Vécu et bien réel

Mercredi 30 juin 3 30 /06 /Juin 09:40

Je hais les canapés

30 juin 2010

 

Des éclats de rire me réveillent. En moins d’une fraction de seconde je prends conscience de la dramatique de la situation. Normalement, elle devait déjeuner avec une copine et aller faire du shoping à Montpellier alors j’en ai profité pour me faire une petite séance de self bondage en couche. Lorsque je suis parvenu à me libérer, au lieu de me changer et de tout ranger je me suis étendu dans le canapé pour regarder le match. Quel con !

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Les canapés, me font dormir, cela en est parfois gênant au point que chez des amis, je prends bien souvent une chaise. Là, ce qui m’arrive est bien pire que de m’être assoupi.

Si ma femme est une véritable Perle d’Amour dans la vie et que nous nous adonnons avec grand plaisir à de multiples délires BDSM et ABDL, j’imagine sans aucun doute possible qu’elle doit être furieuse que notre vie privée soit dévoilée à sa copine. Que faire ? Que dire ? Rien, ne rien dire, attendre tout honteux en me morfondant pour voir ce qu’il va se passer et comment elle va réagir.

- Tu l’avais attaché avant de partir ? Lui demande sa copine entre deux rires débiles.

- Non, non, il s’est amusé tout seul.

Avec sa flegme habituelle, mon épouse propose un café à sa copine comme si de rien n’était, me laissant à penser que je vais pouvoir foncer à la salle de bain pour me changer.

- Toi, tu ne bouges pas ! Me dit ma femme d’un ton sec en me voyant prêt commencer à me lever.

  Soudain, elle se ravise, prend les menottes que j’ai laissées sur la table et m’oblige à passer les mains dans le dos pour m’entraver les poignets. Oh putain con, là, ça craint. Si dans nos jeux de domination soumission je me délecte à m’abandonner à ses délires, présentement un gigantesque sentiment de honte et l’envie de fuir remplacent les plaisirs d’habitude éprouvés. En l’entendant dire « surveille-le, je vais faire du café » mon sang se glace dans mes veines parce qu’avec tout ce que j’ai sur moi et en moi, mon humiliation ne fait peut-être que débuter.

  Aussi jolie soit-elle avec ses cheveux blonds bouclés à la Marilyn, sa garce de copine semble se délecter de mon mal être. Elle me pose des questions auxquelles je ne réponds pas, préférant essayer de reprendre la main en lui demandant quels sont ses fantasmes.

  - Qui est-ce qui pose les questions ici ? Dit-elle en s’assoyant à côté de moi dans le canapé.

  Sa réponse immédiate me coupe net dans mon élan. Qui est cette fille qui ne se démonte pas et s’amuse de cette situation gênante ? Mon épouse revient avec nous et prend place sur une chaise face à nous. Elles se mettent à parler de choses et d’autres lorsque Laura demande soudain à mon épouse si je ne devrai pas raconter ce que j’ai fait en son absence. L’idée de la pendre par les pieds dans notre donjon pour la fouetter me traverse l’esprit mais je comprends en voyant mon épouse approuver que cette envie ne restera qu’un fantasme. Inventer une petite histoire bien gentillette me semble la solution la meilleure…..

  - Je me suis fait un petit trip dans lequel ma Perle d’Amour m’aurait enlevé pour me violer. Pendant ma captivité, elle me passait des couches pour pouvoir me laisser entravé sans que je ne fasse pas mes pipi sur le sol et me violait régulièrement. Tout cela m’a follement excité et je me suis fait un petit self service avant de m’endormir devant la télé.

  - Es-tu sûr que c’est d’elle dont tu rêvais ? Demande cette s….. de Laura.

  - Sophie est ma Perle d’Amour et le désir de tous mes rêves, je n’imagine pas la vie avec une autre.

  - Ta perle d’amour beau parleur, est furieuse parce qu’elle aurait très bien pu arriver avec son fils. Tu es complètement inconscient ! J’espère que ce qu’il t’arrive te servira de leçon…..

  Comme toutes les femmes en colère, je la vois bien partie pour dix minutes de sermon supplémentaire et largement agrémenté. C’est effectivement ce qu’il se passe, et gna gna gna, en encore gna gna gna. Je la coupe au bout d’un moment en lui indiquant que je prendrai bien une tasse de café avec elles puisqu’il doit être terminé. Même pendant qu’elle va chercher le café les gna gna gna continuent mais à son arrivée le biberon posé entre les tasses me saute aux yeux. Non, elle ne va pas oser ? Quoi qu’avec nos délires cela ne la choquerait pas, mais là, il y a quelqu’un ! ! !

  - Laura, je te laisse lui donner puisque tu es assise à côté de lui ? Demande Sophie avec un sourire banane.

  Follement amusée, Laura attrape le biberon, m’attire contre elle en me disant des tonnes de bêtises du style : « il est pour qui le bibi, il va être gentil le gros bébé, …… ». Même si j’aime beaucoup délirer, la situation me dépasse. Présentement je ne joue pas ABDL ou soumission, je subis parce que je n’ai pas d’autres choix vis-à-vis de Sophie.

  La pause café s’éternise, je bois mon biberon de café. Elles poursuivent leur discussion comme si de rien n’était sur les meubles en promo à Ikea que l’on pourrait acheter pour la maison quand soudain, Sophie annonce qu’après, il va falloir changer le gros bébé. Ma réponse négative bien trop pressée met aussitôt la puce à l’oreille de mon épouse qui ne peut contenir sa joie de dire qu’elles risquent de trouver des surprises dans la couche. Et merde ! ! ! Je suis mal !

  Ni une ni deux, elles entreprennent de retirer ma culotte en plastique puis ma couche. Je suis blême parce que j’ai encore sur moi le rosebud XL de 435 grammes et l’anneau de la cage de chasteté que j’ai utilisé dans mon délire pour les plaisirs de la compression de la verge. A la vue de l’anneau en métal, Sophie s’arrête de retirer la couche et me demande où est la cage. Des yeux je lui indique la serviette posée sur le sol près du canapé.

  Laura demande ce que c’est et Sophie, sans la moindre considération pour ma pudeur, lui explique que c’est une cage de chasteté et que pour ma punition, je vais devoir la porter au moins une semaine. (Grrrrrrrr) Le retrait de la couche expose le bijou ornant le rosebud qui lui aussi engendre des commentaires sur son usage et ma gourmandise de ce côté-là. Plus humilié que ça, je ne peux l’être. Sonné de relever mes jambes, Sophie l’extrait avec précautions dévoilant à Laura aux jolies yeux bleues rivés sur mes fesses la taille de l’engin.

  - Et ben dit-dont, effectivement tu es gourmand toi ! Je n’en avais jamais vu d’aussi gros. Clame Laura.

  Sa remarque me laisse à penser qu’elle doit se laisser aller elle aussi à quelques loisirs non conventionnels apaisant un peu ma honte. Et là, comme à mon habitude, je lui ai proposé de l’essayer ! Quel con !

  - Non merci, je préfère les vrais mais je trouve que tu es bien irrespectueux de me proposer ça.

  - Tu as raison, il ne sait pas se tenir dès qu’il y a du monde un peu branché. Lui répond Sophie. On va le laver un peu puis tu pourras lui donner une fessée si tu veux.

  - Ah oui alors ! S’exclame Laura en ajoutant qu’elle ne l’a jamais fait mais que ce sera un plaisir de s’essayer en fesseuse.

  Sophie nous laisse le temps d’aller chercher un gant, temps pendant lequel Laura me promet une cuisante fessée dont je me souviendrai. Forcé de me lever pour la toilette, j’ai l’air d’un con. Tirée par le bras vers les genoux de Laura, je m’installe tant bien que mal soutenu par les filles pour offrir mon fessier à mon bourreau. Si les premières claques sont douces comme celles d’une personne inexpérimentée, les suivantes sous les conseils éclairés de mon épouse le sont moins. Mes suppliques sont vaines, la fessée sévère et cuisante m’arrache de petits cris dont elles n’ont que faire. Par deux filles en plein délire, je me fais tanner les fesses qui doivent être écarlates.

  - Houa ou, ça fait mal à la main à force ! Clame Laura.

  - Tu veux un martinet ? Lui demande Sophie.

  - Non, ça va aller, je crois qu’il est assez puni comme ça.

  - Allez, lève-toi qu’on mette la cage de chasteté pour qu’elle voit comment tu es beau quand tu la portes. Me dit Sophie.

  Sous les yeux ébahis de Laura, Sophie attrape mon sexe qu’elle fait entrer dans le tube métallique avant d’y poser le cadenas avec lequel elle galère comme d’habitude ce qui m’amuse. A force d’insister elle me fait mal mais parvient à le fermer en m’indiquant que j’en ai pour une semaine minimum.

  - On change la couche ou elle peut encore servir ? Me demande Sophie.

  Même si je réponds ne pas en avoir besoin, Sophie en plein délire a comme objectif de me donner une bonne leçon et ne me laisse pas le choix. Elle me plante là pour aller dans notre chambre en chercher une propre. A son retour, je comprends que mon humiliation n’est pas terminée parce qu’elle a pris en plus une culotte rembourrée supplémentaire. Sous les yeux d’une fille que je ne connaissais pas et qui est pliée de rire je suis donc langé et revêtu d’une culotte en plastique puis d’une culotte rose rembourrée. Quelle honte !

  Sophie me libère des menottes puis m’envoie à la cuisine après m’avoir indiqué que si je retire quelque chose, elle rajoute une semaine de cage. Je n’en mène pas large en quittant la pièce pour aller préparer le repas du soir comme à mon habitude. Laura ne reste pas pour dîner avec nous et s’en va quelques temps plus tard non sans venir tapoter ma couche en me faisant une bise.

  Mon épouse la raccompagne et comme d’habitude, elles discutent encore une demi-heure sur le parking. A son retour, à sa façon de fermer la porte, je comprends que les reproches ne sont pas terminés mais c’est sans intérêt pour le lecteur.

 

TSM

 

 

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Vendredi 25 juin 5 25 /06 /Juin 07:14

  24 juin 2010


Un pari avec moi-même histoire de délirer et de jouer tout seul. 

 

Les clés de mes menottes et des cadenas étaient dans la voiture.

MAIS les clés de la voiture étaient dans la boite à lettre.

MAIS les clés de la boite à lettre étaient dans la maison.

MAIS les clés de la maison étaient au fond du jardin.

Et moi, j’étais sur la terrasse en couche avec 3 Microlax dans les fesses.

 

Ce que j’avais sur moi et ma tenue ? Vous allez penser que je suis fou et vous aurez raison !

 

Sur mes seins il y avait des pinces mais elles n’étaient pas accessibles parce que j’avais mis un soutien-gorge et un gros pullover. L’idée était de me contraindre à aller jusqu’au bout de mon pari SM et ABDL.

 

J’avais mis ma cage de chasteté puis une couche et avec une chainette qui passait entre mes jambes pour remonter dans mon dos où j’ai attaché mes menottes. L’idée était de limiter mes mouvements et de m’interdire le retrait des pinces à sein. Donc tirer sur la chaîne était dissuasif car les testicules n’aiment pas.

Principe de la chaîne

Pour l’excitation, j’avais inséré un vibro avec des piles neuves sur mon devant. Quand on est dans une cage de chasteté c’est du masochisme je sais ! J’oubliais d’indiquer que la culotte en plastique que j’avais mise se ferme avec un cadenas. Cette précaution avait pour objectif de m’obliger à faire le parcours en entier.

  Culotte à cadenas

Histoire de bien transpirer et de me mettre la pression, j’avais mis des collants de sudation et une gaine Playtex pour comprimer ma couche et donc ma cage de chasteté et mon ventre. Un bâillon complétait la tenue déjà bien chargée….

 

Mes pieds perchés sur les chaussures à talon ne pouvaient pas faire de grands pas parce que mes chevilles entravées avec de la chaînette de 25 centimètres de longueur limitaient les mouvements.

 

EN GRAND FOU que je suis, juste avant de commencer mes préparatifs de selbondage j’avais bu deux pastis grand verre soit 50 centilitres de liquide et je m’étais mis trois tubes de Microlax qui est un traitement symptomatique de la constipation basse, notamment par dyschésie rectale. Il sert également pour la préparation aux examens endoscopiques du rectum c’est donc un médicament efficace pour vous faire aller aux toilettes. Mon pari était de parvenir à me libérer avant de faire caca dans ma couche parce que j’ai horreur de ça. Ayant toujours pu gérer jusqu’à ce jour, j’étais arrivé à limiter les dégâts. Etant fou de nature dans les jeux, mon idée était de mettre la barre encore plus haut que mes délires précédents.

 

Lorsque j’ai fermé mes menottes sur mes poignets, je me suis traité de fou mais l’excitation était à son paroxysme. C’est donc à petits pas que j’ai traversé le jardin pour aller chercher les clés de la maison. Mes talons hauts s’enfonçant dans le gazon rendaient ma démarche délicate déjà rendue difficile à cause de la chainette. Entre mes jambes, ma verge gonflée se heurtait à la résistance de la cage de chasteté, en clair, je bandais dur mais compressé. Hummmm, j’adore jouer avec la cage de chasteté parce qu’outre l’effet physique, la frustration décuple l’excitation et les sensations.

 

Arrivé au fond du jardin, le bruit d’un camion a attiré mon attention. Lorsque mon regard s’est posé sur le véhicule mon sang n’a fait qu’un tour ! Le propriétaire du champ voisin qui ne vient jamais arrivait avec des ouvriers. ET MERDE !

 

Pour revenir à la maison sans être vu, j’ai du me déplacer à genoux ou genoux fléchis ce qui non seulement était inconfortable et épuisant mais en plus rendait la contraction de l’anus difficile. Les Microlax commençant à faire leur effet, contenir la matière fécale fut très, très et encore « très » difficile. Mes mouvements tiraient sur le soutien-gorge et mes pinces à seins. OUF ! A cela se rajoute que j’étais trempe se sueur et que j’ai du faire des pauses en serrant les fesses comme un malade mental que je suis mais avec la couche, ben…..il y a une masse entre les cuisses qui bloque un peu quand on veut serrer les jambes.

 

Pour ouvrir le verrou du bas de la porte de la maison, j’ai du fléchir les genoux et de fait, prendre la position de la personne qui s’assoie ……..sur les toilettes par exemple…. OUF, ouf ouf, le faire en serrant les fesses fut délicat…. 

 

C’est donc sans tarder mais toujours à petits pas que j’ai pris la direction de la boite à lettre. Cette partie de la propriété est protégée de la vue par une haie de cyprès ce qui m’a permis de parcourir les 50 mètres debout. Ouvrir la boite à lettre pour prendre les clés de la voiture fut difficile car même mes mains transpiraient. Une fois qu’elle fut ouverte, ma vessie a rendu l’âme ce qui ne me déplait pas mais le sphincter voisin crut avoir le droit de faire de même ! ! ! J’ai du faire une pause pour une INTENSE contraction fessière. Et là j’ai commencé à me détester car je doutais sérieusement de parvenir à gagner mon pari tant cela poussait dans mon colon.

 

Pour me rendre à la voiture ma démarche fut celle d’un mec « cul serré » droit comme un « i » et donc avec les fesses ultra serrées. Mes tétons pincés se révoltaient et commençaient à me faire un mal de chien. Après avoir ouvert la portière de la voiture, les clés des menottes et cadenas posées sur le siège me semblèrent soudain très loin. Un siège ce n’est pas grand ni loin nous en conviendrons, mais là, les attraper sans me lâcher dans la couche fut ultra difficile. J’ai essayé de m’appuyer contre la carrosserie et de glisser doucement en serrant les jambes et les fesses comme un malade mais lorsque je me suis incliné sur le côté en envoyant les mains pour attraper les clés des menottes et des cadenas, il me manquait au moins 50 centimètres. L’horreur !

 

L’horreur parce que j’ai du m’asseoir et en m’asseyant sur le bord du siège j’ai pris la position qu’il ne fallait pas prendre dans une voiture en plein soleil après avoir pris du Microlax. Entre mes fesses j’ai senti partir de la matière. Furax mais résigné j’ai essayé de « doser » pour diminuer la pression et j’y suis arrivé. Je ruisselais, j’étais complètement en nage. Des goûtes de transpiration coulaient de mon front jusqu’à mes yeux (ça pique) et je bavais comme une vache qui vient de boire. Les doigts mouillés glissaient sur le métal et ne trouvaient pas le trou de la serrure des menottes. J’étais fou de rage parce que derrière cela poussait encore….

 

Lorsque je suis parvenu à me libérer, pressé d’en finir j’ai essayé d’activer le mouvement sauf que pour me relever il m’a fallut faire un effort et là, ….. mon anus révolté a encore laissé passer de la matière fécale. Jambe écartées au maximum (25 centimètres à cause de la chaînette aux chevilles) j’ai parcourus les 30 mètres séparant le parking de la terrasse à petits pas en retirant les pinces de mes tétons qui se sont vengés. La douleur fulgurante me déconcentra, ma vessie et mes fesses en profitèrent pour se lâcher. GRRRR J’ai ouvert le cadenas de la culotte en plastique mais je ne me suis pas aventuré à me baisser pour libérer mes chevilles, trop risqué ! ! !

 

En entrant dans la maison, après avoir pris un rouleau de Sopalin les toilettes m’ont semblé loin mais je m’y suis rendu sans tarder comme l’on peut s’en douter. Renault disait dans une de ses chansons : « et le roi des cons assis sur son trône » les paroles de sa chanson qualifiaient à merveilles les sentiments que j’éprouvais pour moi lorsque j’ai baissé la culotte et la couche pour poser mes fesses sur les toilettes.

 

La libération fut jouissive au sens propre du terme, même mon Popaul encagé se réjouissait alors qu’il n’y a rien d’excitant à faire ses besoins. La couche avait souffert mais moins que je ne le pensais, OUF parce que paradoxalement, j’ai horreur de la matière fécale.

 

Comme l’on peut s’en douter, la douche fut salvatrice et maintenant que j’ai écris ce compte rendu ou histoire (au choix) je vais pouvoir retirer la cage et m’accorder un petit moment de plaisir même si j’ai perdu mon pari.

 

TSM

 

NOTE DE L’AUTEUR

 

Si ma femme voit ce récit, même si elle est joueuse elle va me traiter de fou et sûrement me punir mais j’assume. 

 

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mercredi 2 juin 3 02 /06 /Juin 09:44

Parcours du combattant ABDL et self bondage

 

Ci-dessous la trame du jeu d’auto bondage et d’auto SM avec la liste des vêtements et accessoires que j’avais mis sur moi juste après m’être administré deux poires de lavement avec mes commentaires sur les astuces pour s’auto martyriser. A noter, je ne suis pas scato c’était donc un auto défi et l’idée était de ne pas « faire »

 


LISTE DES ACCESSOIRES / VETEMENTS / ASTUCS

 

  • 2 couches (La première percée pour que les liquides puissent se répartir sur les 2 couches)
  • 1 culotte en plastique (pour les fuites éventuelles)
  • 2 culottes ABDL (rembourrées entre les jambes ce qui les force à l’ouverture)
  • 1 culotte à cadenas dont la clé était au fond du jardin. (La ceinture est une chaine)
  • Mon corset
  • 2 pinces à seins
  • 1 body sculptant (bien épais et qui serre le corps) Là il serrait aussi les couches.
  • 1 grenouillère à cadenas dont les clés étaient dans la boite à lettre. (La fermeture éclair est dans le dos, avec à l’encolure des anneaux pour la bloquer par un petit cadenas) 
  • 1 chaînes aux pieds avec 2 cadenas dont les clés étaient dans la maison.
  • 1 bâillon boule maintenu en place par sécurité (parce que je triche) par un masque Hannibal qui se verrouille avec un cadenas dont les clés étaient dans la voiture garée dans le jardin.
  • 1 paire de menottes dont les clés étaient à côté de moi dans un petit bloc de glace sauf que j’avais bloqué les menottes sur mes fesses avec la chaine allant de mon masque Hannibal à mes chevilles ce qui m’obligerait à marcher comme un canard. (Donc presque la position de quelqu’un aux toilettes…..)

…………………………….

Libérer mes poignets dans une des multiples annexes de la propriété ne fut pas bien difficile car je commence à avoir une certaine habitude et surtout plus de stress. Les fesses serrées je pouvais donc passer à la suite qui fut bien plus délicate…….

 

Tout d’abord, j’ai du aller à ma voiture garée dans le jardin (devant la maison) pour récupérer les clés de la chaine reliant ma tête à mes pieds et m’obligeant à marcher comme un canard. Par deux fois, j’ai du m’étendre sur le sol en serrant les fesses et les jambes comme un fou pour contenir le lavement sauf que les culottes rembourrées ne m’aidaient pas. Ouf ouf ouf d’autant plus que les pinces à seins commençaient à se faire cruelles.

 

Lorsque j’ai enfin pu retirer le bâillon boule maintenu en place par sécurité par le masque Hannibal, je me suis redressé ce qui a eu pour effet de tirer sur mes pinces à sein que je ne pouvais retirer à cause de la grenouillère cadenassée et du body ultra épais les recouvrant et rendant impossible l’accès aux pinces. 

 

L’urgence pour le lavement et surtout mes seins de plus en plus douloureux fut de « foncer » à la maison pour prendre les clés des cadenas maintenant mes pieds enchaînés. Le trajet (30 mètres environs) me parut une éternité. Libérer mes pieds m’obligea à me baisser, mon anus me rappela que cette idée n’était pas la meilleure que je puisse avoir….. C’est donc en marchant normalement ou presque que j’ai pu me rendre à la boite à lettre située à l’entrée du terrain qui est assez grand.

 

En même temps que je marchais vers le fond du jardin pour cause de grande urgence annale, j’ai entrepris de retirer le cadenas de la grenouillère. SAUF que, le cadenas est fixé dans le dos juste sous la nuque, ce qui m’a obligé à lever les deux bras jusque derrière ma tête. Mes tétons se sont révoltés et vengés car en levant les bras je étirais ma poitrine. Ahouuuuuu !

 

Quand j’ai gesticulé pour faire descendre cette putain de fermeture éclair ce fut vraiment douloureux.  Même si je suis maso et quelque peu habitué à ces délires, une pause me fut nécessaire. Appuyé contre le mur de la maison, j’ai enfin pu retirer les pinces à sein en passant mes mains sous le body. Le retour du flux sanguin dans les tétons me fit tourner la tête tant ce fut douloureux. J’avais vraiment présumé de mes forces sur ce coup là.

 

A force de gesticuler, de marcher et de souffrir, mon ventre gargouillait de plus en plus surtout que le corset me donnait l’impression de se serrer tout seul. Certes un corset ne se serre pas tout seul mais c’est vraiment l’impression que cela me donnait. Malgré que je garde les fesses ultras serrées, un début de fuite se fit sentir. La totalité de mes muscles y compris ceux des mains serrées se tendirent pour soutenir moralement mon anus. Mon corps tremblait pendant cette effort tant il était contracté.

 

L’accident

 

L’accident est arrivé en traversant le gazon mouillé par la rosée pour aller chercher les clés de la culotte en plastique. Concentré sur mes fesses, je marchais vite et n’importe comment sans prendre garde au panneau que j’aurai pu mettre : « chaussée glissante ». Mon pied droit est parti en avant plus vite que je l’aurai souhaité et il ne s’est pas arrêté. Oh que ce fut dur ! Non je ne me suis pas fait mal physiquement car je suis tombé dans du gazon sur mes fesses ultra protégées par les culottes rembourrées et les couches sauf que dans ma chute mon sphincter n’a pas aimé et encore moins quand j’ai voulu me lever. Et merde ! (Au sens propre et au sens figuré)   

 

J’ai donc récupéré quelques mètres plus loin les clés de la culotte à cadenas posées sur le sol histoire d’augmenter mes gestations (quel con) ce qui m’a valu un complément de fuite. Grrrrr ! A petit pas, le cul merdeux (Au sens propre et au sens figuré) je me suis donc rendu à la maison pour le grand nettoyage de printemps. Les doigts tremblants j’ai ouvert le cadenas de la culotte à cadenas que j’ai fait glisser tant bien que mal sur mes jambes. OUF, c’était propre mais je craignais le pire car je vous rappelle que je n’aime pas les jeux scatos.

 

Le retrait du body de la première culotte rembourrée fut aisé par chance cela n’avait pas traversé. Le retrait de la deuxième se passa comme la première. La culotte en plastique du type médical avait bien fonctionné car j’avoue que l’idée de faire une lessive de tenues couvertes d’excréments aurait été pour moi une véritable punition. C’est dans les toilettes avec un rouleau de Sopalin et en position d’attaque que j’ai entrepris de retirer la culotte en plastique. Rien, il n’y avait rien hormis un peu de transpiration. Ouf et encore ouf, mais je craignais quand même la suite.

 

La suite me surpris car les couches étaient sales mais bien moins que je ne le pensais. Roulée en deux temps trois mouvements à mes pieds j’ai pu savourer le fait de me soulager et entre nous, ce fut divinement « bon ».

 

La douche salvatrice me permit de me remettre de mes émotions tout en imaginant un autre scénario.

 

TSM

 

Rappel en auto bondage : rien autour du cou, des entraves qui ne se serrent pas toutes seules où vous risquez de vous faire des garrots.

 

Astuces pour les couples et trucs pour du materiel que vous n’avez peut-etre pas :

 

Vous pouvez reprendre tout ou parti de ce scénario en l’adaptant avec l’un des deux qui observe, titille, ennuie, se moque, fait des photos…. et pourquoi pas, impose des gentillesses et caresses en cours de parcours. Ce vous faite sous la couette prendra une autre dimension……

  • Vous n’avez pas de culotte à cadenas ? Trouvez un pantalon trop grand (pour avoir du volume afin d’y mettre des couches) et mettez une chaine en guise de ceinture.
  • Vous n’avez pas de culotte rembourrée ? Mettez 3 ou 4 couches.
  • Vous n’avez pas de culotte en plastique ? Avec un sac poubelle et du scotch OU du cellophane il est facile d’en faire une. 
  • Vous n’avez pas de grenouillère qui se cadenasse ? Prenez un bleu de travail et faite deux trous à l’encolure pour la fermer avec un cadenas.
Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : Auto-bondage self bondage
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Mardi 30 mars 2 30 /03 /Mars 08:44

Auto bondage en couche et rebondissements

 

Scénario et texte du compte rendu

 

 

Scénario

 

Matériel pour ce scénario :

  • Couche
  • Culotte en plastique
  • Microlax ou autre produit pour personne constipée
  • Menottes
  • Vos jouets, accessoires ou vêtements préférés comme pinces à seins, plug, bâillon, bandeau pour les yeux, vêtements divers….

 

Scénario

  • A l’avance, faire un ice timer (bloc de glace avec les clés) avec un quart ou un demi-litre d’eau
  • Boire deux ou trois grands verres d’eau
  • Se mettre un Microlax ou autre produit pour personne constipée
  • Passer la couche et mettre la culotte en plastique
  • Mettre les menottes
  • Ajoutez à ce scénario vos jouets, accessoires ou vêtements préférés comme pinces à seins, plug, bâillon, bandeau pour les yeux, vêtements divers….
  • Fermez les menottes sur vos poignets mains dans le dos ou attachées à quelque chose comme barreau de chaise ou arbre si vous voulez jouer en extérieur.
  • Mijotez

 

Rappel vous devez toujours pouvoir accéder au glaçon quelque soit le lieu ou la façon de vous menotter.

 ice timer self bondage

 

PETIT ICE TIMER

Compte rendu

Cela fait longtemps que l’idée d’être obligé de vivre la « totale » en couche pour personne incontinente me tentait mais n’étant absolument pas scato, je n’étais jamais arrivé à me décider ni à oser. Au dernier moment, je fonçais aux toilettes pour aller déféquer.

 

Ce n’est pas que cela me séduisait outre mesure, mais je voulais le vivre au moins une fois pour connaître les sensations. J’ai été servi……..

 

Mon expérience en délires de toutes sortes et aussi divers que multiples avec mon épouse très joueuse, avec des ami(e)s ou seul faisant que je devenais de plus en lus gourmand, un beau jour, l’idée de me faire la totale m’est venue. Après avoir fermé le portail à clé, j’ai commencé par me mettre une cage de chasteté parce qu’avoir une érection avec la verge compressée est sympa. Ensuite, histoire de bien délirer, j’ai fait une compil de trucs aussi fous les uns que les autres. 

 

Comme il était 19 heures, j’ai commencé par prendre l’apéro en surfant ce qui m’a conduit à prendre quelques pastagas jusqu’à 20h30. Pour le volume d’eau, j’avais mon compte….. Sentant venir l’urgence « pipi », je me suis mis deux Microlax, un suppositoire à la glycérine puis un petit plug anal maintenu en place par une chainette. J’ai rapidement enfilé une couche par-dessus puis une culotte en plastique Suprima. Pour être bien sûr de me chauffer les sens, j’ai placé une paire de pince à seins sur mes tétons dardant d’une délicate turgescence. Pour être sur de ne pas pouvoir tricher, (allons-y gaiment dans les délires) j’ai enfilé un body galbant donc relativement épais puis une ancienne longue robe en velours achetée sur ebay. Retirer les pinces à seins à travers tout ça, allait être difficile.

 

Après un dernier pastis pour le courage, une cigarette pour satisfaire mon côté drogué me voilà parti avec armes et bagages à l’avance préparé au fond de mon jardin isolé. J’ai posé le ice timer près de l’arbre et j’ai attaché les doubles ficèles de sécurité au tronc puis, je me suis enchaîné les chevilles avant de bloquer la chaîne avec un cadenas  dont j’avais volontairement laissé les clés sur la table de la cuisine, histoire de rendre mes déplacements plus « délicats ».

 Un gros ice timer

GROS ICE TIMER

 

Mon envie de faire pipi ne pouvant souffrir d’attendre, ma vessie décida de se libérer d’un peu de pression mais elle fut sympa et ne lâcha pas tout, enfin pas tout de suite. Aimant réellement les jeux de contrainte, la pose d’un bâillon s’était imposée à moi, mais connaissant mes facultés de tricher, j’avais également pris un masque de cuir qui se ferme avec un petit cadenas pour m’aveugler tout en maintenant le bâillon. Respirer ne serait pas un souci, le masque n’est pas étanche et permet également de respirer par le nez. Mon état d’excitation était à son paroxysme, Popaul dans sa cage de chasteté se rebellait emportant avec lui mes précieuses malmenées par la pression due à la traction. Trouver les menottes posées aux pieds de l’arbre ne fut pas un problème même à l’aveugle, le contact froid sur mon poignet me grisa plus encore que je ne l’étais déjà ce qui fait que je n’ai point hésité à fermer sur mon poignet gauche la menotte qui allait me conduire à vivre la véritable contrainte de l’abandon forcé en couche en plus des plaisirs du bondage.

 

Le clic me ramena quand même un peu à la réalité. Ca y est, j’étais aux pieds du mur, ou plus précisément de l’arbre, j’allais vivre un de mes fantasmes. Je m’allongeais donc dans le gazon en m’imaginant des tonnes de choses comme ma perle d’amour armée d’un gros gode ceinture bien décidée à me faire ma fête. Frotter mon bas ventre et donc ma cage me procura quelques divines sensations même si la position allongée bras en avant générait une traction sur les pinces à seins. Mon derrière commençait à pousser, convaincu que mon anus voulait rejeter le plug, je le laissais faire sans serrer les fesses tout en frottant plus encore mon devant sur le gazon. La chaleur de la matière me surpris, les fuites avaient déjà commencé. Et m….

 

Tout en serrant les fesses, je me mis à puiser dans mes pensées les plus coquines pour parvenir à maintenir la folle excitation nécessaire pour rendre cet « incident » érotiquement correct. Libérer ma vessie de plus en plus en colère sans desserrer les fesses fut très difficile. Comme ma libido et mes pensées érotiques sont réellement très prolifiques, l’idée que ce piège avait été décidé par ma Maîtresse perle d’Amour m’échauffa les sens. La tête s’échauffait, mes tempes bourdonnaient, je l’imaginais avec un couple d’amis joueur près d’elle en train de se moquer de moi puis m’obligeant à frotter mon devant. Honte, humiliation, sexe, contrainte, délires, je planais quand soudain, l’arrosage automatique se mit en route.

 

OH PUTAIN CON !

 

Je l’avais arrêté la veille car ce n’était pas la peine d’arroser et de gaspiller de l’eau ! Ma perle d’Amour n’en sachant rien l’avait réactivée. Je me sentis mal même s’il n’y avait aucun danger. L’asperseur par moi réglé (quel c..) me fit sursauter lorsqu’il m’arrosa gaiment. L’idée me vint de migrer de l’autre côté de l’arbre mais c’est à cet instant que le plug se remis à pousser copieusement. N’osant bouger de peur de desserrer les fesses, je reçus donc le deuxième passage de l’asperseur en me maudissant de mes idées tordues puis de ne pas avoir pensé que l’arrosage automatique était bien éteint. Mon premier réflexe fut de rouler sur moi-même sauf que les menottes ne virent pas les choses sur le même angle que moi. Pour limiter mon arrosage, je me mis donc à ramper quand, profitant de mon absence de vigilance mon anus furieux de mes bêtises lâcha une grande coulée chaude dans la couche. Profitant de cette échappée, le plug glissa sur les chainettes et en fit de même laissant le passage totalement libre.

 

Par acquis de conscience et sans trop espérer, mes doigts consultèrent le glaçon emprisonnant les clés, mais ce dernier avait à peine commencé à fondre. Histoire d’agrémenter mes déconvenues, ramper pour migrer avait fait remonter la robe et les pinces sur mes seins. La douleur commençait à se faire sentir et vu les circonstances, elle n’avait plus rien d’érotique. En serrant l’arbre contre moi, je parvenais par des gestations inconfortables à les toucher mais les retirer par-dessus le body galbant donc relativement épais et l’ancienne longue robe en velours fut impossible. GRRRRR.

 

Mon colon fit cause commune avec l’anus son proche voisin pour libérer la pression de derrière. Par solidarité, ma vessie fit de même. Aussi surprenant que cela paraisse, cette libération totale et soudaine échappant totalement à mon contrôle généra en moi une sensation agréable et sentiment de bien être qui hélas fut de courte durée l’asperseur castrant mes sensations et pensées toutes les 30 secondes environs. Baigner dans mes déjections ne m’amusait pas vraiment, je voulais voir, j’avais vu, sauf que cette situation allait durer au bas mot une heure sans compter le trajet retour à l’aveugle jusqu’à la maison. Caresser le glaçon, non pas pour lui faire plaisir mais pour le faire fondre, devint ma principale occupation sous des douches forcées aussi régulières que désagréables.

 

Le ice timer fragilisé par l’eau et mes doigts finit par se rompre au bout d’un temps que j’ai trouvé fort long. Quelques minutes plus tard, même à l’aveugle et avec les doigts trempés, je pu rompre mes relations avec l’arbre. Mon premier réflexe fut d’essayer de retirer les pinces à seins, mais l’opération fut douloureuse qu’inutile, retirer la robe et peut-être même le body m’apparu obligatoire. Sous les asperseurs, cela ne me tenta pas. je pris donc à l’aveugle puisque qu’en auto bongageur fada j’avais fermé la cagoule avec son petite cadenas. Longer les cyprès à petits pas me parut fort long surtout avec la couche pleine à craquer menaçant de rompre. Lorsqu’enfin je parvins à la terrasse, je ne pus pousser le cri de la victoire à cause du bâillon mais l’envie y était. Entrer dans la maison trempé allait m’obligé à un grand nettoyage mais au point où j’en étais, cela m’apparu comme un détail. Mes mains trouvèrent rapidement les clés du masques sur la table, mais les amener derrière ma tête pour ouvrir le cadenas tira grandement sur la robe puis le body et de fait sur les pinces à seins. Ouuuuuuffff !

 

La problématique est que cela tira aussi sur mon ventre réduisant ainsi la circonférence de ma taille ! ! ! ! La couche céda sans crier « gare ».

 

Je vous passerai les détails du nettoyage et de mon estomac que j’ai du museler car il était décidé à faire cause commune avec l’autre extrémité de la tuyauterie humaine. Je garde malgré toutes ces péripéties un bon souvenir de l’expérience même si je ne la renouvellerai sûrement pas mais je la ferai vivre au moins une fois à nos soumis(es) pour qu’ils découvrent ce qu’est le sentiment total d’impuissance face à leur propre corps.    

 

TSM

Par TSM - Publié dans : Vécu et bien réel - Communauté : ABDL
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Samedi 6 mars 6 06 /03 /Mars 08:24

Alerte à la bombe

   

En préambule

Comment un homme se fait piéger dans ses propres jeux ?

Tout bêtement !

 

..……Le début de ce récit est rapide pour éviter les longueurs……

 

Cela faisait quelques temps que je fantasmais à l’idée de jouer avec les lavements. N’étant absolument pas scato, mais alors vraiment pas du tout, seul le plaisir anal m’attirait mais le fait de me retrouver les fesses pleines d’excrément m’avait toujours dissuadé. Ma curiosité maladive des choses du sexe ma conduit à acquérir le nécessaire pour tester. La poire ne m’ayant pas amusé, je me suis offert un boc à lavement ainsi qu’un plug gonflable « enema » permettant de contenir les liquides à l’intérieur du côlon. Malgré qu’elle soit joueuse dans les domaines du BDSM, (entraves, fessée, des jeux SM) tout cela n’amusait que moyennement mon épouse n’ayant aucune attirance pour les lavements et les jeux ABDL.

 

Un beau matin, alors que mon épouse venait de partir travailler, je profitais d’une mâtiné de liberté pour m’amuser un peu. Histoire de délirer plus longtemps et d’avoir une certaine pression à ma verge, (hummm c’est grisant) je mis ma cage de chasteté avant de sortir le matériel. Le plug anal trouva rapidement sa place, quelques coups de pompe lui permirent de bien se bloquer. N’étant pas vraiment expérimenté en lavement, il m’a semblé qu’un litre et demi d’eau tiède suffirait pour une première fois. Par précaution et plaisir, j’enfilais ensuite une grosse couche et une culotte en plastique. J’étais fin près pour mes tests et délires…..

 

Le bocal posé sur la commode de la chambre, le tuyau relié au tube du plug je m’étendis sur le sol avant d’ouvrir le petit robinet en plastique en frissonnant d’excitation. Au début, je ne sentais rien et trouvais cela très frustrant mais les minutes qui suivirent furent bien différentes.

 

Le débit trop rapide commença rapidement à me faire mal. Je dosais donc en affinant les réglages pour pouvoir me concentrer et apprécier les sensations d’être comblé au vrai sens du terme tout en caressant mes tétons, zone ultra sensible de mon corps et génératrice de plaisir. Le bocal vide, j’ai fermé le robinet situé au bout de la canule elle-même enfoncée dans le tube du plug percé et gonflé en retirant le tuyau pour avoir la possibilité de bouger librement.

 

Histoire de savourer pleinement les sensations érotiques et de m’enflammer les sens, je me suis installé tranquillement à mon ordinateur pour surfer sur Abkingdom.   

 

SURPRISE SURPRISE

 

Alors que je commençais à surfer sur les nuages cotonneux de l’excitation avec en prime mon Popaul compressé dans le tube de la cage, une douleur castra mes petits plaisirs. Mon « ventre » ne voulait déjà plus du lavement ! Malgré mon insistance, il finit rapidement par me convaincre de diminuer la pression. Dégonfler sans tarder le plug devint même une priorité !

 

SAUF QUE

 

Dégonfler le plug ne suffit pas à mon ventre qui n’en faisait qu’à sa tête si je puis dire, et profita aussitôt pour expulser beaucoup de liquide. La couche joua son rôle, mais je n’y pris aucun plaisir. Et m.. , zut pardon !

 

Je ne sais si j’ai surestimé mes forces ou si j’ai fait n’importe quoi  mais la douleur persista et tout cela ne m’amusait plus du tout. Un passage en URGENCE aux toilettes me permis de me libérer ailleurs que dans ma couche. Je vous passerai les détails….

 

Une fois propre, je retournais à la chambre pour ranger et nettoyer le matériel.

 

SAUF QUE

 

1°) Mon petit trou n’était plus étanche au liquide et ne parvenait pas à maintenir le résiduel qui n’était pas parti !

 

2°) Le bruit de la porte d’entrée et la voix de mon épouse puis d’une de ses copines me glacèrent le sang !

 

OH putain con ! Désolé c’est vulgaire, mais cela expose avec des mots simples ce que j’ai éprouvé à cet instant précis.

 

La solution d’urgence qui me vint à l’esprit fut de remettre une couche pour éviter les problèmes de fuite devant les filles puis d’enfiler un gros peignoir pour cacher non seulement la couche mais aussi la bosse générée par la cage de chasteté qui présentement ne m’amusait plus du tout.

 

SAUF QUE

 

A ma mine déconfite lorsque je me suis sorti de la chambre, mon épouse compris qu’il se passait quelques chose.

 

- Ca va ?

 

- Oui, non, enfin, j’ai la courante, j’espère que ce n’est pas une gastro. Vous ne travaillez pas aujourd’hui ? Que se passe-t-il ?

 

- Il y a eu une alerte à la bombe, ils nous ont fait évacuer et nous ont libérées pour la mâtiné.

 

Je fis une bise à Martine, l’amie de ma femme, qui n’est pas prude ni frigide si vous voyez ce que je veux dire……. Sans être active dans le monde du BDSM, elle connaît sans les détails les passions que nous entretenons avec mon épouse pour les jeux et plaisirs non conventionnels. J’ai vu arriver la catastrophe mais je n’ai rien pu faire pour l’éviter.

 

Martine étant très intime avec mon épouse, entrepris de nous faire un café et pour jeter le filtre c’est quand elle ouvrit le sac poubelle que je n’avais pas eu le temps de sortir ni même de fermer  (et pour cause) qu’elle découvrit la couche jetée à la va vite quelques minutes plus tôt. Elle posa aussitôt la question sur l’incontinence.  

 

Heuuuuuu …… Que répondre ? ? ? ? ?

 

Pour éviter les embrouilles et en espérant qu’elle n’approfondirait pas, je prétextais voir quelques soucis de santé. Au lieu de se taire et de m’éviter la gêne, dans sa grande générosité elle nous parla de traitement, de médecin, de son père, de….. 

 

Mon épouse était pliée de rire de ma déconfiture car elle avait pertinemment compris que je m’étais amusé en solo en ABDL. (Merci ma chérie !) Ses rires générèrent des questions comme l’on peut s’en douter. Entre filles qui se racontent des choses elle lui avoua mes penchants pour l’ABDL.

 

Me sentant près à exploser, elle me calma en me rappelant que sa copine nous parlait de son amant et de ses escapades puis lui prêtait des tenues affriolantes pour nos soirées SM. Pour elle, il n’y avait pas de gêne à avoir à lui dévoiler à notre tour un de MES délires.

 

Très sincèrement, même si je suis joueur et parle volontiers sans tabou de mes délires ou de nos soirées, si j’avais pu passer sous le carrelage pour me cacher, je l’aurais fait. J’étais blême, horriblement gêné, dix coups de fouet dans une soirée SM publique m’auraient nettement moins fait honte.  

 

Histoire de s’amuser plus encore de ma gêne, mon « adorable » épouse se leva pour venir tâter entre mes jambes. Le seigneur fut sourd à ma prière, elle s’écria presque en rigolant « c’est qu’il est encore en couche » ! (Et merde fut ma pensée) Le naturel curieux de Martine et l’envie de jouer de mon épouse redevenue Maîtresse firent cause commune pour m’obliger à « montrer ».

 

Ma perle d’Amour devenue sadique, me fit donc lever puis ouvrit mon peignoir pour dévoiler ma couche. Je n’ai jamais eu aussi honte de ma vie. Dans un geste dit de tendresse, elle claqua le devant de mon anatomie couverte de sa main ce qui me fit gémir et bondir, car la cage coinça mes testicules. Ma garce de femme compris aussitôt et voulu faire une inspection de la couche !

 

Les dieux se liguaient contre moi ! ! ! ! ! Elle constata ce qu’elle avait deviné et que je m’étais encagé tout seul pour mon petit délire.

 

- Mais c’est qu’en plus, il a mis sa cage ! Où est la clé ?

 

- S’il te plait arrête, j’ai trop honte.

 

- Mais non, tu n’as pas à avoir honte, Martine sait plein de choses et elle ne dira rien. Dis-moi où est la clé ?

 

D’un doigt, je désignais le buffet où elle découvrit en prime, que je m’étais racheté de vraies cigarettes. (On essai d’arrêter)

 

- Tu es vraiment très vilain, tu resteras huit jours en cage pour avoir triché pour les cigarettes. S’exclama-t-elle soudainement moins joueuses.

 

Martine voulu voir la cage de chasteté et moi j’aurai voulu être ailleurs mais comme ma Maîtresse d’Amour en avait décidé autrement, je ne pus qu’abdiquer. Entre nous, il y a des moments où l’on aime sa Maîtresse, mais il y a aussi des moments où on la déteste.

 

Culotte en plastique et couche baissées, je dus monter mon sexe encagé et Martine eut le droit de toucher pour voir, (une vraie gamine) mais ce qui me gêna le plus, ce sont les « traces de freinage » sur l’arrière de la couche. Certes, il y en avait peu, mais il y en avait tout de même et je crus mourir de honte lorsque je dus les justifier. C’est fou ce que deux filles peuvent être cruelles avec un homme.

 

- Les traces dans ta couche sont plus importantes qu’un petit « pétou ».

 

- Arrête, s’il te plait !

 

- Mais non, tu t’es amusé seul pendant que nous on travaillait, alors maintenant c’est notre tour. Raconte c’est un ordre.

 

- Un soumis doit toujours écouter sa Maîtresse ! Rajouta Martine soudainement en s’amusant follement de ma déconfiture.

 

Je dus abdiquer et raconter en quelques mots sans tout dévoiler, que je m’étais fait un lavement en ajoutant que je n’avais pas vraiment apprécié. Leurs commentaires allèrent bon train puis portèrent un instant sur la constipation féminine alors que j’attendais tranquillement en mourant de honte avec ma cage de chasteté à la vue, la couche et la culotte sur les pieds devant deux nanas bien décidées à ne rien faire pour réduite mon calvaire psychologique.

 

LE PIRE est que ma Maîtresse proposa de me changer pour que j’ai les fesses propres. Sur le coup je crus défaillir, mon cœur sembla s’arrêter et mon sang se glacer dans ses veines. Je me mis à détester réellement ma Maîtresse pour ses idées absurdes et son envie de me martyriser ainsi.

 

En soirée, les jeux d’humiliation sont vécus différemment, on s’y prépare psychologiquement et on en arrive même à espérer des délires tous aussi fous les uns que les autres parce qu’ils font partis du jeu et font vibrer mais présentement, là, je ne me sentais pas vraiment soumis et n’avais en aucun cas envie de jouer ABDL devant sa copine.

 

Conduit par le bras jusqu’à notre chambre en marchant tant bien que mal à petits pas avec ma couche maintenue par la culotte sur les pieds, je dus m’étendre sur le lit pour être changé. Mes tempes bourdonnaient, j’avais chaud, froid. Comme dans un état second complètement résigné, je laissais donc mon épouse poursuivre.  Martine dans l’angle de la porte gloussait et commentait mes « adorables petites fesses de grand bébé»

 

Si maintes fois il m’est arrivé de fantasmer sur des jeux ABDL j’eu l’impression de vivre les pires secondes de sa vie, à être ainsi entièrement nu, jambes écartées avec mon sexe encagé exposée au regard de Martine pendant que mon épouse me talquait avec le talc dont on se sert normalement pour les tenues en latex. Sa main froide me procura quelques sensations pas désagréables mais fortement altérées par la présence de sa copine ne loupant rien de mon avanie.

 

Elles se mirent à deux pour me mettre et fermer la couche, alors qu’une seule personne suffit amplement. Je dus donc soulever mon derrière et de fait, monter mon devant en exposant plus encore mon sexe encagé aux regards curieux et gourmands de Martine follement amusée. Ma Maîtresse, qui à cet instant n’était plus vraiment ma Maîtresse d’Amour, me passa la culotte en plastique puis me fit lever. Et là, alors que j’avais les jambes en coton, elle déclara tout de go : « Tu va lui faire voir comme tu es beau dans ta grenouillère » ! 

 

- Il a une grenouillère ? Pour de vrai ? Demanda Martine complètement en délire.

 

J’en aurai hurlé de rage, mais impuissant et vaincu comme si toutes forces de rébellion m’avaient abandonné, je laissais mon épouse approuver puis ouvrir le grand tiroir de l’armoire où sont rangés une partie de nos accessoires et tenues. Elle poussa la camisole de force pour saisir le vêtement en question qu’elle tendit à sa copine. J’étais blême ! Martine s’en saisit, s’agenouilla à mes pieds pour me faire enfiler les jambes de la grenouillère qu’elle eut le droit et surtout le plaisir de me mettre en prenant tout son temps, comme si un pli allait changer quelque chose.

 

- Tu manges avec nous ? Demanda mon épouse à son amie. 

 

Par chance, cette dernière préféra rentrer chez elle mais elle ne put s’empêcher avant de partir de me pourrir la vie une dernière fois en ajoutant que « bébé devrait être sage » avec des tonnes de sous-entendus. La porte aussitôt fermée, avant même que je ne puisse exprimer ma colère, un tsunami de reproches me coupa l’herbe sous les pieds. Mon épouse particulièrement remontée contre moi, m’incendia dans le vrai sens du terme. Tout y passa ! Les risques que je prenais en m’amusant  avec le portail ouvert, les cigarettes, le fait que je lui avais caché le boc à lavement, qu’au lieu de m’amuser j’aurai pu faire le lit et ramasser mes affaires, enfin, une compil de reproches. Vous n’êtes pas sans savoir, qu’en termes de reproches, une femme en colère a des réserves insoupçonnées. Cela dura fort longtemps et lorsqu’elle sentit la limite de ma patience, elle m’acheva en s’écriant : « Ah tu veux que je sois une Maîtresse plus sévère ? Et bien tu vas être servi » !  

 

Le repas fut rapide et légèrement tendu. Une fois la table débarrassée, je dus « apprendre à jouer avec l’aspirateur » pendant qu’elle rangeait la maison. Comme son employeur n’appelait pas pour une reprise du travail, elle m’ordonna de m’habiller mais de garder la couche sous mes vêtements sans me dévoiler quoi que ce soit de ses intentions. L’après-midi fut difficile et cruelle.

 

Nous fîmes du shoping, passèrent des heures dans des magasins de chaussures sans rien acheter et partout où nous passions, j’avais l’impression que tous les yeux se posaient sur moi-même si j’avais pris la précaution de mettre un pantalon ample. C’est dans la galerie marchande de Carrefour, qu’il lui prit l’idée de me relooker en passant devant un coiffeur. Elle y entra d’un pas décidé sans même me demander mon avis pour une coupe pour homme. Ma garce de Maîtresse s’amusant comme une folle. Je tentais de différer, mais rien n’y fit. On me prit immédiatement en me proposant un vestiaire. Par pur réflexe, j’abondai en retirant mon blouson mais lorsque le coiffeur s’en saisit, ma conscience me rappela bien trop tard qu’il masquait mes « volumes ».   Madame me planta là pour aller flâner, le seul bon souvenir que j’ai de la séquence coiffeur, d’avoir pissé dans ma couche pendant qu’une jolie blondinette me lavait la tête à côté d’une mamie moraliste coincée qui gonflait tout le monde en parlant de son chien plus intelligeant que les autres. J’avoue humblement y avoir trouvé plaisir.

 

De retour à la maison, ma maîtresse d’Amour s’étant décontractée, me taquina puis me permis d’aller me laver. OUF. La surprise suivante vint vers 21 heures 30 d’un ordre qui me surprit. « J’ai besoin d’une chaîne et d’un cadenas ». Oh oh, pensais-je, il y a du délire dans l’air. Pendant que je me rendais à notre petit donjon pour prendre le matériel demandé, mon esprit s’enflamma et la crise du logement se rappela à moi avec l’extension masculine générée par l’excitation. En clair, mon Popaul emprisonné dans sa cage de chasteté ne parvenait point à se déployer.

 

SAUF QUE ! ! ! !

 

En guise de soirée coquine ou SM, la tortionnaire de mon cœur, attacha une des extrémités de la chaine au sommier avec le cadenas et l’autre extrémité à celui de ma cage de chasteté.

 

- Comme ça, demain matin tu ne te lèveras pas pour aller surfer et j’aurai le plaisir de me réveiller avec mon doudou à côté de moi !

 

Et m…. Pour quoi et m…. ? Tout simplement parce que je me réveille vers cinq heures alors qu’elle ne se lève que vers sept heures. J’étais convaincu que ces deux heures allaient d’être longues et ce fut le cas. Dans la nuit, lorsque l’on est sous cage de chasteté, les envies d’uriner se multiplient mais ne brulons pas les étapes. Revenons si je puis dire au moment du coucher. La gourmandise câline de mon épouse ne pouvait rester insatisfaite, mais étant sous cage de chasteté, je ne pu que l’accompagner des mains et de la bouche dans son moment de plaisir qui ce soir là, fut assez intense tant le fait de m’en priver l’excitait. Après avoir repris son souffle et les petits bisous tendres du soir, la lumière éteinte et son sommeil rapide me laissèrent dans une très sévère « crise de solitude ».  Grrrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !

 

Les pensées se bousculant dans ma tête et entre mes jambes, ne me permirent pas de trouver le sommeil rapidement. La nuit fut agitée et peuplée de rêves fous musicalement agrémentée de sonorités métalliques. Une envie pressante m’arracha au sommeil enfin trouvé vers une heure du matin, m’obligeant à l’aveugle à attraper une couche dans le placard puis à l’enfiler pour pouvoir me soulager puisqu’il me paraissait inconcevable d’uriner dans le lit et encore moins de prendre le risque de la réveiller. Je ne saurai dire pourquoi, mais je me suis réveillé toutes les heures en mettant à chaque fois un long moment pour me rendormir. Si bien qu’au petit matin, alors que la rosée séchait je dormais encore comme un « bébé ».

 

Ma Maîtresse d’amour me martyrisa grandement toute la semaine, soit en me laissant en plan soit en se faisant, masser ou câliner. Le pire fut l’avant dernier soir de ma période de « punition ». Elle me conduit à la salle de bain pour une toilette intime mais elle ne me remit point le tube de ma cage de chasteté. Mon Popaul en profita pour se mettre au garde-à-vous. La base de ma verge serrée par l’anneau de la cage générait une érection forte et monstrueuse dont elle profita grandement et longtemps en m’interdisant de jouir sous peine d’une semaine de cage supplémentaire. Se fut dur au sens propre et au sens figuré du terme……

 

Conclusion :

 

Une alerte à la bombe peut avoir de lourdes conséquences !

 

TSM

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