Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:09

L’idée m’est venue de rédiger un petit scénario ABDL avec autre chose que le ice-timer.

 

Autobondage ABDL avec cadenas à combinaisons à réaliser le soir

Durée : la nuit

 

MATERIEL :

1 Cadenas à combinaisons

1 Cadenas classique

2 Chaînes

2 couches + une culotte en plastique

Menottes

1 téléphone (Par sécurité)

 

AUTRES ACCESSOIRES POSSIBLES POUR LES VARIANTES

Suppo à la glycérine

Suppo laxatif

Pinces à sein ou autres

Plug anal ou autre (si vous n’utilisez pas le laxatif)

Ecarteur de cuisse/ culotte gonflable (Ou 3/4 couches non ouvertes dans la culotte en plastique pour vous empêcher de serrer les cuisses afin de dormir cuisses écartées comme un bébé)

Cage de chasteté (pour homme) en laissant les clés au bureau par exemple le vendredi en partant du travail….

Eviter les bâillons fermés, préférez un bâillon maintenant la bouche ouverte par sécurité.

Tenue de votre choix en fonction de vos inspirations et fantasmes.

 

LA TRAME

  • Passer une chaine dans la barre supérieure de votre sommier et attachez les menottes avec le cadenas dont vous connaissez la combinaison. (Vérifiez par prudence)
  • Passer une chaine dans la barre inférieure de votre sommier et posez le cadenas non fermé puis la clé aux PIEDS du lit pour quelle soit accessible quand vos mains seront libérées.
  • Laissez les volets ouverts ou entrouverts

 

Après le repas du soir quand il fait nuit :

 

  • Buvez 3 grands verres d’eau avant de vous coucher. (Si vous voulez jouer la totale, mettez-vous 2 suppos à la glycérine et 1 suppo laxatif et la cage de chasteté si vous avez pensé à laisser les clés au bureau)
  • Mettez une couche que vous percez à l’envers (le devant derrière) et la seconde couche normalement (les 2 couches permettent un plus gros volume de liquide)
  • Mettez une culotte en plastique.
  • (Tenue de votre choix en fonction de vos inspirations et fantasmes, le bâillon bouche ouverte, les pinces à seins, … tenues, petits trucs et délires donc vous avez envie et/ou l’écarteur de jambes)
  • PRENDRE un téléphone que vous placez à côté des menottes par sécurité. (On peut appeler les pompiers à l’aveugle en cas de gros soucis)
  • Assis dans le lit, attachez vos chevilles avec la chaine en vérifiant avant de fermer le cadenas que vous parviendrez à attraper les clés en vous penchant.
  • Couchez-vous (Aie si vous avez mis des pinces à sein, levez les bras va tirer sur les seins pour la suite)
  • Eteindre la lampe de chevet et posez-là sur le sol pour que vous ne puissiez pas l’attraper en faisant glisser la chaine. (Au cas où, hé hé, petit coquin)
  •  
  • Vérifiez que vous pouvez attraper le téléphone et si c’est bien le cas, fermer les menottes dont les clés sont par terre. (Ou dans le garage, la boite à lettre, au fond du jardin……)

Méditez, rêvez, fantasmez, vibrez et attendez que le soleil se lève pour pouvoir enfin lire les chiffres du cadenas afin de pouvoir l’ouvrir et vous libérer.

 

LE MATIN, ouf, vous pouvez ENFIN lire les chiffres du cadenas et vous libérer MAIS attraper les clés du cadenas maintenant vos pieds va vous obliger à gesticuler et faire des efforts en gardant les fesses ultras serrées si vous avez de grosses envies. Ceux et celles qui auront joué avec le laxatif auront peut-être de petits soucis pour ne pas fuir…..

 

Si vous avez laissé les clés de la cage de chasteté au bureau, patientez…..

 

VARIABLE POUR LES ADEPTES DE L’URO ET DU CACA COUCHE

Mettez un préservatif urinoir (avec un tube pour le relier à la poche d’urine) puis reliez-le à votre bâillon. Mettez-vous 2 suppos à la glycérine et 1 suppo laxatif.

Vous devrez pratiquer le recyclage du liquide….. si vous ne voulez pas salir votre lit.

 

Bon jeu et surtout prudence, vous êtes seul(e)

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Auto bondage et ABDL
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Mercredi 1 décembre 3 01 /12 /Déc 08:00

Il est actuellement impossible de poster des photos sur Overblog, désolé......

 

 

Petit délire bdsm et ABDL avec surprise de taille H

 

Louis, célibataire, 28 ans est un adepte des jeux et plaisirs ABDL et BDSM n’hésitant pas à rencontrer des personnes partageant les mêmes passions. L’accident est arrivé un samedi soir alors qu’il rentrait d’une soirée passée chez un couple d’amis très joueurs avec qui il délire régulièrement.

 

……………………..

 

La bouteille de champagne et les petits jeux SM terminés, Louis reçut la fessée promise toute la soirée avant de se retrouver étendu sur la table de la cuisine pour sa première surprise et recevoir son cadeau. Leur délire était au départ que Louis ne puisse toute la semaine jouer avec son « petit robinet ». Pour interdire l’accès aux mains coquines, il porterait sa cage de chasteté 24/24 avec un petit cadenas à combinaison acheté pour la circonstance par Paul. En cas de souci, il n’aurait qu’à appeler pour demander les chiffres et se libérer. Louis fut donc encagé comme convenu mais la surprise vint de Cécile arrivant avec une tenue d’infirmière, une poire à lavement en plus de la couche et une culotte en plastique neuve avec des motifs enfantins.

 

« C’est ton cadeau d’anniversaire, bébé, nous l’avons achetée pour toi, il faudra en prendre soin » lui avait-elle dit en lui faisant voir la culotte en plastique mais nous allons t’administrer un « dernier verre » pour la route et pour parfaire ton éducation. Louis inquiet et très gêné malgré leurs jeux habituels reçut son premier lavement sans rien dire avec la peur de fuir sur la table ou pire en se levant. Lorsqu’elle entreprit de lui mettre une couche sans qu’il ne puisse aller aux toilettes, il commença par refuser de prendre la route ainsi mais Paul lui rappela que s’il n’était pas sage, il porterait la cage de chasteté une semaine de plus. Bon gré, mal gré, il fut donc habillé sans pouvoir rejeter son lavement. Avant de fermer le pantalon, Cécile fit de gros bisous taquins à la culotte en plastique comme une maman jouant avec son bébé juste au dessus de la cage de chasteté….. Louis prit donc congé en serrant les fesses par peur de fuites intempestives.

 

……………………………….

 

Comme chaque soir, se garer près de chez lui est un calvaire. Il ne trouve une place de parking qu’à 400 mètres de chez lui. Alors qu’il marche tranquillement une moto arrivant à vive allure glisse sur un passage piéton et vient le faucher sur le trottoir. Il ne reprend connaissance, que lorsqu’un pompier s’occupe de lui. Malgré les demandes de ne pas bouger, il s’assoie, bouge et frotte ses jambes puis sa tête. Par chance, le bilan n’est pas catastrophique, son pantalon est déchiré, il n’a qu’une grosse bosse et quelques petites plaies superficielles.

 

Pendant que les pompiers chargent le pilote mal en point dans un VSAB, la peur que l’on découvre sa tenue et sa cage de chasteté le mine mais les pompiers insistent pour l’embarquer malgré ses réfutations par prudence suite à sa perte de connaissance.

 

Arrivé à l’Hôpital, il est pris en charge par un interne lui demandant de se déshabiller et de s’étendre sur une table d’osculation. Mort de honte, Louis refuse l’interne en le voyant rougir le rassure en lui indiquant qu’aux urgences ils ne sont pas regardant sur ce qu’ils trouvent sous les vêtements. Allant de surprises en surprises, l’interne terriblement joueur et taquin s’amuse de la gêne de son patient sans pour autant le juger. Le fait qu’il ait fait dans sa couche l’inquiète car la perte de connaissance n’est jamais anodine. Blême, Louis lui avoue qu’il a reçu un lavement mais l’interne n’en démord pas, son cas peut être bénin comme il peut être sérieux. Histoire de faire des surprises aux infirmières, l’interne, voyant que son patient semble en bonne santé, décide de s’offrir un petit délire.

 

- Je vais vous garder en observation jusqu’à demain. On va vous mettre une couche, si demain elle est propre et que vous êtes en forme, vous pourrez partir.

 

Pince sans rire, l’interne, envoie une jeune infirmière pour laver le patient et lui mettre une couche en lui indiquant de le monter ensuite en salle d’observation. Mort de honte, Louis propose de se laver seul mais l’infirmière curieuse refuse catégoriquement. Très professionnelle, elle met des gants puis lave plus que de raison l’entrejambe en déplaçant la cage de chasteté pour bien nettoyer avant de lui mettre une couche et de l’inviter à prendre place sur un brancard.

 

- Voilà, vous ne bougez plus et vous êtes sage ! On va venir vous chercher. Lui dit-elle en sortant.

 

L’histoire de l’encagé en couche a déjà fait le tour du service des urgences, les cancans et rires vont bon train. En le plaçant en salle d’observation plutôt qu’en chambre, l’interne offre une « tranche de rire » à son équipe à laquelle il indique qu’ils et elles peuvent aller surveiller de près ce patient et changer la couche même si elle est propre sous prétexte de vérifier qu’il n’ait plus de perte.

 

Jamais au grand jamais, un patient en bonne santé n’a été autant surveillé et changé.

 

TSM

 

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Samedi 30 octobre 6 30 /10 /Oct 06:45

Une femme découvre des choses, furieuse elle attend son mari de pied ferme. La suite ne sera pas tout à fait celle espérée par son époux.

 

La basketteuse furieuse

 

Lorsqu’il pénètre dans le salon le lundi 17 mai 2010, à la mine furieuse de sa femme Jean sent immédiatement qu’il va y avoir le feu. Après 20 ans de mariage, il y a des choses que l’on comprend sans même qu’un mot ne soit échangé. chastity.jpg

 

- Qu’est-ce qu’il se passe ma puce ?

 

- J’hésite entre demander le divorce ou te massacrer ou les deux !

 

Informaticienne passionnée mais aussi basketteuse semi-professionnelle, avec son mètre quatre-vingt-douze et sa forme physique, si Marize décidait de se battre avec son mari, ce dernier ne ferait pas le poids. Il est mince, mesure un mètre soixante-cinq et ne pratique aucun sport. S’ils se sont trouvés des affinités il y a 22 ans, leur différence de taille attire les regards mais il s’en moque, ce qu’il aime par-dessus-tout c’est qu’elle le domine sexuellement. Entre ses mains, il réalise partiellement quelques fantasmes de soumission sexuelle quand ils font l’amour. Maryse a toujours refusé de donner dans le SM, hormis le bousculer ou au pire le fesser, elle n’entre pas dans ses délires même si elle se plait à le bousculer un peu sous la couette. Le jeu de la cage de chasteté dans lequel il l’a entrainée il y a deux ans, ne l’a amusée qu’un temps.

 

- Qui est cette fille que tu appelles nurse Helena et à qui tu files du fric ? D’ailleurs, qu’est-ce c’est que ce compte bancaire caché ? Depuis quand mènes-tu une double vie ? Hurle Marize en bondissant de son fauteuil pour se précipiter vers son mari. Tu me fais cocue depuis quand ? Lui-dit-elle en l’attrapant par le col de sa chemise.

 

- Je ne t’ai jamais trompée, calme-toi ! Crie Jean malmené et sur la pointe des pieds, presque soulevé par sa femme déchainée. Je vais t’expliquer.

 

- Et puis c’est quoi ces histoires que tu inventes où je te forcerais à porter des couches ? Tu es malade ou quoi ? Assume tes fantasmes, dit que tu aimes porter des couches c’est plus honnête. Depuis quand en portes-tu ? Tu fais ça quand ?

 

- Pendant tes entrainements ou tes matchs. Répond Jean très gêné.

 

Jeté dans le canapé par sa femme furieuse et déchaînée, Jean n’en mène pas large. Il lui demande de s’asseoir et de se calmer, il va tout lui avouer. Les mains jointes presque comme au confessionnal, il commence par jurer qu’il ne l’a jamais trompée puis entreprend de dévoiler ses plaisirs et délires ABDL. Maryse pose 1000 questions en tournant autour de lui sans parfois même lui laisser le temps de répondre. La dispute est sévère, oui, il a payé une femme pour qu’elle lui mette des couches, qu’elle le change et lui donner des fessées. Oui, elle l’a fait dormir entravé et en couche mais jamais au grand jamais ils n’ont eu de rapport sexuel et ne se sont embrassés. Ce n’est pas de l’amour ou du sexe, c’est du nursing lui permettant de réaliser ses fantasmes.

 

La dispute dure tard dans la nuit, le fait qu’il ait ouvert un compte bancaire sur internet et détourné de l’argent du ménage pour payer une femme ne passe pas plus que le fait qu’il aille voir une autre femme pour réaliser ses fantasmes. Dans sa rage, elle l’obligé à lui faire voir où il cache ses couches et découvre des tenues de bébé adulte, des culottes en plastiques, des menottes. Pendant des années, elle est passée dans le garage devant la grosse cantine près de l’établit sans jamais retirer les outils posés dessus pour voir ce qu’il y a à l’intérieur.

 

Vers deux heures du matin, Marize va prendre une douche et se couche en envoyant son mari dormir sur le canapé. Le lendemain, la colère fait encore rage, les portes claquent, les mots grossiers fusent, le verbe est très haut. En quittant la maison, elle lui indique qu’elle ne sait pas encore ce qu’elle va faire. Pour essayer de se faire pardonner, toute la journée il lui envoie des mots d’amour par texto, puis des excuses et tentatives d’explications par emails, ses messages restent tous sans réponse.

 

Au bureau, les pensées de Marize s’entrechoquent, elle passe de la colère au doute, puis à l’incompréhension. Elle sent bien que les mots d’amour de son mari sont sincères et qu’il est malheureux. « A-t-il fait ça parce que je ne le domine pas comme il voudrait ou est-ce parce qu’il compense psychologiquement ma stérilité en jouant au bébé » ?  Cette question la mine et sauvera leur couple, mais cela ne sera pas sans conséquences.

 

48 HEURES PLUS TARD

 

Lorsqu’il pénètre dans la maison, à la mine de sa femme Jean sent immédiatement qu’il va se passer quelque chose de grave. Sur la table basse du salon, bien en évidence sont posés sa cage de chasteté, ses couches et ses tenues. Elle lui ordonne d’aller s’asseoir et d’attendre qu’elle arrive. Les yeux battus la mine triste et les joues blêmes, Jean s’exécute comme un condamné au tribunal en étant convaincu qu’elle va soit le virer lui et ses jouets, soit lui demander de tout bruler.

 

- J’ai pris ma journée pour réfléchi, craquer tous les codes minables des dossiers cachés sur ton ordi que j’ai pris le temps de fouiller et je vais te proposer deux choix. Soit nous divorçons mais avec un divorce où tu prends tous les tords, de toute façon il y a assez de preuves pour convaincre un juge que tu es dépravés et que tu me trompes, soit tu mets ta cage de chasteté et tu deviens réellement mon soumis. Dans ce cas, tu feras tout ce que JE veux, tu ME donneras les codes de ton compte bancaire que JE vais fermer et tu me donneras ta carte bleue. Tu as une minute pour décider.

 

Tout cela est dit d’une voix chargée de rage avec un doigt inquisiteur pointé sur lui. Si la cage de chasteté et la soumission masculine comptaient des fantasmes de Jean, l’être réellement en permanence ne l’amuse pas. Ses yeux mouillent puis se mettent à couler mais cela n’apitoie pas sa femme. Convaincu que s’il accepte elle lui fera payer ses erreurs mais que cela ne durera pas, Jean lui indique qu’il l’aime, qu’il ne peut se passer d’elle, que ce serait terrible pour lui qu’ils divorcent mais que les conditions qu’elles lui imposent sont draconiennes.  

 

- Il te reste 10 secondes. Est la seule réponse de Marize.

 

- J’accepte ma chérie pour te prouver que je t’aime comme un fou. Crois-moi, je ne t’ai jamais trompée.

 

- Tu as juste trompé ma confiance, tu m’as juste menti, nous n’avons pas la même vision de l’amour. Met-toi nu et mets ta cage de chasteté.

 

Jean est blême, à la limite d’exploser de rage mais pour sauver son couple il va abdiquer et se soumettre à la femme qu’il découvre malgré leurs 20 ans de mariage. Se mettre nu devant sa femme en temps normal ne lui pose aucun problème, présentement, la démarche est différente, il est très gêné mais s’exécute. Si en d’autre temps, mettre sa cage de chasteté générait en lui une sourde excitation, cette fois, il n’y a pas d’urgence, sa verge restera basse et mole.

 

- Bien, donne-moi la clé et met-toi en couche puis une de tes tenues devant moi que je vois à quel point tu es ridicule en bébé.

 

Mort de honte avec les yeux embués de larmes, Jean abdique encore une fois. Ses gestes pourtant réalisés mainte et mainte fois sont gauches, pour mettre sa couche il doit s’y reprendre à deux fois. La mort dans l’âme, il enfile une culotte en plastique puis le body rose pour lequel il a en d’autres temps tant fantasmé puis éprouvé du plaisir à le mettre quand elle partait le week-end pour des matchs de basket. Inébranlable Marize ne bouge pas d’un cil en prenant plaisir à voir Jean qu’elle tyrannise totalement déconcerté.

 

- Maintenant donne-moi les codes d’accès à ta banque et va faire à manger !

 

- Nous pourrions peut-être parler un peu, boire un verre, ….

 

- Non ! Dit Marize en le coupant net. Arrête tes mièvreries donne-moi les codes des sites et de la banque immédiatement et va faire à bouffer.

 

Marize n'est pas prête à disconvenir sur quoi que ce soit. Sa rage intérieure ne le lui permet pas alors que dans ses habitudes et sa façon d’être, elle prêche volontiers la discussion et les compromis.

 

Jean lui indique ses codes et tourne les talons et dans un élan de colère bien visible, s’enfuit à la cuisine avec des pensées qui ne sont pas sans quelques oppositions avec le statut qu'il vient d’accepter. De son côté, Marize est aussi étonnée de voir son mari céder que de ses propres actes. Elle n’aurait jamais pensé avoir le courage d’aller jusqu’au bout. En le voyant s’enfuit à la cuisine, un étrange sentiment de puissance la submerge. Elle en bondit presque du canapé pour foncer à l’ordinateur de son mari. En informaticienne douée, virer les fonds sur leur compte commun ne prend que quelques minutes tout comme imprimer le document à envoyer en recommandé pour fermer le compte bancaire. Dans sa lancé, prise par le sentiment de puissance gagnant en intensité, elle met un code à son ordinateur pour l’empêcher d’y accéder sans son accord. Elle se rend ensuite en jubilant à la cuisine pour martyriser son mari quelle aime toujours malgré ses découvertes ahurissantes et révoltantes.

 

- Tu es beau comme ça en gros bébé ! Lui dit-elle en se lovant contre lui pour masser l’entrejambe protégé par la couche. Pourquoi as-tu pris ce body de couleur rose ? Les garçons, c’est en bleu.

 

- Il n’y avait pas de bleu. Répond Jean totalement dépassé par les évènements et en totale perdition psychologique au contact des mains de sa femme sur sa couche.

 

Le repas du soir de chez Vivagel, est consommé sans trop d’échanges, l’heure n’est pas propice aux dialogues. Pendant l’émission de variété, Jean tente un rapprochement physique de son épouse en venant se coucher contre elle dans le canapé. Hormis le contact physique qui en d’autres temps si ce n’était la tenue de Jean, ferait penser à un couple d’amoureux, il ne se passe rien. Ils sont aussi gênés l’un que l’autre. Au moment d’aller se coucher, alors qu’il s’apprête à entrer aux toilettes, elle le coupe dans son élan en lui indiquant qu’il n’a pas l’âge d’aller à cet endroit. Si la boutade était humoristique, elle ne le laisse pas pour autant faire son pipi du soir et l’oblige à se coucher immédiatement. A peine ont-ils éteint la lumière, que Marize l’enlace et passe sa jambe par-dessus les siennes. Si l’idée de Jean était de se relever pour aller faire ses besoins lorsqu’elle dormirait, présentement, si elle ne bouge pas d’elle-même il sait qu’il ne pourra pas s’esquiver.

 

Marize est tombée follement amoureuse de Jean très rapidement lorsqu’ils se sont rencontrés. Sa douceur, sa gentillesse, son humour l’ont comblée. Si son plus gros regret est de ne pas pouvoir avoir d’enfant, Jean ne le lui a jamais reproché même les fois où ils se sont disputés. Hormis cette histoire de sexualité dépravée et le fait que pour la vivre il ait détourné un peu d’argent du ménage en arrêtant discrètement le sport en salle, il a toujours été adorable et attentif. Marize se remet secrètement en cause, peut-être a-t-elle une part de tord elle aussi, car elle n’a pas vraiment répondu aux désirs de son mari contrairement à lui, qui la gâte plus que de raison. Le sommeil ne venant pas pour l’un et l’autre, ils se mettent à parler. Maryse veut savoir, comprendre ce que recherche Jean dans ses jeux, les raisons et plaisirs de a couche en lui demandant si c’est parce qu’il n’a jamais eu le fils qu’il rêvait d’avoir.

 

Devant la douleur et les regrets éprouvés par Marize à cause de sa stérilité, Jean décide de parler sans pudeur de ses fantasmes et délires pour qu’elle ne culpabilise pas à tord. Les discussions durent jusque tard dans la nuit, et pour lui faire plaisir, elle joue avec la couche et le caresse à travers les épaisseurs ouatées. Dans la cage de chasteté, le Popaul de Jean en pleine crise d’affection est compressé, il la caresse et l’embrasse tendrement en lui demandant pardon. Le sommeil finit par cueillir les tourtereaux enlacés.

 

Vers deux heures du matin, Jean ne tient plus, son envie d’uriner est trop pressante, Marize tirée du sommeil et donc de mauvaise humeur, le bloque aussitôt et lui interdit de se rendre aux toilettes. Ce sera pour Jean très gêné un premier pipi au lit d’adulte à côté de sa femme et pour elle un grand moment de jouissance psychologique que de se venger en utilisant les fantasmes de son mari. Si l’adage dit que la nuit porte conseil, ce sont de drôles de conseils pour Marize qui se remémore certains passages des textes rédigés par son mari où il l’a décrit comme une Maîtresse sévère abusant de son soumis amoureux. Les changements vont être notables !

 

Depuis le mardi  18 mai Jean va travailler sans couche mais en gardant sa cage de chasteté dont elle garde la clé comme ils l’ont fait par le passé quand ils jouaient un peu. Le soir, pendant qu’elle surfe sur l’ordinateur familial, il doit faire le repas ce qui est nouveau pour lui. Tous les soirs, elle l’oblige à mettre une couche et son body avant de se coucher. L’effet cage de chasteté se fait sentir, cela fait maintenant quatre jours qu’il la porte en permanence. Son sexe, devient chaque jour, chaque nuit davantage, le siège de désirs impérieux.

 

CHANGEMENT PSYCHOLOGIQUES

 

Les dispositifs de chasteté rendent les hommes amoureux, tendres et câlins. Ces changements ne sont pas volontaires ni des tentatives de manipulation affective pour essayer d’obtenir une libération mais par effet ricochet sur le plan psychologique. L’absence d’éjaculation n’est pas la seule clé de voute de ces changements, le fait d’avoir en permanence le sexe prisonnier et de laisser l’autre gérer son sexe affecte lourdement les sentiments en les décuplant tout autant que les envies de contacts.

 

De fait, Jean devient follement amoureux de sa femme qu’il câline, papouille sans même qu’elle ne lui demande. Ses étreintes câlines sont aussi fortes que celles du début de leur vie de couple.

 

Marize n’attribue pas ses élans affectifs de plus en plus généreux à la cage de chasteté mais aux couches et tenues ABDL qu’elle lui impose chaque soir. Elle est intimement convaincue que sa stérilité est une des causes de ses déviances sexuelles et qu’il a besoin à la fois d’une femme mais aussi d’une mère puisqu’il se complait à porter des couches et autres tenues comme les bébés.   

 

En même temps, ne pas avoir d’enfant la travaille, elle n’a jamais fait son deuil de ne pouvoir procréer. Le fait de sentir son gros bébé ultra câlin contre-elle la nuit la profondément perturbée en réactivant les regrets. Quelques symptômes de dépression l’affectent, elle porte en elle un sentiment de culpabilité, vis-à-vis de son mari.

 

Si lui accorder la possibilité de vivre ses fantasmes d’infantilisation peut le rendre heureux, je me dois de l’aider à les vivre, plutôt que de lui faire des scènes de ménage, pense Marize.

 

Entre deux emails professionnels, un massage attire l’attention de Jean.

 

 


De : Maryse@free.fr [mailto:Maryse@free.fr]
Envoyé : vendredi 21 mai 2010 12:48
À : jean.marcy@free.fr'
Objet : l’amour

 

Mon amour,

 

Depuis ma découverte, je suis passée de la déception à la rage en passant par la haine mais j’avais bien tord et je te prie de m’en excuser. Ces derniers jours j’ai pris conscience de certaines choses, de tes envies, de tes fantasmes et des troubles qui te minent. Je sais que tu m’aimes et je ne pense pas que tu m’ais trompée au sens propre du terme même si tu as quand même mis un coup de canif dans le contrat. Je sais maintenant pourquoi tu as fait ça et je te promets de tout faire pour te rendre heureux.

 

J’arriverai un peu plus tard ce soir à la maison, ne te fais pas de souci et prépares-nous un bon dîné, j’ai une surprise pour toi

 

Je t’aime

 

………………………..

 

Cet email perturbe les neurones embrumés de Jean profitant d’être seul au bureau pour surfer sur http://www.abkingdom.com/. Son sexe encagé compressé suite à la vision d’images érotiques ne lui permet pas de s’interroger sur ce changement soudain d’attitude. A fond dans ses fantasmes, il lui répond aussitôt qu’il l’aime comme il ne l’a jamais aimé et signe « ton bébé d’amour » ce qui conforte aussitôt Marize dans ses pensées déprimantes.

 

A la sortie de son travail, Marize se rend dans un magasin de puériculture pour faire quelques achats puis passe à la pharmacie pour acheter de grosses couches pour personne incontinente. En arrivant à la maison, elle dépose discrètement ses surprises dans le garage avant de rejoindre son mari aux fourneaux. De tendres baisers d’amour sont échangés, les étreintes ressemblent à celles d’adolescents follement amoureux qui se retrouvent. A la fin du repas, Marize aide Jean à débarrasser avant de le conduire à la salle de bain. Elle fait couler un bain et lui retire ses vêtements avec douceur. Jean en manque affiche aussitôt une érection digne de ce nom mais son sexe encagé ne peut déployer toute sa vigueur et tire douloureusement sur ses testicules. Lorsqu’il la voit prendre à son cou la clé de sa cage de chasteté, le gros bébé est submergé par des envies d’adultes……

 

Troublée par l’effet qu’elle génère, Marize s’imagine que son mari son mari est excité parce qu’il est lavé comme un bébé ce qui la conforte dans sa culpabilité. Bien décidée à se faire pardonner en compensant sa stérilité elle va lui offrir un week-end de rêve. Jean enveloppé d’un drap de bain est conduit à la chambre où il doit s’étendre sur le lit et attendre sans bouger. Deux minutes plus tard, Marize vêtue d’une blouse blanche entre avec ses paquets à la main troublant son bébé particulièrement surpris. La nurse lui fait voir qu’elle a pensé à lui et passe du lait de bébé autour du sexe bandé à rompre pour finir la toilette. Elle déchire plus qu’elle ne l’ouvre le paquet de grosses couches pour en extraire une qu’elle pose sous les fesses de Jean troublé et rouge comme une écrevisse. Après l’avoir talqué, elle essaye de remettre la cage de chasteté mais loger la verge gorgée de désir ne le permet pas. Une lutte acharnée viendra à bout du Priape frustré au bout de quelques minutes.

 

Lorsque la couche est fermée et une culotte en plastique enfilée Marize plonge sa main dans un gros sac pour en extraire un paquet cadeau qu’elle tend à Jean surpris de tant de changements. Il s’empare du paquet qu’il déchire aussitôt pour découvrir une grenouillère. Ses yeux mouillent de joie plus pour le geste que le cadeau, il l’attrape sa femme prestement pour l’étreindre et l’embrasser comme un fou. Les moments de tendres émotions passés, il enfile la grenouillère, Marize remonte la fermeture éclair dans le dos du vêtement puis se jette sur son bébé pour le manger de bisous.

 

La perte de contrôle de son corps, dans ses fonctions les plus intimes, font perdre de vue à Jean la réalité de la possession dont il devient la victime. Il est monstrueusement amoureux et heureux que son épouse partage ses délires ABDL. Ils ne regardent pas la télévision et passent la soirée à se papouiller, à se câliner. Marize cède aux envies de sexe de son mari et se laisse à son tour manger de bisous d’amour jusque dans son intimité. La fougue de Jean ne laisse pas son épouse de marbre, elle feule, se cambre, s’offre à la langue de virtuose titillant sa perle sanguine exposant sa volonté d’être lutinée. Marize feule de plus en plus fort en tortillant son corps puis exhale un incroyable soupir cisaillant presque le cou de son mari lorsque sa jouissance arrive.

 

Cette titanesque série de contractions la surprend, la pousse presque à hurler son plaisir. Rompue et repue, elle s'écroule sur le lit. Elle du mal à respirer tant la jouissance avait été longue et forte. Jean lui caresse le dos, les épaules, la nuque, les cheveux en déposant des baisers sur chaque parcelle de son visage. Cette torride soirée, les réactions de son corps et de cette de son mari la confortent dans ses décisions : elle se doit de dominer son bébé pour qu’ils soient heureux.

 

Tendrement enlacés, ils échangent quelques mots après avoir éteint la lumière. Lorsqu’il lui explique que sa frustration physique lui fait vivre des sensations méconnues d’une puissance rare, Marize déjà perturbée par l’analyse des évènements et de sa si forte jouissance interprète ses propos comme une volonté d’être son bébé chaste pour la vie et qu’elle est dans la bonne voie pour rendre son mari heureux.

 

Au petit matin, bien décidé à poursuivre l’action entreprise pour combler son mari, Maryse se lève avant Jean pour lui préparer un biberon de café. Tiré du sommeil par des caresses et mots doux, il se blottit contre son épouse qui l’attire sur elle. Lorsqu’il sent quelque chose sur ses lèvres, il ouvre les yeux et découvre le biberon. Mi-amusé, mi-gêné, il joue le jeu et le prend en bouche pour téter. Si les jeux avec les couches et la cage de chasteté comptent de ses fantasmes, être totalement infantilisé ne l’amuse pas vraiment mais il ne dit rien.

 

Marize ne lui accorde pas le droit de se lever et lui impose de rester couché. Jean essaye bien de se rebeller un peu puis explique à son épouse qu’il a envie d’aller aux toilettes. Elle refuse catégoriquement et lui rappelle qu’il a une couche pour ça. Un rapport de force s’installe, elle ne cédera pas et veut lui offrir un week-end ABDL. Si pour Jean, boire un biberon était acceptable, déféquer dans une couche ne l’est pas. En nurse autoritaire, Marize le menace en lui promettant une fessée s’il continue ses caprices et de l’attacher si besoin est pour l’obliger à vivre ses délires de bébé jusqu’au bout. Pour asseoir ses propos, la basketteuse semi-professionnelle couvre aussitôt son mari d’un mètre quatre-vingt-douze de femme décidée et en pleine forme physique. La lutte est inégale, Jean avec son corps mince et son mètre soixante-cinq ne fait pas le poids quand en prime elle entreprend de lui faire des chatouilles.

 

Comme deux enfants jouant dans un lit ils s’affrontent entre deux bisous et crises de rire. Bien décidée à le faire plier, Maryse entreprend d’entraver les mains de son bébé avec la ceinture de son peignoir. Couché sur le ventre et écrasé par le poids de sa femme, Jean poignets liés dans le dos ne peut que râler pour la forme parce qu’en même temps, cette domination l’excite monstrueusement.

 

Marize perçoit clairement au son de la voix de son mari qu’il n’est pas vraiment fâché. Le corps à corps et les évènements l’excitent bien plus qu’elle ne l’aurait imaginé. Décidant plus pour « voir » que pour pousser sa domination elle ordonne à son mari de lui faire une « gâterie ». Pris dans le jeu des rapports de domination soumission et avec la verge si bandée qu’elle malmène la cage de chasteté et ses précieuses, Jean abdique aussitôt et passe tan bien que mal sous la couette. Cette soumission passionnelle est grisante pour Marize tout émue de voir son époux heureux.  Lorsqu’il pose ses lèvres sur son intimité, Marize frisonne de plaisir, le premier coup de langue lui fait l’effet d’un électrochoc. Pourquoi avoir attendu si longtemps pour le dominer et être passé à côté à côté de tant de plaisir est la question qu’elle se pose.   

 

Pleinement investi dans sa mission, Jean fond, craque, la cage de chasteté masculine lui apporte, à travers l’épreuve du temps et l’attitude de sa maîtresse d’amour un « voyage » mental extrême et des réactions physiques proches de l’orgasme sexuel. Il se frotte sur le lit en même temps qu’il lui titille le clitoris comme pour apaiser le feu de son excitation. Le voir agir comme une chatte en chaleur trouble Marize de plus ne plus, sa tête est en ébullition, son ventre est traversé de spasmes de plus en plus intenses. Ses muqueuses semblent incandescentes. Prise dans le tourbillon d’un plaisir nouveau, elle attrape Jean par les cheveux et force sa tête entre ses cuisses comme si elle voulait l’y faire entrer dans un sentiment de fusion extrême jusqu’à une jouissance paroxystique qui la dépasse. Jamais au grand jamais avec cette épreuve, elle n’avait atteint de pareil sommet.

 

Repue de luxure, épuisée, elle serre les jambes pour qu’il ne bouge plus et se laisse aller à une douce somnolence. Jean étouffe un peu sous la couette, mais il n’ose bouger. Faire pipi et déféquer dans ma couche quelle honte se dit-il mais cette honte est trop délicieuse pour  résister. Il se laisse aller à uriner et à laisser s’échapper un peu de matière fécale avant de se reprendre et de serrer les fesses comme un fou. Tout honteux, il essaye de se soustraire des jambes de Maryse qui l’y bloque aussitôt.

 

- J’étouffe ! Crie Jean

 

Marize le libère aussitôt mais l’attire à lui pour l’embrasser à pleine bouche et lui dire combien elle l’aime. Entre deux baisers fougueux Jean demande à se rendre aux toilettes mais la tortionnaire de son cœur le lui refuse à nouveau. En colère, il menace de tout faire dans sa couche si elle ne le libère pas aussitôt.

 

- Et alors, c’est fait pour ça non ? Lui répond Marize insensible à sa gêne.

 

- C’est dégueulasse !

 

- On s’en fiche mon bébé, maman s’occupera de toi après, fait dodo.

 

Ce n’est que vers 11 heures que Maryse émerge pour constater que Jean n’est plus avec elle. Furieuse, elle se lève aussitôt pour le trouver dans la cuisine en train d’essayer de couper la ceinture de son peignoir avec un couteau.

 

- Tu es fou, tu risques de te blesser. Vient, je vais te libérer.

 

Jean se tourne aussitôt pour lui donner le couteau. Elle se bagarre avec la ceinture un moment parce qu’en forçant sur le nœud il s’est serrée. Lorsqu’elle parvient à le libérer, elle se rend aux toilettes dans lesquels elle s’enferme à clé. Jean trépigne d’impatience devant la porte en la suppliant de se presser mais Marize n’en a que faire, elle ne sortira que lorsqu’elle aura terminé son mot croisé.

 

Il peste, rage, supplie mais en vain, cuisses et fesses serrées, il attend devant les toilettes quand soudain elle lui crie à travers la porte qu’il n’y a plus de papier WC. Et là, trop heureux de pouvoir se venger un peu, Jean se moque en lui disant que maintenant, c’est elle qui est dans la merde et qu’elle va devoir le supplier pour qu’il aille en chercher. La porte s’ouvre soudain, le mètre quatre-vingt-douze et la musculature de la basketteuse au visage amusé bloque le passage.

 

Alors comme ça, tu te moquais, ah nous deux ! Lui dit Marize en lui jetant un rouleau de papier toilette neuf qu’il attrape à la volé. Elle se jette sur lui avant même qu’il ait le temps de réagir pour l’attraper à bras le corps et le soulever. Les jambes de Jean dans le vide battent l’air, il crie « non s’il te plait » mais en vain, elle le porte jusqu’à leur chambre pour le jeter sur le lit. Elle réalise un plaquage digne d’un rugbyman puis lui fait des chatouilles. La lutte fait rage, mais lorsque l’on rigole et se bagarre, on force …… Le gros bébé se lâche puis se répand dans sa couche en criant « stop ». Prise par le jeu, Marize continue un moment malgré mes cris de plus en plus colériques. Quand ces derniers commencent à devenir méchants, elle lui clos la bouche d’un gros baiser fougueux.

 

- Je t’aime !

 

- Je te déteste ! Lui répond Jean essoufflé, gêné mais calmé.

 

- J’ai envie de toi, va vite te changer puis te laver et vient me faire l’amour.

Trop heureux Jean fonce aux toilettes, il en a de partout et râle. La douche lui fait un bien fou mais il ne s’éternise pas trop heureux de pouvoir enfin jouir.

 

Libéré de sa cage, il est happé par sa femme à peine est-il sur le lit pour être dévoré. Marize lui interdit de jouir lorsqu’elle le sent « monter » mais ne se prive pas de plaisir en le chevauchant comme une folle. Assise sur lui, elle savoure sans bouger les dernières contractions puis s’allonge pour l’embrasser goulument, comblée et heureuse. Le Popaul au garde-à-vous prêt à partir en manœuvre, Jean attend la suite avec impatience.

 

- Hum, tu étais gros, dur, c’était bon…… Maintenant, tu vas remettre ta cage et une couche, on va au resto.

 

- Et moi ?

 

- Toi, tu vas rester mon bébé chaste, puisque tels étaient tes envies, qui finalement m’amusent beaucoup.

 

Ce n’était pas tout à fait ce qu’attendait Jean mais malgré tout, il est heureux. Ses rêves et fantasmes se réalisent, sa femme devenue sa Maîtresse et nounou l’aime, que demander de mieux ? 

 

TSM

 

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Mardi 12 octobre 2 12 /10 /Oct 07:05

Sac de bondage ABDL et aventure (réelle)

 

Je me suis offert ce sac de couchage particulier pour jouer ABDL et délire. C’était d’après moi quand je l'ai commandé presque un sac de bondage avec des manches fermées. Lorsqu’il est arrivé, je l’ai fait voir à mon épouse qui l’a même essayé (j’ai une vraie perle d’Amour). Après 2 ou 3 petits câlins tendres, nous avons rangé la chose pour cause d’obligations. ET merde, je l’aurai bien essayé moi…. Snif snif.

 

Sac de couchage plastique

 

Le lendemain matin, je me suis réveillé de bonne heure comme d’habitude vers 5 heures. A peine levé, l’envie d’essayer le sac de couchage me tenaillait. Je m’enfile une couche et CP entre donc dans ce sac de couchage étendu sur le sol de la cuisine qui est la pièce la plus éloignée de la chambre pour ne pas réveiller ma femme.

 

Le plastique très épais et de multiples épaisseurs fait presque de ce sac de couchage un véritable sac de bondage ABDL car l’usage des doigts est impossible. Pour fermer ou ouvrir la fermeture éclair, le fabriquant a prévu un cordon en tissu. Sans cordon, il est impossible d'en sortir seul.

 

J’entre donc dans le sac, je me bagarre avec le cordon pour le fermer mais devant la difficulté, je décide de jouer la prudence et de ne pas monter la fermeture éclair jusqu’en haut. Bien m’en a pris car pour en sortir j’ai un peu galéré.

 

SURPRISE !

Ma femme débarque furieuse dans la cuisine en m’incendiant à cause du bruit que je faisais et qui venait de la réveiller. Encore assis sur le sac, j’avais l’air d’un c….. Ses propos ont été à peux près les suivants :

- Tu fais chier avec faire autant de bruit au milieu de la nuit. Lève-toi, prend ton sac et vient te coucher.

 

Réveiller ma femme au milieu de la nuit n’est pas sans risque de ce faire engueuler « grave » et sans conséquence. Le sac de couchage posé sur le lit, j’ai du au pas de course y entrer en me faisant traiter de fou et autres qualificatifs, elle remonta la fermeture éclair jusqu’en haut et coinça le cordon dans le col qui se ferme avec un velcro. Elle éteignit la lumière et se coucha en m’ordonnant de dormir.

 

Si nous avons l’habitude de jouer SM, ABDL et délires en tous genres, sa façon de fermer le sac était limite « brutale » tant elle était furieuse. Etant frileuse, comme beaucoup de femme, elle remonta un peu plus tard le dessus de lit sur elle et sur moi. Et là, en moins de 10 minutes le sac déjà chaud est devenu un véritable sauna ! Je ne transpirais pas à grosses gouttes, NON, je coulais l’eau au sens propre du terme dans un sac neuf qui s’est mis à puer le plastique neuf et la transpiration. Berk ! Toutes mes tentatives pour ouvrir le cordon sans les doigts étaient bruyantes et sans résultat.

 

Elle a fait la grâce mâtinée et comme je ne me suis pas aventuré à la réveiller une seconde fois j’ai perdu 2 kilos ! 

 

TSM

 

P.S. les photos du sac sont celles du vendeur mais d’ici quelques temps, nous posterons les photos de nos aventures avec notre nouveau jouet que je recommande aux adeptes des jeux de contraintes et de couche car ce sac protègera votre lit d'éventuelles fuites.

Vous pouvez le trouver sur ebay. Le vendeur est : lollypop*dream

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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Mercredi 30 juin 3 30 /06 /Juin 09:40

Je hais les canapés

30 juin 2010

 

Des éclats de rire me réveillent. En moins d’une fraction de seconde je prends conscience de la dramatique de la situation. Normalement, elle devait déjeuner avec une copine et aller faire du shoping à Montpellier alors j’en ai profité pour me faire une petite séance de self bondage en couche. Lorsque je suis parvenu à me libérer, au lieu de me changer et de tout ranger je me suis étendu dans le canapé pour regarder le match. Quel con !

 6.jpg

Les canapés, me font dormir, cela en est parfois gênant au point que chez des amis, je prends bien souvent une chaise. Là, ce qui m’arrive est bien pire que de m’être assoupi.

Si ma femme est une véritable Perle d’Amour dans la vie et que nous nous adonnons avec grand plaisir à de multiples délires BDSM et ABDL, j’imagine sans aucun doute possible qu’elle doit être furieuse que notre vie privée soit dévoilée à sa copine. Que faire ? Que dire ? Rien, ne rien dire, attendre tout honteux en me morfondant pour voir ce qu’il va se passer et comment elle va réagir.

- Tu l’avais attaché avant de partir ? Lui demande sa copine entre deux rires débiles.

- Non, non, il s’est amusé tout seul.

Avec sa flegme habituelle, mon épouse propose un café à sa copine comme si de rien n’était, me laissant à penser que je vais pouvoir foncer à la salle de bain pour me changer.

- Toi, tu ne bouges pas ! Me dit ma femme d’un ton sec en me voyant prêt commencer à me lever.

  Soudain, elle se ravise, prend les menottes que j’ai laissées sur la table et m’oblige à passer les mains dans le dos pour m’entraver les poignets. Oh putain con, là, ça craint. Si dans nos jeux de domination soumission je me délecte à m’abandonner à ses délires, présentement un gigantesque sentiment de honte et l’envie de fuir remplacent les plaisirs d’habitude éprouvés. En l’entendant dire « surveille-le, je vais faire du café » mon sang se glace dans mes veines parce qu’avec tout ce que j’ai sur moi et en moi, mon humiliation ne fait peut-être que débuter.

  Aussi jolie soit-elle avec ses cheveux blonds bouclés à la Marilyn, sa garce de copine semble se délecter de mon mal être. Elle me pose des questions auxquelles je ne réponds pas, préférant essayer de reprendre la main en lui demandant quels sont ses fantasmes.

  - Qui est-ce qui pose les questions ici ? Dit-elle en s’assoyant à côté de moi dans le canapé.

  Sa réponse immédiate me coupe net dans mon élan. Qui est cette fille qui ne se démonte pas et s’amuse de cette situation gênante ? Mon épouse revient avec nous et prend place sur une chaise face à nous. Elles se mettent à parler de choses et d’autres lorsque Laura demande soudain à mon épouse si je ne devrai pas raconter ce que j’ai fait en son absence. L’idée de la pendre par les pieds dans notre donjon pour la fouetter me traverse l’esprit mais je comprends en voyant mon épouse approuver que cette envie ne restera qu’un fantasme. Inventer une petite histoire bien gentillette me semble la solution la meilleure…..

  - Je me suis fait un petit trip dans lequel ma Perle d’Amour m’aurait enlevé pour me violer. Pendant ma captivité, elle me passait des couches pour pouvoir me laisser entravé sans que je ne fasse pas mes pipi sur le sol et me violait régulièrement. Tout cela m’a follement excité et je me suis fait un petit self service avant de m’endormir devant la télé.

  - Es-tu sûr que c’est d’elle dont tu rêvais ? Demande cette s….. de Laura.

  - Sophie est ma Perle d’Amour et le désir de tous mes rêves, je n’imagine pas la vie avec une autre.

  - Ta perle d’amour beau parleur, est furieuse parce qu’elle aurait très bien pu arriver avec son fils. Tu es complètement inconscient ! J’espère que ce qu’il t’arrive te servira de leçon…..

  Comme toutes les femmes en colère, je la vois bien partie pour dix minutes de sermon supplémentaire et largement agrémenté. C’est effectivement ce qu’il se passe, et gna gna gna, en encore gna gna gna. Je la coupe au bout d’un moment en lui indiquant que je prendrai bien une tasse de café avec elles puisqu’il doit être terminé. Même pendant qu’elle va chercher le café les gna gna gna continuent mais à son arrivée le biberon posé entre les tasses me saute aux yeux. Non, elle ne va pas oser ? Quoi qu’avec nos délires cela ne la choquerait pas, mais là, il y a quelqu’un ! ! !

  - Laura, je te laisse lui donner puisque tu es assise à côté de lui ? Demande Sophie avec un sourire banane.

  Follement amusée, Laura attrape le biberon, m’attire contre elle en me disant des tonnes de bêtises du style : « il est pour qui le bibi, il va être gentil le gros bébé, …… ». Même si j’aime beaucoup délirer, la situation me dépasse. Présentement je ne joue pas ABDL ou soumission, je subis parce que je n’ai pas d’autres choix vis-à-vis de Sophie.

  La pause café s’éternise, je bois mon biberon de café. Elles poursuivent leur discussion comme si de rien n’était sur les meubles en promo à Ikea que l’on pourrait acheter pour la maison quand soudain, Sophie annonce qu’après, il va falloir changer le gros bébé. Ma réponse négative bien trop pressée met aussitôt la puce à l’oreille de mon épouse qui ne peut contenir sa joie de dire qu’elles risquent de trouver des surprises dans la couche. Et merde ! ! ! Je suis mal !

  Ni une ni deux, elles entreprennent de retirer ma culotte en plastique puis ma couche. Je suis blême parce que j’ai encore sur moi le rosebud XL de 435 grammes et l’anneau de la cage de chasteté que j’ai utilisé dans mon délire pour les plaisirs de la compression de la verge. A la vue de l’anneau en métal, Sophie s’arrête de retirer la couche et me demande où est la cage. Des yeux je lui indique la serviette posée sur le sol près du canapé.

  Laura demande ce que c’est et Sophie, sans la moindre considération pour ma pudeur, lui explique que c’est une cage de chasteté et que pour ma punition, je vais devoir la porter au moins une semaine. (Grrrrrrrr) Le retrait de la couche expose le bijou ornant le rosebud qui lui aussi engendre des commentaires sur son usage et ma gourmandise de ce côté-là. Plus humilié que ça, je ne peux l’être. Sonné de relever mes jambes, Sophie l’extrait avec précautions dévoilant à Laura aux jolies yeux bleues rivés sur mes fesses la taille de l’engin.

  - Et ben dit-dont, effectivement tu es gourmand toi ! Je n’en avais jamais vu d’aussi gros. Clame Laura.

  Sa remarque me laisse à penser qu’elle doit se laisser aller elle aussi à quelques loisirs non conventionnels apaisant un peu ma honte. Et là, comme à mon habitude, je lui ai proposé de l’essayer ! Quel con !

  - Non merci, je préfère les vrais mais je trouve que tu es bien irrespectueux de me proposer ça.

  - Tu as raison, il ne sait pas se tenir dès qu’il y a du monde un peu branché. Lui répond Sophie. On va le laver un peu puis tu pourras lui donner une fessée si tu veux.

  - Ah oui alors ! S’exclame Laura en ajoutant qu’elle ne l’a jamais fait mais que ce sera un plaisir de s’essayer en fesseuse.

  Sophie nous laisse le temps d’aller chercher un gant, temps pendant lequel Laura me promet une cuisante fessée dont je me souviendrai. Forcé de me lever pour la toilette, j’ai l’air d’un con. Tirée par le bras vers les genoux de Laura, je m’installe tant bien que mal soutenu par les filles pour offrir mon fessier à mon bourreau. Si les premières claques sont douces comme celles d’une personne inexpérimentée, les suivantes sous les conseils éclairés de mon épouse le sont moins. Mes suppliques sont vaines, la fessée sévère et cuisante m’arrache de petits cris dont elles n’ont que faire. Par deux filles en plein délire, je me fais tanner les fesses qui doivent être écarlates.

  - Houa ou, ça fait mal à la main à force ! Clame Laura.

  - Tu veux un martinet ? Lui demande Sophie.

  - Non, ça va aller, je crois qu’il est assez puni comme ça.

  - Allez, lève-toi qu’on mette la cage de chasteté pour qu’elle voit comment tu es beau quand tu la portes. Me dit Sophie.

  Sous les yeux ébahis de Laura, Sophie attrape mon sexe qu’elle fait entrer dans le tube métallique avant d’y poser le cadenas avec lequel elle galère comme d’habitude ce qui m’amuse. A force d’insister elle me fait mal mais parvient à le fermer en m’indiquant que j’en ai pour une semaine minimum.

  - On change la couche ou elle peut encore servir ? Me demande Sophie.

  Même si je réponds ne pas en avoir besoin, Sophie en plein délire a comme objectif de me donner une bonne leçon et ne me laisse pas le choix. Elle me plante là pour aller dans notre chambre en chercher une propre. A son retour, je comprends que mon humiliation n’est pas terminée parce qu’elle a pris en plus une culotte rembourrée supplémentaire. Sous les yeux d’une fille que je ne connaissais pas et qui est pliée de rire je suis donc langé et revêtu d’une culotte en plastique puis d’une culotte rose rembourrée. Quelle honte !

  Sophie me libère des menottes puis m’envoie à la cuisine après m’avoir indiqué que si je retire quelque chose, elle rajoute une semaine de cage. Je n’en mène pas large en quittant la pièce pour aller préparer le repas du soir comme à mon habitude. Laura ne reste pas pour dîner avec nous et s’en va quelques temps plus tard non sans venir tapoter ma couche en me faisant une bise.

  Mon épouse la raccompagne et comme d’habitude, elles discutent encore une demi-heure sur le parking. A son retour, à sa façon de fermer la porte, je comprends que les reproches ne sont pas terminés mais c’est sans intérêt pour le lecteur.

 

TSM

 

 

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : Auto-bondage self bondage
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