Vendredi 25 juin 5 25 /06 /Juin 07:14

  24 juin 2010


Un pari avec moi-même histoire de délirer et de jouer tout seul. 

 

Les clés de mes menottes et des cadenas étaient dans la voiture.

MAIS les clés de la voiture étaient dans la boite à lettre.

MAIS les clés de la boite à lettre étaient dans la maison.

MAIS les clés de la maison étaient au fond du jardin.

Et moi, j’étais sur la terrasse en couche avec 3 Microlax dans les fesses.

 

Ce que j’avais sur moi et ma tenue ? Vous allez penser que je suis fou et vous aurez raison !

 

Sur mes seins il y avait des pinces mais elles n’étaient pas accessibles parce que j’avais mis un soutien-gorge et un gros pullover. L’idée était de me contraindre à aller jusqu’au bout de mon pari SM et ABDL.

 

J’avais mis ma cage de chasteté puis une couche et avec une chainette qui passait entre mes jambes pour remonter dans mon dos où j’ai attaché mes menottes. L’idée était de limiter mes mouvements et de m’interdire le retrait des pinces à sein. Donc tirer sur la chaîne était dissuasif car les testicules n’aiment pas.

Principe de la chaîne

Pour l’excitation, j’avais inséré un vibro avec des piles neuves sur mon devant. Quand on est dans une cage de chasteté c’est du masochisme je sais ! J’oubliais d’indiquer que la culotte en plastique que j’avais mise se ferme avec un cadenas. Cette précaution avait pour objectif de m’obliger à faire le parcours en entier.

  Culotte à cadenas

Histoire de bien transpirer et de me mettre la pression, j’avais mis des collants de sudation et une gaine Playtex pour comprimer ma couche et donc ma cage de chasteté et mon ventre. Un bâillon complétait la tenue déjà bien chargée….

 

Mes pieds perchés sur les chaussures à talon ne pouvaient pas faire de grands pas parce que mes chevilles entravées avec de la chaînette de 25 centimètres de longueur limitaient les mouvements.

 

EN GRAND FOU que je suis, juste avant de commencer mes préparatifs de selbondage j’avais bu deux pastis grand verre soit 50 centilitres de liquide et je m’étais mis trois tubes de Microlax qui est un traitement symptomatique de la constipation basse, notamment par dyschésie rectale. Il sert également pour la préparation aux examens endoscopiques du rectum c’est donc un médicament efficace pour vous faire aller aux toilettes. Mon pari était de parvenir à me libérer avant de faire caca dans ma couche parce que j’ai horreur de ça. Ayant toujours pu gérer jusqu’à ce jour, j’étais arrivé à limiter les dégâts. Etant fou de nature dans les jeux, mon idée était de mettre la barre encore plus haut que mes délires précédents.

 

Lorsque j’ai fermé mes menottes sur mes poignets, je me suis traité de fou mais l’excitation était à son paroxysme. C’est donc à petits pas que j’ai traversé le jardin pour aller chercher les clés de la maison. Mes talons hauts s’enfonçant dans le gazon rendaient ma démarche délicate déjà rendue difficile à cause de la chainette. Entre mes jambes, ma verge gonflée se heurtait à la résistance de la cage de chasteté, en clair, je bandais dur mais compressé. Hummmm, j’adore jouer avec la cage de chasteté parce qu’outre l’effet physique, la frustration décuple l’excitation et les sensations.

 

Arrivé au fond du jardin, le bruit d’un camion a attiré mon attention. Lorsque mon regard s’est posé sur le véhicule mon sang n’a fait qu’un tour ! Le propriétaire du champ voisin qui ne vient jamais arrivait avec des ouvriers. ET MERDE !

 

Pour revenir à la maison sans être vu, j’ai du me déplacer à genoux ou genoux fléchis ce qui non seulement était inconfortable et épuisant mais en plus rendait la contraction de l’anus difficile. Les Microlax commençant à faire leur effet, contenir la matière fécale fut très, très et encore « très » difficile. Mes mouvements tiraient sur le soutien-gorge et mes pinces à seins. OUF ! A cela se rajoute que j’étais trempe se sueur et que j’ai du faire des pauses en serrant les fesses comme un malade mental que je suis mais avec la couche, ben…..il y a une masse entre les cuisses qui bloque un peu quand on veut serrer les jambes.

 

Pour ouvrir le verrou du bas de la porte de la maison, j’ai du fléchir les genoux et de fait, prendre la position de la personne qui s’assoie ……..sur les toilettes par exemple…. OUF, ouf ouf, le faire en serrant les fesses fut délicat…. 

 

C’est donc sans tarder mais toujours à petits pas que j’ai pris la direction de la boite à lettre. Cette partie de la propriété est protégée de la vue par une haie de cyprès ce qui m’a permis de parcourir les 50 mètres debout. Ouvrir la boite à lettre pour prendre les clés de la voiture fut difficile car même mes mains transpiraient. Une fois qu’elle fut ouverte, ma vessie a rendu l’âme ce qui ne me déplait pas mais le sphincter voisin crut avoir le droit de faire de même ! ! ! J’ai du faire une pause pour une INTENSE contraction fessière. Et là j’ai commencé à me détester car je doutais sérieusement de parvenir à gagner mon pari tant cela poussait dans mon colon.

 

Pour me rendre à la voiture ma démarche fut celle d’un mec « cul serré » droit comme un « i » et donc avec les fesses ultra serrées. Mes tétons pincés se révoltaient et commençaient à me faire un mal de chien. Après avoir ouvert la portière de la voiture, les clés des menottes et cadenas posées sur le siège me semblèrent soudain très loin. Un siège ce n’est pas grand ni loin nous en conviendrons, mais là, les attraper sans me lâcher dans la couche fut ultra difficile. J’ai essayé de m’appuyer contre la carrosserie et de glisser doucement en serrant les jambes et les fesses comme un malade mais lorsque je me suis incliné sur le côté en envoyant les mains pour attraper les clés des menottes et des cadenas, il me manquait au moins 50 centimètres. L’horreur !

 

L’horreur parce que j’ai du m’asseoir et en m’asseyant sur le bord du siège j’ai pris la position qu’il ne fallait pas prendre dans une voiture en plein soleil après avoir pris du Microlax. Entre mes fesses j’ai senti partir de la matière. Furax mais résigné j’ai essayé de « doser » pour diminuer la pression et j’y suis arrivé. Je ruisselais, j’étais complètement en nage. Des goûtes de transpiration coulaient de mon front jusqu’à mes yeux (ça pique) et je bavais comme une vache qui vient de boire. Les doigts mouillés glissaient sur le métal et ne trouvaient pas le trou de la serrure des menottes. J’étais fou de rage parce que derrière cela poussait encore….

 

Lorsque je suis parvenu à me libérer, pressé d’en finir j’ai essayé d’activer le mouvement sauf que pour me relever il m’a fallut faire un effort et là, ….. mon anus révolté a encore laissé passer de la matière fécale. Jambe écartées au maximum (25 centimètres à cause de la chaînette aux chevilles) j’ai parcourus les 30 mètres séparant le parking de la terrasse à petits pas en retirant les pinces de mes tétons qui se sont vengés. La douleur fulgurante me déconcentra, ma vessie et mes fesses en profitèrent pour se lâcher. GRRRR J’ai ouvert le cadenas de la culotte en plastique mais je ne me suis pas aventuré à me baisser pour libérer mes chevilles, trop risqué ! ! !

 

En entrant dans la maison, après avoir pris un rouleau de Sopalin les toilettes m’ont semblé loin mais je m’y suis rendu sans tarder comme l’on peut s’en douter. Renault disait dans une de ses chansons : « et le roi des cons assis sur son trône » les paroles de sa chanson qualifiaient à merveilles les sentiments que j’éprouvais pour moi lorsque j’ai baissé la culotte et la couche pour poser mes fesses sur les toilettes.

 

La libération fut jouissive au sens propre du terme, même mon Popaul encagé se réjouissait alors qu’il n’y a rien d’excitant à faire ses besoins. La couche avait souffert mais moins que je ne le pensais, OUF parce que paradoxalement, j’ai horreur de la matière fécale.

 

Comme l’on peut s’en douter, la douche fut salvatrice et maintenant que j’ai écris ce compte rendu ou histoire (au choix) je vais pouvoir retirer la cage et m’accorder un petit moment de plaisir même si j’ai perdu mon pari.

 

TSM

 

NOTE DE L’AUTEUR

 

Si ma femme voit ce récit, même si elle est joueuse elle va me traiter de fou et sûrement me punir mais j’assume. 

 

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 2 juin 3 02 /06 /Juin 09:44

Parcours du combattant ABDL et self bondage

 

Ci-dessous la trame du jeu d’auto bondage et d’auto SM avec la liste des vêtements et accessoires que j’avais mis sur moi juste après m’être administré deux poires de lavement avec mes commentaires sur les astuces pour s’auto martyriser. A noter, je ne suis pas scato c’était donc un auto défi et l’idée était de ne pas « faire »

 


LISTE DES ACCESSOIRES / VETEMENTS / ASTUCS

 

  • 2 couches (La première percée pour que les liquides puissent se répartir sur les 2 couches)
  • 1 culotte en plastique (pour les fuites éventuelles)
  • 2 culottes ABDL (rembourrées entre les jambes ce qui les force à l’ouverture)
  • 1 culotte à cadenas dont la clé était au fond du jardin. (La ceinture est une chaine)
  • Mon corset
  • 2 pinces à seins
  • 1 body sculptant (bien épais et qui serre le corps) Là il serrait aussi les couches.
  • 1 grenouillère à cadenas dont les clés étaient dans la boite à lettre. (La fermeture éclair est dans le dos, avec à l’encolure des anneaux pour la bloquer par un petit cadenas) 
  • 1 chaînes aux pieds avec 2 cadenas dont les clés étaient dans la maison.
  • 1 bâillon boule maintenu en place par sécurité (parce que je triche) par un masque Hannibal qui se verrouille avec un cadenas dont les clés étaient dans la voiture garée dans le jardin.
  • 1 paire de menottes dont les clés étaient à côté de moi dans un petit bloc de glace sauf que j’avais bloqué les menottes sur mes fesses avec la chaine allant de mon masque Hannibal à mes chevilles ce qui m’obligerait à marcher comme un canard. (Donc presque la position de quelqu’un aux toilettes…..)

…………………………….

Libérer mes poignets dans une des multiples annexes de la propriété ne fut pas bien difficile car je commence à avoir une certaine habitude et surtout plus de stress. Les fesses serrées je pouvais donc passer à la suite qui fut bien plus délicate…….

 

Tout d’abord, j’ai du aller à ma voiture garée dans le jardin (devant la maison) pour récupérer les clés de la chaine reliant ma tête à mes pieds et m’obligeant à marcher comme un canard. Par deux fois, j’ai du m’étendre sur le sol en serrant les fesses et les jambes comme un fou pour contenir le lavement sauf que les culottes rembourrées ne m’aidaient pas. Ouf ouf ouf d’autant plus que les pinces à seins commençaient à se faire cruelles.

 

Lorsque j’ai enfin pu retirer le bâillon boule maintenu en place par sécurité par le masque Hannibal, je me suis redressé ce qui a eu pour effet de tirer sur mes pinces à sein que je ne pouvais retirer à cause de la grenouillère cadenassée et du body ultra épais les recouvrant et rendant impossible l’accès aux pinces. 

 

L’urgence pour le lavement et surtout mes seins de plus en plus douloureux fut de « foncer » à la maison pour prendre les clés des cadenas maintenant mes pieds enchaînés. Le trajet (30 mètres environs) me parut une éternité. Libérer mes pieds m’obligea à me baisser, mon anus me rappela que cette idée n’était pas la meilleure que je puisse avoir….. C’est donc en marchant normalement ou presque que j’ai pu me rendre à la boite à lettre située à l’entrée du terrain qui est assez grand.

 

En même temps que je marchais vers le fond du jardin pour cause de grande urgence annale, j’ai entrepris de retirer le cadenas de la grenouillère. SAUF que, le cadenas est fixé dans le dos juste sous la nuque, ce qui m’a obligé à lever les deux bras jusque derrière ma tête. Mes tétons se sont révoltés et vengés car en levant les bras je étirais ma poitrine. Ahouuuuuu !

 

Quand j’ai gesticulé pour faire descendre cette putain de fermeture éclair ce fut vraiment douloureux.  Même si je suis maso et quelque peu habitué à ces délires, une pause me fut nécessaire. Appuyé contre le mur de la maison, j’ai enfin pu retirer les pinces à sein en passant mes mains sous le body. Le retour du flux sanguin dans les tétons me fit tourner la tête tant ce fut douloureux. J’avais vraiment présumé de mes forces sur ce coup là.

 

A force de gesticuler, de marcher et de souffrir, mon ventre gargouillait de plus en plus surtout que le corset me donnait l’impression de se serrer tout seul. Certes un corset ne se serre pas tout seul mais c’est vraiment l’impression que cela me donnait. Malgré que je garde les fesses ultras serrées, un début de fuite se fit sentir. La totalité de mes muscles y compris ceux des mains serrées se tendirent pour soutenir moralement mon anus. Mon corps tremblait pendant cette effort tant il était contracté.

 

L’accident

 

L’accident est arrivé en traversant le gazon mouillé par la rosée pour aller chercher les clés de la culotte en plastique. Concentré sur mes fesses, je marchais vite et n’importe comment sans prendre garde au panneau que j’aurai pu mettre : « chaussée glissante ». Mon pied droit est parti en avant plus vite que je l’aurai souhaité et il ne s’est pas arrêté. Oh que ce fut dur ! Non je ne me suis pas fait mal physiquement car je suis tombé dans du gazon sur mes fesses ultra protégées par les culottes rembourrées et les couches sauf que dans ma chute mon sphincter n’a pas aimé et encore moins quand j’ai voulu me lever. Et merde ! (Au sens propre et au sens figuré)   

 

J’ai donc récupéré quelques mètres plus loin les clés de la culotte à cadenas posées sur le sol histoire d’augmenter mes gestations (quel con) ce qui m’a valu un complément de fuite. Grrrrr ! A petit pas, le cul merdeux (Au sens propre et au sens figuré) je me suis donc rendu à la maison pour le grand nettoyage de printemps. Les doigts tremblants j’ai ouvert le cadenas de la culotte à cadenas que j’ai fait glisser tant bien que mal sur mes jambes. OUF, c’était propre mais je craignais le pire car je vous rappelle que je n’aime pas les jeux scatos.

 

Le retrait du body de la première culotte rembourrée fut aisé par chance cela n’avait pas traversé. Le retrait de la deuxième se passa comme la première. La culotte en plastique du type médical avait bien fonctionné car j’avoue que l’idée de faire une lessive de tenues couvertes d’excréments aurait été pour moi une véritable punition. C’est dans les toilettes avec un rouleau de Sopalin et en position d’attaque que j’ai entrepris de retirer la culotte en plastique. Rien, il n’y avait rien hormis un peu de transpiration. Ouf et encore ouf, mais je craignais quand même la suite.

 

La suite me surpris car les couches étaient sales mais bien moins que je ne le pensais. Roulée en deux temps trois mouvements à mes pieds j’ai pu savourer le fait de me soulager et entre nous, ce fut divinement « bon ».

 

La douche salvatrice me permit de me remettre de mes émotions tout en imaginant un autre scénario.

 

TSM

 

Rappel en auto bondage : rien autour du cou, des entraves qui ne se serrent pas toutes seules où vous risquez de vous faire des garrots.

 

Astuces pour les couples et trucs pour du materiel que vous n’avez peut-etre pas :

 

Vous pouvez reprendre tout ou parti de ce scénario en l’adaptant avec l’un des deux qui observe, titille, ennuie, se moque, fait des photos…. et pourquoi pas, impose des gentillesses et caresses en cours de parcours. Ce vous faite sous la couette prendra une autre dimension……

  • Vous n’avez pas de culotte à cadenas ? Trouvez un pantalon trop grand (pour avoir du volume afin d’y mettre des couches) et mettez une chaine en guise de ceinture.
  • Vous n’avez pas de culotte rembourrée ? Mettez 3 ou 4 couches.
  • Vous n’avez pas de culotte en plastique ? Avec un sac poubelle et du scotch OU du cellophane il est facile d’en faire une. 
  • Vous n’avez pas de grenouillère qui se cadenasse ? Prenez un bleu de travail et faite deux trous à l’encolure pour la fermer avec un cadenas.
Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 08:44

Auto bondage en couche et rebondissements

 

Scénario et texte du compte rendu

 

 

Scénario

 

Matériel pour ce scénario :

  • Couche
  • Culotte en plastique
  • Microlax ou autre produit pour personne constipée
  • Menottes
  • Vos jouets, accessoires ou vêtements préférés comme pinces à seins, plug, bâillon, bandeau pour les yeux, vêtements divers….

 

Scénario

  • A l’avance, faire un ice timer (bloc de glace avec les clés) avec un quart ou un demi-litre d’eau
  • Boire deux ou trois grands verres d’eau
  • Se mettre un Microlax ou autre produit pour personne constipée
  • Passer la couche et mettre la culotte en plastique
  • Mettre les menottes
  • Ajoutez à ce scénario vos jouets, accessoires ou vêtements préférés comme pinces à seins, plug, bâillon, bandeau pour les yeux, vêtements divers….
  • Fermez les menottes sur vos poignets mains dans le dos ou attachées à quelque chose comme barreau de chaise ou arbre si vous voulez jouer en extérieur.
  • Mijotez

 

Rappel vous devez toujours pouvoir accéder au glaçon quelque soit le lieu ou la façon de vous menotter.

 ice timer self bondage

 

PETIT ICE TIMER

Compte rendu

Cela fait longtemps que l’idée d’être obligé de vivre la « totale » en couche pour personne incontinente me tentait mais n’étant absolument pas scato, je n’étais jamais arrivé à me décider ni à oser. Au dernier moment, je fonçais aux toilettes pour aller déféquer.

 

Ce n’est pas que cela me séduisait outre mesure, mais je voulais le vivre au moins une fois pour connaître les sensations. J’ai été servi……..

 

Mon expérience en délires de toutes sortes et aussi divers que multiples avec mon épouse très joueuse, avec des ami(e)s ou seul faisant que je devenais de plus en lus gourmand, un beau jour, l’idée de me faire la totale m’est venue. Après avoir fermé le portail à clé, j’ai commencé par me mettre une cage de chasteté parce qu’avoir une érection avec la verge compressée est sympa. Ensuite, histoire de bien délirer, j’ai fait une compil de trucs aussi fous les uns que les autres. 

 

Comme il était 19 heures, j’ai commencé par prendre l’apéro en surfant ce qui m’a conduit à prendre quelques pastagas jusqu’à 20h30. Pour le volume d’eau, j’avais mon compte….. Sentant venir l’urgence « pipi », je me suis mis deux Microlax, un suppositoire à la glycérine puis un petit plug anal maintenu en place par une chainette. J’ai rapidement enfilé une couche par-dessus puis une culotte en plastique Suprima. Pour être bien sûr de me chauffer les sens, j’ai placé une paire de pince à seins sur mes tétons dardant d’une délicate turgescence. Pour être sur de ne pas pouvoir tricher, (allons-y gaiment dans les délires) j’ai enfilé un body galbant donc relativement épais puis une ancienne longue robe en velours achetée sur ebay. Retirer les pinces à seins à travers tout ça, allait être difficile.

 

Après un dernier pastis pour le courage, une cigarette pour satisfaire mon côté drogué me voilà parti avec armes et bagages à l’avance préparé au fond de mon jardin isolé. J’ai posé le ice timer près de l’arbre et j’ai attaché les doubles ficèles de sécurité au tronc puis, je me suis enchaîné les chevilles avant de bloquer la chaîne avec un cadenas  dont j’avais volontairement laissé les clés sur la table de la cuisine, histoire de rendre mes déplacements plus « délicats ».

 Un gros ice timer

GROS ICE TIMER

 

Mon envie de faire pipi ne pouvant souffrir d’attendre, ma vessie décida de se libérer d’un peu de pression mais elle fut sympa et ne lâcha pas tout, enfin pas tout de suite. Aimant réellement les jeux de contrainte, la pose d’un bâillon s’était imposée à moi, mais connaissant mes facultés de tricher, j’avais également pris un masque de cuir qui se ferme avec un petit cadenas pour m’aveugler tout en maintenant le bâillon. Respirer ne serait pas un souci, le masque n’est pas étanche et permet également de respirer par le nez. Mon état d’excitation était à son paroxysme, Popaul dans sa cage de chasteté se rebellait emportant avec lui mes précieuses malmenées par la pression due à la traction. Trouver les menottes posées aux pieds de l’arbre ne fut pas un problème même à l’aveugle, le contact froid sur mon poignet me grisa plus encore que je ne l’étais déjà ce qui fait que je n’ai point hésité à fermer sur mon poignet gauche la menotte qui allait me conduire à vivre la véritable contrainte de l’abandon forcé en couche en plus des plaisirs du bondage.

 

Le clic me ramena quand même un peu à la réalité. Ca y est, j’étais aux pieds du mur, ou plus précisément de l’arbre, j’allais vivre un de mes fantasmes. Je m’allongeais donc dans le gazon en m’imaginant des tonnes de choses comme ma perle d’amour armée d’un gros gode ceinture bien décidée à me faire ma fête. Frotter mon bas ventre et donc ma cage me procura quelques divines sensations même si la position allongée bras en avant générait une traction sur les pinces à seins. Mon derrière commençait à pousser, convaincu que mon anus voulait rejeter le plug, je le laissais faire sans serrer les fesses tout en frottant plus encore mon devant sur le gazon. La chaleur de la matière me surpris, les fuites avaient déjà commencé. Et m….

 

Tout en serrant les fesses, je me mis à puiser dans mes pensées les plus coquines pour parvenir à maintenir la folle excitation nécessaire pour rendre cet « incident » érotiquement correct. Libérer ma vessie de plus en plus en colère sans desserrer les fesses fut très difficile. Comme ma libido et mes pensées érotiques sont réellement très prolifiques, l’idée que ce piège avait été décidé par ma Maîtresse perle d’Amour m’échauffa les sens. La tête s’échauffait, mes tempes bourdonnaient, je l’imaginais avec un couple d’amis joueur près d’elle en train de se moquer de moi puis m’obligeant à frotter mon devant. Honte, humiliation, sexe, contrainte, délires, je planais quand soudain, l’arrosage automatique se mit en route.

 

OH PUTAIN CON !

 

Je l’avais arrêté la veille car ce n’était pas la peine d’arroser et de gaspiller de l’eau ! Ma perle d’Amour n’en sachant rien l’avait réactivée. Je me sentis mal même s’il n’y avait aucun danger. L’asperseur par moi réglé (quel c..) me fit sursauter lorsqu’il m’arrosa gaiment. L’idée me vint de migrer de l’autre côté de l’arbre mais c’est à cet instant que le plug se remis à pousser copieusement. N’osant bouger de peur de desserrer les fesses, je reçus donc le deuxième passage de l’asperseur en me maudissant de mes idées tordues puis de ne pas avoir pensé que l’arrosage automatique était bien éteint. Mon premier réflexe fut de rouler sur moi-même sauf que les menottes ne virent pas les choses sur le même angle que moi. Pour limiter mon arrosage, je me mis donc à ramper quand, profitant de mon absence de vigilance mon anus furieux de mes bêtises lâcha une grande coulée chaude dans la couche. Profitant de cette échappée, le plug glissa sur les chainettes et en fit de même laissant le passage totalement libre.

 

Par acquis de conscience et sans trop espérer, mes doigts consultèrent le glaçon emprisonnant les clés, mais ce dernier avait à peine commencé à fondre. Histoire d’agrémenter mes déconvenues, ramper pour migrer avait fait remonter la robe et les pinces sur mes seins. La douleur commençait à se faire sentir et vu les circonstances, elle n’avait plus rien d’érotique. En serrant l’arbre contre moi, je parvenais par des gestations inconfortables à les toucher mais les retirer par-dessus le body galbant donc relativement épais et l’ancienne longue robe en velours fut impossible. GRRRRR.

 

Mon colon fit cause commune avec l’anus son proche voisin pour libérer la pression de derrière. Par solidarité, ma vessie fit de même. Aussi surprenant que cela paraisse, cette libération totale et soudaine échappant totalement à mon contrôle généra en moi une sensation agréable et sentiment de bien être qui hélas fut de courte durée l’asperseur castrant mes sensations et pensées toutes les 30 secondes environs. Baigner dans mes déjections ne m’amusait pas vraiment, je voulais voir, j’avais vu, sauf que cette situation allait durer au bas mot une heure sans compter le trajet retour à l’aveugle jusqu’à la maison. Caresser le glaçon, non pas pour lui faire plaisir mais pour le faire fondre, devint ma principale occupation sous des douches forcées aussi régulières que désagréables.

 

Le ice timer fragilisé par l’eau et mes doigts finit par se rompre au bout d’un temps que j’ai trouvé fort long. Quelques minutes plus tard, même à l’aveugle et avec les doigts trempés, je pu rompre mes relations avec l’arbre. Mon premier réflexe fut d’essayer de retirer les pinces à seins, mais l’opération fut douloureuse qu’inutile, retirer la robe et peut-être même le body m’apparu obligatoire. Sous les asperseurs, cela ne me tenta pas. je pris donc à l’aveugle puisque qu’en auto bongageur fada j’avais fermé la cagoule avec son petite cadenas. Longer les cyprès à petits pas me parut fort long surtout avec la couche pleine à craquer menaçant de rompre. Lorsqu’enfin je parvins à la terrasse, je ne pus pousser le cri de la victoire à cause du bâillon mais l’envie y était. Entrer dans la maison trempé allait m’obligé à un grand nettoyage mais au point où j’en étais, cela m’apparu comme un détail. Mes mains trouvèrent rapidement les clés du masques sur la table, mais les amener derrière ma tête pour ouvrir le cadenas tira grandement sur la robe puis le body et de fait sur les pinces à seins. Ouuuuuuffff !

 

La problématique est que cela tira aussi sur mon ventre réduisant ainsi la circonférence de ma taille ! ! ! ! La couche céda sans crier « gare ».

 

Je vous passerai les détails du nettoyage et de mon estomac que j’ai du museler car il était décidé à faire cause commune avec l’autre extrémité de la tuyauterie humaine. Je garde malgré toutes ces péripéties un bon souvenir de l’expérience même si je ne la renouvellerai sûrement pas mais je la ferai vivre au moins une fois à nos soumis(es) pour qu’ils découvrent ce qu’est le sentiment total d’impuissance face à leur propre corps.    

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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Lundi 22 mars 1 22 /03 /Mars 10:14

 

ESTELLE vendetta ABDL

Chapitre 1

 

 

Las des échecs, de l’ignorance de filles sur les sites ABDL,  Jean décide de changer de pseudo puis de modifier son profil. Il n’affiche plus ses fantasmes de bédéphile et sa recherche de nounou, pour afficher celle d’un parfait gentlemen désirant faire des photos de jolies filles et femmes plus âgées portant des couches ou des tenues ABDL.

 

Pour gommer les craintes de sa future victime, il indique même qu’il est résolument gay mais passionné par l’image du corps des femmes aux courbes délicieusement galbées qui font d’elles des chefs d’œuvres de la mère nature. Le modèle qu’il choisira ne fera pas de nu intégral, ce ne sont pas des photos pornos mais des photos d’Art qu’il fera pour deux magasines internationaux désirant faire des articles sur l’ABDL. 

 

Au fil du temps et des messages, il parvient à accrocher quelques filles, l’une d’elle a mordu à l’hameçon et lui a adressé une photo sur son portable. Prénommée Estelle, son visage d’ange affiche la beauté d’une fille de vingt ans insouciante et coquine. Ses longs cheveux blonds le font fondre tout comme son charmant minois souriant. Un rendez-vous est rapidement pris, Estelle devra lui remettre les justificatifs de ses frais pour qu’il puisse les lui rembourser. Il a même insisté sur ce point, ne désirant pas qu’il y ait de malentendu.

 

Son instance sur les frais et modalités de remboursement puis le fait qu’il soit gay rassure Estelle, pour elle il est évident qu’elle va rencontrer un professionnel. Comme avouer ses attirances ABDL n’est pas chose aisée, Estelle ne prévient personne lorsqu’elle prend le train à Lyon en direction de Paris. Elle a juste noté le numéro de téléphone portable et le nom qu’il lui a donné sur un papier posé en évidence sur son ordinateur avec l’heure du rendez-vous devant la gare. Ce que l’insouciante ne sait pas, lorsqu’elle aperçoit la BMW rouge devant la gare c’est qu’il s’agit d’un téléphone à carte payé en liquide et enregistré sous un faux nom.

 

…………….

 

Les paupières d’Estelle peinent à s’ouvrir, les crépitements et éclairs d’un flash chagrinent ses yeux lorsqu’elle y parvient. Elle se sent nauséeuse mais décide malgré tout de se lever. En une fraction de seconde Estelle découvre sa dramatique condition, une vague d’horreur la submerge aussitôt, elle est quasiment nue et entravée sur un lit. Tel un kaléidoscope, quelques images passent devant ses yeux, elle se revoit trinquer avec lui dans son bureau puis qu’il l’aide à s’asseoir quand elle a eu un malaise. Droguée, elle a été droguée puis enlevée par un fou.

 

Elle n'arrive pas à concevoir ce qu'il lui arrive et ne peut pas admettre ce qui va spurement se passer. Déglutissant avec peine elle se met à hurler à son approche. Une gifle magistrale lui balance la tête sur le coté, puis par jeu, il gifle à plusieurs reprises les seins nus rebondissant sous les coups. Elle hurle de terreur autant que de douleur, ses suppliques restent vaines. Les coups s’arrêtent enfin, elle ne bouge plus, seul le bruit de la respiration d’une fille essoufflée et en larmes sonne en cette chambre particulière.

 

- Quand tu crieras et parleras je te battrai et ce sera à chaque fois un peu plus fort. Tu vas payer pour toutes les humiliations que j’ai vécues et tous les « lapins » que vous m’avez posés salope.

 

- Je ne vous ai jamais posé de lapin, je ne vous connais pas, vous vous trompez, ce n’est pas moi, libérez-moi je vous en supplie ! Crie Estelle désespérée.

 

- Tu  me fais chier ! Je n’aime pas les filles têtues et capricieuses. Je vais te faire passer l’envie de m’emmerder connasse. Hurle Jean fou de rage. Tait-toi ou je te massacre ! Dit-il en la menaçant de son poing fermé.

 

Estelle serre les dents pour taire sa rage et son désespoir puis ferme les yeux en s’attendant à des coups qui par chance ne viennent pas. D’un geste rapide, soulève la jupe puis fouille l’entrejambes de la jeune femme se mordant les lèvres sous l’intrusion des doigts qui s’insinuent dans sa culotte. En s’attardant dans les replis de sa douce féminité ils lui font craindre le pire. Il arrache la culotte plutôt que de la baisser, la fine protection, le fin rempart de tissu n’est plus, hébétée, et choquée, elle ne bouge plus. Soudain, il se lève puis, avec un grand sourire de malade mental, retire son pantalon. A travers le slip, son sexe en érection est bien visible. Estelle, n’a plus aucun doute sur son avenir immédiat et pleure à chaude larmes.

 

- Pleure pas bébé, je ne vais pas de faire de mal, c’est promis. On va être heureux tous les deux, je vais bien m’occuper de toi, regarde !

 

D’une main leste, il sort de dessous le lit un grand sac de voyage dont il extrait des couches, du talc et deux culottes en plastiques, l’une est rose, l’autre est bleue. Jean retire son slip, puis déploie une couche sur le lit et s’assoie dessus pour entreprendre de la fermer avant d’enfiler la culotte en plastique bleue.

 

- Tu vois, on va jouer les bébés et on va s’aimer. Je sais que tu aimes ça que l’on s’occupe de toi, tu as même mis des photos pour bien faire voir ce que tu veux. Moi aussi j’ai envie de ça, mais personne n’a voulu de moi.

 

Rassurée sur son avenir immédiat, Estelle coopère lorsqu’il lui retire sa jupe puis passe sous ses fesses une couche qu’il referme après avoir talqué son entrejambe ainsi protégé pour l’instant de l’agression sexuelle. Elle n’aurait jamais cru auparavant qu’elle serait aussi heureuse qu’on lui passe une culotte en plastique. Les préparatifs des bébés terminés, Jean éteint la lumière avant de venir s’étendre contre-elle et de remonter la couverture sur eux. A sa façon de l’enlacer, ainsi blottis l’un contre l’autre, on dirait presque des amoureux. Les mains entravées à la tête du lit, elle ne peut rien faire pour se protéger des caresses des mains libertines sur sa poitrine sans défense.

 

- Tes seins sont merveilleux, j’aurai tant aimé avoir une nounou comme toi. Dit soudain Jean en se penchant sur elle pour se mettre à téter.

 

La main libre recommence à la toucher, à courir sur ses épaules, son ventre, ses hanches puis s’insinue soudain dans la couche avant d’en ressortir aussi prestement.

 

- Si tu as envie de faire pipi, tu peux, papa Jean t’a mis une grosse couche, tu ne mouilleras pas le lit, soit tranquille mon bébé.

 

- Mais je fais plus pipi au lit moi ! Répond Estelle par réflexe.

- Mais si, puisque tu es mon bébé maintenant. Tu as de la chance d’avoir qu’un qui te change et qui va s’occuper de toi. Cela a toujours été mon rêve mais personne n’a voulu de moi. Répond Jean d’une voix réellement triste.

 

Préférant ne pas répondre pour ne pas dévoiler ses pensées et prendre le risque d’être à nouveau battue pour l’avoir traité de débile mental, Estelle s’interroge un instant sur ses chances de retourner la situation pour que son nom n’apparaisse pas dans la rubrique nécrologique un jour ou l’autre. Si son ravisseur parvint à trouver le sommeil, il n’en est rien pour elle et pour cause, la peur, la rage et l’inconfort des entraves font cause commune pour l’en empêcher. Au fil de ses réflexions, allant du morbide à la vengeance, en fine psychologue elle se construit une stratégie avec d’hypothétiques possibilités de lui échapper. La première étape pourrait consister à l’amadouer pour déjouer sa méfiance. Au petit matin, elle est arrachée brutalement de son sommeil par une voix chantante qui, pour des adeptes consentants pourrait être amusante mais qui lui glace le sang. 

 

- Et coucou mon bébé, c’est l’heure de se réveiller et de boire son biberon.

 

Son ravisseur, assis sur le bord du lit avec un biberon à la main, lui caresse la joue en affichant un sourire radieux. Préférant abdiquer plutôt que de prendre des coups, Estelle se relève tant bien que mal pour se mettre sur le côté malgré le peu de marge de manœuvre que lui laissent les menottes. 

 

- Attend mon bébé, cela ne va pas être pratique comme ça, je vais libérer tes mains.

 

L’espace d’un instant, Estelle se réjouit mais lorsqu’elle le voit sortir une chaîne et des cadenas de son sac de voyage pour lui en faire un collier qu’il attache à la tête du lit, dans sa tête l'horreur s'installe quand elle comprend quel serait son nouveau mode de vie s’il ne la tue pas. Murée dans son silence, elle se frotte les poignets douloureux et marqués par la nuit sous menottes. Jean encore vêtu de sa couche s’installe près d’elle dans le lit puis l’attire sur lui pour lui donner son biberon. Malgré la soif et la faim qui commençaient à se faire sentir, Estelle n’apprécie guère le biberon de lait presque froid et non sucré. Elle y met toutefois tout son cœur pour le terminer au plus vite quand la main de son ravisseur commence à apprécier la douceur et les formes généreuses de sa poitrine. Le petit déjeuner particulier terminé, il lui annonce toujours avec son sourire radieux, qu’il va la changer. L’idée d’être nue et à sa merci lui glace le sang. Morte de peur et de honte, elle se laisse étendre sur le lit, et retirer sa couche toujours propre quand soudain lui vient une idée.

 

- Quand tu m’auras changée, je pourrais à mon tour te changer ?

 

- Oh mon bébé, que c’est gentil ça. Dit-il avec une voix si ému qu’elle en est troublante. Oui, mais il faudra être gentille avec moi, parce que papa donne aussi des fessées si tu le mérites.

 

Le sens du mot « gentille » prend plusieurs connotations dans l’esprit d’Estelle. L’une d’elle génère un frisson lui parcourant aussitôt la colonne vertébrale. Son idée pour l’amadouer un peu pourrait très bien la conduire à l’infamie quand elle s’imagine réduite au supplice de servir de sa bouche et de ses fesses son papa ravisseur. Le retrait de la culotte en plastique puis de la couche se fait sans qu’elle affiche une quelconque résistance mais l’expose grandement à la gourmandise masculine. En guise d’attouchements sexuels, son ravisseur totalement noyé dans son délire, la lave avec lait de bébé parfumé jusque dans les moindres recoins de son anatomie qui n’a plus rien d’intime. Estelle comprend que rien ne lui sera épargné quand il entreprend  de laver en profondeur la raie de ses fesses. Impuissante et vaincue, elle se laisse faire en priant le seigneur pour que cela ne dégénère pas. L’apparition du talc la rassure un peu, l’issue ne sera peut-être pas le viol du moins cette fois. L’image terriblement humiliante qu’elle offre au regard de son ravisseur avec ses jambes grandement écartées pendant qu’il lui blanchit le sexe provoque en elle un mélange explosif fait de honte, de lassitude, de peur et d’agressivité extrême qu’elle parvient difficilement à contenir. Lorsque Jean saisit dans son sac une couche propre, Estelle apprécie grandement et soulève d’elle-même ses fesses pour qu’il la glisse sous elle et la lui referme au plus vite. Elle préfère grandement être en couche que nue jambes écartées devant son ravisseur. Les attaches fermées et la culotte en plastique enfilée, Estelle se sent toute de suite mieux et se détend un peu.

 

- A mon tour ? Demande jean.

 

- A ton tour vilain bébé, fais-moi voir si tu as mouillé ta couche. Répond Estelle après un instant de réflexion.

 

Son ravisseur s’est effectivement laissé aller comme le constate la nounou forcée, mais elle constate également au sexe bandé qu’elle nettoie du bout des doigts que d’être changé l’excite follement. Tout cela ne la rassure pas, mais elle préfère s’occuper de lui que l’inverse comme l’on peu s’en douter. L’étonnante maîtrise d’Estelle provient d’une grande intelligence et de sa formation de psychologue d’entreprise. Elle sait que la date de péremption des neurones de son ravisseur est passée depuis longtemps mais ne pouvant connaître l’impact de leur dégénérescence, elle progresse à tâtons ne voulant dévoiler ses projets et risquer de prendre des coups ou pire encore de se faire violer et tuer.

 

Lorsqu’elle retire la couche, Estelle hésite un instant à faire la toilette, car cela correspond à le toucher et prendre le risque de l’exciter mais comment faire, que faire ? Le sexe de Jean se gorge, prend un volume significatif exposant les effets que lui génère sa nounou. Le lait de toilette froid qu’elle fait couler sans aucune précaution calme un peu les ardeurs masculines. Avec des gestes rapides et sûrs, elle fait une toilette éclair puis le talque généreusement à cause de ses tremblements. Lui mettre enfin une couche propre est un moment de soulagement. La culotte rose en plastique posée, Estelle s’aventure à claquer les fesses en ajoutant « voilà, le beau bébé est changé ».

 

Cette avalanche d’émotions en si peu de temps et l’attitude compréhensive d’Estelle perturbent Jean. Tout en restant sur ces gardes et cherchant le piège, il entame une discussion autour des pratiques ABDL. Chacun racontant ses fantasmes, elle s’invente un petit copain avec qui elle jouait fut un temps à la nounou, quand ce n’était pas lui qui jouait au papa sévère mais très coquin. Elle lui raconte qu’une fois il lui a donné une fessée mais qu’elle n’a pas aimé du tout et qu’elle préfère les donner plutôt que de les recevoir puis qu’ils se sont perdus de vue quand il a réussi son brevet de pilote. Jean bois ses paroles et au fils des discussions se détend un peu. Il lui raconte à son tour ses mésaventures avec les femmes qu’il a aimé mais qui étaient trop coincées. Estelle enfonce un peu le clou en ajoutant qu’il est bien dommage que les gens n’osent se parler de leurs petits fantasmes et se privent de grands plaisirs. Jean ne pouvant qu’adhérer à ces propos, trouve sa captive de plus en plus sympathique et lui propose un café.

 

- J’ai droit à un vrai, dans une tasse ? Demande Estelle en ajoutant : promis, je serai sage et je ferai attention d’une petite voix enfantine.

 

- Allez, tu as été sage, alors papa va être gentil avec toi, mais attention, si tu en fais tomber c’est la fessée.

 

- Ah non, pas la fessée. Répond Estelle en se demandant si finalement, le biberon n’aurait pas été mieux.

 

Pendant qu’il prépare le café, les neurones d’Estelle s’enflamment. Que dire, que faire maintenant pour garder le contrôle de la situation et surtout éviter qu’il sombre dans des délires à hauts risques ? Meubler le temps, parler, discuter, faire ami-ami pour affecter sa vigilance et espérer pouvoir s’échapper lui semble la solution même si présentement, elle prendrait grand plaisir à le gifler copieusement avant de le faire enfermer. 

 

La mâtiné se déroule tel que l’a prévu Estelle qui s’efforce même de rigoler puis de le toucher en mettant par exemple sa main sur l’épaule ou sur le bras pour créer et développer le contact amical. Même en perdition dans ses émotions, Jean garde à l’esprit qu’elle est captive au moment du déjeuner. Il attrape les menottes en lui expliquant qu’il est l’heure d’aller manger. Sans aucune résistance mais en faisant un effort surhumain, elle lui tend ses poignets, le contact froid du métal lui glace le sang plus que l’épiderme mais si elle veut garder un minimum de maîtrise, elle ne doit en aucun cas le contrarier. Après lui avoir retiré la chaîne qui l’obligeait à rester au lit, il la conduit à la cuisine puis la fait asseoir à la table en se demandant à haute voix ce qu’ils vont manger. Par chance, il lui reste une pizza au congélateur. Pendant quelle tourne au micro-onde il met la table et ouvre une bouteille de vin. Pour garder le contrôle, Estelle joue le jeu de son ravisseur en lui indiquant qu’elle ne sait pas manger seule et qu’il faudra lui couper la pizza en petits morceaux. Jean n’avait pas imaginé tout ça, dans sa tête, il n’y avait que les délires des couches, de laver bébé, le biberon et les dodos. Pour la première fois de sa vie, il coupe la nourriture de quelqu’un et le lui dit. Comprenant qu’il n’a pas d’enfant et que poursuivre la discussion autour d’une vie de famille, elle reprend aussitôt la main en lui parlant de ses nièces et neveux. Des brrrrrr qu’ils font avec la bouche parfois, des aléas de l’apprentissage de la vie quotidienne des enfants.

 

La pizza et le vieux morceau de fromage trouvé dans le frigo désert consommée, Estelle propose de faire la vaisselle. Jean n’étant pas un adepte du ménage accepte bien volontiers et la regarde faire en lui faisant des compliments sur son visage d’ange, ses jambes fines. Pour qu’il arrête de la reluquer, elle se presse de terminer puis lui demande si elle peut aller faire « popo » avant d’aller faire la sieste. Jean accepte et lui indique les toilettes. A peine la porte fermée derrière elle, Estelle s’interroge sur ses chances si elle reste enfermée dans les toilettes. Aucune est sa conclusion, car il risque de devenir fou et de défoncer la porte qu’elle peine à ouvrir pour sortir après avoir remonté sa couche et sa culotte en plastique. Accompagnée au dodo et aussitôt bordée, Estelle se tourne et fait semblant de vouloir dormir. Le sommeil ne vient pas mais lui enfin un peu de repos tout en lui accordant un temps de réflexion.

 

En fin d’après-midi il la change à nouveau, les discussions se poursuivent autour des enfants, de l’ABDL. Il lui propose du champagne pour fêter leur rencontre, elle accepte bien qu’il lui indique qu’elle devra le boire au biberon. « Pour ne pas t’énerver du con, je le boirai à la cuillère s’il fallait » pense-t-elle. Jean dans l’euphorie se laisse aller et achève la bouteille à lui tout seul. Pendant le succulent repas du soir composé d’une boite de raviolis, Estelle décèle de la fatigue chez son ravisseur. L’alcool et la tension nerveuse de cette journée l’ont épuisé semble-t-il. Pour parachever cette fatigue, elle se met à lui parler des sites ABDL, des discussions sur les forums, des hommes qui aiment se faire changer ou jouer les bébés. Elle indique souvent par des mots choisis ou expression qu’elle trouve cela trop mignon. Si bien est qu’il lui demande si elle s’occupera de lui ce soir. Elle accepte bien volontiers mais en lui répondant qu’il faudra qu’il soit sage s’il ne veut pas prendre une fessée. Le mot « fessée » déclenche chez Jean une nouvelle envie de confidence, il n’en a jamais reçu, enfin du moins, plus depuis qu’il est grand.

 

- Moi il y a longtemps que je n’en ai pas donnée. Si tu en as envie, je me ferai un plaisir de te la donner. Répond au tac-au-tac Estelle.

 

- C’est vrai ? Répond Jean tout penaud.

 

- J’adore ça et tu le sais, je te l’ai dit ce matin quand je te parlais de mon ex petit ami. Par contre, le temps que je fasse la vaisselle, détache- au moins une des menottes s’il te plait, ce n’est pas pratique. Tu me la remettras après si tu veux, mais là, je me fais mal pour rien. Tu es d’accord ! Dit-elle avec un ton ferme ne laissant entendre aucune réfutation. Jean se lève pour aller chercher la clé et libère le poignet droit qu’elle lui tend mais en lui disant d’un doigt menaçant de ne pas jouer au con parce qu’elle le paierait cher.

 

Pendant qu’elle fait la vaisselle, Estelle entretien la discussion autour de la fessée. Il l’écoute, fantasme, rêve, de nounou sévère. Une fois la table débarrassée, elle lui demande s’il a du whisky et du coca en lui indiquant qu’elle rependrait bien un verre. Sans se méfier, il se lève et va chercher la bouteille demandée puis lui indique qu’il doit y avoir du coca au frigo. A son retour, Estelle saisie le biberon qu’elle ouvre et remplit copieusement de whisky avant de rajouter une larme de coca puis se sert un verre avec une dose d’alcool bien plus modeste.

 

- Allez vient bébé, c’est l’heure de ton biberon. Ordonne Estelle en l’attrapant par la main pour le tirer vers la chambre.

 

Complètement dépassé, Jean la suit sans vraiment comprendre et se laisse guider par la main jusqu’au lit où elle s’installe puis l’attire sur elle pour le « bibi ». En se recroquevillant comme un enfant apeuré, son ravisseur prend place dans le lit et pose sa tête contre le buste d’Estelle. Avant même qu’il n’ait le temps de dire quoi que ce soir, la tétine franchit ses lèvres, libérant le breuvage fortement alcoolisé qui, l’espère Estelle le fera sombrer dans un profond sommeil. Il achève son biberon les yeux fermés, s’il était un chat, il ronronnerait tant il est bien. C’est gagné pense la captive.

 

- Je n’ai pas eu ma fessée. Clame soudain Jean.

 

- Mais tu vas l’avoir coquin. Tes fesses vont chauffer pour avoir osé me provoquer.

 

Tourné et « découché » les grosses fesses masculines tranchent sur les jambes fines d’Estelle, mais dans son projet de manipulation, elle n’en a que faire. Les premières claques qu’elle donne sont douces, elle appuie à peine les suivantes n’ayant en aucun cas envie de trop le tirer de la léthargie dans laquelle il sombre. La fessée terminée, elle le tourne sur le dos, le gronde sans jamais lever la voix puis lui indique qu’elle va le changer pour la nuit. Trop heureux, il se laisse faire en suçant son pouce.

 

Consciente que sa liberté se joue à cet instant précis, Estelle se couche aussitôt en remontant les draps sur eux pour l’attirer ensuite contre elle en lui indiquant qu’il a droit à un gros gâté. Le gros bébé un peu « bourré » se serre contre sa nounou providentielle, la fatigue ne tarde pas à le conduire dans les bras de Morphée. Luttant pour ne pas fuir aussitôt, Estelle attend un peu, pour qu’il sombre dans une phase de sommeil paradoxal facile à reconnaître avec la détente complète et la plupart des muscles qui se relâchent. Elle n’entreprend de le pousser avec une extrême douceur que lorsque les mains fermées de Jean s’ouvrent. Il se met à grogner puis se tourne brusquement. L’ombre d’un instant, elle a si peur que son estomac s’est noué, son cœur semble s’être arrêté, pour un peu, elle se pisserait dessus. Avec des gestes d’une infinie douceur, elle sort du lit puis de la chambre à pas de velours. Les clés ne sont pas sur la porte d’entrée ni au porte-clés. Les dents plantés dans sa lèvre pour ne pas crier sa rage, elle se met à les chercher et les trouve tout simplement dans la poche de son pantalon jeté dans la salle de bain avec un téléphone portable. Après avoir ouvert la porte de la maison, Estelle par pudeur retourne dans la salle de bain pour attraper une serviette puis par en courant dès qu’elle est dans le jardin. Le portail fermé n’est qu’une formalité pour une fille de vingt ans. Courir même pieds nus loin de cet enfer est son premier réflexe, elle ne s’arrêtera qu’au bout de la rue pour se cacher entre deux voitures en stationnement.

 

- Police, j’écoute !

 

- J’ai été enlevée, je vous appelle avec le téléphone de mon ravisseur qui s’est endormi. Venez-vite, je suis à moitié nue et morte de froid.

 

…………………….

 

Quelques dizaines de minutes plus tard, assise à l’arrière d’une voiture de police enroulée dans une couverture de survie elle regarde les policiers escalader le portail de la maison de Jean. Il dormait encore lorsqu’ils l’ont trouvé en couche comme indiqué. En guise de réveil, les vilains « papas » l’ont quelque peu bousculé. Menotté et arraché du lit manu militari il a été conduit au poste pour être enfermé en cellule toujours en couche à côté des ivrognes et délinquants hilares.

 

Enlever une fille n’est pas sans risque mais enlever une fille de famille corse multiplie grandement les risques.

 

Six-mois plus tard……

 

A suivre

 

TSM

 

ESTELLE vendetta ABDL

Chapitre 2

 

Six-mois plus tard Jean fut libéré sur parole. Il ne purgea qu’une partie de son temps et dut suivre la psychothérapie entreprise puis pointer tous les soirs au commissariat. Le vendredi 11 mars, comme il ne s’est pas présenté le lieutenant Grognard ordonna une visite à son domicile mais l’équipe envoyée trouva la maison close. Un manda d’emmené fut lancé.

 

Par mesure de sécurité, la police pensa aussitôt à Estelle qui depuis sa mésaventure avait quitté le continent pour retourner vivre chez elle en corse où toute la famille s’était serré les coude pour lui trouver une petite maison tranquille dans l’arrière pays au-dessus de Barracone ainsi qu’un emploi à Ajaccio. Ils appelèrent mais grâce au transferts d’appel, eurent la famille qui pour une fois, se fit un plaisir de répondre à la police pour leur dure la « petite » allait très bien et qu’ils seraient sur leur garde.

 

La dite « petite » regardait à ce moment là par le hublot du ferry la côte s’approcher en compagnie de son frère relativement tendu. Son fourgon garé dans la calle contenait une grosse caisse de bois solidement arrimée et fermée avec d’énorme cadenas qu’il n’aimerait pas avoir à ouvrir devant la police. Si la lumière pouvait filtrer, un œil curieux aurait pu y voir le visage tuméfié d’un homme très solidement entravé et bâillonné plus que de raison.

 

Pour cette famille corse venger la petite était une question d’honneur, malheur à celui qui aurait osé demander de la clémence, toutefois, l’idée longuement développée par Estelle les avait grandement surpris. Elle ne voulait en aucun cas sa mort, elle voulait pire que sa mort pour son propre bien. En fine psychologue, les propos tenus, développés et longuement argumentés par des expressions psychiatriques compliquées firent abdiquer les plus réticents.

 

La petite devait se venger elle-même d’après Freud et Jacques Lacan parce que s’ils persistaient dans leur processus psychique de refoulement et de censure, à l’empêcher de réaliser elle-même sa propre vengeance qui serait un compromis entre désir et interdit, elle serait marquée à vie alors que s’ils lui laisser gérer elle-même sa vengeance, elle en sortirait lavée de toutes les souffrances vécues et pourrait alors accéder au bonheur. De fait, Jean, son ravisseur avait été épargné mais néanmoins molesté avant d’être enfermé dans la caisse qui le conduisait vers les pires horreurs.

 

Si Estelle avait su gérer à merveille la situation lors de son enlèvement puis la police et la famille, sa « raison » en avait été grandement affectée. Dans son esprit torturé, désir de vengeance, cruauté, sadisme se mêlaient avec ses propres et intimes fantasmes. De fait, la vengeance ouvrait en grand la porte aux perversions sous le couvert de la morale.

 

L’ABDL l’ayant beaucoup faite fantasmer, elle se sentait comme investie d’une mission de nurse pour adulte avec comme particularité que « bébé Jean » en serait bien plus marqué qu’elle dans ses chairs et dans son cerveau déjà bien malade.

 

……………………………………….

 

Privé des drogues données par les psys, Jean a le moral au plus bas, être enchaîné par le cou depuis 24 heures avec les mains solidement entravées dans le dos n’arrange pas les choses. Le noir de la petite grange où médite ce matin en pissant allègrement dans sa couche, augmente encore sa pression psychologique. Oui, il rêvait d’avoir une nounou mais pas comme ça. Dans ses rêves, elle était gentille et lui donnait le sein, là, elle est monstrueusement agressive, le gifle quand elle ne lui donne pas des coups de pieds pour qu’il boive son biberon qui n’a rien d’ABDL. Il s’agit d’un biberon pour les agneaux ou les veaux, ou un truc comme ça, le lait a été remplacé par de la soupe agrémentée de somnifères.

 

Armé d’un fusil de chasse, le frère qui l’a molesté le regarde téter avec un œil si méchant que l’idée de réfuter ou de parler ne lui effleure même pas l’esprit. La prison où il a résidé quelques mois était un véritable palace à côté de la grange poussiéreuse avec son enchevêtrement de toile d’araignées accrochées depuis des années aux poutres vermoulues. Le frère ne comprend pas pourquoi elle lui a acheté des couches, lui se serait contenté de le laisser comme un chien baigner dans ses excréments et crever de faim. C’est donc sans comprendre qu’il la regarde le changer puis lui remettre la culotte en plastique prise avec le sac de jouets ABDL lors de son enlèvement.

 

En guise de bonnet de nuit, Estelle lui plaque la couche sale sur le visage et la referme autour de sa tête. N’ayant nullement envie de croiser les poings du frère, sans aucune possibilité de fuite ni d’esquive, Jean laisse Estelle ajouter du scotch d’emballage pour maintenir la couche. Le tampon central en ouate de cellulose trop gorgé réagit comme une éponge que l’on presse et libère de l’urine qui se met à couler sur son visage. Ecœuré et mal en point psychologiquement, Jean craque et se met à pleurer, confondant larmes et urine il craque totalement. Ses suppliques désespérées restent vaines, elles amusent beaucoup le frère commençant à trouver les idées de sa sœur bien plus perfides qu’une cartouche de fusil de chasse.

 

Dans sa tête l'horreur s'installe quand il comprend qu’ils partent et que devant lui s’ouvre une existence aussi difficile de précaire. Le somnifère et la fatigue nerveuse ont raison de sa déprime, il s’endort comme un bébé le nez dans ses souillures. Quelques heures plus tard, il est réveillé par ses épaules qui lui font horriblement mal. Aucune position ne les apaise, ses muscles et ses articulations se révoltent. C’est comme s’il y avait du feu dans ses épaules. Des cris de désespoir et de douleur filtrent de la couche mais leur résonnance n’a aucun effet sur les araignées, seules âmes vivant dans un rayon de plusieurs kilomètres.

 

La porte s’ouvrant brusquement le tire de sa léthargie, un frisson d'angoisse le fait frémir.

Il ne sait qui est là ni s’il doit s’inquiéter ou être heureux. On lui retire la couche de son visage trempé de transpiration, il va pouvoir enfin respirer librement et demander à boire car la soif le tenaille depuis un moment et parler de l’horrible douleur de ses épaules. Estelle est seule, debout, fière, hautaine, un sourire malsain se dessine sur son visage en écoutant les suppliques désespérées.

 

- Je n’ai pas d’eau connard je suis juste venu jouer avec toi et pour tes épaules, je n’ai pas les clés, il te faudra amadouer mon frère. 

 

Des rivières de larmes se mettent à couler sous les paupières de Jean quand elle soulève sa jupe pour retirer sa culotte en lui indiquant qu’elle a une solution pour apaiser sa soif. Dans un réflexe de démence, il l’insulte et lui crie qu’il ne risque pas de boire sa pisse mais un grand coup de pied entre ses jambes coupe net ses réfutations pour faire place à un hurlement inhumain. La couche n’a pas amortie la colère d’Estelle. D’autres coups tombent, il crie, s’excuse et implore sa pitié. L’avalanche de coup a été brève mais rude. Il jure qu’il va boire, et qu’il fera tout ce qu’elle veut.

 

Debout au dessus de son visage, dévoilant son intimité au regard soudain moins gourmand à celui qui quelques mois plus tôt lui lavait le sexe avec de folles envies de la manger, elle lui intime l’ordre d’ouvrir la bouche. Les yeux de l’ancien « baby-sitter » n’expriment plus le désir d’avant mais le dégoût. Uriner sur quelqu’un n’est pas aussi évident que l’imaginait Estelle. Ne pouvant accepter l’idée d’un échec, elle se force un long moment avant de parvenir à faire quelques gouttes. Si les premières sont difficiles à faire, une fois le processus engagé, la suite est bien plus aisée. La suite vient sans tarder avec une foule d’insultes et de promesses de cruelles représailles s’il ne s’applique pas. Sous la généreuse fontaine, il se laisse inonder, en bois un peu, tousse, crache, s’étouffe mais ouvre la bouche tant que peu se faire pour ne pas prendre les coups de pieds dans les couilles qu’elle lui a annoncé. Si en d’autre temps le « face setting » lui plaisait et comptait de ses fantasmes les plus fous, celui qu’elle lui impose en hurlant « lèche » lui glace le sang. Jean lèche rapidement le sexe mouillé plaqué sur son visage comme pour mettre le plus vite possible un terme à son avanie, mais elle insiste et l’écrase à l’étouffer en lui criant que cela doit être bien propre.

 

Lé séquence de réhydratation terminée, elle entreprend de lui retirer sa couche toujours aussi gorgée mais sans excréments tant la peur le constipe. Dans un sens, Estelle préfère dans un autre, elle lui aurait bien fait bouffer.

 

- A genoux connard !

 

Tant bien que mal, Jean s’agenouille, la chaîne cliquette sur le sol, elle l’attrape par les cheveux pour le faire avancer jusqu’au moment où elle commence à l’étrangler.

 

- Penche-toi en avant et montre moi ton cul, j’ai un cadeau pour toi, mais si tu ne gardes pas la chaîne tendue, je te botte les couilles.

 

De son gros sac à main, elle extrait un morceau de manche de fourche d’une vingtaine de centimètre de long et un tube de vaseline en lui criant « c’est pour qui ça ? C’est pas mieux que tes petits godes de tapette ? » Jean est autant blême que mort de peur. Pour lui, tout cela est un horrible cauchemar, elle ne va pas lui faire ça, mais c’est sans compter le vice et la détermination d’Estelle. C’est quand elle lui plaque une poignée de lubrifiant froid entre les fesses qu’il comprend que rien ne lui sera épargné et que le pire reste à venir. Accroupie derrière lui, Elle entreprend de lui enfiler le manche en écartant les fesses velues pour exposer la rondelle contractée. Le contact du bois le fait crier de peur, supplier mais elle n’en a que faire et le menace de se servir du manche pour lui briser les couilles si elle ne parvient pas à le lui mettre. Abdiquant devant la menace, tend les fesses à la torture. Elle pose le manche au cœur de la cible puis commence à pousser pour l’enfoncer. Tandis qu’il crie et supplie, elle commence à le travailler, forçant petit à petit son anus avec le manche de bois en parvenant à l’enfoncer un peu plus profond à chaque mouvement. Les cris, les « doucement » les « ça fait mal » sont sans effet sur Estelle bien décidée à lui « casser » le cul au sens propre du terme mais sans le tuer.

 

L’anus qui s’ouvre peu à peu sous la pression, ses yeux exorbités par l'effroi reflètent la douleur intense qui ravage ses reins. Le rectum s’élargi à outrance, elle sourit à la pensée des cris à venir quand l'étroit petit conduit va devoir gober toute la longueur. Estelle sent la faille et pousse la totalité du manche dans l'orifice monstrueusement distendu. Jean crie comme un animal que l’on égorge et supplie sans cesse mais en guise de réponse, il n’aura que la voix de son bourreau lui indiquant que c’est fini. Il ne bouge plus, serre les dents, toutes ses pensées sont centrées sur son anus en feu.

 

- Allonge-toi sur le dos et écarte les jambes !

 

Avec d’infimes précautions, il tente de s’étendre sur le côté mais s’écroule sur son épaule en hurlant qu’il n’en peut plus mais elle n’en a que faire et l’engueule avec la rage d’une poissonnière enragée.

 

- Tu rêvais d’être un bébé, un soumis lope bébé alors je fais ce qu’il faut pour que tu le deviennes vraiment. Quand tu m’as enlevée et tripotée tu m’as dit des tonnes de choses, alors comme tu voulais de moi comme nurse, tu as ce que tu voulais non ? 

 

- Je veux plus, pitié, pardonnez-moi, j’ai trop honte de ce que j’ai fait. Je n’en peux plus, je veux partir, je ne dirai rien, mais s’il vous plait, enlevez-moi ce truc du cul j’ai trop mal. Supplie Jean en larmes.

 

En guise de compassion et de pardon, une paire de gifles le fait taire.

 

- On ne parle pas comme ça à sa maitresse ou à sa nurse. Tu mériterais une grosse fessée. Ton rêve c’était bien d’avoir une nurse sévère non ? Maintenant tu l’as, alors tais-toi. 

 

Non, arrêtez, j’en ai marre, je veux partir. Supplie Jean.

 

- Bon ben puisque tu ne m’écoutes pas, tu vas m’avoir ta fessée. Tournes-toi et montre-moi tes fesses.

 

Sachant que tout résistance est sanctionnée par des gifles ou pire encore des coups de pieds dans ses précieuses, Jean abdique et se met sur le ventre. Minée par la vengeance Estelle commence à claquer les fesses offertes avec un plaisir non dissimulé et une grande conviction. Sous les claques, Jean bondit, s’agite instinctivement de s’y soustraire mais en vain. Les mains entravées dans le dos par de sévères menottes, il parvient à saisir une main qu’il serre comme un forcené ce qui n’est pas du gout d’Estelle et lui fait mal. Elle saisit aussitôt le manche de la fourche transformé en pal puis lui fait faire de violent va-et-vient arrachant des cris et nouvelles plaintes à Jean.

 

- Lâche-moi ou je vais te massacrer ! Hurle Estelle déchaînée. 

 

Le « ramonage » sauvage est si rude que Jean lâche immédiatement la main d’Estelle et rue de douleur sous le pilonnage si fortement qu’il finit par la désarçonner. Au moment où il essaye de la saisir de ses jambes d’un geste trop rapide, il s’empale encore plus ce qui coupe net sa tentative de corps à corps avec la furie. A cet instant, s’il pouvait la tuer il le ferait bien volontiers quitte à se faire massacrer ensuite par le frère.

 

- J’ai un droit de vie et de mort sur toi. Si tu es sage, tu retrouveras la liberté quand j’en aurai fini avec toi, mais si tu me ferais un coup pareil, mon frère te coupera les couilles et te les fera bouffer. Tu entends, dis, tu entends ? ? ? ? Hurle Estelle à deux doigts de la crise d’hystérie.

 

Plié de douleur et étendu à même la terre battue, Jean ne dit rien et pleure toutes les larmes de son corps. La voir saisir une couche propre est un soulagement même s’il sait que cela rimera sans tarder avec une période de solitude, de soif, de faim. A son approche, il soulève ses fesses avant même qu’elle ne le lui demande pour faciliter la pose de la couche. Après l’avoir passée sous les fesses, Estelle saisit à pleine main le sexe mou de son ex-ravisseur puis l’agite comme si elle voulait lui faire prendre de l’ampleur mais avec le gode de bois planté dans les fesses et la douleur qu’il génère, ses tentatives son vaines.

 

- Et bien dit-donc, ta nouille a perdu de sa superbe ! Dit-elle avant de la rejeter d’un air dégouté avant de refermer la couche, empêchant de fait, toute fuite possible pour le pal toujours profondément enfoncé.

 

 

La culotte en plastique vient à son tour interdire le retrait de la couche propre, la couche jetée à même le sol est à nouveau transformée en bonnet de nuit. Rapidement comme pour en finir, la porte se referme sur lui et sa misère, le laissant seul avec ses doutes, ses peurs, ses douleurs, ses cauchemars pour de longues heures.

 

…………………………………

 

19 heures

 

Estelle entre prestement, retire la culotte et la couche puis, en tirant trop rapidement sur le manche, libère l’anus de son manche de bois. Un cri inhumain résonne dans la montagne malgré la couche couvrant toujours le visage de Jean. Dans l’anus restant ouvert, elle lui enfonce l’équivalent d’une boite de suppositoire à la glycérine, le change et repart aussi vite qu’elle est venue avec la couche sale dans un sac puis le manche de bois légèrement ensanglanté et souillé.

 

………………………………….

 

22 heures

 

La porte s’ouvre à nouveau, aux voix qu’il entend, Jean comprend qu’Estelle n’est pas seule. Quelqu’un le libère de sa chaîne et l’aide à se lever puis à rester droit. Transis de peur, il ne sait s’il doit se réjouir de cette libération ou s’ils ont décidé de l’achever. Dans ses moments de désespoir il a appelé la mort, présentement, il la redoute. Forcé de marcher à l’aveugle, guidé par deux mains ferme, il monte dans un fourgon. Sa couche pleine d’excréments et d’urine commence à empester. Couché à même le plancher de bois, il subit les effets des petites routes cahoteuses de la Corse profonde aux milles les virages. Arrivé  à Ajaccio, il est transféré dans un autre fourgon pour y être à nouveau enfermé dans une caisse de bois après que l’on ne lui ai injecté un puissant somnifère. Le véhicule démarre aussitôt de la propriété sombre où nulle lumière n’a dévoilé les activités nocturnes pour prendre la direction du port. Dans l’énorme caisse de bois, Jean, en perdition mentale, est convaincu qu’il est dans le couloir de la mort.  

 

Les heures s’écoulent lentement, son sommeil est parfois proche du coma tant il sombre.

 

MARSEILLE  11 heures

 

Jean s’éveille doucement, ses mains sont libres, ses épaules ne le font plus souffrir. Ce n’est plus enfermé dans une caisse de bois mais dans un énorme carton. Avec l’énergie du désespoir, prêt à tenter le tout pour le tout pour ne pas mourir, il arrache la couche qu’il porte sur le visage depuis de longues heures puis défonce comme un forcené le carton qui ne lui offre que très peu de résistance. Aussitôt aveuglé par le soleil, il s’écroule sur le bitume du trottoir à l’angle de la Canebière et de la rue Paradis.

 

La femme qu’il vient de bousculer se met à hurler, puis lui envoie un violent coup de sac à main dans la figure avant de partir en courant. Toujours avec l’idée de fuir ses ravisseurs, il se met à courir sur la Canebière. Les gens s’écartent pour laisser passer cet énergumène presque nu avec comme seul vêtement une couche abominablement salle.

 

Les occupants d’un véhicule de police aperçoivent Jean courant sur le trottoir, leur premier réflexe est d’intervenir, le deuxième d’appeler les pompiers pour conduire la personne aux urgences psychiatriques.

 

Vue son casier, personne n’a réellement cru à ses propos et à son histoire d’enlèvement. L’officier de la gendarmerie d’Ajaccio chargée d’enquêter s’est contenté de téléphoner pour savoir si Estelle était chez elle et si elle allait bien.

 

Depuis Jean porte des couches à l’hôpital psychiatrique de Charenton-le-Pont et a plusieurs nounous avec de jolies blouses pour s’occuper de lui.

 

La morale de cette histoire ?

 

En communiquant gentiment avec Estelle, il aurait pu s’accorder avec elle. Quel dommage non ?

 

Petit, retient que si tu forces une fille corse et qu’elle n’est pas consentante, il faut t’attendre à ce qu’elle découche et te face porter des couches.

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Histoire - Communauté : ABDL
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 08:24

Alerte à la bombe

   

En préambule

Comment un homme se fait piéger dans ses propres jeux ?

Tout bêtement !

 

..……Le début de ce récit est rapide pour éviter les longueurs……

 

Cela faisait quelques temps que je fantasmais à l’idée de jouer avec les lavements. N’étant absolument pas scato, mais alors vraiment pas du tout, seul le plaisir anal m’attirait mais le fait de me retrouver les fesses pleines d’excrément m’avait toujours dissuadé. Ma curiosité maladive des choses du sexe ma conduit à acquérir le nécessaire pour tester. La poire ne m’ayant pas amusé, je me suis offert un boc à lavement ainsi qu’un plug gonflable « enema » permettant de contenir les liquides à l’intérieur du côlon. Malgré qu’elle soit joueuse dans les domaines du BDSM, (entraves, fessée, des jeux SM) tout cela n’amusait que moyennement mon épouse n’ayant aucune attirance pour les lavements et les jeux ABDL.

 

Un beau matin, alors que mon épouse venait de partir travailler, je profitais d’une mâtiné de liberté pour m’amuser un peu. Histoire de délirer plus longtemps et d’avoir une certaine pression à ma verge, (hummm c’est grisant) je mis ma cage de chasteté avant de sortir le matériel. Le plug anal trouva rapidement sa place, quelques coups de pompe lui permirent de bien se bloquer. N’étant pas vraiment expérimenté en lavement, il m’a semblé qu’un litre et demi d’eau tiède suffirait pour une première fois. Par précaution et plaisir, j’enfilais ensuite une grosse couche et une culotte en plastique. J’étais fin près pour mes tests et délires…..

 

Le bocal posé sur la commode de la chambre, le tuyau relié au tube du plug je m’étendis sur le sol avant d’ouvrir le petit robinet en plastique en frissonnant d’excitation. Au début, je ne sentais rien et trouvais cela très frustrant mais les minutes qui suivirent furent bien différentes.

 

Le débit trop rapide commença rapidement à me faire mal. Je dosais donc en affinant les réglages pour pouvoir me concentrer et apprécier les sensations d’être comblé au vrai sens du terme tout en caressant mes tétons, zone ultra sensible de mon corps et génératrice de plaisir. Le bocal vide, j’ai fermé le robinet situé au bout de la canule elle-même enfoncée dans le tube du plug percé et gonflé en retirant le tuyau pour avoir la possibilité de bouger librement.

 

Histoire de savourer pleinement les sensations érotiques et de m’enflammer les sens, je me suis installé tranquillement à mon ordinateur pour surfer sur Abkingdom.   

 

SURPRISE SURPRISE

 

Alors que je commençais à surfer sur les nuages cotonneux de l’excitation avec en prime mon Popaul compressé dans le tube de la cage, une douleur castra mes petits plaisirs. Mon « ventre » ne voulait déjà plus du lavement ! Malgré mon insistance, il finit rapidement par me convaincre de diminuer la pression. Dégonfler sans tarder le plug devint même une priorité !

 

SAUF QUE

 

Dégonfler le plug ne suffit pas à mon ventre qui n’en faisait qu’à sa tête si je puis dire, et profita aussitôt pour expulser beaucoup de liquide. La couche joua son rôle, mais je n’y pris aucun plaisir. Et m.. , zut pardon !

 

Je ne sais si j’ai surestimé mes forces ou si j’ai fait n’importe quoi  mais la douleur persista et tout cela ne m’amusait plus du tout. Un passage en URGENCE aux toilettes me permis de me libérer ailleurs que dans ma couche. Je vous passerai les détails….

 

Une fois propre, je retournais à la chambre pour ranger et nettoyer le matériel.

 

SAUF QUE

 

1°) Mon petit trou n’était plus étanche au liquide et ne parvenait pas à maintenir le résiduel qui n’était pas parti !

 

2°) Le bruit de la porte d’entrée et la voix de mon épouse puis d’une de ses copines me glacèrent le sang !

 

OH putain con ! Désolé c’est vulgaire, mais cela expose avec des mots simples ce que j’ai éprouvé à cet instant précis.

 

La solution d’urgence qui me vint à l’esprit fut de remettre une couche pour éviter les problèmes de fuite devant les filles puis d’enfiler un gros peignoir pour cacher non seulement la couche mais aussi la bosse générée par la cage de chasteté qui présentement ne m’amusait plus du tout.

 

SAUF QUE

 

A ma mine déconfite lorsque je me suis sorti de la chambre, mon épouse compris qu’il se passait quelques chose.

 

- Ca va ?

 

- Oui, non, enfin, j’ai la courante, j’espère que ce n’est pas une gastro. Vous ne travaillez pas aujourd’hui ? Que se passe-t-il ?

 

- Il y a eu une alerte à la bombe, ils nous ont fait évacuer et nous ont libérées pour la mâtiné.

 

Je fis une bise à Martine, l’amie de ma femme, qui n’est pas prude ni frigide si vous voyez ce que je veux dire……. Sans être active dans le monde du BDSM, elle connaît sans les détails les passions que nous entretenons avec mon épouse pour les jeux et plaisirs non conventionnels. J’ai vu arriver la catastrophe mais je n’ai rien pu faire pour l’éviter.

 

Martine étant très intime avec mon épouse, entrepris de nous faire un café et pour jeter le filtre c’est quand elle ouvrit le sac poubelle que je n’avais pas eu le temps de sortir ni même de fermer  (et pour cause) qu’elle découvrit la couche jetée à la va vite quelques minutes plus tôt. Elle posa aussitôt la question sur l’incontinence.  

 

Heuuuuuu …… Que répondre ? ? ? ? ?

 

Pour éviter les embrouilles et en espérant qu’elle n’approfondirait pas, je prétextais voir quelques soucis de santé. Au lieu de se taire et de m’éviter la gêne, dans sa grande générosité elle nous parla de traitement, de médecin, de son père, de….. 

 

Mon épouse était pliée de rire de ma déconfiture car elle avait pertinemment compris que je m’étais amusé en solo en ABDL. (Merci ma chérie !) Ses rires générèrent des questions comme l’on peut s’en douter. Entre filles qui se racontent des choses elle lui avoua mes penchants pour l’ABDL.

 

Me sentant près à exploser, elle me calma en me rappelant que sa copine nous parlait de son amant et de ses escapades puis lui prêtait des tenues affriolantes pour nos soirées SM. Pour elle, il n’y avait pas de gêne à avoir à lui dévoiler à notre tour un de MES délires.

 

Très sincèrement, même si je suis joueur et parle volontiers sans tabou de mes délires ou de nos soirées, si j’avais pu passer sous le carrelage pour me cacher, je l’aurais fait. J’étais blême, horriblement gêné, dix coups de fouet dans une soirée SM publique m’auraient nettement moins fait honte.  

 

Histoire de s’amuser plus encore de ma gêne, mon « adorable » épouse se leva pour venir tâter entre mes jambes. Le seigneur fut sourd à ma prière, elle s’écria presque en rigolant « c’est qu’il est encore en couche » ! (Et merde fut ma pensée) Le naturel curieux de Martine et l’envie de jouer de mon épouse redevenue Maîtresse firent cause commune pour m’obliger à « montrer ».

 

Ma perle d’Amour devenue sadique, me fit donc lever puis ouvrit mon peignoir pour dévoiler ma couche. Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Dans un geste dit de tendresse, elle claqua le devant de mon anatomie couverte de sa main ce qui me fit gémir et bondir, car la cage coinça mes testicules. Ma garce de femme compris aussitôt et voulu faire une inspection de la couche !

 

Les dieux se liguaient contre moi ! ! ! ! ! Elle constata ce qu’elle avait deviné et que je m’étais encagé tout seul pour mon petit délire.

 

- Mais c’est qu’en plus, il a mis sa cage ! Où est la clé ?

 

- S’il te plait arrête, j’ai trop honte.

 

- Mais non, tu n’as pas à avoir honte, Martine sait plein de choses et elle ne dira rien. Dis-moi où est la clé ?

 

D’un doigt, je désignais le buffet où elle découvrit en prime, que je m’étais racheté de vraies cigarettes. (On essai d’arrêter)

 

- Tu es vraiment très vilain, tu resteras huit jours en cage pour avoir triché pour les cigarettes. S’exclama-t-elle soudainement moins joueuses.

 

Martine voulu voir la cage de chasteté et moi j’aurai voulu être ailleurs mais comme ma Maîtresse d’Amour en avait décidé autrement, je ne pus qu’abdiquer. Entre nous, il y a des moments où l’on aime sa Maîtresse, mais il y a aussi des moments où on la déteste.

 

Culotte en plastique et couche baissées, je dus monter mon sexe encagé et Martine eut le droit de toucher pour voir, (une vraie gamine) mais ce qui me gêna le plus, ce sont les « traces de freinage » sur l’arrière de la couche. Certes, il y en avait peu, mais il y en avait tout de même et je crus mourir de honte lorsque je dus les justifier. C’est fou ce que deux filles peuvent être cruelles avec un homme.

 

- Les traces dans ta couche sont plus importantes qu’un petit « pétou ».

 

- Arrête, s’il te plait !

 

- Mais non, tu t’es amusé seul pendant que nous on travaillait, alors maintenant c’est notre tour. Raconte c’est un ordre.

 

- Un soumis doit toujours écouter sa Maîtresse ! Rajouta Martine soudainement en s’amusant follement de ma déconfiture.

 

Je dus abdiquer et raconter en quelques mots sans tout dévoiler, que je m’étais fait un lavement en ajoutant que je n’avais pas vraiment apprécié. Leurs commentaires allèrent bon train puis portèrent un instant sur la constipation féminine alors que j’attendais tranquillement en mourant de honte avec ma cage de chasteté à la vue, la couche et la culotte sur les pieds devant deux nanas bien décidées à ne rien faire pour réduite mon calvaire psychologique.

 

LE PIRE est que ma Maîtresse proposa de me changer pour que j’ai les fesses propres. Sur le coup je crus défaillir, mon cœur sembla s’arrêter et mon sang se glacer dans ses veines. Je me mis à détester réellement ma Maîtresse pour ses idées absurdes et son envie de me martyriser ainsi.

 

En soirée, les jeux d’humiliation sont vécus différemment, on s’y prépare psychologiquement et on en arrive même à espérer des délires tous aussi fous les uns que les autres parce qu’ils font partis du jeu et font vibrer mais présentement, là, je ne me sentais pas vraiment soumis et n’avais en aucun cas envie de jouer ABDL devant sa copine.

 

Conduit par le bras jusqu’à notre chambre en marchant tant bien que mal à petits pas avec ma couche maintenue par la culotte sur les pieds, je dus m’étendre sur le lit pour être changé. Mes tempes bourdonnaient, j’avais chaud, froid. Comme dans un état second complètement résigné, je laissais donc mon épouse poursuivre.  Martine dans l’angle de la porte gloussait et commentait mes « adorables petites fesses de grand bébé»

 

Si maintes fois il m’est arrivé de fantasmer sur des jeux ABDL j’eu l’impression de vivre les pires secondes de sa vie, à être ainsi entièrement nu, jambes écartées avec mon sexe encagé exposée au regard de Martine pendant que mon épouse me talquait avec le talc dont on se sert normalement pour les tenues en latex. Sa main froide me procura quelques sensations pas désagréables mais fortement altérées par la présence de sa copine ne loupant rien de mon avanie.

 

Elles se mirent à deux pour me mettre et fermer la couche, alors qu’une seule personne suffit amplement. Je dus donc soulever mon derrière et de fait, monter mon devant en exposant plus encore mon sexe encagé aux regards curieux et gourmands de Martine follement amusée. Ma Maîtresse, qui à cet instant n’était plus vraiment ma Maîtresse d’Amour, me passa la culotte en plastique puis me fit lever. Et là, alors que j’avais les jambes en coton, elle déclara tout de go : « Tu va lui faire voir comme tu es beau dans ta grenouillère » ! 

 

- Il a une grenouillère ? Pour de vrai ? Demanda Martine complètement en délire.

 

J’en aurai hurlé de rage, mais impuissant et vaincu comme si toutes forces de rébellion m’avaient abandonné, je laissais mon épouse approuver puis ouvrir le grand tiroir de l’armoire où sont rangés une partie de nos accessoires et tenues. Elle poussa la camisole de force pour saisir le vêtement en question qu’elle tendit à sa copine. J’étais blême ! Martine s’en saisit, s’agenouilla à mes pieds pour me faire enfiler les jambes de la grenouillère qu’elle eut le droit et surtout le plaisir de me mettre en prenant tout son temps, comme si un pli allait changer quelque chose.

 

- Tu manges avec nous ? Demanda mon épouse à son amie. 

 

Par chance, cette dernière préféra rentrer chez elle mais elle ne put s’empêcher avant de partir de me pourrir la vie une dernière fois en ajoutant que « bébé devrait être sage » avec des tonnes de sous-entendus. La porte aussitôt fermée, avant même que je ne puisse exprimer ma colère, un tsunami de reproches me coupa l’herbe sous les pieds. Mon épouse particulièrement remontée contre moi, m’incendia dans le vrai sens du terme. Tout y passa ! Les risques que je prenais en m’amusant  avec le portail ouvert, les cigarettes, le fait que je lui avais caché le boc à lavement, qu’au lieu de m’amuser j’aurai pu faire le lit et ramasser mes affaires, enfin, une compil de reproches. Vous n’êtes pas sans savoir, qu’en termes de reproches, une femme en colère a des réserves insoupçonnées. Cela dura fort longtemps et lorsqu’elle sentit la limite de ma patience, elle m’acheva en s’écriant : « Ah tu veux que je sois une Maîtresse plus sévère ? Et bien tu vas être servi » !  

 

Le repas fut rapide et légèrement tendu. Une fois la table débarrassée, je dus « apprendre à jouer avec l’aspirateur » pendant qu’elle rangeait la maison. Comme son employeur n’appelait pas pour une reprise du travail, elle m’ordonna de m’habiller mais de garder la couche sous mes vêtements sans me dévoiler quoi que ce soit de ses intentions. L’après-midi fut difficile et cruelle.

 

Nous fîmes du shoping, passèrent des heures dans des magasins de chaussures sans rien acheter et partout où nous passions, j’avais l’impression que tous les yeux se posaient sur moi-même si j’avais pris la précaution de mettre un pantalon ample. C’est dans la galerie marchande de Carrefour, qu’il lui prit l’idée de me relooker en passant devant un coiffeur. Elle y entra d’un pas décidé sans même me demander mon avis pour une coupe pour homme. Ma garce de Maîtresse s’amusant comme une folle. Je tentais de différer, mais rien n’y fit. On me prit immédiatement en me proposant un vestiaire. Par pur réflexe, j’abondai en retirant mon blouson mais lorsque le coiffeur s’en saisit, ma conscience me rappela bien trop tard qu’il masquait mes « volumes ».   Madame me planta là pour aller flâner, le seul bon souvenir que j’ai de la séquence coiffeur, d’avoir pissé dans ma couche pendant qu’une jolie blondinette me lavait la tête à côté d’une mamie moraliste coincée qui gonflait tout le monde en parlant de son chien plus intelligeant que les autres. J’avoue humblement y avoir trouvé plaisir.

 

De retour à la maison, ma maîtresse d’Amour s’étant décontractée, me taquina puis me permis d’aller me laver. OUF. La surprise suivante vint vers 21 heures 30 d’un ordre qui me surprit. « J’ai besoin d’une chaîne et d’un cadenas ». Oh oh, pensais-je, il y a du délire dans l’air. Pendant que je me rendais à notre petit donjon pour prendre le matériel demandé, mon esprit s’enflamma et la crise du logement se rappela à moi avec l’extension masculine générée par l’excitation. En clair, mon Popaul emprisonné dans sa cage de chasteté ne parvenait point à se déployer.

 

SAUF QUE ! ! ! !

 

En guise de soirée coquine ou SM, la tortionnaire de mon cœur, attacha une des extrémités de la chaine au sommier avec le cadenas et l’autre extrémité à celui de ma cage de chasteté.

 

- Comme ça, demain matin tu ne te lèveras pas pour aller surfer et j’aurai le plaisir de me réveiller avec mon doudou à côté de moi !

 

Et m…. Pour quoi et m…. ? Tout simplement parce que je me réveille vers cinq heures alors qu’elle ne se lève que vers sept heures. J’étais convaincu que ces deux heures allaient d’être longues et ce fut le cas. Dans la nuit, lorsque l’on est sous cage de chasteté, les envies d’uriner se multiplient mais ne brulons pas les étapes. Revenons si je puis dire au moment du coucher. La gourmandise câline de mon épouse ne pouvait rester insatisfaite, mais étant sous cage de chasteté, je ne pu que l’accompagner des mains et de la bouche dans son moment de plaisir qui ce soir là, fut assez intense tant le fait de m’en priver l’excitait. Après avoir repris son souffle et les petits bisous tendres du soir, la lumière éteinte et son sommeil rapide me laissèrent dans une très sévère « crise de solitude ».  Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

 

Les pensées se bousculant dans ma tête et entre mes jambes, ne me permirent pas de trouver le sommeil rapidement. La nuit fut agitée et peuplée de rêves fous musicalement agrémentée de sonorités métalliques. Une envie pressante m’arracha au sommeil enfin trouvé vers une heure du matin, m’obligeant à l’aveugle à attraper une couche dans le placard puis à l’enfiler pour pouvoir me soulager puisqu’il me paraissait inconcevable d’uriner dans le lit et encore moins de prendre le risque de la réveiller. Je ne saurai dire pourquoi, mais je me suis réveillé toutes les heures en mettant à chaque fois un long moment pour me rendormir. Si bien qu’au petit matin, alors que la rosée séchait je dormais encore comme un « bébé ».

 

Ma Maîtresse d’amour me martyrisa grandement toute la semaine, soit en me laissant en plan soit en se faisant, masser ou câliner. Le pire fut l’avant dernier soir de ma période de « punition ». Elle me conduit à la salle de bain pour une toilette intime mais elle ne me remit point le tube de ma cage de chasteté. Mon Popaul en profita pour se mettre au garde-à-vous. La base de ma verge serrée par l’anneau de la cage générait une érection forte et monstrueuse dont elle profita grandement et longtemps en m’interdisant de jouir sous peine d’une semaine de cage supplémentaire. Se fut dur au sens propre et au sens figuré du terme……

 

Conclusion :

 

Une alerte à la bombe peut avoir de lourdes conséquences !

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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