais ce qui me préoccupait le plus à cet instant, ce n’était plus ma couche pleine mais la douleur lancinante de mes tétons.

 

Penché en avant pour attraper la clé de ma grenouillère posée sur le siège de ma voiture, je ne pus contenir la poussée de mes intestins profitant de l’occasion pour déverser leur ras-le-bol. Malgré la douleur de mes tétons, la peur de fuir au sens propre du terme m’obligea à revenir à la maison à petits pas sans pouvoir contenir ma vessie qui elle aussi me harcelait depuis une bonne heure. Ouvrir le cadenas posé au col de ma grenouillère et descendre la fermeture éclair dans mon dos fut très hard pour mes seins et mes tétons, les pinces et les clous du soutien-gorge ne me firent aucun cadeau. Après avoir baissé la grenouillère, le maillot de bain une pièce et haut du body ABDL je pus accéder au soutien-gorge rembourré puis au soutien gorge clouté que j’ai ouvert avec précaution. Au milieu de ma poitrine en feu, (autour des seins) les pinces à seins me narguaient. C’est avec une lenteur et une douceur extrême que j’ai ouvert les pinces pour libérer mes tétons qui, malgré mes précautions me rendirent la monnaie question douleur…. ce qui paradoxalement généra une monumentale érection.

 

Complètement en nage malgré le froid de la saison, (j’avais éteint les chauffages par prudence) un café et une cigarette me parurent une obligation pour le courage avant d’attaquer le grand nettoyage automnal. Cette pose me fit un bien fou ! Armé d’un sac poubelle et d’un rouleau de Sopalin, je pris la direction de la salle de bain. Je vous passerai les détails en résumant ainsi : il y en avait partout et du mou. Ce fut dégueulasse, dégoutant, j’étais à deux doigts de vomir mais je m’en suis sorti tant bien que mal.

 

En sortant de la douche avec mon sac poubelle à la main, il m’a semblé utile de remettre une couche car les flatulences venant encore, je n’étais pas convaincu d’être « étanche »….. Bien m’en a pris mais cette fois, ce fut plus light. A l’heure où j’écris ces lignes, l’expérience se termine, je vais donc aller retirer la deuxième couche et prendre une seconde douche si vous me le permettez.

 

TSM

 

 

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:17

Son blog parlait de domination gay et de jeux en couche

 

Son blog parlait de domination gay et de jeux en couche, deux sujets qui titillent mes fantasmes depuis longtemps. Lorsque par correction, j’ai adressé un commentaire sur un des ses articles je n’aurai jamais imaginé que ma vie allait changer à ce point ! ! !

 

Lors des échanges email, nous nous sommes trouvés affinités sur de nombreux points et pour lui prouver que je ne suis pas un de ces fantasmeurs qui polluent les sites de rencontre je lui ai donné mon numéro de téléphone. Après deux heures de discussions aussi animées que riches en confidences, nous avons décidé de nous rencontrer le vendredi soir chez lui pour discuter voir plus…

 

Étant bisexuel, sans tabou et très joueur, l’idée d’une rencontre avec Phil qui est 100% gay et dominateur, m’a séduite. Mes neurones se sont enflammés, mes fantasmes aussi…..

 

Après l’explosion de mon couple l’envie d’explorer l’homosexualité m’est passée par la tête. Lors de la rencontre, nous avons pris quelques verres et longuement discuté de « lapins » posés par les fantasmeurs, des hommes qui vivent leurs fantasmes de 5 à 7 et repartent tout honteux retrouver leur femme. Au fil des discussions, l’idée de vivre une expérience avec lui m’a séduite tant il me semblait calme, posé, sensé et c’est sans aucune difficulté que j’ai accepté de lui faire voir mes fesses qu’il a trouvé délicieuses. Une heure plus tard, j’étais nu, menotté et à genoux devant lui pour lui faire une gâterie pendant qu’il sirotait une bière en me demandant ce qu’il entendait par « hypnose éricksonienne ».

 

Je me sentais des ailes, la permission de me donner totalement à ce que je faisais et d’y prendre un plaisir fou. Sa verge avait un goût de miel, l’odeur de son corps m’enivrait et c’est avec joie que je me suis offert à lui comme une « chienne » en chaleur en éprouvant un plaisir inouï. Je n’aime pas embrasser un homme mais avec lui c’était différent. Les jambes sur ses épaules, pendant qu’il me prenait ses lèvres et sa langue m’encensaient tout comme sa verge au plus profond de mes reins. Je ne me suis jamais senti aussi bien dans un rapport homosexuel.

 

Pour le remercier de tant d’émotions et de plaisir, après sa jouissance c’est sans aucune réticence que je l’ai « remercié » en prenant à nouveau son sexe dans la bouche. Une heure après, j’étais entravé sur le lit et en couche. Cette nuit-là, mes fantasmes de soumission les plus fous lutaient contre a conscience. Le lendemain, il m’a dévoré dès le réveil après avoir arraché la couche. Sous ses asseaux ma verge tendue à rompre frottant sur les draps me fit flirter avec le paradis et déraper totalement. Sous son corps doux et chaud, je me sentais sa femelle, sa chose, ses lèvres dévorant mon oreille et mon cou me firent fondre de plaisir.

 

Quand il m’a dit que je lui plaisais bien après m’avoir libéré, ses propos m’ont rendu fou. Pris d’une crise d’affection je l’ai embrassé et mangé de partout. Cet acte affectueux envers un homme m’était inconnu, hormis jouer à touche pipi ou plus, je n’avais jamais éprouvé ce désir. Ce jour là, il a tenu à me mettre une cage de chasteté en plastique, j’en porte maintenant une magnifique en métal qu’il m’a offerte quelques temps après. Je n’ai plus le droit de pénétrer, de me caresser, de me branler. Je n’ai droit qu’au plaisir anal mais je ne m’en plaints pas car mes jouissances sont tout aussi fortes, je vie des états d’excitation monstrueux qui me rendent dingue.

 

Le mois dernier ma vie d’esclave a pris forme avec la signature d’un contrat de soumission et de mon installation chez lui. Je fais mon télétravail de sa villa où il m’a aménagé un bureau à sa façon. Un anneau scellé dans me mur et une chaîne m’interdisent de quitter la pièce, en fonction de ses envies et de la soi-disant qualité de mon travail, je suis puni à la cane anglaise ou fouetté. J’assume toutes les taches ménagères nu ou féminisé en fonction de ses délires ou des personnes qu’il reçoit. Lorsqu’il n’y a pas d’invité, il m’autorise à manger à table avec lui mais assis sur un tabouret équipé d’un phallus en bois de bonne taille, autant dire que j’essaie de ne rien oublier lorsque je mets la table.

 

Dans le hall de sa villa, il a installé deux barres en métal pour faire une croix. Sur la barre verticale perforée tous les 40 mm servant initialement pour des rayonnages il y fixe un tasseau de profondeur ressemblant à une équerre qu’il a modifié pour y recevoir des godes en bois usiné dans son garage. Avant-hier soir, j’y ai souffert et j’y ai été humilié une bonne partie de la soirée pour avoir fait brûler un rôti. Maître Phil m’a fait monter sur une calle pour que je puisse m’empaler sur l’équerre équipée d’un gros gode puis il m’a fait descendre de la calle. Poser les pieds sur le sol m’était difficile tant le gode était long. Il a entravé mes bras en croix puis mes chevilles avant de me passer une cagoule avec une fermeture sur la bouche. Vers 18 heures, il a posé des pinces assez cruelles sur mes tétons et a accroché quelque chose à mes testicules. Je ne n’ai compris l’usage que lorsque les invités sont arrivés. Il s’agissait d’un crochet pour y suspendre leur sac à main qu’ils ont placé sans prendre de précautions. Pendant un instant, j’ai cru que mes couilles allaient s’arracher tant cela faisait mal. Aux pinces à seins, ils ont mis des porte-manteaux auxquels ils ont suspendu leur veste avec la même douceur que pour leurs sacs. L’un deux m’a inséré ses clés de voiture dans la bouche en m’indiquant qu’il m’arracherait les couilles si je les faisais tomber. Transformé en porte-manteau humain, suant de douleur et de honte j’y suis resté tout le temps de l’apéro et du repas.

 

Les choses se sont corsées au café qu’ils ont pris au salon en commençant à jouer. L’un deux est venu chercher des cigarettes dans sa veste, la traction sur mon téton gauche déjà très endolori ma fait crier et lâcher les clés. La sanction n’a pas tardé ! Maître Phil est arrivé aussitôt pour me faire la leçon, puis il a retiré les porte-manteaux et les pinces à seins. J’ai cru mourir quand le sang a afflué dans mes tétons. Après avoir retiré de ses barres, il a menotté mes poignets qu’il a accrochés à ma cage de chasteté pour me conduire au salon. Couché sur le canapé fesses exposées, j’ai compris que j’allais dérouiller et cela n’a pas tardé. Le sifflement de la cane anglaise m’a fait bondir tout autant que le trait de feu embrassant mon épiderme. Il m’a donné vingt coups très appuyés avant de remarquer que j’avais le cul sale malgré le lavement qu’il m’avait imposé avant de m’entraver dans l’entrée. Plutôt que de me libérer pour que je puisse aller me laver, il m’a traité de bébé devant ses invités puis il m’a mis une couche et une culotte en plastique rose qui les a bien fait rire.

 

Pour me faire pardonner, j’ai du ensuite sucer les invités me donnant leur « biberon » à téter. Conduit manu militari à la chambre j’ai été attaché par le cou aux pieds du lit sur lequel ils ont baisé pendant des heures. J’avais une trique d’enfer au point que la cage de chasteté me faisait un mal de chien au niveau des testicules. Quand ils sont partis, j’ai du leur dire « au revoir » en les suçant l’un après l’autre pour qu’ils soient « propres » pour la route ! Leurs verges étaient odorantes et dégueulasses, ce fut dur mais j’y suis parvenu. Phil ne m’a délivré que le matin pour que je « le soulage de sa pression matinale » avant de libérer mes mains pour que j’aille me doucher. Lorsque je suis sorti de la salle de bain, un gros paquet cadeau était posé sur la table du salon à côté de deux tasses de café. Mon Maître me souriait en me désignant des yeux le paquet pour que je l’ouvre. Les doigts tremblants, brûlant d’impatience l’emballage n’a pas résisté longtemps à ma curiosité. Il m’a offert un sac de bondage en toile épaisse. Equipé de sangles des pieds à la tête et d’une très belle qualité il n’offre aucune possibilité de fuite. Après l’avoir embrassé pour le remercier, j’ai demandé à l’essayer, chose qu’il m’a accordée bien volontiers avec des yeux rieurs.

 

J’ai donc ouvert toutes les sangles et la grosse fermeture éclair du sac avant de m’étendre à l’intérieur de ce sac de couche un peu particulier. Quand il a terminé de le fermer et m’a mis la cagoule du sac, j’ai immédiatement compris que l’isolation entravé serait ma prochaine aventure. Et cela n’a pas tardé !

 

Le soir même, immédiatement après le repas, il m’a mis un plug percé équipé d’une sonde anale puis deux couches, l’une à l’endroit qu’il a trouée et l’autre à l’envers avant de me mettre une culotte en plastique au cas où il y aurait des fuites. La sonde anale en même temps que le sac de bondage ne m’enchantait pas parce que je ne suis pas scato. Je m’en suis ouvert à lui mais il ne m’a pas laissé le choix. Je devais tester son cadeau comme lui en avait envie ! Il m’a demandé de m’installer dans le sac et de passer mes bras dans les manches fermées cousues à l’intérieur puis il a placé des électrodes sur mon corps et mes seins. Quand je lui ai fait part de mes inquiétudes, il m’a répondu qu’il voulait m’offrir une expérience inoubliable et me faire progresser dans ma soumission, cela ne m’a pas rassuré du tout.

 

Quand il a fermé le sac et la cagoule m’isolant de l’extérieur, je m’attendais à ce qu’il commence immédiatement ses délires mais il n’en fut rien. Au fur et à mesure de l’attente, mon excitation est arrivée à son paroxysme, mon Popaul subissait une crise du logement monstrueuse. Un moment plus tard j’ai senti quelque chose bouger au fond de mes reins, le remplissage de mes intestins commençait. Soudain, mes seins se sont mis à piquer, les électrodes envoyaient des décharges mais j’ai crié plus de surprise que de douleur car c’était très supportable. J’ai gémis quand le lavement était trop rapide, il m’a traité de « chochotte » mais l’a dosé en m’envoyant des décharges sur le ventre en guise de « compensation ».

 

Les sensations de la pression intérieure rivalisaient avec les micros décharges électriques et un plaisir masochiste incommensurable. Le cerveau en désordre, totalement captif et vulnérable à souhait, je m’enfonçais dans un monde parallèle, une simple caresse sur mon sexe m’aurait fait exploser en une jouissance titanesque. Mon Maître m’a enjambé puis par l’ouverture de la cagoule a introduit sa verge dans ma bouche. Sentir le poids de son corps étendu sur moi et son sexe m’a comblé de plaisir jusqu’au moment où il m’a dit que j’allais boire son champagne doré. Nous en avions parlé, je n’avais pas dit non mais je n’avais pas dit oui non plus en attirant son attention sur le fait qu’il y avait de fortes chances que je vomisse. Il a choisi le moment où je suis le plus vulnérable physiquement et psychologiquement pour cette épreuve que je redoute. Il a accéléré le rythme des décharges électriques puis augmenté un peu l’intensité puis a repris le lavement en frottant son visage sur mon sexe. Même à travers le sac de bondage et les couches, le fait qu’il touche à ma cage de chasteté m’a rendu fou. Je ne savais plus où j’étais, à quelle partie de mon corps penser, je disjonctais totalement, une forme d’euphorie me gagnait.

 

L’espace d’un instant j’ai cru jouir de partout, du sexe bien sûr mais aussi de l’anus, du ventre, mon corps convulsait. C’est à cet instant qu’il a libéré un peu d’urine dans ma bouche et je l’ai bue, je l’ai avalée, j’en voulais encore. Par petits jets il s’est vidé la vessie. Tous ces tourments m’ont conduit aux bordures du vertige, j’ai tout bu et j’en voulais encore par amour pour mon Maître. Il m’a félicité et promis une récompense pour le lendemain avant de se servir de ma bouche comme d’un cul. Boire son sperme est déjà une récompense pour moi aujourd’hui, mais là j’étais comblé dé bonheur. Puis il s’est retiré et a refermé la fermeture de la cagoule du sac de bondage. Le sommeil est venu sans même que je me sente partir jusqu’au milieu de la nuit. Les fuites anales m’ont réveillé en même temps qu’une érection monstrueuse. Uriner quand on a une érection sous cage de chasteté est un moyen de diminuer l’érection mais ce soulagement entraina celui de mes intestins. Ma peur était d’en mettre de partout mais les couches ont tenu bon. Le matin il m’a libéré et conduit à la salle de bain lavé pour la première fois. Entre ses mains, malgré le côté écœurant des résultats du lavement, j’étais bien. Phil m’a porté jusqu’au lit et m’a pris comme un dieu. Les bras libres choses rares, j’ai pu l’étreindre pendant que mon anus affamé de lui savourait sans retenu la puissante pénétration de son sexe dur comme de la pierre. Il m’a conduit à la jouissance avant de jouir presque en même temps que moi. Mon cul vibrait et convulsait encore quand il a jouis en m’embrassant comme un fou. Entre ses bras je planais dans une autre dimension.

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:14

Suspension ABDL auto bondage

 

 

Cela faisait longtemps que je fantasmais à l’idée d’un self bondage associant couches et suspension. J’ai trouvé le moyen de ressembler à une marionnette entravée ! RIRE

 

Le plan :

 

1°) Ice-timer :

 

Suspendu à la poutre du garage avec les clés accrochées par 2 ficelles par sécurité. Un long bout de ficelle dépassait du glaçon emprisonnant les clés pour que je puisse l’attacher à la poutre. Les clés des menottes resteraient suspendues devant moi, je n’aurai qu’à saisir la ficelle pour les attraper.

 

2°) Suspension par l’entrejambe

 

Deux chaines accrochées en U. Pour que les chaines ne soient pas blessantes, j’ai ajouté de l’isolant à tuyau là où j’allais m’asseoir. Asseoir entre guillemet car s’asseoir sur deux chaines tendues n’est pas réellement une position assise.

 

3°) Sécurité anti chute

 

Pour être sûr de ne pas tomber quand je serai suspendu debout par l’entrejambe, j’ai ajouté une ceinture que j’ai fixée aux chaines afin qu’elle ne glisse pas. Cette ceinture m’enserrerait au niveau de la poitrine dans les chaines donc chute en avant ou en arrière impossible.

 

Le point 2 et 3 donne un peu l’impression d’un harnais pour personne qui travaille en hauteur sauf que le mec qui lave par exemple les vitres des immeubles n’a pas une ceinture qui bloque ses chevilles.

 

4°) fixation des menottes.

 

J’ai fixé les menottes à une des chaines avec un cadenas. Placée en hauteur, je ne pourrai qu’attendre la fonte de la glace pour retirer mes pinces à seins.

 

RESUME DE MON SCENARIO

 

Tout était prêt, je m’étais mis un joli plug maintenu par une ficelle me faisant comme un string, puis deux couches pour les fuites bien sur mais aussi pour diminuer la douleur entre les jambes car être suspendu par là une paire d’heure pouvait rapidement devenir douloureux.

J’étais tranquille en termes de sécurité car j’avais mis sur la table de la cuisine un papier indiquant que j’avais besoin d’aide et que ma femme découvrirait si mon plan foirait.

 

A la dernière minute, j’ai sorti le ice-timer que j’ai attaché à la poutre à côté des chaines puis j’ai retiré l’échelle. J’étais excité comme une puce, alors quand j’ai choisi les pinces à sein, je n’ai pas pris les plus gentilles en prenant celles lestées par des poids. Hummm mais un peu aie aie aussi, mais je n’y ai pas pris garde. Je me suis mis un bâillon bien serré j’ai pris la ceinture pour les chevilles et je suis monté sur le tabouret pour enjamber les chaines sur lesquelles je me suis assis avec beaucoup de précaution pour bien les placer sur la couche avec mes précieuses au centre.

 

Quand j’ai voulu bloquer mes chevilles, j’ai bien failli tomber la tête en avant. OUF loupé, enfin sauvé. J’ai donc bloqué mon buste dans les chaînes avec la ceinture pour ma sécurité puis, en relevant les jambes je suis parvenu tant bien que mal à bloquer mes chevilles. Après un dernier ajustement des chaines entre mes jambes puis un dernier coup d’œil de contrôle des risques et danger possibles, j’ai poussé le tabouret avant de bloquer mes mains dans les menottes fixées en hauteur. Comme toujours, j’ai testé la fiabilité de mon dispositif.

 

Il s’est avéré fiable et efficace mais finalement pas très confortable. Fermer les yeux pour me replonger dans mes fantasmes et délires s’est avéré une priorité. La première goute d’eau tombant du ice-timer m’a fait peur. Oui, je sais c’est idiot mais j’avais complètement zappé que l’eau glacée allait me tomber dessus. En fait, j’étais tellement concentré sur la sécurité et le confort de mon entrejambe que j’ai fait une erreur de débutant.

 

Pour éviter les gouttes d’eau glacée, j’ai essayé de me pencher en avant le plus possible, sauf que les pinces lestées accrochées à mes tétons se sont mises à balancer et que les protections isolantes fixées aux chaînes passant entre mes jambes écrasaient un peu mes testicules. J’ai donc basculé mon corps vers l’arrière mais la goute suivante est gentiment tombée sur ma poitrine avant de couler sur mon ventre. Brrr, c’était froid. Le regard fixé sur le ice-timer me semblant après coup trop gros, j’ai essayé de ruser pour éviter les goutes glacées. Le problème était qu’en me balançant pour les éviter, les pinces lestées accrochées à mes tétons profitaient également de mes mouvements. De fait, mes neurones ne se concentraient plus sur le plaisir généré par l’auto bondage mais sur les douleurs et les goutes froides. Je me suis détesté !

 

La position que j’ai finie par adopter était penchée en arrière mais tête penchée en avant. Les goutes tombant sur le devant de mon crane me semblaient moins froides. Mon esprit commençait à oublier les goutes et mes neurones coquines s’enflammèrent. Un couple dominateur m’avait entravé dans mon garage pour me punir de ne pas avoir pu résister à l’envie d’uriner après des heures de SM. Puis, histoire de s’amuser, avait invité quelques amis, j’étais l’attraction. Pour s’amuser ils accrochaient des trucs à mes tétons ou me faisait boire histoire de tester l’efficacité de la couche… En clair des délires fantasmagoriques d’un mec en self bondage qui divague en attendant sa libération.

 

Au bout d’un moment, cette position est devenue inconfortable et quand j’ai voulu soulager mon dos, les chaînes se sont insérées entre mes fesses comme un string malgré la couche et se sont resserrées sur mon sexe. De fait, le plug m’empalait profondément et mon service trois pièces commença à réagir sous la pression. Le Popaul se mit au garde-à-vous mon délire s’orienta sur une pseudo sodomie. Sauf que mes tétons ne voulant plus jouer se rebellèrent un peu. La compil des sensations anales et la pressions sur mon sexe me permirent de transcender un peu la douleur mais les goutes castraient un peu les fantasmes. L’envie d’uriner est venue, je me suis laissé aller dans la couche prévue à cet effet sauf que compressée et malmenée la dite protection ne fut pas très efficace. L’urine se mit à couler sur ma jambe ce qui me permit de constater qu’en bougeant, j’ai fait craquer les bandes adhésives. Hormis bouger légèrement le bassin pour m’auto empaler plus rien ne pouvait me permettre de m’évader psychologiquement. C’est en m’auto empalant que j’ai attendu que le ice-timer libère les clés. J’étais épuisé, en sueur et j’aurai bien aimé faire une pause, mais la seule façon d’essayer d’oublier les pinces à seins lestées était de poursuivre. Je devais ressembler à une chatte en chaleur qui se frotte….

 

Lorsque les clés sont tombées devant mon visage, j’ai pu en un rien de temps libérer mes mains puis mes tétons. OUAOUFFFF ! Pour atténuer la douleur générée par l’afflux sanguin trop rapide j’ai plongé ma main dans la couche pour me branler. Non pas que je voulais jouir mais pour m’aider à transcender la douleur. La chose étant commencée,….. mes neurones réellement très embrumés m’ont presque forcé à aller jusqu’au bout. Lorsque la jouissance est arrivée, tout mon corps s’est mis à convulser. J’ai cru absorber le plug tant mon anus pris de spasmes s’ouvrait et se fermait. C’était titanesque et si je n’avais pas mis la ceinture autour de mon buste, je serais tombé.

 

Suspendu dans mon garage je n’irai pas jusqu’à dire que j’étais inanimé mais presque. Vidé de toute énergie, je suis resté un moment ainsi peut-être ai-je un peu dormi mais j’étais comme drogué. Les mouvements pour me libérer totalement furent délicats, la couche explosée ne protégeait plus rien mais je suis parvenu sans trop souffrir à remettre les pieds sur terre.

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL - Communauté : Auto-bondage self bondage
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